MANUSCRITS ARABES.
TH^OLOGfE, JURISPRUDENCE, PAR£n£$E.
1.
J6 8. Hauteur 17 centim., largeur lie. 418 f. 18 1.
Copte on 1087 par el-Hadj Yousof b. Abdallah.
2.
J£ C. 20 X 1,9. 272 f, 16 1.
Le meme, Bel exemplaire, colore et orn6 d'arabesques. La pre-
ndre feuille en taalik. Sans date. Peu ancien. Bibl. Suchtelen.
3.
J£ 5. 81 X 20. 272 f. IB 1.
le m6me. Sans date, modeme. Exemplaire de luxe. Bibl.
Suchtelen.
4.
Jt 9. 17 l / t X 12. 422 f. 18 1.
Le mime. Copi6 par Qalih b. Mousa ^^ J**^" ^.; p eu
ancien. Bibl. Suchtelen.
.5.
JS'll. 17%X10. 107 f. 29 1."
te m8me. Peu ancien. Ecriture tres-fine.
■■■■'■' 1
Th^ologik etc,
6.
M 10. IbXf'V?- 818 f. 18 1.
I© id@H£» Feu aiicien.
N°7. 20X16. 891 f. 13 J.
Id illfc Moderne. Bibl. Suchtelon.
8.
M IB. 87X28. 149 pages de texte. 18 1. 18 f. d'introdiiction.
Les 36 premiers chapp. du Koran copies par l'abb6 J.B. Behind-
ler de Craco?ie en 1882 et prec6d6a d'une introduction bibliogra-
phique. D6di6 a S. M. FEmpereur Nicolas I.
JI6 12. 21 l / z XlB l / 2 ' 86 -f. 18.1.
Les chapp. 39 — 1 14 du Koran. Oopie pen anciennc, main ant6-
rioure & 1108.
10.
J&, 13. 12V 2 X8 l / 2 . 120 f. 7 1.
Quelques chapp. du Koran, prieres, traditions, les noms de .Dion
et du proph^te etc. Sans valeur. Moderne.
11.
m 14. 15X10. -110 f. 9 I.
Quelques chapp. dulorii, prices, traditions en arabe et en
turc. Sans fin et sans valeur. Moderne.
la.
J\6 18. 15.x 10. 107 f. 11 1.
tji i IfcJJ J J-*J
Recueil anonyme de traditions et de legendes, qui traitent pour
la plupart du jour du jugeinent dernier. Premiers mots: 4||l *»>
OopiSon 11 88.
, TBiOLOGIE ET0 5 g
13.
#19. 161/jXIOVj. 186 £9 1.
Par Abou Abdallah Hoh. I. SoMn&i b. M Bete al-Btamtt
T 870. Of. Melanges as. V, 619. Copie moderne.
14.
#20. 19X11%. 54 f. 1B1.
Extnit du ^ij ^ ij s j^ par fihemMilillii Abralkbeir ■•-
Irane* al-Bjajgarl al-Dimishki f 883, fait par 1'auteur mSme du
dernier ouvrage. Divis6 en 10 chapp,, dont on trouve l'ftramfration
chez Aumer, die arab. Hdschr, d. K. Hof- und Staatsbibl. in Mfln-
chen, Manchen 1866, % 180. Cf. Oatal. Codicum Oriental. Bibl
Academ. Lugd. Bat. auct. P. de-Jong et M. J. de Gooje, t. IV p 841
Notre mscr. donne le teste sur l'autorite de Abou Fadhl SMhabeddfn
IbD ladjar tl- AsfeaSaoi (Aumer M 1 31).
. °P i6 en 12 ^8 par.^U JjJb ifi, ^JQJJ^ ^J\ jUl;
Venture .tres-fino, -mais liable; beaucoup de voyellos, largos marges!
15.
# 16. 22X 15%. 112 f. 19 1. (depuis le f. 91. 28-33 ].).
uW J (sic) ^JL L «jl£ ^Jj *&
Par Abou Yahya Z&karlya al-AB(!arl al-Shaf<5i f 926. Voir
Haji Khalfa, Lexic. bibliogr. ed. G. Fluegel IV, 373. La principal
source de ce livre 6tait d'apres H. Eh. le livre des Qestions et B6-'
ponses de Mohammed b. abi Bekr al-Btei, sur lequel cf. Catal.Luffd
IV, 27. .
Premiers mots: ^U\ ^b£ ^U) Vj k ^j ^Jjj ^ jj)
J'* J j»*\J*J~j£\ ^yJj uWL LljJI jU- Jo' ^JJJ,
Ol^km ^j^JJ oU. Copi6 en 1117 pW jL** j^ :Jf j*#
^LJJ. — Collationne\
Th^ologie etc.
16.
#•28. a<?. l 4X17. 218 f. 1§ 1.
Par Abes -t -Hasan Hi fe. IctoittM at-fietytavl ^jJ)
f482. Cf.Flugo], Die Classen dor hanef. Rechtsgdehrten (Abhandl
der K. Sachs. Ges. der Wiss. VIII :, 275). H. Eh. connait note
ouvrage sous le titre ^jjj J^ Gi i? S35t Les 12 dormers ff.
ainsi que Ice deux deruiers tat d ! ui.,e autre mam, plus modeme
jo ne sais, si h titre appartieut r&llemeut a i auteur lui-meme. A ]a
derail page on trouve )a da^e 950 s mais le gros du mscr. parait
de beaucoup anterieur a eette date et pourrait Men remonter au S e ou
9 si&cle de l'bigire.-Le meme a Berlin (A Catal. of the Bibl. orient.
Sprengenana « 597) et au Caire (Catalogue de la bibl. vice-royale
au Uire. Le Caire 1289 par M. Stern, p. 63). Commence: «« ill
^ ^ gUJl ^ c JjJl ^ jJi jj^.^1, ^JU
fafl' ^ <** °^ ^ l ■#■#* JU i l ^ ^
f***)j g\JA). Je remarqfyjrai en passant que 1'auteur sur la pre-
mise page cite le Fikh al-akb,ar par Abou Hanife dJi J JL ji
n aL w vU f, ii r^- V< ^ ir M « "au, Sitzgsber. d.phil.hist.
CI. der Wiener Akad., t. 65, p. 71 2 note 1 .
SuchteTen ^^^ BeaUC0Up de points dia <*Hi<lMs omis. Bibl.
17.
Jt« 26. 24X17%. 89 f. 16 1.
_ Par Abou Mariya Yahya al-ftfawawi f 676. Mscr. sale, en
trt:» tet6tinCOmplet I1S ^ tea " ^^1 4- Ecrita
18
#26. 26X18. 196 £18 I.
C^-^' U^j jj^l £^
Urn Is-SffftU 1 iTrH ^ par Al " ,,e ' »• *" ***>■»
'Ml SS saftll f 696. Cf. Araner « 296. Lb premito psge manque,
TfffiOLOGIE ETC. 5
ot lo mscr. commonco par iiiJl j«sJ£ ^j^xi oj t s*> jS\Li]\ Le £«uj
Les 3 dorni&res pages contiennent en 6oriture plus fine un cha-
pitre du t^UiilJ wbftire' du 3 e tome du k-jJ*Jl, ouvrage tr&s-rare,
qui a pour auteur Abou !sh4k al-Shiriki f 476. Of. Cat. Lugd.
IV, 111.
Copi6 on 835 par ^Ladll ^Li^ -^ j«*l. Larges marges,
avec boaucoup de gloses jusqu'au f. 40,
19.
JVi29. 20 l / 2 Xlo. 328 f. 19 1.
Par Obeidallali b. Masoud b. T&dj al-Sfoena f 745.
Of. Aumor, As 276. Copie on 1093. Bibl. Suchtelen.
20.
JV» 32. 26XL8, 94 f. 25 I.
Par Abou Said Tabir b. ls!4m b. K&sim al-lko^ri al-Bha-
rizflli, qui finit cot ouvrage en 771. Dix chapp., dont on trouve
] Enumeration chez Aumer J£ 314. Lcs premiers mots s'accordent
avoc coux du mscr. de Munich. Notre mscr. est assez ancien (9* ou
10°sioclo?). Apres le f. 16 il y a uue lacuno de quelques ff., qui con-
tonaiont la fin du 3° chap, et le commencement du 4°.
21.
£81. 24X14V 2 . 470 f. 23 1.
Jurisprudence han6fite par Mohammed b, Feramorz b. Ali ,
plus coiinu sous !j nom de Holla KiiOSraw f 885. Gf. Aumer
Nf. 316. L'autour commenga son ouvrage en 877 et le finit en 883.
Trbs-bello copio faite par Abdalkerim b. Ali en 964 sur un manu-
1) On trouve generuloment ^j au lieu de //•.
Thsologib ETC.
scrit qui dtaii oopW de rautographe de 1'auteur, c qui clique oa
Le liemlM man q„ e , de bo* que 1. m ssr . commence par ^
fj» £ ui- ^i ^ ;s ,,,10; ^ Aj ^ kii Note fillfl ^ (!i ;
cop*: ^Ji i_*J, .„ r s ^j, vl:£J| u _. r y
J JU wl^Jj ail i.,, t x 4 ,^ uLJi ^ ^ c ^ :
^ a- -A* jM ^-Ji f * j i,i jji t(-^ AAr ^ j^,
-^ <*v J rr J, it ,Lc a^j J; Jc m ^ , aJ)
J4>, „JJ «;LL JU <,,! ^u j e tf ■j^ l> tf ^ ^j^,
22
J» 80. 20X15. 146 f. 211.
jM ^.l^ ^LLVj ^
uiourut en 1004. Cf Auttw W w± «+ u Cu ,1 5 et
Jr^*. L« marges jusqu'au f. 30 couvrts d, glosef S
23,
&27. 18V 2 K14. 130 f. 17-19 1. ..'..■
Plusieurs trails sur ] e droit dMtagc ^J):
0\ f 1A f ^ ^ L " 6n WHO"!*.
\ Theologie eto. 77
3) 21— 27. Un traite anonyme m prose sur des questions djf-
ficiles, qui commence Jib sjJ_, iwll |e (!) _^JwJ ^j JiLiil
<j J U*s. L'expos6 des autres questions debute toujourspar ...JjLJI
^j J l§*i Ail „ . ,
4) f. 27 — 29. Quolques remarques sur le mdme sujet, en turc.
o) I. ao 71. ja«! b&J o j^j ls,jJi t J.a , § i iew) ^aJI &ju> ■! tujwj.
Commentaire de Bedfeddin sur 1c traits bien connu de Siradj-
cddin al-Sidjawondi. Le mfime a Dresde, cf. Fleischer Catalog. Cod.
or. Bibl. Dresd. p. 38 J\l?. 257. L'auteur de l'original 6erivait selon
M. de Goeje, Catal. Lugd. IV, 124- au commencement du 7° siecle.
Cf. Catal. Mus. Br. p, 409. L'epoque oil vivait le commentateur
ainsi que ses autres noms me sont inconnus. II doit cependant avoir
v6cu avant 956, car il est cite - dans un commentaire anonyme sur
la Siradjiyyah, dont un manuscrit 6crit a la date pr6cit6e se trouve a
Leipsic. Cf. Fleischer, dans le Catal. Libr. Mscr. Bibl. Sen. Oivit.
Lips. p. 481 M 221, I. Premiers mots: e^L© ^j© y-y^-411 J*^
■■■-■ r' pjjij ■**$•**] (j\b.j.*> Uj ij&&\^L)j ^jU^JJ J*,
6) f. 71 — 130. a*J,uJJ ja&\jA\ *ji., Par Abou-l-AHi Mo-
hammed b. Ahmed al-Behishti al-Isfaraini, connu sous le nom de
Fakhr Khorasan *) : H. Kh. cite cet auteur a difftates reprises
(I, 209; IV, 98, 401, 541), sans toutefois indiquer la date de sa
mort. Le temps on il vivait ne peut-Stre fix6 qu'approximativement:
c'flst la 2° moitte du 7° ou bien le 8° siecle, car un mscrt. de Leiden,
qui contient son commentaire 3 ) sur le J-sJl »=Jj>I de Samarcandi
port© la date 787. Cf. Catal. Lugd. Ill, 356. *Sur deux autres de
ses ouvrages cf. Catal. Mus. Br. p. 622 et Ahlwardt, Verz. arab.
Hdschr. Berlin 1871, M 266, II ne font pas confondre notre auteur
1) D'aprcs d'autres: jLJ^^s. Cf. Dorn, Catal. des mscr. etc. p. 77;
d'Herbelofc, voce Esfaraini et Camar Khorasan. .
2) Le meme a P6tersb., dans la bibl. publique, Dorn I. o.
8 Th^ologie etc,
avec lo grammairion Isfaraini ') (Tadj- ou Siradjcddin Mohammed b.
Mohammed b. al-Seif), Pautour du ysllj w | cjUUI, qui mourui on
674, comme le dil express6ment Fasih al-Khowafi <jiji^ *u*i dans
sa chronologic a ). — "Premiers mots: J.^ *l£*i jji ^jJl «yj j>M
convert de gloses. Copie par Yousouf b, Hosoin. Pou ancien.
24.
J^ 21. 29X21. 206 f. 23 1.
Par Sho'alh al-Horallish J^^ti v*^- Ouvrago pareuotiquo,
divis6 en 53 J*»i. Du dernier fouillot de notro mscr. il no reste qu'iin
tout petit fragment. Lo mdmo ouvrago so tronvc a Londros (Catal.
Br. Mus. p. 661 et 335). Dans un do ces exomplairos l'auteur est
nomm6 Abou Madyan Sho'aib al-Harifashi Ibn Abd al-Azix IbnYousof
al-Amrawi al-Cafsi ^-iill. H. Kh. parlo do l'ouvrago (III, 488)
mais sans indiquor le temps de l'auteur. 11 doit avoir v6cu vers la fin
du sixteme ou bien dans le 7 e siocle, car l'auteur le plus moderno qu'il
cito (f. 95°), est Abou-1-Faradj ibn al-Djouzi f 597.
Un exemplaire so trouve aussi dans la bibl. du Vico-Roi an Cairo
(Catal. p. yvr) et l'auteur y est nomm6 u ^»_,l\, et a Paris, Catal.
Cod. Mscrpt. Bibl. Bag. I, 147 Jfi 447. Le jw^iJ v l:f do Go-
tha (M&ller, Catal. J£ 617) enfin pourrait bien contenir lo mfimo
ouvrago. Les 53 chapp. 3 ) Jy*i traitcnt des sujots suivants: 1) J
j-IUI ^J[u 2)IMJ* fjto^jtfA ijljjAjl J\ J
3) (sic) ^*iUJ. w^iL* J 4) ^ <U*L., a*^ {J^*JJ*^ J-i» J
j»$\ 5) 6*j»j 6J J.i JkA\ jl±*j j& Jij J 6). jJisJl aJU J
1) La g6n6alogio de cet ecrivain est donn6e d'unc manioro difffcrenfe duns
les mscr. Cf. Dozy, Catal. Lugd. I, 86, Mas. Br. p. 775 ad. 235, NicoH-Puscy 436,
Flugel,, W. Hdschr I, 168. Fasih le nomme ^ j> <jjl ^> Cji^ J*
2) Bur cet ouvrage cf. Dorn dans le Bull, hist.-phil. de Pncad. du St-P. t II
p. 1—41. '
8) Le nombre des chapp. varie dans Ice dififeronts mscr.
Thbologib bxo. 9
U*» <j~*jl' oaUJ 4jyl Jcl L«, 7) J^ll ^w 4i|l C^t .L» J
fLrfjjj ^LSjlJ j* J J^ 4j(j| ^ c { Lsj, 8) i*a_0 J«ki ,J
9) <ujJ <LiLA ^* ^jIlJJj c l£JI J*<ki> jj C L u ^fi ^j 10) J*as .j
p[>JI 11) (?) ^^jil ji_>JJ ^ ^J^ r^c/* ocr-^* t3
12) pUjjfJ «^u* J^ 13) oy) o^C tlj^L^ ^J^j* iljLj dJ^i ^j
o^r «;* c.if L diJi jiL 14) e LJ,Vl oLJ^f CjLJJ J
10) 0}*j i^*Mj^ ^a>_g Jj"*^ *j;» 1«J <tiy ^j 16) CiLaJJ ^j
-^fl 18) _,.L1J ^j j^ J\&}\ r rUJl J.; J,, J 19) J
e,kl)l iij* 20) J^Jlj, _,liJ| dij^ J^s J 21) ^yJ-Jl J^a* J
.aL> 22) jjJu-J ^c iUiciilj jAs^J) ^ lj*» Lj -^iLJJ oljl£ j|
23) j^iUJJ fe^iL* jj 24) jOj i^iJl ^* wj^kJJ j.Lsj U jj
d_.il 26) j*iLJl t_-.iL* ,j 27) ^ULaJI ^.iLi-. ^ jj
2S) ^UU) ^Lu J 29) ii*^. u? l XV) ^Lu J 30) J
,u,yj oLi/ 3i) ^cij oi,^*. c^ii* j 32) aJ^ys j
jUVl ^Ul, ^trjVl 33) JJj J> j 34) ^ Ccr i J> J
36) t _ / -ji ^j oJL iL^Jfi ^sLu ,j 37) < jw-iLJJ fc^L* ^
38) <|jl 4>j- u3jll g,i J 39).*j,Ul pl^Le ^ J-_J J
*0) «Ul'. Jj-j J>- J 41) ^*1UJ _,r^ ijjdl J 42) _,ft J
C^\ 43) U *JJ p ti, J 41) ^iU) ^L. J 45) £^1 _/■> J
t^JI <U,U \Jl_. W J ^ J c o ^JJ 46) **• JkJj, o^l ^i J
47) ^UUl ol^UJl .LjlJI a< oliUj _,ri J 48) J^e J
4U' J 5 "y 49) ^aLa u1 J.J) gjljj, ^J 50) iaj^i clilil t^SlU ,J
51 ) u^ 1 J 6 ^ Jl ^ j 52 > W [ *j <<jui if/ -Ji v j*. j
Theologib etc.
58) iMll^j i*. j C L Lj-h j. Oaracteres maffhribins. Vocalise
1*011 ancien, mais miAnmr a 1 3 80. Bibl. Suchtolen.
J«38. 22«/ 2 XH. 238f. 10 ].
Afc*^* 1 -^ ° ffiqU6 dGS Ch ° SCS tcrrcstreB ct fi61os ^ par Af,^
ANa Ian Mined b. Mid fc. Omar I. MM al-GlahMfE eonn».
«ous le nom de AnmesbAyad, le kildfoi fie Azemmour \>Uil j,LU
Sb o°ftq a A ^f 011 d6taill6C du COntenu «mmcr,Wioi,
Janrb. Jfe 83, Anz. Bl. p. 6, ct cf. le Catal. Lugd. IV, 254 L'uu-
teur fcnvait dans la premiere moitie du-huititoio sitelo, ce qui' rosultc
du passage suivant an f. 72»: ^ Ljj|^ -J. ^ ^ JU
cr <>• * j UL ^^ HI ^ oJ) * v j • ^j j c ^
^ZZ^^l CSt , 10 8Uni T ^/^^^-^ouyo sou,
s ( formes fiU^j,! ^Lj, v l^| (GjlkL LngdTL 1.), V J
^,rf,^ y (H ' Kh " VWotVII, 863, cf. UH,
Catal Bibl. Bodl. p. 62) ct enfin juLt^l dans notro mscr. On lit
A la denutr. page: cO; y lOW £\} y j^iy^ j& , ^
J r> °- ^ e ^ ^-.y ^ ^ ^ '^ jjji u^ui ^ji
^ ' ^^ j- l 'J ^ j^ u-iUi jiL^L ^u u a^ji
^■jaI r ^i) ^ a^^i ^'jCiijyi ^,/mo r ie -'yi.
J? L ^ ^Jl JuJ j c ..... ^J/ d:aiis ^j ^ ^ rjJj ^j.
^^U. Copie collationnce. Bibl. Italinski. " " '
ThAologii bto. 1 1
A»28. 26X18. 251 f. 17 1.
Traditions relatives a remission de sons et de paroles par dos
chosos ou des fitres, qui no sont pas doufe de la faculte de proferer
soit des paroles soit des sons, recuoillios par AbOK-H-Faraify Alclsr-
rabman ibn al-DJonzl f 597. Of: H. Eh, VI, 354, Mailer B 636,
et Tuition du Caire 1281. Divi9<* en 6 ***: 1) o'^' J^" J
2) tJLijil J.Si y^alalXi} jki ^j 3) .5 Li] jikj ^j 4) ieUa. Jik.» ^J
5) (Jaj^I a;.3 a 9 „ ^o ^j| kj 6) fel.asj Oljlil J*. Commence
V^L>' ^ OaUl aa*s, ^Jj: j.J.1 ^s* 4 ^ 4X1 j.Uf. Copie" en 881
par ,<j^»mJI ^^.aJssJ -»j ,j.<m ,
27,
JY» 22. 22X16, 173 f. 23 1.
Trait6 sur la difference entre les Arabos et les non Arabcs, com-
pose on 1137 par Houstafa b. Kem&Ieddiii h Ail al-^lddikl.
Le but et la disposition do ce curieux traite ressordra pleinement de
la prdface que jo transcris in extenso, en n'omettant que la premiere
page, qui contiont les formules d'usages.
srl J UssJ ^kJjj J >sm kJ^' fi^^j
jUji JL*» < (jlijc J j ^ ^i&j l oMl y* fi/M 4JUl
(jUXJ jb 4jij! Aflli ^majjj /^mij kw u »> JuJj vl C •..> •.j.jJi
Ijl^d) 4jeAi_, ' jj>Jt| ^jasu U JL JiJ ' <jL»»iJJ' J,iJ» <ule AaJj
1 L^i i~*kLdl Jib < <L.jJ| ^LJI j j) jli|_,.< V LTJ
Th£ologib etc.
•> J ^ ^ ^ < V LJ/ D .^; U J. J^ c v ,^|
r Ul aJU ^ w^J! t Ui J iJL, J C ^ ^ ^ . j y j
ul* *JL,J LlM ^l ^ ^ ^ ;L ^ ^ a ^ L j j e> ^
J ' ^Toyr^JT ^ ^ui ^ u jl, j fi j;j \
l fi JJI <^J iJU l#Ui j j[j l ^\ J i~ \\ s fJlJx 3 ji
<«'* vW -^ X^ < rv Ji J) y dj | ^j ;>il j ^
1 ,l#W/ «j* J*j j* j -j^ , ^ ^ Ju jJl h ^l
i±, v^' i r? J /^ y^ j) ^ .j>j/ j (f . 3o j^rzuj
V U r .U ^J ^ ^ ^ .^ v>J/ j^ ^ ^
J^ (J^ ulj fiJll J jy v^Ji ;L J j (f. 55 6 )^/Ji^U)
^ JSU^ f J ^-rfL* j (£ 60 ^) ^.Uj v gj -^ui ^
Theologie etc. 13
i,
Is.
a^Jl ^ j« Jjy^/ll ^ J c ^ J> r l *il_, iiil J!
f^ O' jj (f- 92°) »~LIJ C_jUJ l^J ^Kj ^ Jj\ '^jK&j, Lj_/C w »-*m
jjafij 4***^ L jjjj, L^bJJ tw^Jj ^jjj* Ji> ^.L^J j^ # «s, jj) AS^M, ^j
CT o^** £**"-* ^ J- 9 ' ^ u~ V-^' cr^J V-^' £/* ^1 W
u**^ -/-.> a:e *° ^^ j " ,J c Jj<' A ^y j ** v-/^ u*"^j ^jj
iL ^ J gjM d^ Ls^i ^ ^i A % 'J jm ^c Jb ^ U Jf
J Li) ^ ^J ^e v-f Jj «, vjjLu) U JcuuJ'i j (f. 1 1 1 6 ) iJF0J
Outre le traits analogue do Abdarrahim el-Iraky s ), que Tauteur
a entiereraent incorporG dans son ouvrage, abstraction faite du reste
des citations du Montakhab Kenz-al Ommal 8 ) chez el-Iraky, c'est
snrtout ce dernier ouvrage, qui a M mis a contribution. Au f. 95 6
nous lisons: <ukj L M 1„ju ^\ \ $ Zj jl^J) iJLy £*£>] L»U
Quoiqu'il soit peut-dtre a regretter, que Fauteur ait traits son
sujet intdressant a un point de vue exclusiveraent thtologique, il a
n6aumoins le m6rite d'avoir singulierement facilit6 la tache au futur
historieu du mouvement national des arabes et des nations subju-
gu6es par eux, en rassemblant les nombreuses traditions plus ou
1) C'eBt probablement le J^J) A tjJLj t^Jj jSLi . | ^ jj)
«JL^' «<t»r' <J^ 1 ai se trouve dans la bibl. du Vice-roi, cf, Catal. p. lef.
2) Sur cet abr6go du jM.I_yi) &** do Soyouty consulter H. Kh. II, G15
ot G1C
14 Th^ologib etc.
moins authentiques qui s'y rapportent de prfes on de loin. Les sources
et les sanads sont tonjours indiques d'apres la m6thodc des tradi-
tionistos. Kotre mscr... a 6te come en 1179 par ; *n • ..» . , Wft * ■ ^ b
wlSjj!^' u «^'Jf o„.»^ : ¥^' ei est dans la bib'J. de 1'Institut ci.e-
puis 1845. II pr&ente quelque--. petites lacunes on le copiste n'a pas
r6ussi a dechiii'ror son original,'
L On
N> 24. leWxl'i. 10B t 14 1.
Une partie des livros des Druzes, et noiamment celle qui a 6te
d6crito par S. de Sacy, Expose de la rel. des Druses I, CCCCXCVI-
DXIV, d'apres lo rascr. de la Bodleiana. Notre mscr. ne contient
du reste que les A?. 8 (LXXVIII)— 10 (LXXX) et 12(LXXXII)—
43 (CXXIII). II manque les Is 1—7 (LXXI— LXXVII), de indme
que le J& 11 (LXXXI ■****» U J oj m*^) du mscr. d'Oxford.
LTordre dans lequel se suivent les trails dans notre mscr. dtant
absolument le mfime que celui du mscr. pr6cit6, je crois pouvoir mo
dispenser de leur 6num6ration, d'autant plus qu'ils se trouvent aussi
dans le Catal. Mus. Br. p. 524 V- Bonne copie avec toutes les
voyelles, ex&utee, k ce qu'il parait, dans lo 9° ou 10° siecle.
HISTOIRE et GtOGRAPHfE.
29.
■JIB 111. 20 l /2 X IB. 210 f. 22 et 23 1.
;-' = .. ; Ji^iji
Abrege" d'histoire universelle jusqu'a Pan 227 par Abou Hanffa
Ahmed b. Daoud al-Dtnawfri, mort d'apres 1'indication la plus
probable en 282 2 ). Cf.sur l'auteur le Fihrist, 6d. Flflgel-Roediger
1) Ce mscr. omet le JI6 81 (CI) de deSacy.
2) Je me propose de publier cet ouvrage, que j'ai copi6 depuis 2 ans. Je me
bornerai done ici a donner une courte description de notre mscr., en reservant
toutes les discussions aur la vie et les ouvrages de l'auteur a la preface de l'edition.
HlSTOIBB. 1 5
I, 78 et II, 40 ad. h. 1. 5 et les ouvrages y cites; S. do Sacy, Rel. de
l'Eg. 64 et 78, Steinsohneider, Z. D. M. G. XXIV, 378 et Le-
clerc, Hist, de la medecine arabe, Paris 1876, t. I, 298.
L'auteur commence ainsi: J,e djyl 1^ ., -.JUI) <^. t yj j«,il
x ^1 (j| ^^1 jUiab JJI J*>j ^5 Uas CjiJjfjt ^J.UJ «yjl tUi-j
uV' ^ U^ 9 ^ J^tf* U^j sj [?_/^ ««>.? U'-» p &> <&****> u"
L'histoire anoienne, racontee d'apres le systeme general des an-
nalistes arabes, occupe les 24 premiers ff.; l'histoire d'Alexandre et
celle des Persans y occupent une place preeminente. Les ff. 24 — 64
sont consacr^s presqu'exclusivement aux Sassanides. An t 64 a on
lit' ^aLo aU) fjyMj ^3%* ^ijj''*" A 'i s •—*** l£<J^' /s«wi cJJS tk j
<lXs JJ) u ^j jC y) cjtliL.lj. C'est tout ce que l'auteur dit du
prophete. 11 passe ensuite & la conqueto de 1'Irak, et donne une
description vive et d&aillee de la bataille de Kadesia et des ren-
contres precedentes, jusqu'au f. 81. L'auteur glisse tres-rapidement
sur le regne d'Othman pour entrer daus les details de celui d'Ali,
dont la guerre et les pourparlers avec Moawia et les Kharidjites sont
racontes d'une maniere tres-detaillee. Ce n'est qu'au f. 122 que l'au-
teur procede & l'expose de l'histoire ulterieure des Onieyades. II s'ar-
r6te presqu'exclusivement aux"faits dont PIrak gtait le theatre, comme
la mort de Hosein, la revolution des Azrakides (f. 148—153) et
Pepisbde de Mokhtar (— f. 1 66). Le reste de l'ouvrage donne un recit
tres-succinct de l'histoire des khalifes depuis Abdalmelikjusqu'aMo-
tasim. II n'y a que Pepisode des menses des Alides, surtout dans le
Khorasan, et la chute des Omeyades qui soient traites plus longuement
(f. 179 — 194). On voit que „les longues traditions'* d'Abou Hanifa
ne sont reollement longues que par rapport a quelques parties, qu'il
traite avec une predilection marquee. Le titre choisi par l'auteur se
rapporte probablement a la maniere du recit, qui n'est pas celle des
traditionnistes, oft tres-souvent a'u bout d'un tres-long „sanad" ne
se trouve qu'un fait bien mince. Notre auteur ne donne jamais un
^sanad" complet, et no cite que tres-rarement sos autorites, parmi
1 6 HlBTOIRE.
lesquelles on reraarque 1'historien al-Heitham b. f Adi. Ceci du rest*
est plutOt un d6faut, qu'on lui pardonne uniquomeut parcequ'avec ui
longs w sanad8" il aurait 6t6 trte-embarrasse" pour donner beaucoujr
de renseignements en peu de mots. Quoiqu'il en soil, je n'h6sit<-
point a assigner a notre ouvrage une place tr&s-marquante parmi hi
sources pour l'histoire des deux premiers siecles. Abou Hanifa es.
un des plus anciens historiens arabes, dont les ouvragcs nous soiein
parvenus. Cost la con premier titre a l ! attention des savants. Le se-
cond est qu'il donne des informations pleines d'ini6ret laoti son r6cit
entre dans les details, de sorte que Ton est oblige" de regrettei' vive-
raent que cela ne se repete plus souvent.
Quant a notre mscr., il est reraarquable par sa correction. II est
&rit de deux mains diff&entes: la premiere va jusqu'au f. 80, la se-
conde jusqu'a la fin.'Quelques gloses ainsi que le resume" du contenu
sur le feuillet blanc avant le f. 1 et une note, que je transcrirai tout-
a-1'heure, sur le dernier feuillet blanc (qui n'est pas paging, provien-
nent, a ce qu'il parait, d'une troisieme main. La souscription porte
ce qui-.suit:>j»,«Utf j^^l ji^^^l SMl <dJj j^t v L£jJ J
^u*s. <UJi J***.) dJi *$***) j dJJJ iLc _ji&\ k±? |»^| dJL» J'«i. j$~
jsh U» J»a u a»LiJ| J jL (I. ^^aaJI ?) ^jAArfuJj j^L-fi >j> .... (' -ji
cAtlAlj qsJLAI ^4^ a i^^j <J ai)/. A c6te" sur la marge:
^jlsu <uJ) L, ijj ^ s dJ* J»lJ) aLcU aLLl© jL
Le mscr. est done collationne avec son original. Celui-ci de son
cote" e"tait transcrit, comme nous le dit la note pr&itee sur le dernier
feuillet, d'une copie ancienne, faite par un savant de premier ordre
en 655. Voici la note: ii 4 ^ -**> £j#l £*"*> -j* is"*dj 0fc > C-iw
^jjj**^! irJ) //®y»5 a!s«^ Ip^I ^j Lfjir ^^ jij Jail Axjs
1) Je n'ai pas d6chiffr6 d'une maui6re satisftuaante le mom, 1'ceriture 6tant
tr&s-lige.
HlSTOIRE. ] 7
^ ^ ^ j c LL^ ^ j c ju : ^ | J>oL ^..^ ^_^
(SIC) J-.J A*K«j J I Jcj
Omar b. Ahmed b. Hibefcallah, plus connu sous les noms de Ke-
maleddin et Ibn-al-Adim, le c616bre historien d'Alep, jouissait en
outre en orient de Ja imputation do copiste conscioncieux; voir al-
Kotobi, Fawat al-Wafayat, 6d. du Caire II, 126 sq. On comprend
ailment qu'une copie sortaut de la plume d'tm tol horajne doive
inciter pleino confianco. Quoique notre mscr. n'appartienne qu'fc la
troisi&me gyration, en considtat comme souche le manuscrit de
Kemaleddin, on remarque partout qu'il remonte a un bon original.
II n'est pas sans fautes, cela va sans diro, surtout dans les noms
propres persans, mais je crois qu'une edition bas6e sur ce mscr.
unique ne serait pas trop risqnee. II n'a que deux inconvements:
les points diacritiques sont souvent omis, surtout dans la 2° partie,
ot ensuite une certaine incertitude dans les traits, qui rend le plus
souvent impossible la distinction de ir . de Jt ^, J^ de J^i,
^ de ^^, et de liaisons semblables; on dirait que c'est 1 'denture
d'un vieillard a la main tremblante. Le mscr. faisait partie de la
collection Italinski, et M. de Hammer en a fait mention le premier
dans une de ses lettres d'ltalie (v. Biblioteca italiana, vol. 49, p. 16).
Plus tard feu Fraehn et M. Dorn l'ont consults et cite - occasionel-
lement. Le chap, qui traite de la chute des Omeyades a ete piiblie
par M. Guirgas et moi dans notre # Hobjut apadcKas xpecTOMaTia",
Cno\ 1875, p. 195— 22J.
Je finis en donnant les derniers mots.de 1'ouvTage: ( ^A\ oL,
£~ ii- J,Vl ^j ^ j* <^ iU Zjle ,jj»y u ^i\ ryi wi
^ sjh» 41)' «*j ^ jf J+\ kk^ J da*. L Je JI,IJJ ji±$]
II n'existe pas d 'autre copie de cet ouvrage, a ce que je sache, dans
les bibl. de TEurope.
HlBTOIEE.
cm
m 110, 20 l / 2 X 13 s / 2 . 209 f. 21 1.
! i!
UdJ wtlJ
Par Ifep lolelllf. f 2? 6. Bonne copio collationneo. II manqufe
quelques ff. a la fin. Le mscr, finit a la p. 328 1. 1 5 do 'Sedition
de.M. Wtistenfeld aux mote LjXs^ ^'U «jLJ ^J ^Je I^.Jr<>
If^s- ,.. II j a quelques gioses marginales qui ne Bont pas sans
Taieur. Bcriture nestaalik. Peu ancien. Bibl. Italinski.
N° 97. 32 X 22. 428 f. 81 1.
-/*'$.' (JjLb*^ t,^jJ' p»_/-°
Par filasouiJi f 345. Ccpte en 1148. Bibl. Italinski.
JV» 96. 29 X 20. 432 f. 31— 86 1.
le me-Iilti. Copie peu ancienno. Bibl. Italinski.
33.
JVl 95. 307.JX22. 874 f. 29 1.
Le mftnie. ' 06]n6 ; en 1123. L'6oriture est tre's-laide et gros-
sifere, mais le mscr. parait en g&i6ral plus correct que lee presents.
II a en outre une certaine importance parcequ'il s'accorde le plus
souvent avec le mscr. D. de l'6dition de Paris, autant que j'ai pu
ra'en convaincre en comparant avec ce rascr. quelques passages de
l'6dition ou les traits caract6ristiques du mscr. D. se pr6sentent le
plus claireraent. Le mscr. a malhei»^' in ement quelques petites la-
cunes. Bibl. Italinski.
34. ■.■
J*' 115. 25X15. 118 f. 27 1.
L'histoire de Mahmoud le Gaznevide par Ab©H Na^r Mohaoi-
i ■ al'Otbl . t c. 427 l ). Copi6 en 1 1 52 par jj-1 j* ^*» ti.l
1) Gatal. Mus. Br., p. 551.
HlSTOIRE. 1 9
Ecriture trts-flne, mais tr&s- soignee. Larges marges couvertes do
gloses, tiroes du commentaire de Manini et ajoutees au mscr. en
1188 par ^l^ ^*J j^ sur lequel cf. Hammer, Gesch. d. Osm.
Pest. 1833. Yin, 442. Bibl. Italinski.
JI6 116. 20V 2 X15%. 892 f. 39 1.
Commentaire sur Fouvrage pr6c6dent par Afimed b. All b. Omar
al-Odaw! al-Dimlsbki, connu sous le nom de al-fflaoiGf , qui le com-
posa en 1144—47. Sur ce commentaire ainsi que sur Fouvrage
comment cf. Flflgel, Wiener Hdschr. II, p. 171 sqq., et les ouvragee
y cite*. Souscription: QJLt * jLfj j[f s JU «u,l ^ J;ij jU
£**., i-iJljf l»LJS J«^4^1 I^Jj J^ ^ ^ ^J
Ces mots, 6crits de la m&ne main que tout le mscr., pourraient
faire supposer que c'est l'autographe de 1'auteur, n'<5tait la forraule
4lll *+j apres les mots JJjlJ Jli, qui s'y oppose. II est done plus
probable que notre copie a m execute d'aprfcs un exemplaire auto-
graphe, qui portait la souscription pr6cit6e. Ecriture tres-fme. Bibl.
Italinski.
36.
J6 416. 22X17. 147 f. 20 1.
oJJtjl « Ljf i«-J ^jiMj ^U-ij fjyjij Ljx* r
„Mscr. achete au Caire par Vansleb 2 piast." J Jf* l#Jb ^j& w
O'ost ce qu'on lit sur le frontispice, et le mscr. est en effet uno
<>*
20 HlSTOIRE.
copie, faite par le sheikh Tantawi, du Mscr. J!§ 849 de la Bib]. Natio-
nale (cf. Catal. Cod. Mscr. Bibl. reg. Par. 1 739. 1 1, p. 1 90). L'auteur
de cette inttiressante histoire de Djolaleddin Khorezmshah , Kloliam-
Did b. Ahmed b. All b, Riohainined al-IMouuslil al-N&awl w ^il
ijj^il, remplissait le poste de secretaire de Djelaleddin el cora-
posa l'ouvrago en G39. Voir d'Ohsson, Histoid des Mongols,
La Have ot Amsterdam 1834, t. I. XII sq.: R. Kb, III. "040
a ime \^*)Jjk .j^dl J')L ^^ qui est probablement le mfimo
ouvrage. La copie a 6t6 executee en 1259 (1843). Dans une note
arabe sur la derniere page le sheikh Tantawi dit, qu'ayant vu dans
la Bibl. do I'lnst. or. im mscr. de poesies choisies de Motenebbi,
6crit par un de ses amis, il rfeolut que iui aussi serait repr6sont6
dans la bibliothfeque par une copie autographe. Puis il continue:
U*»c*j {j**.}*} e J#J <JjLc y»^ («s^.i Ij^aHy lJ)^»L .^o a.j^
37.
A; 106. 26'/ a X20. 114 f. 27 1.
Par Gr^gorlus Abou-1-FaradJ f 685. Copi6 en 1014. Col-
lation^. Bibl. Suchtelcn.
38.
JV: 182. 29'/ 2 X19. 626 f. 29 1.
(jLe^J/ (.IaJ <;Ljlj jjLeiU «JjLi^
Par !bn Eliallikail f 681. Copi6 en 988. CollationneVBibl.
Italinski.
1) M, Deunmison.
HlSTOIEE. 21
39.
As 131. 29X18y 8 , 407 f. 89 1.
Le mfime, pr&6d6 de la table et suivi d'une notice biographique
sur l'auteur. Oopi6 en 1061 par J^JLJi ^ ^jj| ~*.
Lesff. 129—269 sont interposes, Bibl. Italinski.
40.
A* 180. 29X20. 204 f. 81—82 1.
La biographie de Mohammed par Ifeo Seyyld a! - Nils f 734
(lSl/**JJ tr^ 1 ^4- j^ «U1* w^ ^ j.*) j, jj ^ j.j -aJ| ^|)
Le titre bd est dans la plupart des mscr. ^j,lill j,** jjW 0r *
^'ij JSUJIj. Cf. sur Fouvrage et l'auteur Oatal. Mus. Br.
p. 171 6 et 771 ad. h. 1., Catal. Lugd. V, 196 et al-Kotobi, II,
211-14. Oojrift-en- 1084 par ■ ^±1} <jJJUJ j-d'ja! *uiJj ^1
a-jj^I oU^lii ^Jc^j .UiL pour Hasan Aga al-Hamawi. Bibl.
Italinski. : ■
41.
As 98. 83 X 22. 702 f. 29 1.
Trfcs - belle copie de l'ouvrage justement c&ebre do MakHzi
t 845, faite, d'aprfcs la souscription, pour la bibliothfeque i:|> de
iijty oblLi^ll, i^ll J L J JL i^Uj &U) Jiir-UL ^uu-
4JiL-. xL-L-. Mesih Pasha gouvernait TEgypte de 982—88.
Gf. j Uj2j i.^ i. Bibl. Italinski.
42.
As 122. 21X16. 126 f. 23 1.
U-^J J?-4l JjLiL .Ht}[| ^w
^ L'histoire da temple de Jerusalem traduite par Reynolds en 1 836;
I autenr dans ce mscr. est nomine" Aboil Abdailah MoJiammed b.
22 HlSTOIRE.
Abl-l-abbas Ahmed al-IinlildjS al-Osyouti al-Shaf<&i, ? f J,\ £ s «
<u*uJI iUJJ Jilf (sic) ^L ^<JK Oompos6e on 875. VoirCatal.
Mus. Br. p. 570. Copi6 en 978 par ^>il Xll j* jz pour
le sheikh Mohammed, b. Moh. b. Moh. al-Dooudi al-Mokaddesi , qui
a ajout6 la note suivante: «yj ^ >** f<^ J-»L l*«*% iLli* >L
43.
M 107 22V 2 X 10. 2 vol. BOB -0-244 f. 23 1.
Par Soyouti f 911. Le 1° vol. copic on 1244 par »UJ jLe,
le 2 e en 1245 par le mOme qui y est nomm6 en outre .'^J -J
^iLiJf ^jasLliJJ tCj&M (jlirAuj 'ji
44.
J£ 108. 20X14'/ 2 .. 320 f. 21 I.
Le limine. Copio en 1097 par Abou-1-Iiasan. Voir 1c f. 200°.
45.
JVs 109. 20X16. 378 f. 23 I.
Par fWodJIreddiBB Abderrahman al-Olaiml (ou Alimi?) u JUi
t 927. Publi6 au Cairo on 1283. Notre copio parait-Gtre faite
d'aprfcs 1'autographe de l'autour, car on lit a la fin, apres les dor-
nicrs mots de l'autour, qui so trouvont aussi dans Ted. du Caire, ce
qui suit: ^ ^AJl U ^J\ ^ ^ j l^,Lf ^ l„J r ^ li^
fOLJI itCi ^c (sic) LfXao^D d_-jl„auJ^ ■ /**^1 **« o^/i^l cS^^
M J' W,l ^ L^Lb &j. J ^ j^. JUJ U J JlXJj
Ifric t.j^xi i#*«i_, J;* ^J| (sic) IfldL ^^mw J /f«*ii i>le Jj l*j*y
IBTOIRE, 2S
J'omets le L>,>; en prose et en vers, qui ne pr6sente rien d'in-
tfressant, mais j'en roproduis la fin: j* j^*iilJ ^ S\h J Li
J&J .J LLw» LU* Jj..oL *^»iJ C6J_^, ^J ^ r _^ j{ -,,» J^S?
•Jl jm a.Ss J,^ <LjIkJ| i«jjiL iii^jJl o^sH ^ LUuaJj,
4^""' a^^ >-°H" ^"^ tjj^iiJ ^5^l jis-*Jb ^^il ^j ,jA
46.
As 106. 28X16. 807 f. 29 I.
ji J*J ^ y^f Jl* cujl JO*J) juJ.J dJ^ (sic) <wLf oJU
^aXJJj, 4jjjy_, <J>c, ^iij tfitL JL; 4ul <d«lc ^;i/ ^Lf
Ce volume de l'histoire -d'Egypte par Ibfl'AyAs f 6. 930 raconte
les elements de 913—21 et par consequent est l'avant-dernier
de l'ouvrage, qui va jusqu'a 928. ■ Gf. Catal. Mus Br. p. 155, H.
Kh. II, 26 et Weil, G&ch. der Chalifen t. V, prtf. p. VI. On lit au
f. 305 : diJ£._, &^[f Jt Jooj^jr oj}\ J> t>\£ y» JyJJ j\fj
AkLL JL; 4y| aLle ^yii) ( t iJ ^ >l jj j^rf dTj iiky ^
ja^JI (sic) 4i«, ^Lo ^l^il : ^xJ| J^ .^Vl.*^ J ^r^l
Le mscr. neanmoins n'est pas Tautographe de Fauteur, car les
deux derniers feuillets contiennent une ej^J siir les noms dos sul-
9 '
HlSTOIRB.
tens et pashas de I'Egypte /> L^ f J jjj^'j i U (^
Le premier nom est AMoizz Aibek al -Turkoman' et lc dernier
Ahmed Pasha. Oette ardjouza a 6tt finie en Eedjob 1127, ce qui
est, evidemment la date de tout le mser., attendu qu'il „'y a par la
moindre difference entre Future du potoie et celle de I'histoire.
Mais ii est fas-probable que le copiste travaillait sur un autographe
de 1 auteur. Largos marges.
47.
As 117. 20X18. 209 f. 2S1.
rahmao b. All al-llelba' ^ J| f 944. Voir sur 1'auteur Catal.
Mus. Br p. 672 et sur l'ouvrage ibid. p. 715. La kiL (f. 109—
1^1 contient l'autobiographie de 1 'auteur.
2) f J12-206 j^Al L^ j c ^j\ J^| du m6mGt 0ette
continuation qui va jusqu'a 923, commence par les mots <u jj\
u^U ljLu.1 0i jU J R? ^jj,. 0L H> Kh> n> 6L
3) f. 206—9. Une continuation au prudent, qui contient I'his-
toire de 923 a 924. Premiers mots: WJj b^ j^\ Q
J .Uu *j* ,IL dUi) ^ ^J| ^ v l || u
~ u^^ 2 " ^J^r ? 4, y- La *"ges marges. Bibl. Italinski.
Ai 103. 28X18. 570 f. 29 1.
Le texte de cette celebre compilation de Bosein b. Hohammed
b. al-Basan af-DiyMekri f c. 966, connue depuis longtemps en
Europe, a M ptfblrf au Caire en 1 283. Of. pour la literature Catol.
Lugd. V, 197 sq. Copi6 en 101 8 par ^l^iJj ^ ^ J c .
49
A* 102. 80X20. 379 f. 37 1.
Lemftme. Le titre sur le frontispice JI^J j ^^1 *,l;
^rtiJI ^1; cf. Fliigel, Wiener Hdschr. II, 343.Copi6 en
1062 par ^ d&\ ^ } persan, comme le prouve sa souscription en
persan. Collatiorini Bibl. Italinski.
HlSTOIKE. 2B
50.
Jte 92. 80X19. 465 f. 28 1.
-n ^ T" " e / on * iflnt ^ e k d «n»fo* Partie de I'histoire univer-
selle do Hoislafa DJenuflbf f 999, depuis le 39° chap, jusqu'au
V « ' 124 ' dlt > que * 01lt J'ouwage contonait 82 chapp,
et affirme qu'il n'avait pas de titre gpAjial, quoiqu'ii J'ait vu rift
sous celui de >JJ 0U de ^ijl s JSlJl jy J>y , , jj,
Cette derate forme du titre est eonfirnrf par Ntfy Zad<Sh *Atty,
lauteur du ^jUJI ^buiJj J,;* 6d. Constant 1268 p 809*
Of. aussi nagel, W. H. II, 85. Les chapp. Bont les' suivante:'
42) rJ A i-J-UI cr 4^1 ^ J J, J O^ J 43) ij^ys j
f^ s ^ J -A ^ o~ 44) ^yj| o'^^y J
AjLo±y* 45)jJ^y3 j 4«).J-> u ^y J 47) J
cr'^ o-yi 48) iXuVl ^1 Jljjy* J 49) u ^ ^ J
Oi>jl* ^U £,| 50) r ^L U^J i^.^j 51) ^j
o^U ^ iXbV/ 52) >IL jjyi j 63)\UJI ^ y "j
,UI 84) ^ ^ Wvc* ^-/> J 55) ^V J.
uk,*^ O^^X iji-J/ aJ^jJj 56) 4*iUUl iijp 67) «J^
a ^5T^ J| ^jjjj 58) L/>j-ii>b Ljydl iJ >A 59) Jh j
uJ. Ji £l ^ ^ 60) ^LJi 4»y- ^ J*jK J 61)>i j
jU^ uU> iJ^L j^L.^ 62) oUy j^L jT>> j
63) r UI., «J^ ^ ? L J)J> j 64) ^JL i jjOi/JJ yi j
f _Jf ^ 65) r JL j^L Jl>i> j 66) Lj j* Ji j
tsJb >% i>« 4/. 67) i^LujJyll *yi| y j 68)_/i j
e,y £l>L 69) e ^ okA ^ft J 70) OJCII /ij
lkj^I 71) jjjL u^«/->^ ^J uI*»j>I •£)> _,A j
^8 Hibtolue.
72) ^)Ji Jk, ^ J> J 78) U> M^ (jt^J* J,
74) ^ji^l juai ^% ^ ^ jf> j mj, j
C C/U JUU 76) jjUiS CijL^,i;Uj ilyL^G J 77) Jl J
uM> h jv^Jjj k» iJ^L© 4XAJ! il,jJ| 78) jooJ t£iU /i , i
oi^J cJi-U^ 79) J LA 1 1 a Vj) J, & j; e )l ILL J*mJ* J 80) J
OW) a'U ~J J*yi 8i) j.^ o^syi j 82) ^UL^yi j
d^t 5 88)j*UJ* (sic) &ij,j)!^r.S j 84) L.i[±+jl\ jfs J 85) J
L' original arabe parait 6tre assez rare en Europe. II se trouve
k Oxford, cf. Uri p. 150, Sur la traduction turque cf. Flugel, W.
H. II, p. 85 — 87. Leg 2 premiers ff. contiennent: y J+1 (jig
_,««• J^LL*j Q^Ldl y»jk> ^Ja&j Jl^J. Le premier en est Ahmed
ibn Touloun.
Le copiste nous dit dans une tr&s-longue note finale^ forite en prose
rimto, qu'il a copte cet exemplaire pour 1'auteur mfime (aJ^c f ~j>)
Moustapha Efendi, fils de feu l'6mir Hasan Efendi. 11 fait 1'eloge de
tous les deux en termes tr&s-pompeux et conclut avec les mots sui-
vants: (?)^e q> Jji njf^ JLJI &\j\ j,Xo UsiLj (sic) ££"** &J& «
«OyJ £jj\«» ills,® Jle &i (SLjj iJL>jk)\ J/.I iJUaJI o J^j "jo <4Jj) diiaJ
Au-dessus du chronogramme on lit les chifires suivants; i^ivr
lr*i*ii*vioAlMi. Ces chiffres ne s'aecordent en aucune raaniere avec
les lettres; mais les lettres du chronogr., qui donnent en r6sultat
Tan 1026, ne s'aecordent pas davantage avec les dates biographiques
sur 1'auteur, lequel ne pouvait guere commander des copies en 1026,
attendu qu'il mourut en 999. BibL Italinski.
1) Jusqu'ii 998.
Histoisb. 27
51.
AS 120. 20'/ 2 XU. 98 f, 23 1.
On lit sur le titre: u *Jl ^UJ v Ur .^ (sic) ^ .jj 0>
o* <*"** j>^ d>jr> J^^J) JUI ciJb^iiLJI isWj^Uij ipp
i-^UJI r Ju) - ; , ^\ Jt j\ u^ ^uj ^j ^ ^ tljj jLp
^^Uiil ^niLLl) ij uy; ^jM j[^
Notre extrait s Jj confront uno liistoire concise, mais trfes-utile,
dcs juges do Damas jusqu'en 909. L'ouvrage original n'6tait pas
connu do H. Kh. ot no so trouve mentions a ce que jo sache dans
aucun catalogue des bibl.d'Europo. L'aufcour Slterefeddffi igousa al-
AliC&rl naquit scion M. Ahlwardt, Vcrzoichniss. arab. Hdschr d k
Bibl. zu Berlin, JV° 11 99 en 946 et mourut en 999. La premiere de
ces dates est confirm^ par le f. 97 6 de notre mscr., oft nous lisons
qu'en 999 raourut la soeur de l'autour, Fatima. Elle avait, dit-i],
62 ans environ ot etait plus agee que lui de 10 ans. Ce dernier par
consequent 6tait no en 947 approximativement. Notre mscr. com-
mence: ^;Jj, ljl oLj ^J r ),J| ^L ^r^jjj ^ jj)
£\ ilii. Le premier cadhi de Damas fut Abou Dorda, le dernier
Mohammed Efl'ondi, nomme en 998. Copi6 en 1197 par Jf j^
J^ I f**\ pour Abderrahman Bog, cadhi do Damas.
52.
Al' 100. 25X 16. 465 f. 23 1.; ff. 1-9: 25 1.
Abrog-6 d'histoiro univorselle par 'Ahmed b. Yoosof b. hhm%$
al-KaiaiH&ni f 1019. Le texte do ce livro tres-connu se trouve
iuaprnn6 sur les marges de l'Mition egyptienne de Ibn al-Athir
Copifi en 1038 par ^J ^ ^ f Ul.^l ^ j>U\ ^
pour ^j, ^Jj^\ lyg-yi j*e ^ kbj ^ iAj u Jj) _^,
JUI V UL is^d)^ ^UJI. Largos marges; il y a quelques lacunos
rost&s en blanc. Bibl. Italinski.
28 HlSTOIRE.
J£ 99. 29)(20. 289 f. 25 1.
Le mime. Oopi6 en 107? a Erzeroum par (T)^iJ>Ji% jt J**.
Bibl. Italinski.
54,
JIB 101. 20V 2 Xl8 l / 2 . 496 f. 26 1,
k limine. Copte on 1157 par (9)^1 Je_^ ( - f . ^,Uc ^ ^
uV^ lj^ u -^'Ji- Bibl. Suchtelen.
a) »
J£ 119. 19XH. 61 f. 23 1.
^L^LJjj P Uli) ^ ^t^.^Jj j* ■gjl; j jj J;Ul d0p
Par Mar i ^ b. Yousof al-Hanbals al-Hokaddesl f 1 033 ').
Of. Aumer J\6 395. Souscription : £,UI jj* jJU; ^ AjA\ ' ^\f
o^laJI v !yl j JiJJI ^il iij, j a^jjl aIj» ^ ^;fj tjJlj
-** lts^ *ij"& jLj) yij*j lJjM jlji U ^ J \Sl s \j
j^\ (sic) J ^ L J c <jul_g J.,«JI j« U*J) J-iL ^^ ^ a^J)
*UJJ _,L (sic) y l ^j^'^jji*! ^T^) \Si rs bj^ w ^Jj,
^J d^Ls^ ? j^s*? A^a. cwi AiCl^. Bonne copie. Autographe?
Bibl. Italinski.
56.
Jte 127. 21XlB l / 2 . 120 f. 19— 20 1.
C'est 1'histoire abr6g6e des souverains et gouverneurs de l'Egypte
composite en 1032 par Mohammed b. - AMaJino'ti J^\ j^ al-
1) Cette date donned par H. Kh. est confirmee par Mohibbi IV, 361. Le meme
donne en outre la liste des autres ouvrages de Pauteur.
Histoike. 29
Isb&kl al-IHanoufl, laquelle sous lo titre ^ j J^J ^Lj ^\.l
jyj'i) vvj' {j* j«** jj <<j_j«»* se trouvo dans plusieurs biblio-
thfeques; cf. Br. Mus. p. 571; Holler J!6 367; Filial II, 152; Cat
Lugd. V, p. 205 etc. La Bodleiana on possfede un oxemplairo sous
le infiine titre quo le nOtre, v. Nicoll-Puscy p. 597 ad. I, 184.
Copi6 en 1070 par kLU j« JiL I, J - r JJi, ji <UJ ! jue
^— ^ cr crM> ? our err- «-*W- o^->n^ ^~ /^' >->>
a) * o
Jtt 114. 80X19'/,. 428 f 33 2.
iff C/^' O^ Jij^-i ^i^m'Jl J ^JJJ J^e j* jliii c jij
On pourrait croire d'apres co titro que le mscr. est incoraplot.
II contient bien cependant touto ]a seconde partio do l'ouvrage de
Makkarl f 1041, c.-a-d. cello qui traito du vizir Ibn al-Khatib.
Le titre est do la main du possesseur. Le premier f. commence par
£> jij^ i±ijd\ j v UO „ jUf ajjl, et le v UTJj so
rapporte 6videmment a l'ouvrage entier. II suffit du reste do feuil-
leter le mscr. pour se convaincre qu'il contient les 8 chapp., qui com-
posent cette partie de l'ouvrage et que Ton trouve 6num6r6s dans
la preface de l'6d. de Leyde, p. VII, note 2. Le mscr. est 6crit
de 4 mains .difT6rontes: 1) f. 1—59, 2) f. 60— 148, 3) f 149—
378 et 390-428, i) f. 379-3S9. La troisi6.no main qui, comme
on le voit, a execute la plus grando partie, est, d'aprte la souscrip-
tion cello do «ui' J»e jt *L^ qui terraina la copie on 11 OJ.
Plus tard, en 1 143, notre copie ainsi que le l or vol. do l'ouvrage
fut acquise par Ahinod b. Mohammed al-Hamavvi, lo copiste v-LJi,
domicilii a Damas, qui s'en servait comme base pour pi usieurs copies!
La septteme, demure mentioning a 6t6 finie en 1145. Cot Ahmed
b. Mohammed al-Hamawi est le mGme qui a copi6 le mscr. do Leyde,
cf. I'Sdition citee, pr6f. X, mais notre copie, ayant 6t6 achetee par lo
copisto en 1143, ne pouvait naturollemont lui servir do baso pour ,
celle de Leyde. Les faits indiqu&s r6sultont de nombrcusos notes
ajouttos au premier, dernier et autros lT. Jo transcrirai quolquosiines
de ces notes: f. 1. Ju; ^f J ^Jj ^ j v Uai JJ, J^
HlSTOXRE.
U
Un peu plus bas: j/jil A,UI J a*^UJ ojj Jt A i^i ULc^
La septifeme copio: £**>d\ r^.» A&.LJJ ^J.) j$ &i^-i U^J J
io^lil 4JJI jua AwLJ) j*"-*J| as^i, (t, jiff.,* aj, M )!,,,,.•:.. . ^ . , J\JL
^*J l|Ls L jm.t VS. De pareilles notes se retrouvent a la fin des
^— LA» ainsi qu'a la fin du mscr.; je n'en transcrirai que la derni&re:
^UJ 4ijl ^i^Aaail <uXJ_jj dJU /^jJ) *y;» Jl L/^tj L*a1mJ J^-.? Ob^SJ
^) J 4jyl>e *LsJ| ^jUj,.> «~LJJ ^^*atj j^s? ^> j^j. Bibl. Ital.
, 58.
& 118. 19V,X12 ! / 2 . 208 f. 19-21 1. les derniers ff. jusqu'il 26 1,
Par flohammed b. Yousof al-Hallak ' $X\. Histoire de
FEgypte, divis6e en une preface et 4 chapp. JjLi^fi <J 4*jsl)
a' -'•°- crJ «J v'^' a* ^' Ja ^ L ^i j* j*'* <J ?) j*J-»^
Le quatrifeme chap, occnpe plus de la moiti6de Touyrage (f. 103
■HrsToiBE. 31
—208). Un ^ao.X^U en langue turquo du mSme auteur se trouve
k Vienne, mais i] parait que cot ouvrage n'est pas identique avec le
nOtre. Voir Pliig-el II, 161; II. Kh. VI, 539. Notre mser. est in-
complet; il finit a l'an 1128 avec les mots: $J >, S.h j*^
Premiers mots: ^> ^Jj| v JyJJ ^iif ^Jj .Jj\ <0 jj\
l\ u ^l\ f ,LJl J f t\ .j) V UL ,)_,. L j c ^ UL
II ne pout du reste manquor que quelques louillets. Bibl. Ital.
59.
As 123. 19 V, X 18%. 70 f. 16 1.
Abrege d'histoire universelle par Abou-1-lHaliAmid Abdal 'altm
iohaniiiicd Said, suraomme' SlicSirizadels '), compost en 1173 en
moins de 20 jours. l/auteur 6nuniere dans une longue preface les
livres historiques qu'il a consults et dit en avoir tire* un grand ou-
vrage intitule jLd\ s gjy.\\ ^b J jUIJ 5>. Notre abregg
est destine a former une sorte d'index a cet ouvrage. II contient une
preface e LiVj ^li* jLl j, le j^iu, qui traite u ;JJ Jjjl J
-z^^' IJp j U/i O^lil, la <uU, consacree a ijUjJ dJ^Jj
l w J-*:. LjJJ U L ^U; et uno <UJ: l^i jJJ J^JJ 6 LJ J
Ajl-yJI e> J o/i L_, ^XJJ jj. Au f, 65 on trouve uno courte
autobiographic, de laquelle il r&ulte que 1 'auteur naquit en 1143,
sulvie de la liste de ses ouvrages achieves et commences, qui occup9
3 pages. Note finale: ^\ Ml ^ J ^ ju.Ji Uly JU
Z)J U JU o^jj jj^jij _^«^il jua« J e i? JiJj j^e ji^lsJl ^,j
tetMO J
1) Ua autre de sea ouvrages se trouve & Vienne, Flugel II, 408.
32 HlBTOIRE.
tjilj k,L s y**»~j Cii'. Premiers mots: ijUlj sj^ ^ 4jy J^J
w/^LbJj jjir il asj^j & f ij$j &.- s %,^ J d j&b s jj L
g\ .j^l$ £j>dlj ^5jUil S! . Autographe. Bibl. Italinski.
GO.
As 128. 8 volumes.
1) 22V Z X15. 484 f. 23 1.
2) 23V S .X 16. 883 f 23 1.
3) 23V 2 Xi6. 334 f. 27 1.
jUVJj r J^:J) j^UVl ^VuLi"
Histoire de l'Egypte jusqu'a l'an 1220 par Abderrahman b.
Hasan al-DJabarti t 1241. Le vol. 1 qui va jnsqu'fc 1189 est
copi6 en 1259. Note finale: >J^\ e > ^U J^ ^ L il.. ^
i,*il t^isP^J) 1^01 .i^. Vol. 2, copi6 en 1262 par <jUL
<j 7 ^J) i*^L contient les ann&s 1190—1211 et le vol. 3 celles
de 1213—20. Ce vol. est d'une Venture plus fine. Cf. Catal. Mus.
Br. p. 682 et avant tout Dorn, Drei Astronomische Instrum., St-
*). 1865, p. 72—74. Don do M. Timoftyof.
61.
As 126 20X16. 118 f. 21 1.
Histoire do mont Llban et des 6mirs Beni Shihab de 1 109 —
121 5. C'est le m&ue ouvrage que d^crit copieuseraent M. Tornberg
dans la Ztschrift d. d. morgenl. Ges. V, BOO— 507. Notre mscr.
finit comme celiii de Lund avec le testament de Louis XVI. L'au-
teur -n'qst pas nomme\ Serait-ce Tannous Shidyak? Cf. Z. D. M. G.
Ill, 121 et V, 483.
62..
As 125, 23XH. 126 f 16 1.
Sans titre et sans fin. Le 1" feuillet contient une g6n&logie
des emirs du Liban, savoir des princes ' Benl Me et AI-ShibAb.
HlBTOIRE. go
Elle commence: ^ *Ls ^ • li, ^j ^ ^ wl#A ^^ ^
£' fjj» et va jusqji'i l'an 254, Aprts ce feuillet il y a une la-
cune; le 2° nous conduit on plein 568: jl ^ J& ^ ^ ^ ^
Le recit est extremement succinct jusqu'a Tan 1109 (f 20 a ) ou
s'tteignit la branche des Beni Man, Les ff. 20—126 sont con-
sacres a l'histoire des Shihabites jusqu'a l'an 1234, La premiere
partie de cet ourage parait 6tre un cxtrail du livre de l'emir Heidor
dont parte Eli Smith, Z. D..M. G. Ill, 1 23, tandis que le reste pour-
rait bien etre l'histoire des princes Shihabites du mflme auteur- la-
quelle d'aprta M. Smith, finit a Tan 1235 de Ph. Notre mscr. finit au
mihou d'une phrase. Derniers mots: J U)\ y - ,L J U, . . .
OL, Ul %l ^^i&l; (sic) i^, j ^ ^ j r j^ ^
63,
JI6 121. 23X19. 26 f. 14 1.
,Morceau tire de l'histoire des rois de l'Egypte intitulee jU^)
CjUJ) M3L jUl i j j[Ji par io^mmed Scbaif bi
Ecritore europeenne. Larges marges. II s'y trouve quelques
notices tiroes des meilleurs historiens du Maghrib; d'autres prouvent
quo le copiste avait visits' lni-m6me le Maghrib. Le „morceau« est
le lnfime que celui qui est decrit par Flugel, W. H. II, 142 et 143
J6 911 et 912. Sur Schatibi v. encore S. de Sacy, Not. et Extraits
II, 124 sqq.
64.
A* 46. 40y 2 X29. 216 f. 26 1.
k m^ isEwSsi1 + 682 > ^ ui ^t noinme dans ce mscr. gafeariya
D. Mofeainmed b.Maamoud. II parait contenir la 2° Edition de l'ou-
vrage. Voir la pr6face do M. Wiistenfeld p. VII- VIII. Excellente
cojne, d'une trts-belle 6criture et avec beaucoup d'illustrations. Uue
Jwiined-iinf.-aprt8f.-218. Sans date, mais Svidemment ancienne.
Elle remonte, je crois, au 8° siecle. Bibl. Italinski.
84- Gosmogiupbie.
& 9a. 32 }> 20, 281 f. 26 1.
sUtsJI jl^lj- i l )iJ! jiil
Par k iifflSiM5 ( Bonne copie terming on 7S0. On lit a la fin:
f-?^ cj ^^ „f«--'^ AJ^i* ^JU^ '^" -/"*" tJ>>=W> i>**® /k 1 •s^fi*«'-3
o^«ul Let igr^ ^ v^Ui .^^j ji^, Lo copiste est done le mSme
que celui du mscr. Lee (Orient. Mscrpts, purchased in Turkey. 1 840,
p. 26 JB 69), qui est dgsigne' par M. Wiistenfeld par 6. Voir la pre-
face au t, II, p. VI. Ce mscr. a appartenu en 748 a jAj j» le
ji) a Tebriz. Bibl. Italinski.
As 112. 19X14. 91 f. 28 1.
t^tl^mJ) OkJiJ^j fe^U**/ ©J.J_p
Par .Omar- Ibn Jtl-Wardl, qui le composa en 822. Of. Catal.
Mus. Br. p. 611. Le mscr. offre beaucoup de lacunes. Les derniers
3 pages contiennent quelques po6sies tir6es du ^^J) ^^j et 2
lettres du copisto a un AJ2l *&. Copte en 972 par jtjil ©U
(sic) &*% oLCUlL j^iJ
67.
JVs 118. 17>/»X18. 198 f. 17 1.
le ndioe, copte en 988. Les appendices sont les monies que
dans le mscr. de Munich, Aumer J6 461. Bibl. Suchtelen.
68.
•J\6 104. 20*/ 2 X167 2 . 282 f. 21 1.
Par Ibn lyls t c 980. Copi6.par /j|Ul j^tf jj Je en 1007
sur Fautographe de Pauteur. Bibl. Italinski.
Geographie. 35
J\f«94. 21X16. 153 f. 25 1.
Par Mohammed SipAblzadl, f 997. Cf. Dorn, Caspia, 167
169. Copie en 109? par 411 J j^ %, Mauvaise copie.
M» 124. 21X15V 2 . 511 f, 21 1.
Voyages de MaearillS dans la Turquie et la Russie de 1662—
59, dfcrits par Farchidiacre Paul d'Alep. Of. Belfour, the travels
of Macarius etc. London 1829—34. Co#6 en 1847 par j, U.
\ POfiSlE, ANTHOLOGIES, "C0NTE8.
. \ ■ 71.
J&.202. 24X17. 183 f. 17 ].
\ Par\al-ZaQDzani t 486. Larges marges. Copie moderne,
^178. 22X13. 77 f. 81 1. \
Contient: 1) Le meme commeiitalre sur les Moallakat.
\ 2), f. 54 6 . Aj„^«il aj^^ftaJI
Par NesilW&e b. Sa'fd af-HSmyarl f 573, avec le commentaire
du mtaie auteur. La kacida aussi bien que le commentaire sont
connus grace aux deux travaux de M. de Kremer „Ueber die sddara-
b%he Sage«, Lpzg. 1866 et „Die himyarische Kasside". Lpzg.1865.
Of.\Ahlwardt, Yerz. arab.,Hdschr. Xt 344.
\ 8*
86 PO^BIE.
3) f. 7! a — 72 . Dix-huit pieces pour la plupart courtes de al-
ifeansl. Cos pieces commencont par les vers suivants 1 ):
1 (8v.) l^JL^ ^J) ^^ij ^J ,, i^j L^i .si^j ^ ^
2 (3V.) Mjjpjlclri^lj* * J r „^ t; (J Ufj LU yiw
8 (7t.) uU?JU>-^ t .UJ jLCJ * cJ Ji. Js^L^JJ ^1
4 (10 y.) «-*-»?) 4-UJ/ t /U ? * ,_fUf r JUU>- «^J
7(13v.)«j-X" u!>M £* ^ -i^ * u— ' cr^ -A^ 1 Kjhhji
9 (4 v.) J4*ts J^ ^ ^ Jsj * [^^ ^ *$ ^J L^ ]\
10 (8 V.) Jl^e/ ,Uj «^*«d o^c_j, * Jl^iSUA^jj^i^^BL
11 (7 v.) tfj *i s U CjjL *i> V * jU- Ul U.*sL- J L U
12 (7 t.) wyjL« tSlLJ/ ^j jjjj ^ t ^XL^dlUfcojj^^/^fi L
13 (5 v.) L^> Li- J^ f Lc Jf * LO* jlj, V o^ll IjJ L.
14 (4 v.) ^J oli \ Jr \ ^ % * f fj^ 0j £j fl ^JL u j^
is (6 v.) j^ J ^ i Jjk .l jj^ » ^/^i ^^ ^ ^ g
18 (9 v.) V J, L»*L f | 0>ft UJJ » ^X^ U| U vSLd JL L
Vu la rarett excessive dii divan de la poStesse b&louine 2 ), cette
petite collection (153 v.), quelque raauvais que soit parfois letexte,
acquiert une certaine valeur. On lit -4. ia fin: -te^) j <u^ U ;
1. 1. Jfc 88.
II 5 w»i^?! e »* t0Ut68 leB faute8 et 8an6 AJouter les points tfiacritiqueB.
?8B ' Be,tra 8 e ,«V K en«tu. der Poegie etc. 152 8 qq. et Ahlwardt,
POEBIE. 3?
4) f. 73 e — 77. Notices zur Imrolkeis, Tarafa, Motalammie et
Lebid, une pike (1 6 v.) de Farazdak qui commence
une kacida de Nabigha (6d. Ahlwardt, App. Jlls 26), la kacida «uL
iL- et les deux Lamiyyas.
Le tout est 6crit d'une seule main. Ecriture tres-fine. Les vers
tres-souvent sans alin6as. La copie est assez mauvaise. Sans date.
Peu ancienne.
73.
J\&203. 24X17. 68 f. 23 1.
Vies d'Imrolkeis, Zoheir, Antara, Lebid, Motelammis, al-Harith
et Amr b. Kolthoum, tiroes du Kitab-al-aghani. Copie moderne.
74.
Jfc 172. 29X19- 181 f.
Le divan de al-Akhtftl, riwayet de Abou Abdallah Mohammed b.
al-Abbas al-Yflztdl f 313 d'apres ai-Soukkari f 275, qui le tenait
de Mohammed b. Habib, qui le tenait de Ion al-Arabi f 231.
Le divan contient 133 pieces de vers, rangers sans ordre apparent,
si ce n'est qu'en general les pieces longues sont placets avant les
courtes. Le commentaire est un peu maigre. Notre exemplaire est
le seul connu jusqu'ici et presente par consequent une tres^-grande
valeur. Ajoutez a cela que le mscr. est assez ancien, qu'il a presque
tous les points diacritiques, qu'il est copieusement vocalise* et que
le texte est gene>alement correct. Le 1 f. et le dernier sont endom-
mages. Tout le mscr. est use* et un peu rong6 aux marges, mais
les vers et le commentaire sont presque toujours parfaitement lisibles.
L'age du mscr. ne peut-6tre determine" qu'approximativement.
Je crois qu'il remonte au 7 8 siecle de l'h. On lit sur le verso du
f. 1. la note suivante: (?)^*»*» sj» Q. . ■ . j*^Aj^ J**M am^SI*
1) Je n'ai pas reuaai a deckiflrer ce aom. Qaant a la date, il faot peut-etra
lire le 26 Ratn&dhan, qui etait rSellemeat on Yendredi, an lien dn 16.
^8 POESIE.
Lam&ne main a ajout6 au f. I02 ft deux vers, accompagnfe d'une
souscription dont void la teneur: ^ JL, ^1 ^ ^ A £JL <,J
(sic) ^q^ f U.\ ^U.,, ^ c-j (?) ^ ^ (i. (> , ^ ;
Le recto du f. I or poriait en outre piuaieurs inscriptions de pos-
sesseurs, dont trois sont encore -lisiblee- Ellas sont maiheureusement
toutes sans date. A en juger d'aprfet ] 'etsriture, la plus ancienne est
celle de ^U) *J\ j? ^M ^ j.^< ; puis celle de j> ^LL
jzliti j*e et enfin ^.., B iVl «»UJj .s^jJl ., jj| .,U • .> If
Une description plus detains du mscr. me parait superflue, attendn
qu'une Edition du divan est prepare dopuis -long-temps par M. W.
Wright. Le mscr. provient de la Bibl. Italinski, dont il 6tait le plus
bel ornement,, de mSme qu'-il est raaintenant la perle de la collection
de PInstitut.
75.
&176. 24V 2 X16'/ 2 . 146 f. 17 1.
Le texte de la Hamasa de Abou Temnftlll, -riwftyet.de Djewaliki
f 639. Copi6 en 625 par u Uy) ^1 jue ^ : &l."j, 41J J^
tJy?jd>- Belle copie vocalise*.
76.
te 176, 24X16. 266T. 21 1.
sLuL^sJ
/*-/*
Par febrfgi f 502. Oe pr6cieux mscr. ne contient maiheureuse-
ment que la l' w partie du commentaire, jusqu'a la p. 451 de [Edi-
tion de Freytag. II est remarquable par son age et sa correction.
La souscription porte: J j>J\ ^ ^ ^J) j^ ^ Jc ^
>\j*i ^LJI i^ hL ^ j j^j j^\ &L, J|^i. A c6t6, sur
la marge: jjl 4^ U-i ^ ^ ^ - U*.^Jl ^.
Les premiers mots: ^J ^ vyy , ^ju „| ju.JJ ^jjj jLij
1) Meme nom que plus haut.
PoSsie. 39
a Lola. ^e^Jl ^«5 p_^JI>:> *4JU^ a <^ („^lyJU^iil ^t J«& {j*
prouvent que Ali'b. Abderrahim al-Rakki 6tait disciple do Djewaliki,
duquel il tenait le commentaire de Tebrizi. Soyouti connait en effet.
un Ali b. Abderrahman al-Rakki ') f 576, disciple do Djewaliki,
qui est 6videinraent identique au copiste de notre mscr. Al-Rakli
avait done lu h commentaire de Tebrizi sous la direction de Djewa-
liki. Nous ne savons pas en quelle annee. Mais il avait lu owtre cela
le texte de la Ramasa, s6par6 du .eommentairc, et l'6poque de cette
lecture peut-fitre fix6e (c'6tait en 582), grace a une longue note auto-
graphe de'al-Eakki sur le verso de la seconde feuille non-pagin6e qui
precede le texte du commentaire. Voici cette note: j^bJJ Uiti U^l
fj^ k3 /^* w *' *°*lj & ^ oij® i^z^j&'i /** >2jf <L,U») uu <uls 4U'
1) Voici 1ft notice de Soyouti (Vitae graramatic. cod. Mus. As. JVs 549 f. 266°):
tjil _£ ^1 fe^&j >Jf • AjUuiaij, fjlf A*«< fa/J« «!/£ . j' , * aa J' /tf' /iitJ^'
dj'^U'f isjisi LAiW ljuj*4 iftf.it Cj® s l£j} i' rt. / s«^»l* j^*> u^^3
PO^SIB,
-I urf J. 4, .< JJ ^, jj, > ^ ^ ^
<le la Hamfta toil d. k »I! * ™T e " S(>US l8s relH un "«"*•
*» A^S tL^SiSS. de so " m8!to ' fc *-
POBSIB. 4 ]
^ o^j -Ul' •*' J* ^ u* 4/C J J-Jl fUi c ^:JI jo
II est propable que ce manuscr. de Tebrizi a sorvi a al-Rakki
pour la collation du texto de la Hamaoah avec notre exomplaire.
Celui-ci est tits-correct; l'&riture est belle et ferine. II a leg points
dmcntiques, est ricliement vocalist et muni dos signer; connus pour
distmguer .les lettros non ponctuees dos ponctu&s. Le mscr. s'oat
parfaitemenfr conserve, si.l'on excepte des tacb.es d'eau, qui se trou-
vent en haut des fcuillets et ont parfois rendu illisibles les premieres
hgnes des pages. C'est le plus ancion mscr. quo possede la biblio-
theqne de l'Institut.
77.
Jl£ 195. 22X17. 11 f. 12].
Par Ibn Doreid f 321. Copie vocalist mais peu ancienne. Pre-
mier vers:
k$r "^ jiJ^> (j** <^lj * LJL> ^ <uil <lJ; L
78.
M 178. 24% X 177*. 181 f. 17 1.
Divan de JUit&nabbf f 354. II manque 9 ff. au commencement
Le second cahier UJ parait-Stre d'uno torture plus moderne que
le grog du mscr. qui date de l'an 592. Le mscr. contenait en tout
5533 vers, comme le dit une note du copiste. Les pieces sont ran-
gees a peu pres comme dans le comm. de Wahidi (OL^JJ, oUJJ,
OLjylUl, OUI^J), oL j*dl, cX jjJ}). Belle copie vocalise'e,
parfaitement oonserv6e, avec beaucoup de gloses marginales. --- Bibl.
Italinski.
4-2 Poesie.
79.
N« 183. 28Vj>(1?. 324 i. 27 I.
"•"II • I
Par al-Wllllil f 468. Copie en 788 par -,.jjj t j.* -,, It
( s;ic ) us«^"^ ! '- P ftr ' do voyellos. Les vers en plus grandes lettres,
mais sans alin<&as< L Venture des 27 premiers ff. est un pen diffe-
rente de celie; des autres, et incline boancoup vers le nestaalik.
As 179. 21){15. 143 f. 21.1.
"•"II • I
Copi6par ^j>yjJl a**?, voir le f. 140°. Ordre aiphab6tique.
II y a quelques gioses. Peu ancien. Bibl. Italinski.
A'» 180. 21X16. 144 f. 21 1.
Le nidme^ Ordre chronologique. Les 5 derniers ff. copi6s par
o-sfj ^^J J*s? „>«, en 1101. Le gros du mscr. d'uue autre main,
qui dans tous les cas ne saiirait etre de beaucoup anteneure a la date
pr<5cite>. Bibl. Italinski.
82,
J6 177. 20V 2 XU'/ 5 . 60 f. 15 I.
Choix de vers de •-- fllotanabbl ; copie en 1250 par aki j.^.
i 83.
N« 183. 20X14 l / 2 . ibf. 23 1.
Par Afoott Sa'fy Mohammed b. Ahmed al-Am!di ^j-^JI
f 330; voir Soy.oji.ti, Vie des grammairiens, mscr. du Mus. as.
It 549 f. 1 b b , et i)orn. CataL p. 121. Le ro6me ouvrage se trouve
a ce qu'il parait a. Oxford, Uri p. 109. H. Kh. ne le connait pas.
Quatre petits c.j* en un volume.
POBSIE.
Premiers mots: J LU, aii^bj, U*| ^jjj ^ ^
,-,. tejj, r *Udl 4iUL L*, «L^ ^i| ^j, j| uil, a j ^
-:-*-* ^ U*- j* r %j^ -^ ^ w/ ^ dj L ^ u ^
M- -I • II - II i - °
> C^ 1 ^' d ^' **Ac ^ «^ pLl Jc 4,1^, C; ji B LiJ| &.J
f ' ^W *_/*' A^ ^* «U«< ^ts) ^a*c <W>J
Bonne copie de l'an 1065. Los deux derni&res pages contiennent
Ja <jUj < u rej en persan.
84
;>6 182. 28X17. 75 f. 23 1.
t Par Watfbetfln Abderrahiiiaii '3m lettdr^Jtr^i aI-8hlf4L
qui dSdia son ouvrage a ol£* j-l u i „l ^ ^ Jf, l^Jj -f
•^ Oi >** Qi> qui succSda a son pfcre, le sh6rif de la Ifaeqoe.
Barakaten 931. Gf. Wttstenfeld, Chron. d. St. Mekka II, 344.
Le m§me ouvrage a l'Escuriai, Casiri II, p. 156. Au commencement
de notre mscr. il manque quelques mots, qui devaient 6tre Merits en
encre rouge. Les premiers mots sont: *U pt J, bj^l J \j^
LTjf^ ***U S*J jJlh jvj'Jl , Ul ^1 j+\ Jj <^J
II.. sj\ ^ ' " "
- "*" ^ V**' j^ J». Divis6 en preface, deux chapitres et la
khatima, font void le contenu: L J ^Uti ^ ^ J^J) y
^ -J ^J) /Ul J s ^ L^ L^> ^ l^ti ^ ttj i^
j|> Q L <> J**' vW U, a?*-, ^^j j««i-u, ^
«U* ytf idij Li, -a* J^JJ oli^ e j^J| ^ iSl,— ^
^M' ^^^ JaD JLjf ^, Copie moderne egyptienne.
44- Po^bib.
85,
J\& 138. 25Va3; 14. 470 f. 33 1.
Par Ife'lHM | 429. Copte en 1088. Collationn6. Bibl. Ite-
iinslry.
86c.
JV» 1S4, 30 l / 2 K21. 378 f. 31 I.
M mmm avee la, d B ^Jl -djji du mfime auteur J ). Oopie en 15 §5
pour 1« moufta de Damas Mohammed Khali! b. Ali al-Hasani al-Ha-
n6fi al-Mouradi par uJj ^ jl^I - i; * ^-^. Trfes-beau macr.; la
correction du texto est attests par uue note finale do Tantawi , dans
laquolle le savant choykh dit avoir corrig6 our los marges quelqueo
fautes 16g6res, le mscr. 6tant exempt de touto faute grave. Les vers
en 8 colonnes. Bibl. Italinski.
87.
J\£ 194. 21X13. 23 f. 29-35 1.
Commentaire anonyme sur.la kacida de TantBf&nl f 485. .Of.
AMwardt, J£ 265. C'est a ce qu'il parait le mgrne comm. que celui
du God. 749 (I) Warner, v, . Oatal. . Lugd. II, 58.
Commence: ^l^jj, p^LJ) ^ i^^Jl (jU &kj ^JJi 4JU j.**l
u^ J^ j £\ sAJt)j ub"' £jn U^» (f v 5 {j* ***j u^j?
^jfJ^L ©^Ja Sur les marges on lit la traduction de chaque vers
du poeme en vers turcs. Sans date, moderne.
88.
AS 170. 26X18. 248 f. 31 1.
j^Sr^M 4a^J ftjw
Commentaire de $a)fiMdln Khaltl b. Albek al-Qaiull t 764-*)
1) La i^S commence au £. 329.
2) Voir cependant Dora, Catal. p. 124,
Pqesie. 45
sur la Lamiyyat al-adjam de Togral f 514. Of. Catal. Lugd. II, 62
Br. Mus. p. 748. Copi6 en 884 par J*Ul J* ^ JG | t
^ Premiers mote: ,> ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^
V^j ^ J*L" ^*. Bibl. Italinski,
89,
JYs 168. 29X20. 2601. 23 1.
fJ\ iJi pi. j f ^\ ^jj| ^;t\ ^
U mkm%* Le titre ne so trouve pas dans la preface, quoiqu'on
le rencontre gen&alement, comme c'est le cas-ici, sur le frontispice
des mscr. Sur les premiers feuillets le poeme comment ot une courte
notice biographique sur al^afadi, tirfe du jUi J^l. Oopi^ en
1062 par fff J) j. e ^ ^_ ^ ^j ^ m Italinski>
90.
& 169. 24X15. 456 f. 19 1.
U atae. Copi6 en 1096 par ^jjj ^ J± ^ oi J\ e %
91.
J£ 171. 19y 2 X12. 180 f. 19 1.
Par al-Qafadi. Voir Oatal. Lugd. I, 238. Z. d. d. M. G. XIII
479. Dans la souscription le titre est: j») tiLj ^ ^jdj \}
u^J. Oopi^en 1J03. Bibl. ItalinsKi. ' ■ ■ ■ f
92.
■J* 186. 15X10»/ 2 . 90 f. 15 1.
Divan de ibn al-ftrMIl f 63 2 ; Mition de Ali, petit-fils de l'au-
teur. Oopi6 en 1050. Bibl. Italinski.
^ P0E3IE.
ififie
m 187. 16%X18. 84 f, 13 1.
Le mdme. Mfime Edition. Use et assez vieux. Bibl. Suchtolen.
94.
Ki 188. 26X14V 2 . 76 f. 17 1.
Le il«®. Copte en 1191.
J£ 193, 22X12V 2 . 4 f. 21 !.
Oontient 1) u ijL)J ^J^s iCsh
3) Une piece de 17 vers du Sheykh BoroaDeddlll
Al-fiirAtfi f 781 cf. Ablwardt j$ CXX, qui commence
Oopie peu ancienne; vocalist.
96.
M 164. 39X28. 29 f. 12 1.
Par al-B0U6trl f c 696. Avec un takhmis qui commence:
(W.* uM'j u ^' ^H 0^ J* * Ji ii ilii> V SJs JL U
D'aprts M. Ahlwardt, Ar. Hdschr. p. 89 J& 580 e ce takhmis
a pour auteur Mohammed b. Mangour b. 'Obada. Dans le Cod. Add.
7596 Rich du Br. Mus. (cf. Catal. p. 310) cependant un takhmis
de la Borda avec le mfime commencement est attribue" a Nacireddin
Eouni. Deux pages de pr6face de BoucM. 160 vers. Les vers du
poeme sont Merits en lettres plus grandes, 3 vers sur chaque page.
Les vers du takhmis en lettres plus petites occupent le milieu ; dans
les carr6s formes a la suite de cette disposition on lit les noms de
Dieu, du prophete, des sentences religieuses etc. Copie deluxe en
tres beaux caracteres, termin6e par Ibrahim b. Ahmed JjJl L M\
lundile 5 Rabf Ildel'an 781.
POESIE. 47
ft 192. 207 2 X14V 8 . 179 f. 19 1.
Recueil des oeuvres en prose et en vers de Han^onr th Hilar-
rataaia al-Harlri Ifiliieiiln, le pHdicateur de to Sablfa f 967.
Yoir Rieu, Catal. Br. Mus. p. 785 ad MCCCCXLH, 2. Le divan
que l'autenr recueillit a la demande de ses amis est divise on 2 f! ^k
J ) J^ J, subdivise - en 4 ^ et 2) J^JJ J (fol. 69*) subdivisS
en 5 d*** ^ e sont ^ es r ^ esioQS et n °tes en prose et en vers sur
des sujets de religion et de morale. On trouve element quelques
morceaux traitant de la mddecine, comme par ex. une a s\+.J
^JJ\, une 4^J k» j ilLy etc. Copte en 986 pour .^ Moham-
med b. Ahmed <jQl ^1.
Premiers mots: v >fy ^JL ^j 3 Vj Jj J^i ^JjJ ^.jjl
^J i^i JL j e .^ ^ J^ i^j ^ \j\ j^
98.
J& 190. 22X15, 270 f. 25 1.
Recueil des poesies de Mohammed b. Abmed al-Romiii, plus
connu sous le nom de Mm&y ^LL f 985. Cf. Ahlwardt, Arab.
Hdschr. Us 756. Le titre dans la preTace est *««, ^UilJ -A^
jlAJI. On lit a la fin du mscr. ^ ^^ UJ ^J L l>
pCJl jUi ^ J.0L 1 J S ^| ^ JU" «0J| l*j ka M J\ Jyj <J|)
jJ>i .ii- u J-Jr'i*ik;l,MJL e j rjl a,u«^ ^l^ ^ i^
flii? «tu*i. Bibl. Italinski.
48
-0E3IE.
€*<a, E
it' st e 6
JY« 174, 21X16. 22&f. 17 1.
Oontieut: 1) {jy* p^N ^J c } yS,Jl jjM. Anthologie po&iquo
on 7 -chapitres , traitant dea 7 espies de formes po6tiquos modernes,
L'autenr est, d'aprts E. Eh. Ill, 190, qui donne la division en
chap, de notre ouvrage, I^anufi! b, kMmi h. liyls aE-tfanafi ;
il finit son ouvrag-o en 912. Of. Catal. Br. Mus. p. 839. II manque
quelques ff. h la fin (140 fr ).
2) f. 141— -156. Un poeme religieux sur la vanity de la vie,
illustrto par l'histoiro des proph&tes et des rois. 275 vers,, dont le
premier est:
-$&i U^° iS^-J^s * j£*l jjjti J»liJI UlJ
Une note sur le f. 141 a attribue le poeme a ^^J . y,j ^1.
Get IbD Mi serait, d'aprts M. Ahlwardt, qui sous le I; 916 d6crit
le mSme poeme, Mammed B. Zein al-JVabrirl , qui vivait a une
epoque que je ne puis determiner avec certitude.
S) f. 156—161, Autre poeme anonyme religieux. 87 vers,
dont voici le premier:
Le mGrae a Berlin, Ahlw. As 946. II est, d'apres M. Ahlwardt,
connu sous le nom de ^Ls^J j^ s ; cf. H. Kh. Ill, 42.
4) f. 162—164. Une espece de priere en vers, intitule 4.^*1*
qui commence
II parait que le M. 668 chez Ahlwardt est idontique a notfe poeme.
Dans ce cas 1'auteur en serait Ibrahim b. Mohammed Ibn Sottffa
*°**j O-^ t ^16. ^° me permettrai cependant de faire remarquer
que la *> Jy s\» en question ne se trouvo pas dans Texempl. du divan
d@ ce poete que possede le mus6e asiatique de St-Pe"tersbourg.
PoEBrE. 49
5) f. 164 6 --I69. jlLll jrf ..siJ o^. Description, poli-
tique d'un jardin, qui commonce
uM Jjej J^-Jl JljkJ, * L% LJl CJ <j/±\ I* J3
L'auteur se nomine dans le dernier vers (le 147°) Jkll .J mais
je ne puis rion dire de plus k son <%ard. '
6) t 169-171. ^JJ jy ^ A fl,«J| D . A*., 9 ? ver,,
dont voici les premiers: ■
-^ j url^ ^ ^ «^» AM, * _,pjjjj d ,jJ| ^Jf ^ J
L'auteur se nomme dans le dernier vers aMfoseJnl Ahmed.
7) I 171—175. Jf j\ 3 & f\ sk \l ^ *«£ UJ a \ j ]27 vorSt
dont voici le premier:
jX*A j^Jlj &f\^\ « * P UJj ^, j^j jj j^
8) f. 175—229. Ponies diverses plus courtos, pour la plupart
anonymes, et quelques morceaux on prose rim6e, parmi lesquels on
Temarque plusieurs parodies do sermons, oOjp. JLl, trfes-scabreuses,
et une Uj» <^i (182—187), Le mscr. est mcoraplet a la fin et
pr6sente quelques lacunes dans la derniero partie. Le tout en arabe
Tulgaire. Bibl. Italinski.
100,
Jft 191. 20X16. 278 f. 15 1.
Recueil, pofSUque divis6 on pr6face, 4 chap, et conclusion. II
manque quelques ff. au commencement, qui contenaient le titre et
les parolee d'introduction, de sorte que le 1 f. conserve nous donne
saw prtombule aucun l a table des chap. La preface traite dj>\ J;
le 1 chap, t^^iilj Jjjjj ^j est subdivise" en 3 kism, dont le pre-
mier a 7 fagl, le 2° - 5, et le 3 6 - 3. Le 2° chap.: ol^J J
■est diTisfi en 5 fa$l. Le 3 9 chap.: C^ejJf j ■» S fagl, et le 4°:
'ty*j/ J en contient egalement 3. La conclusion enfin traite: J
CA&dJIj OL^/,:oL^1. La compilation appartient probable-
4
50 Poesie.
ment an X a s. ou au commencement da XI . On y trouve cit6s cntr'autros
pontes ley nornr. de m jLLJ) ^1, ^-- t -jiJJ> u ,«*, ^J^'s Iv'.p
..q^jiJ), ,-'- V J ,.%$\ iv.,' . ,i «,-,, ^ f Lw^<sJl etc. Souscription :
«^£^l 4,il! jo-v. ^^t; ^iU iJjU) J'^«*JJ ^j iJjM' fj^H J 1 ?'
injjl^ kiil ii.-... Lu date ponrrait se rapporter aussi Wen a la copie
qn'a la composition.
101.
;\L 200. 20 X 14. Ifl.j f. 13 !.
Recueilde poesies do differents auteurs pour la plupart modernes.
Les pofeies olles-m6mes sont le plus souvent des jU»e, JJ^*, af<p,
£**>js, a£L, yk^ (jk'etc. Premiers mote: *L«J j*^«JI <y J.JJ
O^UlJol ^jUw^J .^l,U«_y .Jl^s? /£ ^»-'J cjLiw'j jjLid) vij***' ^Je
cIaA*a« clnjjlljj Jy»t*UJ '(•• «tAui» (Jjjyol /»* ^JO I 31 Waw»« »waw»«IJ
' -iJl JJjj_ 9 JJ *_ilpjJ LeU (j^« Tja fin et le titre manquent.
L'auteur no se nomme nulle part. II parait cependant avoir y6cu dans
lo XI stecle, car il cite qnelques pontes de co stecle en ajoutant apres
' leiirs noms Uj pb ou q^e "<dJI Jill ou des formules semblables.
Tels sont notamment plusieurs membres de la famillo des* J^J-^,
comme Abou-1-Mawahib Mohammed al-Ciddiki,. Abderrahman b.
Zein-al- Abidin al-Ciddiki etc., et Sidi Abou-l-Is&cL 1 al-WgM ^1
u *Li^Jl ilfc»Hl, sur lequel cf. al-Mohibbi, TSfafhat-al-Reihana,
mscr. du Mus. as. )6 8, f. 45 2 6 . Bibl." Suchtelen. /
102, ■■/■■■■■■
J\» 197. 20X15. 56 f. 11— 15 1. /
Sur le frontispice: ^Uiaj ^* il> le J*£i> ljuJ»J e^f J j®
jilyJJ^ £J&\\ s ilX*t*i\"j Cj%.\ji\j. Premiers mots: <il) j.M
o «,*lmf < *^&J| J.0J tjokj wl^aj /ja^jj jj «»_0..«l (j^^p oj* wS^'
ijijhj (JT^^J^Lji* j(i» wjUi jj^s Jwj ■ *•! wLJj)
Anthologies. 5j
\_j^j Lki yLt^lJ J^jJJj,. Pofeies pour la plupart courfces de diflg-
rents auteurs. Bcaucoup d'ontr'elles anonymos. L'auteur le plus
iiioderne cite dans le rocueil est Mamay al-Roumi (voir plus-haut
Jfi 98), dont un. takhmis se lit an f. 34°. Le tout sans ordrc syst6-
matique et do tr&s-peu do valour. Copio peu ancienne.
103c ■
As 199. 10X12. 124-h9 f.
Contient: 1) „ Chansons traduitcs de Farabe-vulgaire par Au-
guste Jaba".
120 Mawwals en arabe-vulgairo, sans transcription, mais avec
la traduction frangaise on regard, recueillies et traduites par M. Jaba
a Yaffaen 1248.
2) „ Traduction de six po&mes arabe-vulgaires par Aug. Jaba".
Des six pofcmes 3 ont pour auteur le Sheykh Omar de Yaffa jl, n c,
2 Ibn al-Faridh et 1 le Sheykh Mohammed .JUJ.
104.
.\» 34. 24X14. 97 f. 21 I.
Lq rascr. ne contient malheureusement que la 6° et demure
partie (c.-a-d. les 14 dorniers chapp.) de la celebre anthologie de
8l-Zaihakshari f 538. Le l 6 chap, de cetto partie traite jkll J
Lj ^UVlj fUHj U JJ^ ic^ui, kLJI, ^lMj jLi\ J-^
S}j,» J^'j . Copie moderno, sans date. Bibl. Italinski.
105.
jY»36. 26X17. HI f. 25 1.
Extrait de l'ouvrage prudent par KfoLammcd fe. KAsim b.
Yakflub f 940. "Of. Catal. Br. Mus. p. 518 et Tedition do Boulak,
Copie' en 1 157 par (sic^^L a^U^UJJ ^UJL ^ : > ja**. j» <»*-#.
Les marges couvertes de gloses„
52 Anthologies.
ioe.
N°4U. 22XI6V Z . 40 f. 17 .,
Par Sblh&beddln Aboii-l-H&san Ahmed b. Ibrahim al-Asli'apl
(jjtiiil &!-§h&fi$X. Le titre ne so troirve pas dans notrc mscr. qui.,
apres le nom do 1'auteur, commence /aUJl'b L,& ^JJJ JJ j^il
£w alosifjj, J»aaJL *,Ujd; iff uJUJ,*^ F J t l «H,> bwaf._o. I] V 8. Une
petito lacune sur le f. 2 6 , qui contonait probablement le titre. L'aiv
thologie est divis6e en 10 chapp. 6num6r6s f. 2 b jusqu'au 7° chap.;
ici I'original pr6sentalt une lacune qui n'a pas bib remarqu6e par
notre copiste. II en r^sulta la perte de la fin de la table et une con-
fusion notable dans le texte. La comparaison avec le cod. Add.
25,759 du Br. Mus. d^crit dans la Catal. p. 696, montre que notre
mscr. contient le m6me ouvrage. Je me suis done permis de mettre
le titre du mscr. do Londres en tdte de cette notice. Le temps ou
vivait 1'auteur, est peu certain. M. Rieu fait remarquer avec raison,
que des deux dates qu'indique H. Eh. II, 326 pour la mort de
1'auteur, la seconde seule (c.-a-d. 600) pourrait 6tre admise a la
rigueur. Soyouti (Cod. Mus. as. JVs 549 f. 121 5 ) no donne point de
date dans lacourte notice, qu'il consacre a notre auteur. Cette notice,
du reste, est tir6e du Tarikh Yemen de al-Khazredji, f 812 (cf. H.
Kh. II, 159). Notre mscr. est incomplet et finit au 9° conte du 3°
chap. Copie moderne.
107.
J\S 39. 23X17. 248 f. 25 1.
Anthoiogie par Mohammed b. Ibrahim b. Yataya b. All al-
Kotobi f 718. Cf. H. Kh. IV, 319 ot VII, 811 ad h. 1. Plflgel,
W. H. I, 364 et.Aumer.-J6 604, oil Ton trouve l'6num6ration des
16 chapp. Copie en 1122 par ^^Lij^Jl <dJJ jue ^ j.*sf. BibL
Tantawi.
Anthologies. 53
108.
jV»222. 21X15. 118 f. 16 1.
Co manuscrit contient: 1) d»L»aJl li 9J
Par ftlohammed b. Abl Mr b. Alii! al-Kftdir al-Hanefi ai-
Razi 1 ), qui florissait vers 650. D6die a al-Malik al-Said Nedjmed-
din Abou-1-Fath Ghazi b. Ortok Arslan etc.. qui r6gna a Maridin
637 — 658. Premiers mots: aScj ^Lj^J jk L5 jJ) <JJ j,JJ
»*jli»ij J«asj <uLJ tjL* ^Jj^ WjUA.JJ S^J dji iJa^ <J^jl_, (J^'-
Copie en 996 par j>l 0? *,.* ^ ^jjj ^ ^slll ^£Jl j*e
1) II. Kli. parlc de notrc ouvragc III, BOG. Dans 1 'article sur le lexique de
Djauhari IV, 94 — 95 le bibliograpbc turc cite l'abreg6 bien connu du Qahah com-
pose par notrc Mohammed al-Razi ct ajoutc que cet autcur mourut apres 660.
Mais a la fin de 1 'article il pretend que al-Razi finit le Mokhtar al-(>hah en 760.
Dans les catalogues des mscrts or. se trouvant dans les bibl. de l'Europc, la pre-
miere seulement des deux dates donnccs par H. Kh. a 6te prise en consideration
(cf. par ex. Aumer JVi 779, Catal. Lugd. IV, 27, Dorn, Catal. p. 100, Br. Mus.
p. 227" etc.). M. Rieu a etc le premier il sigDaler l'incompatibilite des deux dates
(Catal. Mus. Br. p. 779 ad. 227 1 *) et s'est docid6 pour la secondc, c.-ti-d. pour 760.
Dans les 2 mscrts. de II. Kb. qui se trouvcut dans la bibliothoquc de I'institut,
la date est entierement omisc dans lc commencement de notre article, tamlis qu'a
la fm on lit dans un des mscr. en toutcs lettrcs djUa^^ •,*!** dJLu. .j.
II est done tnjs-probable que H. Kb. nc savait que fort pcu do cbose sur l'epoquc
oit vivait al-Razi et se borna par cons6qucnt k conclure qu'il devait bien etre
mort aprcs 700, s'il dit lui-moinc avoir iini le Mokhtar al-gahuh en 760, Cctte
conclusion du restc pouvait aussi bien so presenter a un copisle intelligent; mais
quoi qu'il en soil, on no saurait doutcr de cc quo II. Kh. on son oopistc aient eu
en vue l'an 7G0 et non pas 660 et que cctte dcrnierc date est uiic faute de-
pression ou un- lapsus de copiste, qui a 6chappe a l'attention dn savant editeur.
Mais de l'autrc cote il me parait certain, quo par un singulicr hazard la date 660
est la sculc admissible et se rapprocbe beancoup de la verito. Le d»b»Jj &<ojj
est dedie a un priuce qui rd'gnait dc 637— G58; il est done impossible que le
Mokhtar al-Qahah ait etc compose tout un sieclc plus tard. Quant a Vindication
de II. Kb. il ne reste que la suj position, qu'il s'est tromp6 en affirmant que al-
Razi dit lui'tn&me avoir fini le Mokhtar en 760 et qu'il a pris la note finale d'un
mscrt. dat6 dc l'an 760 pour des parolee de I'autcur lui-m6me. Les mots Zs]j
Acl^i sont susceptibles des deux acceptions. Cctte maniere de voir est'eonfirmee
par le fait que les 2 mscr. du Mokhtar que possedent les bibl. dc St.-P6tersbourg
ne portent point cette note de Vatiteur, Jnsqu'k nouvel ordre je nie borncrai done
a consid6rer al-Razi comme nyant vecu environ 650 de l'h., sans rien precieer.
Soyouti, a ce que sacbe, ne parle pas de notre autcur dans ses biographies des
grammairiens.
54 Anthologies.
&jsX±Vi jjUidjj <U<oluJ.Jj jbjub 6..t jXiu.s)) (\<.n±hilj A-A-CfiiJ) pUtj.U
Mi ■• if • ii r ' .'■' ! !
^^L» rt^^s^l ^I^Jj tj^&ii ^L^Lsi; ^^of'l
2) f. 51. j^«aJ;II dill) s-'lj^ t J* j^sdj iU >
Par Cafiyeddln al-Sfiilli f c 750. Kacidas a Phouneur du
prince Orthokide al-Malik al-Manfiour Abou-1-Fath Ghazi qui regnait
a M&ridin 699—712; cf. Ahlw. A* 613. A la fin une ardjouza du
copiste en 21 vers, dont void le premier:
Copi6 en 996 par le mfime.
o) i. 85 — 38. iS^jj a«,»iJJ^ ^jlmJI •.Aj-o^tull .J qosmJ) oJJ
L'autour florissait d'apr&s Ouroton (Oat. Mus. Br. p. 296) vers 836.
Premiers mots: jaLJl ^Jj ^e jiUl *>il ( Jl. Oopie par le
raSme en 996.
Par DJeUUeddia Abou Abdallali al-AIahalli al-ShafiJi jJl
u «iliJJ f 864. Of. Ahhvardt Jtf 563 et 564. Premiers mots: )>
L^otU j*oU^ dj j,gaj <!jil ocjj Ie ctJLe s»i4»J iH^sj. Une gdoso du
copiste dit que le vrai nom de ce poemo ne sorait pas 5a,JI, iuais
bien oe_/Jl, parceque Pauteur guerit de la fifcvre apr&s sa composi-
tion. La borda selon lui est la kacida iU^ <uL. La tin (une ou
2 f.) manque. La derniero fouille contient une notice biograpbique
sur Bouciri. Copi6 /par le infime. L'ecriture de tout le mscr. est tres-
li6e. mals parfaitement lisible, pourvuo do beaucoup de voyelles et
tr&s-correcte. Oela s'explique par le fait quo le copiste Keriraeddiu
6tait lui-mGme un savant de grand m^rite. Voir Mohibbi, Khol&Qa
III, 10— .13. Ilmourut 1041. Bibl. Italinski.
Anthologies. _ 55
JV» 213. 29V 2 X 19- 162-1-198 f. 29 1.
Par Mohammed i, Ahmed al-lbsheibi, qui mourut c. 850.
Of, Ahlwardt JS 1143 et l'edition de Boulak. En bas de la domi&re
f. 1'ouvrage est attribute a Abou-1- Abbas Ahmed b. Abi Hadjala;
la meme erreur so trouve aussi dans le mscr. de Londres (Oatal.
p. 654). Copie en 998.
110.
Jfc 223. 20 1 / 2 XH 1 / 2 . 290 f. 19 1.
Par gbia Hodjjat al-Hamawi f 837. Of. Ahlw. As 1149,
Fltigel, W. Hdschr. I, 404. Au f. 2ll a commence l'appendice,
Jo, qui d'aprfcs Cureton, Catal. Br. M. p. 346 aurait 6fce ajout6 par
Mohammed b. Moh. al-Sabik al-Hamawi. Cette anthologie a 6t6
publico a Boulak sur les marges de l'edition des Mohadharat al-
Odaba de Raghib al-Isfahani*. Sans date. (10° s.?). Bibl. Suchtelen.
111.
A* 224. lD'/j-XU. 119 f. tfl 1.
Le in$lfiie« Sans le Jo -et avec boaucoup d'autres omissions et
lacunes. Copies beaucoup moins bonne que la pr£c6dente. Sans date.
(10° s.?). Bibl. Italinski.
112.
J^ 218. 20>/ 2 X15. 157 f. 15 1,
«»»J l^jAl luti J kn^Li ) ,Cj (w>ljlX~S.J lilaJ .§
Par Mohammed h Abdallah b. Mohammed b. DJouma '■««>.
al-Hindl aMabourl iSjfS^h qui le composa en 1122.' Xje but et
1) Sur le froutispice •>*>. On trouve aussi ^i.
2) Sur le froutispice C*j^f.
56 Anthologies.
la division de Pouvrago sont indiqu6s dans la preface, dont jc tire
co qui suit (f. 2 6 ): L>J) ^ s ^^1 ^ ^M J CJj jsJj, . . .
mUl £jh LlilJj &j> (j\ ^p. jlii] -pMsjfckM «L, L^^JI • ..»
^ f J jUj 1jj,jJ* cJjJ r < ^Xj J <uJ Li iJjjjJL Jaij, 0^1) L j l j,
Uuc Cojj, oj*ua CjIAm, Je dio C^wa.'lJ lidijj^ Ij^J^e |jj..S riljl
„,A^ i«*U ^f dXiaa, £,**« ^o jc tj ^ ^ Lr^;»u* aS IU
AClkj ^fjil is^j A-oJlW JC ^Jj. 1-fiLL l»^j^ tlj) f.ylj ^,1
oJjj AwjU ^ J^i ia^ Jc l^yL J,f Jj^ <w>Ul «5.J q^O*
Jjl £*i*l ^jjj J i» jsll . . . . J I *»*« a^„j J yd J «j Jy^ll
r^J j^ ^* pjkCJJ ^ U (f. 11) JpJ V L)I JjiL *JUI
-iUI J v^*Jdl ^ ^ j^ml) ^ U» (f. 3 i n ) JuJ) v Uj ^IJI
^^ 4^' j* ^ o* oLl£ ^ ^.jj jj^ e j (f. 52 6 ) JJUJj
^ J j^O jU, (!)^ jj| j^l.^lC J (f. 78 & ) ^jjj)' V U)
1** '^>u..Q.-' f ivti\ jc/u (f. ioo*)-^S[---^yi ataii
-AJI iJ^Jj oVUl) ^ i^Jj ^ U (f. 1 20*) ~iUT v LJj A^l
^LW aJi-u V ^JJ titejyl j (f. 133*) XQ J
Spuscription: j^\ ^ ^ Aati)JJ A Uj a«^ ^ el>lj ^
1 ipo ^ r Ui kl\ ^ ^ e ^L iljUl jJi ^. Bibl. Itftlinski.
1.13.
.V* 108. IO'/jjXIS. 74 f.
Ce mscr. est compose de difforents fragments qui so distinguent
Pun de 1 'autre par Poncre et P&riture. Mais le tout est £videmment
im brouillon, une espfece d'album on le possosseur inscrivait les vers,
anecdotes, bons mots ot jSly desquels il d&irait orner sa memoiro.
II y a des vers de ^jkJl,, J3WI oU,Jj j, e ^Idi, -4SU ^f,
u?-^' JiK U°jUl ^1, li, j, Je ^^, ^jUJj ^ ^J^
«
ta_J
CoNTEB, 5^
u*'y yi'> u^*ii' fgjA, plusieurs maouals do ^JSJ) ju^» (XI
si^clo, ef. Mohibbi IV, 47) jlUl (f 1014) *, On lit sur lo
fron ispue; Jul ^ ^U, ^ ^ ^ Un
bas les 2 vers: ' "" '
A la page 133 on romarquo un c/hronogrammo sur 1'avtotement
au trine du Sultan Othman II «llf ^j -,U li^ l^L ^.b,
co qui permet do determiner approximativement k date de la compo-
sition du rccueil. Aux pages 89-95 on trouve dos (f)/^ oUU.,
daprcs l'ordro alphabdtiquo jusqu'au *I. C °
X 207. 25X17>/ 2 . 293^-342^839-*-311-f-4S3-s-8I 1-^394 £ 27 1.
Le roman Aifir en 44 livres c> . Copi<S en 1230, probablement
en Egypte. Une note russe sur le f. i du 7° vol. dft, que les trois
dermers volumes furent apportts par un navire vena d'Alexandrie
le lb ievr. n. st. 1816, at quo cos volumes forment la continuation
des 4 vol). roQiis depuia longtemps. Oette note est, a ce qu'il parait,
de la main de M. Italinski. Sur le roman cf. Plted W Hdsehr
II, 4 sqq.
115.
MO. 18%xn%. 241 f. 1B1.
Les makamas de iarfri f 516. Copie en 1004 par^ -j j^
Cf- j]] £ L " irf- Bo ^o copie ontiereraent vocalist. Les margST cou-
?ertes de gloses. Bibl. Suctftelen.
116.
^ 209. 84V«X25. 164 £. 17 1.
_ Le intone ouvrage. Copie vocalist avec de glo« marginales et
interlro&ireB, termindeen 1241.
58 CONTBB.
117.
JVi 212. 22XH. 135 f. 19 1.
Iks lieiMi. Larg-es marges couvortes de closes. Moderne. Carac-
teres se rapprochant du taalik.
118,
JVL 211. 28X19. 256 f. 29 1,
22);16. 3JS f. 27 I.
Par AfooBs-C-abbas Abmed fr. Abdalmoumin b. Mousa b. Is&
b. AMffililiiiiiii al-Kaisi al-Sh6rfsbi f 619. Cf. Dorn, Oatal.
p. 137, Flttgel. W. Hdschr. I, 347. Le premier volume, qui con-
sent les 25 premieres makaraas, est sans date, mais evidemment
aussi ancien que le 2°, copi6 par un certain Omar en 1016. line
note sur le f. \° du premier volume nous apprend qu'en 1042 il
appartenait a 'Ata-allah b. Yahya Nev'i Zade" ^j ^/y, qui n'est
autre que Pauteur du 5lkcj*i, la continuation des^Ud I ^SliiJI
de Tashkftprizade.
119.
JSs 221. 21X16. 187 f. 21 et 19 1.
Contient 1) &x*$j illf
Ce mscr. deKalilah we Dimnah commence ainsi: ki^^JjS'\j»
^'^u^' V- a j '^' j^*^j j.*di t-jL tUiUJJ ^aLxU Aijjji
Qn«UJJ ^m/C £jjJ.£ t-A«.UJJ tjb •j^aUJl JLAjJ j».« 3^aJJ wb juLjJJ
fe.jb _^±e jjOlil tJ.J.1) /jjj o^^is ^b ^«UJJ jbajjJ) 5 i^*J «^jL
fe^jL ^.^e <LJwl o^J/j jl^^J yl ^^s ^J^' <„,$.? J /tf ' J J>f*a\
j« e 4/^^J ^X j 'j >% j> j-*^ ^* v^ ~/^ e /*l^ d ®^j> tSLuJJ
CONTBS.
*+>» oJ^s AjltftJI^ sfLJI s^jL ^sio; ^..^ItiiJI tuts* 9 ) 9 cyau -..lj t^i
n >*©l J -Jyij kj djwij ^ Lb /fAAM, j iLujlj J,C ^J^uaXs Lb ^jLsi
ijsm) J| l^su dklj^, i^jj o^a.ijl^ iiii'^ jlL^J. Apr&s ces
mots vient l'indication plus detaillee du contenu des 16 chap. Puis
f. 3 la i*jz* de Behmoud- b. Sedjwan; connu sous le noin de Ali-
shah le Persan ^Uj li J a , ^,Jj Ll [ 9 ^ ^ . >r?j f. 13& i e
1 chap., qui traite de Ibn al-Mokaffa *a\\ >>* <dJJ jug i»* p., |
aj ^Ul. L^ J a^j.*^ wjLO IJ^J, F. 20° le chap, sur Berzouyeh
F. 34° enfin commence le chap, du lion et du taureau. Notre inser.
presente plus de ressemblance aux mscr. M. et F. de M. Guidi, Studii
sul testo arabo del libro di Calila e Dimna, Eoma 1873, qu'a l'Mi-
tion de S. de Sacy, et me parait Stre une redaction quclque p©n
abregee de celle des mscrts. cites. Je me permettrai encore de faire
remarquer le curieux changement qu'ont subi les noms des rois qui,
d'aprfes le sage Kibariyoun enverront des presents au roi indien.
Chez de Sacy p., 254 ce sont les rois de Heyinoun, Balkh, Sandjin,
Kazeroun, Rahzin, Keidour et Erzen, tandisque dans notre mscr. ce
sont ceux de Nihawend, Boulgar, Mandjar (Madjar?), de . ...et
Allan. Copie" en 1140 par un certain Ibrahim pour ^l^-o U^ly.
2) f. 113. Traduction arabe anonyme du ^UJ ist^J de Ghaz-
lili f 505. Cf. Oatal. Mus. Br. p. 746, Aumor $°612. Gette
traduction est aussi connue sous le titre fl^lll i*ww J £lj«Jl ^dl.
Copie en 946. Bibl. Jtalinski.
120.
A: 208. 20V 2 X16. 494n-388-i-326-f-882 f. 21 1.
Copie moderne, de provenance egyptiennc. Bibl. Italinski.
(vONTES.
lake
X-- «7. ifl»/ 7 .X-H7 2 . 100 f. 17 1.
Par I«liiiM0ij; k, llif l§iiiitti!0«l ifoit-Mir >k tf\ f 555
on 5(>8. Cf. M. Amari, Confer Li politic! di Ibn-^'a&r, FirenzelS&'i,
p. I.A,?iIl„ Notre mscr. pr6?;ente la I ° edition , of- la plus rare } de
cot ouvrage. II a 6te copte sur un original auquel manquaiont quel-
ques £, ce que le copiste rra pas remarque". Copi6 en 1066. Bibl.
Italinski.
1 £J 61 e
J&215. 21 ! / 2 X1G. H« f. 17 1.
CvOnfiient 1) f. 1—51. J^ L^ s ^axJ.) ^X^.L &.© ^loir iJLUJ <ua§
cA^Us dUU ^Ij, Jjj^JJ ^ J. Of. 1001 nuits, £d. Habicht
t. VIII, 609° nuit sqq.
2) fr 52— ™108, ijjj ojuMi &*> iZ*>&!3ijl cJul '_/*>• Cf. 1001
nuits, mSme ed. t. VI, p. "191 sqq.
3) /j**jiul ikJ%)i 3 plJLJJ «J»Ju •.« Jit®). 32 fables. Sans
date; peu ancien. Ecrit a ce qu'il parait par un chr6iien.
123.
J&210. I8V2XI2. 74 f. 17 1.
Contient 1) ejjjj ^L^ 311} ^laiTifli. . Sans fin.
2) f. 56 6 — 74. 38 fables, dont Pavant-derniere est racontee
P ar tj(j-/f^ ^Jj // ^^ jm*^ j^« Beaucoup d'illustrations.
Us6. Une inscription nous apprend quo le mscr. appartonait en 1055
i_J^5? fc^feM' _/***"' bMsJ).
124.
JV-217. 20V 2 X16. 87 f. 17 1.
Lontient" 1) <j*.L*aJj « ^Lsij &«ai
2) t 66—87. 40 fables.
Lacunes pour les illustrations. Copie peu ancienne. Bibl. Sucht.
CONTES. 61
125,
JG219. 21X16. 37 f. 19 1.
Contient: 1) ^J ji Jf ^L ^^J ^ J2j [JL ^
2) f. 16* Ml ^jU.jtJj.fhl jU*"i-i.
Copie moderne. Ecrit par un chr&ion
126.
m 4u. 2iy 2 xi6y 2 . 30 f. 30-32 1.
Copfe en 1177. Mauvaise dcriture.
12? s
J^220. 20X15. 95 f. 13—15 1.
Contient: 1) ^Jjj Ml ^l v UJ/iiL^Ji, iiU^I J^
2) f. U». obi, jy L dUll, ^l^J ^yiii
IX(1. o^l)
3). f. 42*. ^1 ^ ^ Ji ^ ^Jij ^| a^i
Copie peu ancienne, qui a appartenu en 1749 aOardonne, comm©
on le lit sur le frontispico : a^J> J^J jU (jj>j\i ^&l\ &**(*
ivt*l (sic) ^JL kxjj* ..J. Bibl. Suchtelen.
128.
%214. 90y 3 X 15.' 329 f. 18,28 et 26 1.
Contient: 1) ^Jl e L.»j j£j| ^j.' Eecueil anonym® do
cohtes et .d'anecdotes. Commence: ie ^yjc J I ^j ^Uf Jj*
41 jjl pLA ju» (sic) ji- v»Lli ^ jp)^ c-C, (sic) LIC
^1 j>Jb ^JJ ^ j^ M I *W* J>Jl\ ^ JM JjJi JLu
CONTES.
J J. C,.^- &i»^j„ jXto* b^ <_JJ j^ Jj;j
^ u- aj^_ B «^_^ Vd „ ^^ ^ ^ ^
^U/. Ce recueil content les conies suivanis:
«)f. 195". ^iJl J»| _ " £
f) f. 207. U U, l^i ^y, ^ _
u». ofvt* >% j ji^ji ^uji ^uji ( ,u, ^
o-UjAJ ^j/ ^J| v^o*. Copie peu ancionne.
OUMNMRE, IfnCOGMPHIE, «T«pE, PROVERBES.
I do,
•^147. 20X15%. 180 f. 11-J7 1.
Grammairb. fig
130,
Ns 150. 19XU. 83 f. 9 1.
Par 11)1 al-H&djib f 646. Copiden 1047 par^jaJj j^^O-^.
Larges marges, couvertes cle gloses, tirfos du i*»l£Jj J lL ( c f, R.
Eh. IV, 5). " c
131.
7& 151. 17X12. 43 f. 15 1.
k m£i!ie, Copi6 en 1216.
132.
J6 152. 21X15. 205 f. 17 1.
Par Seyytd Abdallah, c-a-d. d'apr&s H. Kh. IV, 5 Seyyid Abd-
alteh b. Mohammed al-Eoseisif, surnomme' Nokrekfr Jf o^-sj
f c. 776 1 ). II dddia son commentaire a u iU/ ^^j^^l ^^$1 yM
UJl ci*~ u i*JJ £l;VJ j^J j*l£JJ u £JLiJ ^yi j^Ui
jjlij ^^sal ^^Ij ^/.J rt^^i ^jJJj, lequel mourut en 774.
Cf. Orientalia II, 435. Copi<5 en 972 par Mostafa b. Sheikh Mo-
hammed a l**^* . Caracteres nestaalik. Ce comm. parait-fitre tres-
rare en Europe. Premiers mots: J,L lo^ J jS ? y& jjJJl <jy jj>\
133.
^ 158. 20V2X13. 312 f. 17 1.
Commentaire de ...Holla DJ&Illi f 898 sur la K&fiya, compost en
897 ou d'aprfes le mscr. de Leipsic (Fleischef , Catal. p. 342) en
/ ■ /
1) Soyouti 1. c. f. 222° le nomine Abdallah b. Mohammed b. Ahmed al»
Hoseini al-Nisabouri al-Sherif Djemaleddin et nous apprend d'apres Ibn-Ha-
djar, qu'il etait professeur a l'6cole &> J*JmI a Haleb et qu'il mourut ©n 776.
64 /-. ,
IjRAiHMAIRE.
877. Of. Dorn, Oatal Jftfi ¥• if,/s {.-.«. -,-
Copieen 1119 W A I b thJS / "if 1 °?\*' fc ^ 232 <
qu iW flI1 f wt Camcferes uudiL Luges margeo,
qui ju qu au x. bCJ som; couvertes de g-losoB.
-3 «»/
JVs 164. 20»/ 2 X16. 243 i. 17-19 I.
rilBl f c 948. Cl Flflpol, W H T IBP- T t n ?7?o I^*"
criDtion- I f • M - i l '- lbl '» 1)oili > Oat. li>9. Sous-
cuption S IJ u%s oL . J ^ ^
( c J^i; <djj . jue d i iff, ; ,. .
Jjpie. U > ^" ^^ J ^ U - M ™se
135 a
Jtel49. 17X11. 39 f. 6 I.
136..
JV-186. 19X10. 101 f. ioi.
M 186. 26y,X 18. 857 f. 15-19 1.
etc. Bonne copie vocaMe ot aese. anciem/e. Qnliuia"
1) Ce mot a M biff* et wmplacfi par le mhmt.
13
Grammairb. 65
m* ^ <j«*j*. Sur le monastere de Mar Hanna cf. Volney, Voyage
en Eg. ot on Sjrie, Paris 1825, t. II, p. 77 sq. et 84. Bibl.
Italinski?
138*
& 137. 22X16 l /„. 226 f. 21 1.
Par IkRjAktl f 769. Copid en 1 1 85 par (sic) j^| j^j ^J
^IMJI. lauvaise 6criture 6gyptiennc. '
139.
.Y» 166. lSVjXll. lffl f. 17 ].
Contient: 1) V J^J ^%
Commentaire sur le Mi^bah de Motarrezi f 610 par Hadji B&M
b. fSaffj Ibrahim h HaflJ Abdalkertm b. OtbinUn al»Tousawl
^j-jUJ ou ^^UJ. Cf. Fliigel, W. H. I, 160 et 150. L'au-
teur florissait d'apres TtehkOprizadeh sous le sultan Mohammed II,
■c-a.-d. dans la 2 e moitid du 9° sieclc.Cf. Hammer, Gesch. des
Osm. R., II. 246.
2) f, 70. «.L*»1J e^i j «.UUij)
Par Hasan Fasha k Al&eddin al-Aswad, qui Uorissait d'apr&s
TashkOprizadeh sous le sultan Yildirim Bayfeid, c.-a-d. c. 800.
Outre cet ouvrage on connait encore de luiun commentaire sur le
^J%\ ^, qui se trouvc a Vionne (Fliigel I, 187) et dans la
Bibl. Imp. Publ. (Doru, Catal. p. 141)). Le tout copi<3 en 959.
140.
,Vr 157. lO'/aXH. 120 i. 17 ).
Commentaire sur le Mio-bah par Hadji BAM. II "no se trouvc
mention^ ni par H. Kli. ni par TdslilcOprizadoh ot jo lai clierclio en
vain dans lcs 'catalogues des bibl. ouroprtenncs. 11 commence: J.JJ
J^l J& j~j ^1 j^Jl f A*, j tJj J J ^l\ ^Jjj ^
■66 Grammaire.
fc _JHe £i 'L i fcJUL^il tjiclf.cil^ CHfiljiftdJj, t j*LLUJ -,=c B.l«.!iJJ (sic) Lv.j
. jU?J fe^L rt»,.c* /'">. Ensuite yient r&iumeration des livres eon-
C,
suites, puis Implication u'un textodu Goran, savoir B4,"V.l — i, etcalle
des ?.■ li.ad.iih suivants o^ll Jj j> J^> Jsail <l",,<^ l^U tU^&lb ^..lie
de EamaklisharL F. d^enfm commence 1'explication du Migbah, dont
la preface du rcste n'esi pas prise en consideration, F. 110" finii le
coro.ro. du Mi^bah et commence 1'explication de la 1° souradu Coran.
L'ouvrage est tr&s-riohe en citations, mais la copie malheurensement
est plus que mediocre. Copi6 en 1007.
141. .
M 138, 22>/ 2 X16. 499 f. 21 1,
Par Bis Hlsli&m f c.762. Copi6enl204paiv^ r ^l ( ^e v Jj j*e
Trfes-larges marges toutes couvertes de gloses.
142.
Ms 139. 2IXI&V2; 114 f. 16— 18 1.
Par Ibil HisMm lui-m6me. Cf. H.'Kh. IV, 563, Catal. Br.
Mus. 692 I°.,1520. Mauvaise copie faite en 1111 par j, J^ ^\
143-
JV» 144. 18V 2 X 12 1 / 2 . 102 f. 19 1.
Oontiont: 1) jl^JVl *J>£f
Comraoiitaire Bur le j\jJ1\ jU'tl do Bh'glliJi ') f 981 compose
par un disciple do l'auteur, dont le nom suivant H. Kh. I, 346
serait MosUlicddin al-Olflttlislif. Commence: f L^ J J^ <jy j.Jl
/ ', \ '
1) Ou Birkawi cf. Flftgel>V. Il.'vf, Kri^
Grammaire. 67
«»'„/"
Copie en 1060 par JJ! ^J ^Uj ^J
Par Hasan Pasha. Cf. lo'Jft 139, 2.
JV» 143. 22X17. 39 f. 25 1.
Par Hoseln b. Ahmed Zeinlzadeh o*Jj j^j qui l'a compost en
1 1 44- '). C'est d'apres l'auteur lui-memc un abrege" de son common-
taire sur les juji) JJ^Jl de Birghili. Commence: ^jJ) aU jjl
u®i^' u«-«=*j> ^Uc ^j oi^JJ asj. Copie moderne.
145.
#156. 20X16. 99 f. 21 1.
Le nora du Commeutateur est inconnu a, H. KL VI, 91, qui
cite les premiers mots en accord avec notro mscr. Cf. cependant Cat.
Bodl. II, p. 435. Un autre ex. a Leipsic, Fleischer p, B39. Peu ancien.
#141. 21X17. 76 f. 15, Set 18 1.
Contiont: 1) f. 1 — 17. L'AdJourroumia. II manque le l 6 f.,
do sorte que les premiers mots sout: a*oJl LU Oy^_s oJ^Jj jlpJ.,
2) f. 7—23. k>{{\ JJ^JJ-
Par al-Djonyfini f 471 ou 474. Boaucoup de gloses. Copie en
120B par Hosoin Efondi ayL-, Rostov.
3) f. 23 — 35, iSj^j>&+i) .j iyaSlI
Cf. Doili, 6aial. 147. Copie a Pcostow par Hasan b. al-Hadj
Mohammod Efendi qui est probablcmont le memo que le prudent.
1) Flagel, W. H. I, 165 et 10c. N
5*
68 Grammaire.
4) f. 39—73. Coramentaire anonyme sur les J*jys de Djor-
djani, sans preface, qui commence: _,Jil\ J e J~>-^ Uy- *UJ.
Copie par Hosein b. Mohammed Efondi b. . . . . j'^/U! j? s-f il/
f^'j <H!_/« « n 1205, Mauvaise copie.
147.
to MO. 21X18. 40 f. 18, 9 et 8 !.
Confront: 1) v^Jjcl^^^l^j
Par Ibn HlsIld.Hl f c. 762; boaucoup de glosos,
2) f. -19. iJUl JJ^Jj
Par al-DJony&ni. Tres-grando denture. Gloses marginales et
interlin6aires.
3 ) f . 33—40. j^jij JJ^JJ do Birghfll f 981.
Copie par (?) u xJ J| j^# en 1 100 (?); use, sale.
148.
M 146. 17X12. 89 f. 17 I.
Recueil des 5 petits trails grammaticaux:
! ) zjsj^ ^ par Abmed b. All b. Masoud. Le temps on
florissait cet auteur, n'est pas conim avec certitude. H. Kh. V, 488
nomme panni les commontateurs Hasan Pasha qui, comme je l'ai
montre plus haut, vivait c. 800. Notre auteur ne pouvait done 6crire
plus tard quo dans lo 8° sifecle, lequol depuis Assomahni, Catal. Bibl.
Pal. Med. 428 (ap. Nicoll-Pusey p. 436, n. i.) est communement
considers comme le siecle oil vivait Ahmed, b. Ali b. Masoud.
2) f. 35. jUJl ^^
±)f. 65. ' e LJ)
5) f. 74. Paradigme. du verbc _^J. Cf. FlUgel, W. H. I, 178
sqq. Le tout copie en 1217 par j^ ^ ^ j^' til.
149.
■■■■■J6 146.-16X-10V,. 107 f. IS 1.
Le memc recueil. Copie en 1191. Mauvaise fcriture.
LUXICCKUIAPHIE. 69
150.
JVJ 148. 22X 15. 49 f. 9, 13- 15, 7-10 et 12 1.
Contient: 1) M* ^Jcf. Of. le J!e 148, 4. Copie en 1194.
2) f. 12 . Risalah sans litre on persan sur la gram-
maire arabe. Premiers mots: v-^ C«J CXX *r<jyl iljll jj^
^J 4^. J J«i^ ^„J J «j^J d^f duJ ^j. 11 est peut-otre idontique
a celui do Gotha, Pertsch, Vera. Hdschriften p. 4 JIS 3, 1 . Copte
en 1082.
3) r. 38. iJ\-?Jr'> >3 L i^f<^
4) f. 48 . Traite persan sur le verbe arabe, qui com-
mence: ii/** jL d*^ aj ^ J J^mm^IT JJ j>* <£'Aj.i. Copie
en 1 122 par Ji l(,j »L.
5) f. 46 6 . Paradigmo du verbe _^«aJ.
151.
As 159. 27X18. 457 f. 33 1.
Par ai-Djaubarg f 393. Cette copio n'est pas sans valeur, car
elle a ete* faite en 840 par j*£ j, j.t > jC ^1 j, ^J3l j^
u w^fl d'aprfes un mscrt. copio sur un exomplaire 6crit de la main
du sheikh Ali b. Abderrahman b. al- Hasan al-Sollami al-Rakki
f 576, le m6me qui a copie" notre JIS 76. Al-Rakki de son c0t6 avait
collationnS noinbre de inserts et entr'autros un qui contenait une
partie du Qahah copi6e et revue par Tebrizi sur un exemplaire copi6
parAbou Sahl al-Henwi sur l'autographo de Djauhari. Voicilanote
du copiste: «*» JydJ J.J) Jp Ly£ tfL i Jr * ©j»j 4jU J^l
J**^' ^ * i-J j* *Jj*** **"" U^ j^ oj* Uf i>-»^ B **' J**
70 Lesxcographie.
u*l ^ i: - ij^ *** J^' J*©^L «.L*J| ^ur ^ 4 y t? jjf
ilb^j ^^ «j Oj^L, «^U»U Li ^ dill jj jii t c 9 ^J)
vjJi-^1 fe^Jiii Je jf. Ecriture trts-finc, mais parfoitoment
lisifale.
152,
M 168. 26X17. 698 f. 29 1.
Is iltee. Belle copie vocalisto. Copie en 88? par , *L • rf
Lu bas de la derniere page se trouve le chronogramme turc
'suiyant:
ijjp*j J U ^->^ y*^^ * plr ^jSl ^jk *Ti*Liblj /JjUf
M Z61. 27X18. 476 f. 8fl 1.
153.
y^^lsJ/
Par Flrouzabftll f 817. Le dictionnaire finit m f. 471 fl .
Les ff. 472—76 contiennent le
dn raGme auteur. Cf. Catal. Mus. Br. p. 242. La derniere page
contient une notice sur le mot aJ et quelques remarques tir6es du
r l^l g* de Soyouthi. CopiS par v lk Q , ^ ^ UL en
1023. ?ocalis6. Belle copie. Bibl Italinski.
154.
Jfi 160, 24y 2 X17V 2 . 730 f. 29 I.
ta.mftine, pre^de" de notices biographiques sur I'auteur, tiroes
du ^^Jj e ^4J| de Sakhawi, de Tashkoprizadeh et de H. Kh., mais
flans 1'appendiee du mscr. prudent. CopiS en 1140 par j»u* JjL
tjj^^r J^LI J ^j^j ^ j^ jj^ gang
voyeUes. Bibl. Italinski. '
Lexicograpeie.
\ 155.
Jft 162, 24i/ 2 X18. 8^3 f. 26 1.
i*j> law J jjj
Le dictionnaire arabe\persan de Mohammed bo ftbd-al-Rh&Ifk
b. Ma'rouf, qui florissait ci 860. Cf. Catal. Br, Mus. p. 469, Dora,
Catal. p. 202. Sans date. Pen ancien. Dififerentes mains. Don de
M. Pawlow.
Ns 153. 21X16. 79 f. 13 1.
Pofeme sur les mots se pronongant par les 8 voyelles, compost en
imitation de celui de Kotrob par lljebrail b. FaiMt f 1 732. Of. Boll,
ital. I, J£ 13 p. 255. Avec commentaire en prose par.le m6me auteur.
Un extrait do cet.ouvrage sc trouve a Vienne, Flugel, W. H. I, p. 490.
Premiers mots: a^X, kjj$\ & 'u^l HjA\ *^\i\ aiUl/ <4U jj\
j,JJ J J? ^i ju s 0J ^ ^^.V, vt c t\ .V ^JJ| ^kL ijj^Jl
£l CjUkki cJs (sic) dA« C*^. Premiers vers:
Au f. 76 commence une po6sje religieuse du m6me auteur dont
)e premier vers est:
u**^ «y« «J ^Uj«'I je J> * <jJlQ\ * JS * ^c »U j* ^« J^ Js
Le tout copi6 .en 1712 (11 24) a Haleb par L* ^dj .
157.
As 164. W^XIS. 116 f. 9 1.
Glossaire arabe-turc.
Sans titre ni nom d'auteur. Sur la tranche on lit: L**ti«\4ti
le mGine a la fin ^^Atu t*_>Lf Jj*. Les explications turques sont
72 IIhetorique.
Writes ontre los lignes du texte. Premiers mots: (j^i «jlil *«* ^JaJ
tj_/*if M iiL jylf^fi). Pen ancien.
1 kr
& 167. 30X17. 189 f. SB J.
Par Aboii Mmiw Amr b. Bahr al-Dj&hldfi f 255. Los nom-
breux ouvrages do al-Djahidh sont malhoureusement pour la plu-
part perdus et l'on ne connaissait jusqu'ici en Europe <nie 1) son
„Livre des animaux" -qui a ete d^crit -d'une inaiii&ro assez d6taill6e
par Hammer, Handschriften J6 161 sq. et Fliigel, W. H. II,
p. 500; 2) une petite, mais interessante anthologie ^«UJ) w bf
a/j-oJlJ, sur laquelle cf. Fliigel, 1. c. I, 323 et 3) un petit
trait6 sur les sciences occultes, d&rit dans le Catal. de Leiden, III,
p. 167. Son ouvrage capital lo j^)\ s (JLA\ ne se trouvant pas,
a ce que sache, dans los biblioth&ques de l'Europe occidentale '), n'est
connu aux savants que de nom. II est d'aprts Ibn Khaldoun, trad,
de Slane III, 330, une des quatre colonnes de la science du „Adab"
et par consequent une description quelque peu d6taill<$e du contenu
de cet ouvrage ne serait pas sans iiiWrSt Je me trouvo dans la" po-
sition agr6able d'avoir sous la main deux exx. do ce livre dont un
appartient a la biblioth&que de l'Univeisite do St-PStersbourg (fonds
Tantawi M>. 42). Malheureusemont les deux mscr. semblent remonter
au mgrae original, lequel presentait deja plusieurs lacunes et pro-
bablement 6tait mal relid. Dans le mscr. de l'Univ. los lacunes sont
genfralement indiqudes comme telles; j'ai done pu les determiner
aussi dans plusieurs endroits du mscr. de l'lnstitut, ce qui du reste
est toujours une tache assez difficile, quand il s'agit de Djahidh.
l)L'extrait (jbg), mention^ par Pusey, Catal. BodL II, p. 676 ad. I, p. 86,
CCXCII, que j'ai feuilletA & Oxford, est' lout-a-fait insigaifisnfc et De BAurait
donner aucune idee de l'ouvrage meme.
Rhbtoriqub. 73
Get auteur se fait gloire de ne jamais continuer longtempfa un theme
donna, de peur d'ennuyer le leeteur. Ce singuiier caprice do s'dcartar
» cnaquo instant do son sujet pour se lancer dans des discussions et
des communications touW-fait hnprtvues, est d'un cot<5 UD des plus
grands myites ') do al-Dj&hidh, car nous lui devons line foule de
renseigneinents tres-ourieux, qui sans cela auraient m ma doate
irrevocablement, perdus »), mais de rautre c6tt it eonniituc un mnd"
moment pour celui qui d&irorait donner en pou do mots une
ldfo gfindrale de 1'ouvrago ot de ce que Ton pourrait esp6r«r y trouver
Ne pouvant pas ontrer ici dans les Mails je rao bornerki done a
donner es titres des chapitres qui se sont conserves dun* les 2 mscr
et a mdiquer quelques-unes des digressions les plus remarquables
L ouvrage est divis<$ en 8 parties dJi, subdivisfe en une foule
de chapitres de diflftrento longueur, qui ne sont pas munis d'un nu-
mero et souvent n'ont pas mdme de titre special. L'ouvrage commence
par h^ U JyJj i& ^ <*L ^ HI M £j^ ,
. . .si : • I ^ vii .1^:1, ,.' " * i
j- a, s^j ir J4 «* y u oirj/ ^ 4, ^^ jji ^^Sa
o-J/ ^ dL s^«j LT, j#JJ, ii^LJ) ^ ^ ^ ^^4 f ^|
i*%JJ J Hill Jl iy^ U^i ^ 4jyl^ l,iyu U Itji^^j
^^J JU ji U^. L 'auteur procede a donner des cxemples
a Vk .i°v< ' 6t de M ualittB contraires. Oela I'amene a parler
de Wlpl b. Atha et f. 4 6 . nous trouvons J J, ^ j C L L J>
F.6*: UM\kjij\\^J\J>
F. 10": lM ^ U J,» ,*d» j| j^|( U •
„|.Vi . c '
F. 12 commence a ce qu'il parait un autre paragraphe, car on
trouve de nouveau la iU«; ce paragraphe traite des difitates
J? X£ un art parfait, admirablement construifcs etc. Cf. Masoudi, VIII, 84.
msns» dang lee « CulturgeschichHiche Streifettge etc. Lpisg. 1878 p. 71 @q.
74 Rhetobique.
manures do s'cxpliquer clairement (IllIJ), e^UDl, jadl, kij,
P. 14 a : Nouvelle *L^; sur la *U^.
F. 14- b : „ „ mfime sujet.
F„ I6 a ." p/ejL y«/-^' .J* 5 -- ;-<< fu'i4' V ^ /^ ! V^ '^
^l« ^i- j, r' J > p.ii-Jlj, en has du memei. : Jl J^fJI U.> j^j J
J^'j ^OWla^. , . J
i f . M) ! {/-.h'&la law) -i-O i>"b ^J -i U-JU
F. 22 : ^inlj £j* ^jL) £$£ ^*> avec beaucoup d'autres sentences
et remarques sur P61oquen.ee.
F. 26 & : Nouvello Basmalah f apr&s laquelle on lit:
k I (j|SU| *,>Xjb e us^ @J.«as» •jajJ.L,J) j /jj J>J«-»J ^wla* 'j« L*§sl
£.&{'. CjjJT'' _/8jiJb ^LsJLJ) «Jj-« ^J IJLs La _^IS ^J «*»>b
F. 28 : ^jLa*!)) ^fi ^J ^] t^b, 28 (j<-«JJ) ^j ^j.1 ^b
F. 84 e : Basmalah.j^ylJ ksllb qy>lliJJ ^jlail ^J J^l /»* -*-Aj
F. SB : ^>Ls.) ^b ^j Ji j,.» 1/ JySd) /•* ^sUi .^^ ^»i ^jb
F. 35 : ^sJ- b#^.laa: s *^U,i| ^J ._$_©jU I Ji«s£ j jk\ 1^X1
— ___ , " /
1) Voici 1'ezplicaUou de ce tcrme:
**"**'' lJ® J" 6 ^ *J *,jU«eliJ t-iiJ sLb« A«.eji ,,aJJ di ) jJI <UUi| .-P (UasJl
«J^fVjJ| oubien (f, 13 & ): " g ^Jl\\ s tiU) _,*«¥ iUUJl jUl ^,0 ^LaaJj
Rhetoeique.
V- »«' -Ull Jyv ^k s 38 6 Ju ^f ^k, 40 s ^
F. 46 G : ^ jU^ ^j J^|^ UUJ ^U^ . ^.
TP 4.7 6 - If- II • I
• • £ UiJ ' <J ^ ki j entre lesquelles on trouve une longuo
«*k do Wacil b. 'Ate, oft la lettre r est 6vit6e.
F. 50° ^UlJ ^U J ), Aprte cos ^,k une fouille blancha.
i fe -iii T?T ? ns . titre etc * par <■* ^ B ^ u/ J* 1 ^
cUj -^ • -* °^ L d 1 ^' Jls Aaoite ^ _^le. Viennent apr&s 8 flf de
r6ponses spirituelles («u,J) de nouveau dm <JLl I 64 a — 57- dont
celle du Kharidjite Abou Haraza (&> J) est remarquable.
61°: 4*1., 4«ii jj£ J B ^LjJ Jf J^l (jl 3C" 2 )
66« Basmalah. ^ ^
68 a :
F.
F
F
F.
F
F,
69
6.
71°: *UJJ Hi j. Ce chapitre n'est pas fihi. Apr&slaligne
24 du f. 72 a , qui coincide avec la demise ligne du f. 59 6 du mscr.
de l'Univ. il y a une lacune indiqirie dans le mscr. de 1'Univ., mais
pass6e sous silence par le notre. Les if. 72 a , 1. 26,- 74 6 traitent du
b&ton U*JJ et contiennent une foule de vers et de citations sur ce
sujet. F. 74* en bas: ^\ r ^UJ JjT J
F.W: UJ) J JyJI J j&\ ^~;
F. 77 6 : Basmalah. ^ __ „ ^jj ^
F. 85 G : pO ^^ j ^,[ ft c e chapitre est tr&s-court. L'au-
^1) Toutea ces khotbahs manquent dans le mscr. de l'Univ. Dans ce qui suit
eur le f. 61 les 2 mscr. s'accordent parfaHement.
2) La fin, de ce chap, et le commencement du suivant manouent dans le mscr.
de runiv.
76 Rhetoriqub.
tour passe sur h m&me f. ;\ citer do nouveau plusieurs khotbahs jus-
qu'au f, 86 a , oi\ il y a urn nouvelle lacune, indiqutfo pa? un bla»c.
F. f)O ft : wL .t;ans autre indication; memo snjci; tonjours vers
et prose. F. < d2 a : ,?■%[<■>; 9 - (A < /ei JI jSlLiJ; ibid, &-XJI iU*,.
F. 96 fe : LJU! J yL U/J
F. 100 ft : Basmalah, apr6s laquelle on lit: Ij^jj^^j ^ j£
^j L»U j^iy tJ j^?- ^ wJi _^*d ^ ■ :> '-0}J' i*el|.© jLail -j^^ .aLjjJ
i-iCi ^ 'j^* 3 d 'j? e J5 "W ^ ,1 E USJr'* (jF^ V 1 **' J^Ji
1© Iya«.sJ ^s_j ( [wljStfl le.s • ».» » 'lA^e^eim odLJI^ •jA&uaJJ
f. 106- : ajLIJI _^.>l »**f ^jjamJ) _ji\ (jl • .,*> (Us J_j_/ji l* fe_>lj
F. I09 6 : .JUiT j-Uil Jj)
.flais ^J d*jfcfiiJ| lc 3/Jlj •jm^JI j ^jIaaJI -j.9 ij^'' (Sic) ci*J
A*J,J^ 'j^m,J^X) t3L»J) ? '.aIIsJ) (..jj Jf^g) PJ 1 -* .'r* '' fJ^f f^*! JiJ^
1) On doit supposer ou que Pauteur parle ici de la troiateme parti e du pre-
mier fcUj ou bien qtse tout ce chapitre ae se trouve pas h ss vraie place. Dsus
les 2 asscF. du reste on no voit pas ou commencent ces subdivisions du l e ^Jj }
@J subdiviaion il y a.
2) 3'd ^jout6 cea mots d'apres le mscr. de PUniv.
B.BETORIQUE.
J>J$\ £*j f Wl jj» ^U, ^L\\ ^,U, ^^(sic) ^ JJI j^Uf .
jUlJI y^ ^y| ^l, Lie fe ^ U, J^{
Aprfcs la ligne 33 du f. 110 6 (1. 17 da f. 95 du macr. do
I Univ.) il y a de nouveau une lacuue ovidente. Uno glose du mscr.
de l'Uuiv. fait remarquor quo les mots qui suivent fonnent la con-'
tmuation d'une phrase incomplete par laquelle finitle f.37 b du raftne
mscr. Cela est possible, quoique pen certain.
F. 111°: Cj^tj *> uy>J*s Jjj^ [%M usjO-tj >' vC"
p. in": CJ j\\ J ^ii\ j yu l. I^ji o ;^| zc
F. 113 6 : C LJ| .xNUJ, -iUl J) §J ill • . I k' ~T
j^»'_? j* 3 -'.? u^'i -V uj***! V%> V^
F. 114": I l| f. '.'— r
F. 115": kel^e ^^ (JLmJI
(fc^iasi.
\J* -»'
F.
in 5 : ^j^ij^ii D ui ^jii ^ ^ i^ju u a:
F. 1 18 6
F. 1 20 &
■F. 12.1 6
F. 129°
F. 129 6 :
'^8 Rhetorique.
F ' 130 : ^.J^j w-^b _,.<»Lsr*»J Js Jj U tJC
F. ].3l a — 142: Sentences remarquables et kholbahr. etc. do
Mohammed et de ses successeurs etc.
F M9 G ° f Vi I •
P. lol 6 : 4^ ^Uj J^ ^ ^^ ^jjj Jjj ^ 3q
F. I53 6 : Commence la 3 C partie de 1'ouvrage; l> J\ ^\ .^
*^»J*_X^ Jl« <jy! ^J j e |jj_, i^f cU^il^ o^Hjii
g\ iliUJ) ^aj J 5 J,lii|. Ce chapitre qui est 'cl'un grand in-
tGrfit vu lepeu de renseignements positifs sur le parti antiarabe
de la d^y4, a n&nraoins le mfime d&aut-quelout I'ouvrage, c.-a-d.
le manque "absolu d'ordre et l'abondance de digressions. La plus
grande partie de ce qui nous en resto contient des vers pour raontrer le
grand role que joue le baton ^oJj dans la vie arabe. Les Sho oubites
reprochaient entr'autre aux orateurs arabes de no pas so separer de
leurs batons quand ils prononijaient des disconrs, usage, qui parais-
sait aux Sho oubites tout-a-fait barbare. Mais ce qui est plus grave,
e'est que les deux mscr. pr&entoiit ici une lacuno tres-rcgrettable.
Au f. 165 a au milieu de la page nous lisons ^ijlj J <^L
*«*»JJ **>j^\ *aUIj JSLJJj mais ce titre est de pure invention.
Dans le mscr. de l'Univ. on lit (145 6 ) apr6s le vers qui precMe le
C ' Vr «J V^ 'imaginaire et qui se trouve dans ce mscr. a la fin
du feuillet: LJ ^iu, \j» j.&> L. En reality on trouve dans les deux
/ Rhetoriqub. 70
pages qui suivent, la fin d'une discussion sur la mission de Moham-
med a tons les peuples, discussion qui constitue sans aucun doute la
nn ou la continuation de la pofemique- contro lee Sho'oubiyyaa. Plus
loin nous trouvons des anecdotes, dee vers dftachfc et do courtes
ponies en grand nombre, dont Introduction est motive par les
considerations suivantes:
F. 166 6 : c*«~ jr J J e ,| f ji^J] ^fj^Ul £j£
Jj ^ J vkfll U t* Oj£ iJ £»~k *£lU- dU» o/s
JUJ 4jj| P U ^|
F. 174°— i?6 e : Specimens de Eloquence des Abbasides, no-
tamment de Mangour et, de Mamoun.
F. 178': U, ,L*» iUJ|, ^^ j^, r y ^ ^
P. ISO* on lit: ^/_, ^| j^ j.LL^ yj^ ^
vilJi **il L_, J iljljlj, ^JJJ ^LL'I j-o^ a^. Derniers mots:
j—j -Ull j^ aUjs LU u dj %UL^ b*,! jl\ Jill j,
Souscription du copiste : . ,U J e *.% j 4JU jJlj ukfl"j
i*L, c*JI «i- ^ ^ 4U) d\ ^ h6 j ^ j^j ^jj|
VJl jLlj j-oVJ J_U j.^j jUi ^jji ^ j c ^ ; ^
^1 ' a; Jl,J _, *J 4Jjl >c JLJ\ J^j^lM
_ Le mscr. n'est que mediocre, abstraction faite des lacnnes. En
Orient l'ouvrage ne parait pas etre anssi rare qu'en Europe. Cf. les
catalogues publics par Fliig-el, H.Kh.VII, 61 JIB vio, 128, M ir°,
297 K i W , 404 Jft A nr, 457 J* m ., 517 J* m. Uno Edition
serait beaucoup a dfeirer, mais les 2 mscr. do St-P<5tersb. ne suffi-
cient pas.
f& 165. 16>(10. 143 f. 9 1.
Khetorique.
159.
&<.a«aj , fau^ij
Par Djelftleddfn Baznlof mirnom«u* fetfl Di me8 fak t 739
Upw peu uncioime. Larg-ec marges, couvories de gloses jubohVu f
160.
#' 106. 19X 12. 170 f. 21 1.
Par Mimin HasToDd b. Omar aI-fs«MnI t 791 ') c'est
le commentairo abnfeti. La copie date do J 049. '
#201. 21X16. 196 f. 23 1.
L'autenr qui ne se nomme pas, M dit disciple de *JJ/ ^
J^ u^UlJ, ML cjLJI ^i) djJ Q, ^i, (?) ^ J}
jWj. II cornposa cc Jivre pour dissiper I'ignorance crasse de ses
contemporains a regard du & ^\ ^ Commencement et division
comme dans ] c mscr. du Br. Mus. Catal. p. 50, * XXXIV. Sou-
scription: Ul JL j ^ ^ ^ U j j ^ } L >j ;>
«**» ^ *J\j cJfj ^ J^ ^ u- ^^ ^ Gopi6 ej)
1188=1774 par f9 J ^U^LL ^ j- ^^ ^
j 1
1) D'aprcs Ja chronologic de Facih en 787.
Pbovbrbee. g J
A°201 16X10%. 73 f. 9 1.
Par MmH is. Yrasof al-HuMI f 1083. Of; lo'jY°65 et Flu-
gel, W. H. I, 234. Notre mscr. ne contient que les 8 premiers des
14 cnapp. dont 3e compose 1'ouvrage. Le 8 C chap, n'est pas fini.
La souscnption tachc d'iusinuer que k rnocr. contient tout 1'ouvrage
dim. Italinski, ^
163e
N* 42. 29 X 16. 274 f. 29 1.
Par Ahmed b. Mohimraed al-Meidftni f 518. Ecriture trts-
toe. Sans date, mais pen ancien. Larges marges. Bibl. Italinski.
164.
*>?43. 32X21. 195 f. 37 I.
Recueil de proverbes et sentences compost d'aprts une note sur
le f. l a , qui du reste n'est pas de la main du copisto, par „le tifcs-
savant al-Yousi«(u-^ *4^ oJL"). Dans la preface (f. I 6 — 8°),
6crite en prose rimfo, I'auteur nous explique le but, la raison d'etre
et le plan 'de son ouvrage. J'en tire les passages les plus marquants:
Apres les formules d'usage l'auteur passe a l'eloge des sciences qui
se rattachant a r„adab", parmi lesquelles il assigne une place pr&mi-
nente a l'&ude des proverbes. II se plaint de ce que toutes ces 6tudes
sont fort negligees depuis la victoire du barbarisme (a^i). Puis il
continue: fol. 2" < JJ^ jl\ l> jl jfc ^ J ^ ....
82 Pkoverbeb.
a'**, ( l e k J^ ^sL J % l .»«f®N <j*J^ SJj;> <f^H ,U l (jjijldl
° ' " e "" " [ *'" to* *" J -' f '
J . J. <- ... „. .. ... ^.
^ i IjIJ-jIj; U«f5 l^eL < IjlU^ (sic) (jfiiLai, t^J,- ' bl^t 9
tJ^"^ 3 ^*^' \j iJ,.'^i s ' p~*» C^'" i-r^ u^ j. ' J4»'f £**t.s
(3 J* "° '' tJL^Urf «JUJy) Oia J| (f, 2 ) JAC U o^ t J| fe^ee^
L'auteur se rgpand easuite en eloges sur sod livre, tout en
reconnaissant qu'il s'y trouve une certaine quantity d'erreurs et
d'omissions. Oeci s'explique, dit-il par la decadence g*6n6rale de la
science contemporaine, par le d6faut de bons livres etc., ce qui aurait
bien pu faire renoncer a tout essai d'un pareil outrage. Mais con-
tinue-t-il, 2 6 en bas. *- l Jjs^) jX S^ ^dl 'jC J ...
^&9 J ^ ' l^JJ C^lo^al/ J^e ^bs.^/^ ' 1#a1c J^.ic) ojle _/^J _y^c •i*
I) Ceci ne doit pas 6<re pris au pied de la lettre, v. pluB baa.
Peoyerbeb. 33
^ oLdJ J^j f i * / a>0 ^kxjiA « |,^ tj, Xi, bl s « Ji £ il,
^ cr^ Lp j^ ^ ^ mi J c^„ < ck ji 9
jig pL 4jU ' jjj ^ ULL ' ,*& u
*^J^ ta-^-J f, 4'
ur te • *-*y tj?' *» y
'yjl Jl^s < «~dJ ^ J « JJj lyi! "' Jk ^) ^
^U » ufi uJ JU u^ ' oJUiUl ^frjij ' oJ Ji| rj,,
Jl 5^)1 u « jj, 5 J^Jjj, ^1) ^h j^t a;>J L ^ U j < ^i«JI
J^^l kJI a A^ ^ a?J) ^fil^ jO| J JW^v'a^ JJ|
^ uy^"j *«?j!, ^U^ iojis* 4 5 s^ l w ^ U^ jLu^fl j
JOI J uy^llj ^JUJI kjjl JOI j oyWl, JU
1) Ce chapitre contenait probablement dee notices sur des hommes illustres
dont ]e nom 6tait li6 plus ou moins intimemeat a des proverbes. Of. f, 71«:
84 Peoveebes.
j^
J uy^L* lS^' **y* f& J J?y J$ vM fW' «^,
Lb /j^j ^ ^i £?*# C'^ «-jU f ^l Jg ^y^J'j) tJ^'' jsl^UI
F. 3"— -13* contiennent I'introduotion qui trait* en detail dos
mots Jio et iX, de leurs acceptions diffiSronteo, de l'utiiit6 dos pvo-
verbes et sentences, et so termine par Imposition de i'ordre dans
lequel les provorbes sorit disposes etc. Co passage m6ritt» d'etre
reproduit: «J/^ U C*Jj ^j\ del wULJI ,, C ) ! 1,«J t | ^{yi J''-^ 1 '
*J^J' m^ Jj»^ Jj^' vW 1 ^* ^'' wij^ J* ■ J^'l ^*
te^uSj*)) Jfi ^*j l<® tj _,>*.) (JO (jU AaLsJ) Oiuu ^j L^iayEf O^UMO Lgi
t^Ii J dj l£stU ft^ito^ J.*l| l5»^ \SJ?" -"' **"£^ JLU«'
Ij'tJ^ <*Sili (j«o _^rjj • AJ <U» g*m & j j.uaLwl a «aJI J»l i«^
^J^L }U <jl$ J'jLdlj, J^LiaJ ^jaJU •.© jjlfiJJ /w> <uALnA ibLf (jy^J
Cj* J iri<^9' «J***' i'T® .*" _/'•*' .^> ^' i»^!j -ja*-3 jjigXi t»J*aS
^jU AjIj^I^ J»i*Jl Stt*®^ ^^ JjIm JL« ^aC AiSjj) osI^jI ^*^,
1) Ces additions occupent quelquefois plus de place que les proverbes du
chapitre respectif,
Proverbes. 85
Jr^ ^ J J—J' o J a* J 6 £^ B ^ ■> J^" ^) ,Li o' k**j
II paraitrait du roste que l'auteur aurait quelque peu change 1 le
plan de son ouvrage, car on lit au f. 32 6 , oft finissent les proverbes
en prose du l 6r chapitre: j£u ^ V UI l> J ^\^\ JL^ U l>
i^'^ ^ v-**-" '^ j- 8 v^ J^ ^^j'js W»l.» _/*^Jl tj ^^*si'
<jl ^J U*» V-^ ^ &•-£* A^BuJl jUe^L l&i)>jl_s <Uj£jj jUa^J
Notre mscr. ne contient malhourousernent que les 14 premiers
chapitres de la premiere partie, c.-a-d. les proverbes commengant par
les lettres I — ^o. Sous la lettre ) (f. 13°— 39°) sont expliqute
123 proverbes, ^ en contient 54 (f. 39 tt — 67°), O (67°)— 2.2,
^(77 6 ) — 14, ( 8 4»)__ 58| (96 6 )-98, £(116*)— 66,
> (126 b )- 16, U (143 6 )- 19, j (148")— 62, j (170°) - 14,
wr C-174*) — .61, J. (184 fe ) — 61, ^(m 6 ) — 26, en tout 673
proverbes et locutions proverbiales, sans compter une masse 6norme ')
de vers d&achis, une foule de po6sies a ), d'aneedotes plus ou moins
curieuses, hors d'oeuvres, dont ne saurait se passer aucun recueil de
ce genre. Tachons maintenant de nous rendre compte de l'auteur
de cet ouvrage interessant. L'auteur ne se nommant point lui-m8me
ni dans la preface, ni dans lo courant de son livre il ne nous reste
que Vindication de la note citee plus-haut. Je n'ai trouve* le nom de
aHousi que dans la liste bien preweuse de livres ayant cours au
1) Les vers sont toujours ecrits comme la prose.
2) Entr'autres une tres longue kacida de l'auteur (f. 168 fc — 168 6 ), consistent
entierement en proverbes et sentences
86
Pbovbrbes.
Maghrib, publico par M. Flflgel k la suite do son H. Eh. t. VI,
648—664 '). On y lit sous Us 111 U «^JJ oL»yJl, M &92 i*iL
u «^Jf ^j^j-e^^Jl, Jg 612 u „ f J] jmli ^j-«J Cjl^dJl
oLUll J, -J6 628 J ^Jf -juJl ^j*« UJjl U^i., aJIJJ
^b -jjl dini. »j« et enfin ffi 598 u «_jJ' ^"*^' iS^^ f^' j^j
_>- Jj. Ce dernier livre est, je crois, identique a celui qui nous
oeoupe. Sidi al= Hasan al-Yousi 6tait done un homme verse dans
plusieurs branches des sciences mnsulmanes. II 6tait post6rieur a
Soyouthi, qu'il cite au f. 170 6 , ou nous lisons U L^J1 J^il JU
«JU) iuUfj, II 6tait probablement maghribin; cette supposition
s'appuie d'abord sur le fait qne son nom inconnu a H. Ch., est
inscrit sur la liste pr6cit6e, et ensuite sur ses citations, qui pr6sentent
certains traits caract6ristiques peu explicablos chez un auteur oriental.
II parait par exemple ne pas avoir connu Meidani , mais en revanche
le commentaire de Bekri sur le Eecueil de proverbes attribu6 a Abou
Obeid est mentionne" plusieurs fois (v. f. 189 & , 192° etc.). De m6me
pour la Hamasah: ce n'est pas le eomipntaire de Tebrizi, mais bien
eelui de al-Chantatnourri (^^LuLlI) qui est mis k contribution
(et f. 64 6 , 24 6 etc.). Jo n'appuie pas sur ce point que e'est pro-
bablement le m§me savant occidental , qui lui a fourni les nombreux
vers des six grands pontes paiens, que Ton trouve cit6s presque
sur chaque page et cela sans variantes quelque peu remarquables.
Les Navadir de Abou AH. al-Eali (cf. f. 40 6 etc.) 6taient %alement
connus, je pense, au Maghrib et al'orient, mais il serait assurfeent
bien singulier qu'un auteur oriental cite a diff6rentes reprises des
anecdotes de la vie da certains goufis du Maghrib, sur Pautorit6
du jptJj uLT^L (cf. f. 40 s , 101°, 143°). Get ouvrage, qui
a aussi £chapp6 a l'attontion du bihliographe turc, se trouve de nou-
veau dans la lists sus-mentionn6e sous Ji 507: jLj ,J f^iilif
ijy&iJl et son auteur y est nomine" al-Tad61i (de Tad61a en Afrique).
Al-Mohibbi ehfin parle dans -son ijU^I is^ (cod. Mus. as. .11 8
l)Of
2) La
stir cet
leoon ,
lists
Catalogue At
ienne I, 53,
d'impressioa.
Peovbebes.
87
f. 492 fc ) d'un poete et savaut distingue" (sic) U ^^J\ ^ a ^ ^ . .^
^ifl^JI. Malheureusement il n'en dit que fort peu de chose;
ii se borne a lui faire quelques compliments et a citer plusieurs de
ses vers. Nous apprenons en outre que Hasan b. Masoud avait une
dent contre les habitants de Fez, qui ne l'avaient pas recu avec
les honneurs auxquels il croyait avoir droit par ses inentes. II les
poursuivait done de ses satires, dont voici un 6chantillon:
Je crois que ce g6nie in6connu des bourgeois de Fez est iden-
tique a notre Sidi Hasan al-Yousi. Dans ce cas il aurait v6cu au
XI siecle. Si nous tenons compte des circonstances peu favorables
dont 1'auteur parle dans sa preface, il faudra reconnaitre qu'il a su
surmonter ces difficult^ d'une maniere tres satisfaisante. Son recueil
est loin d'etre sans valeur l ), memo apres celui de Meidani, et les ad-
ditions nombreuses, fruits d'une lecture vasto et bien choisie surtout
de poetes anciens et modernes, en rehaussent singuHferement le prix,
Le mscr. est ecrit en naskhi ordinaire. II parait 6tre assez correct,
quoique enticement d6pourvu de voyelles. Les lacunes de l'original
sont «indiqu6es comme telles; les mots restfe obscurs au copiste, sont
souvent marqufe du signe conventionnel. On lit a la fin: j^ JS
j^c ijl'i MjLdl ,j^J'aJ «^j <&jlif j* c\j^\ {J£j &i^y •juis.j 44))
■ JA J die dUJ ^ic ^jxj)!! ^yjili/iJJ ^j^J'aJ] 4Jjf t j r i a^^L
Bibl. Iklinski. Cf". Biblioteca italiana t. 49, p. 21. M. de Hammer
a la Busaki au lieu de Yousi. Ii parait qu'il n'y a pas d'autres
esemplaires dans les bibliothfeques de 1'Europe. Je donne pour ter-
miner cette notice, d6ja trop longue peut-Stre ? le texte de ^explication
t pas oublier que nous ne possSdoua qu'une petite partie de 1'ou-
rbes tir6s de la Soimoii, du Koran, des po4t.es etc. devaient suivra
as eeparfis, Cf. plug feaat.
86
Pbovbrbes.
Maghrib, publico par M. Flflgel k la suite do son H. Eh. t. VI,
648—664 '). On y lit sous Us 111 U «^JJ oL»yJl, M &92 i*iL
u «^Jf ^j^j-e^^Jl, Jg 612 u „ f J] jmli ^j-«J Cjl^dJl
oLUll J, -J6 628 J ^Jf -juJl ^j*« UJjl U^i., aJIJJ
^b -jjl dini. »j« et enfin ffi 598 u «_jJ' ^"*^' iS^^ f^' j^j
_>- Jj. Ce dernier livre est, je crois, identique a celui qui nous
oeoupe. Sidi al= Hasan al-Yousi 6tait done un homme verse dans
plusieurs branches des sciences mnsulmanes. II 6tait post6rieur a
Soyouthi, qu'il cite au f. 170 6 , ou nous lisons U L^J1 J^il JU
«JU) iuUfj, II 6tait probablement maghribin; cette supposition
s'appuie d'abord sur le fait qne son nom inconnu a H. Ch., est
inscrit sur la liste pr6cit6e, et ensuite sur ses citations, qui pr6sentent
certains traits caract6ristiques peu explicablos chez un auteur oriental.
II parait par exemple ne pas avoir connu Meidani , mais en revanche
le commentaire de Bekri sur le Eecueil de proverbes attribu6 a Abou
Obeid est mentionne" plusieurs fois (v. f. 189 & , 192° etc.). De m6me
pour la Hamasah: ce n'est pas le eomipntaire de Tebrizi, mais bien
eelui de al-Chantatnourri (^^LuLlI) qui est mis k contribution
(et f. 64 6 , 24 6 etc.). Jo n'appuie pas sur ce point que e'est pro-
bablement le m§me savant occidental , qui lui a fourni les nombreux
vers des six grands pontes paiens, que Ton trouve cit6s presque
sur chaque page et cela sans variantes quelque peu remarquables.
Les Navadir de Abou AH. al-Eali (cf. f. 40 6 etc.) 6taient %alement
connus, je pense, au Maghrib et al'orient, mais il serait assurfeent
bien singulier qu'un auteur oriental cite a diff6rentes reprises des
anecdotes de la vie da certains goufis du Maghrib, sur Pautorit6
du jptJj uLT^L (cf. f. 40 s , 101°, 143°). Get ouvrage, qui
a aussi £chapp6 a l'attontion du bihliographe turc, se trouve de nou-
veau dans la lists sus-mentionn6e sous Ji 507: jLj ,J f^iilif
ijy&iJl et son auteur y est nomine" al-Tad61i (de Tad61a en Afrique).
Al-Mohibbi ehfin parle dans -son ijU^I is^ (cod. Mus. as. .11 8
l)Of
2) La
stir cet
leoon ,
lists
Catalogue At
ienne I, 53,
d'impressioa.
Peovbebes.
87
f. 492 fc ) d'un poete et savaut distingue" (sic) U ^^J\ ^ a ^ ^ . .^
^ifl^JI. Malheureusement il n'en dit que fort peu de chose;
ii se borne a lui faire quelques compliments et a citer plusieurs de
ses vers. Nous apprenons en outre que Hasan b. Masoud avait une
dent contre les habitants de Fez, qui ne l'avaient pas recu avec
les honneurs auxquels il croyait avoir droit par ses inentes. II les
poursuivait done de ses satires, dont voici un 6chantillon:
Je crois que ce g6nie in6connu des bourgeois de Fez est iden-
tique a notre Sidi Hasan al-Yousi. Dans ce cas il aurait v6cu au
XI siecle. Si nous tenons compte des circonstances peu favorables
dont 1'auteur parle dans sa preface, il faudra reconnaitre qu'il a su
surmonter ces difficult^ d'une maniere tres satisfaisante. Son recueil
est loin d'etre sans valeur l ), memo apres celui de Meidani, et les ad-
ditions nombreuses, fruits d'une lecture vasto et bien choisie surtout
de poetes anciens et modernes, en rehaussent singuHferement le prix,
Le mscr. est ecrit en naskhi ordinaire. II parait 6tre assez correct,
quoique enticement d6pourvu de voyelles. Les lacunes de l'original
sont «indiqu6es comme telles; les mots restfe obscurs au copiste, sont
souvent marqufe du signe conventionnel. On lit a la fin: j^ JS
j^c ijl'i MjLdl ,j^J'aJ «^j <&jlif j* c\j^\ {J£j &i^y •juis.j 44))
■ JA J die dUJ ^ic ^jxj)!! ^yjili/iJJ ^j^J'aJ] 4Jjf t j r i a^^L
Bibl. Iklinski. Cf". Biblioteca italiana t. 49, p. 21. M. de Hammer
a la Busaki au lieu de Yousi. Ii parait qu'il n'y a pas d'autres
esemplaires dans les bibliothfeques de 1'Europe. Je donne pour ter-
miner cette notice, d6ja trop longue peut-Stre ? le texte de ^explication
t pas oublier que nous ne possSdoua qu'une petite partie de 1'ou-
rbes tir6s de la Soimoii, du Koran, des po4t.es etc. devaient suivra
as eeparfis, Cf. plug feaat.
88 Medecine.
du premier pro verba do la lettro J: f. IT: TJj2\ Cj *dl~C~[/l
WjI ^ M s *U ^L. 9 oLL. * u .iJJ ^1 JL -pLcu.^1 i-Ll'i
J*»l tirfw ^*»j J li y*Ul (jj,l\ J 9 ^^
JJJ j* ALuX U ^Jl cr <J E CilT L J J l^, nil Jjjs,
' J^d 4"l pLi u' V^ <^ p^ u^' ^y
Le mscr. commence par les mots: .LiM ^ JLUJ <JJ| U^
M J) V,, V jLfcll p £Jj, ^J J^j| ^ jj ^ , j^
4^JIJ ; iiL J^ *% < jttfj, t^XJl j»yAl JJj
^. '^1 JJJ jjiL Si £ ^ J^ < jlu,i JU
MEDECINE.
165.
J« 56. 26X18. 145 f. 21 1. {les 7 dern. ff. 27 I.).
Le mscrt. ne porte pas de titre de la main du copiste, mais on
lit sur la tranche: ^uAl ^ J^(!)^j ^L et sur le frontispice
de la mam d'un possesses JrUI ^ ^ (!) ,,l ^ v Lf.
1) V. Meidani ed. Freytag I, 1, J6 160.
2) J\£ 19, v. 12 chez Ahlw&rdt, the Divans, p. 100.
.8) Apres ec : mot il y a une petite lacune, indiqu6o par un p aur la marge.
4) Ibid. p. 8, J¥° 6 v. 49,
Mjedeoine. gg
ft. Mya d Jleslhi f c. 390, q,„ est connue sous le titre de ^IIJJ
f;V- f" a ° U /" l tOUtcourt ' Cf " *ur l'auteur WMenfeld,
aiabe. Pans 1876, 1, p. 356. L'oiwago commence aprte la basmaiah
Par: ^ J^l v UO ,. U ^Jj ^ ^ ^ j^ ^ jU
Jj drji s ^ u ^ ^ i 4ci [• ,^ ^ui ifslisn t - . Ljf
phrase se repute mutatis mutandis an commencement de chaque
chapitrc, du deuxfeine par ox: ^ jbl v l£J| ^ J> ,Jj jU
Jp uoJl OUL.) j ^j J &aJ ^ ^jjj ^ ^ ^
<f w ,/■ L'encyclopddie consistent en 100 chapitres ou plutflt en
1!^^^ ° U , mon °£ ra P hi ^ i! ^ Me do comprondre quelle
d v nt celebre sous la domination des .cent livres', mais il est
pare I On voit en effet que le titre varie dans les differents mscr. et
d^Zl w -T ,eS ^ ductions du ti H * Led. 1. 1. Le mscr.
d Oxford porte .Ail ^J| (Uri p . , 38 J£ „ B82) _ lflfl ^
mscr ™ r°r T T ^ ,e P1US aU P,an de Vo ™ 8 ® 6 ')• Notre
mscr. ne content malheureusement que les 45 premiers livres et
encore ftut-il notor que le dernier (le 45°) est inoomplet, et qu'il y
a une lacune de 10 ff. apros le f. 104, de^sorte qu'i? manque la fin
(?MhTT l T hVreS 30 ~" 33 ' En «engant par le 42°
oui IL * I 7 M ™'- 6crife 6n encre rou ^ e et J *^s 'I**
coup patent des erreurs, qui pourraient faire croire .a 1'existence
con L c Z;i T ? ?f a n ' y en a P ° int ' a ] ' m *<* ^ ~M«
constat plus haut. Notre mscr. est assez bon, quoique peu ancien.
n ne porte pas de date. I/inscription la plus ancienne est de 1065
et ce serait approximativement aussi la date du mscr. Bibl. Italinaki!
i . 1} ^t™ ? ncore la phrase: aeU) ^ ~x£~j*+\3>*
H^ V U) JJ u'>^ ^ , Qui introduit dans le l<>* livre la table <le 8 100 traitte.
M^DECINE.
Na 49. 37'/ 2 XStfi-. 408 f. 811.
Par Ibi ^lia f 428. Comploi., Tres-bolle Venture. Log 5 livree
eommenoont anx ff. 1, 65°, 1 1 9 b , 813*, 8?3 fe . Oopi6 p&i Ibn Mo-
bammed Mohsin AM ■al-Ebalik ai-Touni en J 078.
in i <.
m 68. 19X11- 6B-+-2 f. 19 1,
Abr6ge des oUGf du Canon d'Avicenne par Sherefcddlll Aboil
Abdnllab Mobammed b. Yoosof a!-SS4kl J^al disciple d'Avicenne.
X/ouvrage est divis6 en J^*i. Of. H. Kh. IV, 434. Je ne sais si
,1'abr^ du Canon « dont parlent M. II. Wustenfeld J\ r s 131 efc
Leclerc I, 479 est identique a notre abrege des cAJf, c.-a-d. du
premier livre du Canon. Premiers mots: j**il j.*«if ,jm\ oU jUI
Jl aJjil sjLut j iL»UJ ds^J) tssti is**'] •£ Jjjij y^ Lo A^a
Souseription : (j^Uil «^l^oU^_/*«^y> j «J^J wuUl J
^ ^J {j$i^ uLp* J-©UJj ^*XiJ JuJJ aUIJ c^LJJ ^J <uitjf b°
&JJI tjaSi wAlxJI J <f\ aIJ feU&l^ ><eLt Ua*»j '^l* i*j*o jU»
Les 2 dorni&res- pages eontiennent Implication en persan de plu-
gieurs mots arabes et persane. Bibl. Suchtelen.
M^DEOINB. 9 1
168.
,V«64. 20y 8 X18V 2 . 65 f. 19 1.
Le mime. Oopie plus moderne.
169.
.V:48. 26X18. 207 f. 23 1.
■Commentaire sur le jylM >jr de Ibn al-Nafis al-Karshi x )
par Sidldeddfl al-Kftzerouni, qui le compoaa en 779 (cf. le M 170);
il n'est done guere probable qu'il ait 6ti le disciple de Kotbeddin
Shirazi, comrae le pense M. Leclerc II, p. 264. Le mtoie a Leyden,
Oatal.III, 240 etc. Notre mscr. ne contient que les 2 premiers ~j»; il
a m copi6 en 886 sur une copie de la main de Behaeddin Kaze-
rouni, ffl&ve de l'auteur, comme le prouve la note finale: <\$ Jli
A* tile UyJL ^1 41,1, I.JU ^ oLiLJ>JI ^ old)
**y ^ ijl* O^O ytjttj *L~, ^ Jl^i ^ ^^ o}W ,j^jj
t' Jr°i O^ h^\j M J) j ^LL ^ 4jy|. Bibl. Italinski.
no.
JVU7. 81X19. 294 f. 311.
le 'ntme 2 ). Ce mscr. contient 1'ouvrage complet, si Ton excepte
1) Une glose sur le f. 2 a dit:
«m»? ?' LeCl6 ^ "' 2 ? 6 doane Ie tkmmk de la P r6fac «> <*'°u il rSsulterait quo
maltre al-Aberj Blip.. Je n'ai pas reusoi a retrouver ce nom dass bob deux mucr.j
92 MilDECINE.
une hcune do quelqnes ff. aprfes le f. 188, qui crabragsaii; la. fin du
2" -f. Nous appr<wonn par la note finale do Tauteur qu'il fiuit son
li?re a Tobriz on 7?9. La copie date de 1085. Lob ff. 292 6 — ~2M
contionnent ajh) ,,SM JJ /^ i*-^. Bibl. Italinski.
JV» J')V. 20' /;,,XI3. 2G f. J 9
A,JiJl dj^J
Far JtMi Si'ua. Of. Catal. Lugd. Ill, 242. Lecierc, I, 47S.
Copie pou ancienne mais ant6rieure a 1022, date d'un sceau. Bibl.
Suchtelen.
172.
J© 61. 22 s / 2 X16 l / z . 86 f. 24 1.
Par Abon-1-Hasan Saifd Si. Hibelallab b. al-Hasan al-lsgdldf
le philosophe, qui le d6dia au khalifo al-Moktadi (467—487). Cf.
Aumer Jl 822, Nicojl. p. 164, Lecierc I, 492. Copfe en 989.
173.
Mt 51. 30K 17V 2 . 328 f. 23 1.
Ce manuscrit ne* portant ni titre ni nom d'auteur, il me faut
.ntessairemeni entrer dans quelques details pour trouver l'un et
1 'autre. Le rascr. commence ainsi: «UJl ^>j f*jM (j**-^ *^ f**
an lieu.de ce nom on j lit celui d'un certain Borhaneddin, Toici le passage:
jfjMj ,jJi uk^ Jf^J ^' Jijd^A *W' ^^ ^ CJi^ J
e IsamJ^ ^_J«il«Jj «4ojlZj WlJIji {jUUl J l^k^o ls*°««® 'J«/** ^W Ofe^f'
owJ . ■«e axImmJ) L® jjl^f JJj j^L* _/*£» >jL J ^|l WjU^I )jk U
_j«*>f J j &Ls Jil ^i fe^^LJl. L'ed. de Calcutta ne m'a pas et6 accessible.
Mbdbcine. gg
Vient ensuite Enumeration des 26 maladies et puis la description
d6taill&) des sjmptomes cA*% et du traiteraont f % de chacune
d'elles. La mdme methode est appliqude aussi aux maladies des aatres
organes, savoir:
F. 55°: L> ip -^j ^\ a J ^^Jf^lTj^l
F - 72& fljl ij£* <jXl\ ^[J
* • * 13 t^ ^e ia^ ^^idJ u i^l
F. 126* U^ ^l ^ ^ P LJI ±J ^J
F - 165& ixM^Ji
F - 231 * ujJl^ltjii^/ubU^II
F - 262& ^U!
Au f. 308 6 nous lisons: iJla* cXfj ( 8 j^ f ^£jj ^f
l)S«Toir:.iUj| ocl^lj ^JJI ttl^lj^XJl l^J, JJJ
Ue'yl^ ^yJJ Uslyl^. les poisons (f. 215«-281 6 ) ss subdivisent en
2) F. 807«, oil commence la descriptioa des Sevres comp!iqu6eg CjLUI
*^JI 1'auteur nous dit qu'il va doaaer un abrigfi do la fin de IWvrage da Istak
X'tSisSr" V " qUe C6t aUt6Ur & "** dG C66 makdieS * Vwoltai la
94 MiDDEClHE,
JUio ©,>.„£.■ *$ jk.Mj <*JLsy qij^js &l@j 4U' j-o^ iy(*il <UUiJ , jp ,
o^.' «-^ *'' {Ij* ^-i 6 ^ ^ eQ suite avsc im alia&i -^ CtJ ^* M^ii^
^L^ll J ? fo jb Lxil <jj) ^Jj ^j^LiJ q*> U^il L ^. cJjtfjll
^^ y.^j: ^j^j) ®^ au *'• S2S f % dernier du manuserii: CJ
r ^ * " -' ■ ^ W 2 '■
AuX 229 6 — 230 on trouve la description d J im fait de h prt--
tique de Fauteur, qui se passa „chez nous a Eahra". Au f IVM*
] Notour dit avoir vu a Saragosse un homine atteint du mal nommd
^pl^sJI et au f. 210 il nous apprend que le climat de Saragosse est
tr&s peu propico a la gu&rison rapide des ulc&res. II est Evident qu'ii
faut chercher Fauteur parmi les mMecins de FEspagne et commc il
results du. passage cit6 qu'il 6tait „chez lui e a Zahra, on est conduit a
supposer que le mscr. pourrait bien Stre une partie du fameux ouvrage
de AbQU-i-K&sim ifetef is. ai-Abbfts al-Zahrawi (Albucasis),
connu sous le nom ('ciJUJI ^e jsfi -1 tji^&zll dans lequol se
trouve une ^js^ll »^Uj aJU.® . Voir sur Fauteur et son oeuvre
la longue et interessante notice de M. Leclerc, I, 487—457, M. M.
Steinschneider dans Virchow's Archiv far pathologische Anatomie,
i 52, p. 482 — 484, Haeser, Lehrbuch der Gesch. dor Medicin,
3 6 6d. Jena. 1875, I, p. 578—584 et Rieu, Catal. Mus. Br.
p. 781 ad. p. 458. Gette hypothese se trouva confirm6e d'abord par
Fextrait sur la lithothritie, tire" de la traduction latine 2 ) des 2 pre-
miers livres du Tasrif publi6e en 1519, qui se trouve reproduit chez
Leclerc, 1. 1. 449 et Haeser, 583. Voici le paragraphe correspondant
en arabe {f. 1 10 6 de notre mscr.), tire du chapitre sur les maladies
de la vessie iiUlJ; je donne le texte latin d'apres Leclerc:
„et si cum hoc regimine non exierit, $) _, ^* jl)\ S}<j? C»> O^
1) La raeilleure traduction du titre serait a mon avis: «L'independance
donnee a celui qui n'a pas sous la main d'autreB ouvrages de medecine». Gf. la
trad, de Flflgel, W. H. II, 626: «Dag Buch der vielseitigen Anweisung fur Leute,
welcbe der^andern) Werke uber die Heilkunst nicht habhaft werden konnen»,
2) Je n'ai pu me procurer ici ni cette edition latine ni meme l'6dition Oban*
sing de la chirurgie.
Medecwe. gg
studeatimplereipsara[vesicaro]cum ^ J-JL ^ 1* Ji.Li
instrument*) quod nominatur al- Ui, ( 2 Uu J^f ^^Jf
nul *), apud viam transitus, vol ac- j >l s fa J4J/ j .JL.Li
cipiatur iDstrumentum subtile quod 5 L-«_il ^ L j j ^^f
nominatur mashabarebilia et sua- iJiU. C^lf J L^U
viter intromittatur in virgam et ^ *j* * C^^LJJi^U
volve iapidem in medio vesicae et L-J«^«., L kl ^ |
si fuerit mollis frangetnr et exibit; j«iJl Cr _ j^ •£ (^
si vero non exiverit, oportet incidi, iJU- J Ujl. , UT L«jc
ut in cirurgia determinate", jjl, ij|
Une autre preuve non moins convaincante nous est iburnie par
lea renvois aux autres tilu de 1'ouvrage qu'on trouve en tr&s-grand
noffibre. Ces renvois nous donnent en termes un peu abreg& lee
titrfis de la plus grande partie des 30 traits dans lesquels estdivise*
le cij^r-Jl. L'auteur renvoie notamment aux traites suivants de son
ouvrage: la U° makalah oUyJJ^ cL^lij iJLu (f. 20°) a la 7°-
yJI L^l iJU* (f. 177"), a la 12°: UJ L,*\ j iJU-o (f. UQ\
et ensuite, sans indication de num6ro d'ordre, aux makalahs suivantes:
jijl <Ul) JU, ^LJJJ oUj^I, oL^J/, C/^Ol, jj^J ,
^IJ), otiL^Jj, ^JiJj ^j, J^ jJL JJI, Jijij. La bi-
Wiotheque Impenale de Vienne possede un exemplaire 5 ) a ce qn'il
1) On voit que «alnul» est une simple faute typographique pour alrail.
2) Peut-etre faudrait-il lire ici Lii., ce qui cadrerait mieux avec la tran-
scription ktine «mashaba» et comma on lit en effet dans un passage de la chi-
rurgie cite par Clement-Mullet, Journal as. Juin 1837 p. 526, cf. Haeser, p 58*
Quant au «rebiha» je n'ose pas avancer d'opinion tres positive. Serait-ce un lapsus
du copiste pour «recica» ?
3) Biffez les mots ^L
4) Les deux dernieres sont probablement identiques.
i, ? ^! S, ui '. P*™ 11 -' 1 ! a ^ch'appe a l'attention de M. Leclerc, aussi bien qn'h
celle de M. Steinschneider, v. Virchow% Archiv, 62, p. 483.
O*
W>
96 Medecine.
parait complot do Tasrif, qui a et6 docrit, malheureusement avw ira
pou trop dc brieve^, par Flttgel, W. H. II, p. 525. Je dois a la
bionveillante obligoance de M. le Dr. David Hoinricb M filler urn
copie de la table des makalabs, qui se trouve dans Is. preface dc Poa-
vrago. On y voit en effct que la 7° mak&lah qui d'aprfcs k renvoi cita
devait traiter des k ,sJ) h^>\ porto le titre suivant: h <: ^,\ cXka Ji
oULiJL C»U_;>lJ„ ; r «iJ , , /Ji j^k" ( ,;Jj, et quo la I4 C traito,
comme jl est indiqu£ dans lee renvois, oUjjJ! t (sic) .iUUi .9
Cjj^ull ^t „ C>')i^U . Dans le titre de la 1 2" le mot essontiel
est malheureusement omis. On n'y lit que ^.pl <j, mais le mscrt.
hebreux d'Oxford (Uri Is 415) lit jrn m3B) "^H^, commo m'6crit
M. Neubauor. Je crois qn'il no sera pas superflu d imprimor la table
ici mfime, quoique le mscr. de Vienne, a en juger d'apres cot extrait,
no soit rien moins que bon, et quoique je ne sois pas en 6tat d'en
corriger toutes les fautes. La void, telle qu'elle se trouve au fr 5 a
du t. II du mscr. en question:
4„^a)_^j ^ djjedj j) 4s._^odl ^ tOL«aA4«iai |j M®t£&B LfrLXotgi ijs™' 'ill**'
We Jl
( „/*'J J ^) k-J° > *»*' J 5 «/*** t_i d-fs^SJJ '»*4u>*l Stejlftsa jj A^JLyj
aos^MJl <k«s ■*<& (1. daiUJI) daJUUJ di^ail
<U^U-ll (1, W^«A*I) /jRAfeJ • «^ SJ^jn&lAJ 4ja^J/ feL»WI«0 jS 4auJ>UiJI
yJJUJ) (I. fe*3 tj') /*^«^ 0,/*'
/jlDj (1. 0ijSJ') iV"' fc-**^ ^J*J» ijji«l 4»jU«9 ^ i«.»LJ|
<JL>IsI,sjaJI« (1. WUfeJ^iJI j) «w»U>j ijkilj
Medeoine. 97
c^U/ j^ (i. c^Oj) c/)U M Ol oL. j UIUI s
' JA&lpiJ
[add. <UJl] .... h^j j -^ ^Ulj n
. L#«,; iX^ UaiL. _, olwj/ j „ iZMl „
a.W^i,)cJ^'^ „ '"'£uir „
(1. olyJJ!,) ou^.U), oUuji^ jui/ j^ZjT ,
98 MilDEOINE.
Lc Aa^j/q piss**.*! >>& ^jaZSj ^^j^i <*.«.«« J ik CjJ-/***^'j ^w^L^'JI rtlUAJ
*LsJ.„& AJ eubJ:,^ IjV-ai^i^, rtjjjJJdl ^5y» t I „ AnAtu.li „
I {to )>* )l .«}
<l/Jj.»ll tl^jliu Jil^.Jj, dj^;j.)i; ,/W-j t \ „ 4**1*1/ ,_
sls-'_y ^Asl. iaRJ/Jl ijujl. ^A_J| • ,,-6 tJ-Jvil.* ^J^S,)) ,8 /jyXJI ,,
Dans cette table aussi bien que dans les traductions latinos et
hSbraiques la deuxi&me makalah est celle qui traite des maladies , cf.
Leclerc p. 446 et 449 et le mscr. hibreu l ) de la Bodl. Uri J\fs 414
(Hyp. Bodl. 3738, 1 ) et elle finit dans les. inserts les plus complets avec
la citation sur les fievres compliquSes tir6o de Ishak Israeli (cf. Stein -
Schneider 1. 1. 484). Nous ayons vu plus-haut que dans notre mscr.
il y a une contradiction: au f. 308 fc nous lisons qu'ici finit kLXS
la makalah des divisions des maladies, qui est nomm6e la troisieme
de l'ouvrage, et a la fin de tout le mscr. nous lisons de nouveau
qu'ici finit CJi la 3 e makalah. II est tres-probable qu'il faut consi-
der le mot iilliJl au f. 306 6 comme un lapsus du copiste pour
iuiUJJ et voir dans les ff.. 306— 323 non pas une sorte d'appendiee
a la makalah pr6c6dente, comme on serait tente de le croire d'apres
les premiers mots (Jl •►* <ij UW~'j) m &is me11 une makalah
ind6pendante (la 3"). Ce point de vue est confirms par uu renvoi it
cette 3 6 makalah qui se trouve au t 145 fr Notre mscr. est pen an-
cien (12* siecle?), sans voyelles et parait avoir 6t6 destin6 a recevoir
beancoup de gloses, car les marges sont tres-larges : le copiste n'aura
pas eu le temps d'y mettre la derniere main; tel qu'il est, il ne s*y
trouve pas la moindre remarque. Le texte eependant me parait ©tre en
1) Je doi& cette derniere notice it l'obligeance de M. A. Neubauer.
Medeoine. 99
general en assez bon 6tat. Le copiste travaillait probablement sur un
bon original. Je serais en outre tent6 de croire ^ue cet original 6tait
orne de gloses, car an f. 89 b nous lisons: i*iL J L^C j»_, L* ,
yi L**l«2l <uc jj ai^ ajJ jfij jj-j^iJl. Au f. 314" nous lisons
apres nne longue rccette les mots suivants: tjLJJ T >) nL\l J Is
J*uk» <UJ ILi ^jJ^C ^P_j. JuAfJ ^aC -j.0 O^r^' ' ^i-5 3 Cj.Jlli._j, Ijlip
j-k*** *"_? o^Lr' £_*_)■'•*' J-u^sHj /» ! f*i ^J jj^f ^l-i J.u*eJJ ij^^ -^s
0( >_s wl^iJL. Cet Abou-1-Bayan est probablement al-Sedid b. al-
Modawwar f 580, cf. Leolero II, 55, et on a taute raison de croire
que sa remarque a passe dans le texte de notre mscr. 6galement de
la marge de la copie qui a servi d 'original a notre copiste.
174.
J^ 52. 26X18. 228 f. 21 1. '
Par Abdallah b. Ahmed b. Mohammed Jbu al-BeglS.r f 646.
Cf. Leclerc II, 225 sq. On lit sur le frontispice: ^ J 3 V) 6 jl\
jjluJal jjuJj ^JOly*| [)■*> (,j°j*> f^/°j* AaiLiJI AjjS&l ^J ij***> V-jUT
tj^i kk &£*»■' • ,« i\y>L* w_jliJl jlk^J) -J . Copi6 en 860 sur
l'autographe de l'auteur, ce pr6cieux mscrt., qui malheureusement ne
contient que les 10 premiers chapp., acquiert une importance encore
plus grande par le fait qu'il a et6 collationn6 sous les yeux d'un
mSdecin. On lit a la fin du volume: ^LXJ I j* Jj^J e jl\ jf
&>l> Lc J*il tUJ^j ii^j e Lic^J ^^xJ iSj'Al <LjS$\ u i ijAfiil
<J&j ijull iJ>\_s*\ u s jLe ^-sl*) v . ' U^ Or' J^' o' °>^J
ajULt j j*l~ &«,. Et un peu plus bas, de la mfime main: J^y
V*** tJ-^**' j***!./?' CJi^' U^Ji ^r*' Jj , *- X * aL^**i «^-»*^t _»
iiiUJJ ^j^ i^^UJ <Ly;jil ^i a*.,^). En 1802 le mscr. fat
100 Medeoine.
achete a Constantinople par le moine de Mar Yohanna Shoueir ^jj^jI
George fits de Thomas ^jill jUi, comme nous 1'apprend line note
au bas de la meme page, et c'est probablement lui, qui le ceda a
M. Italinsky. L'ouvrage n'ost pas tres-raro; cf. Catal. Lugd, III,
257. Premiers mots: jsC-^ ^> J> j£J J>-' i5<J^ *$ ^'
ebJ. \jj*. j>Le Jj a5U«j iy^j. Beau naskhi ancien. Bibl.Italinski.
175.
& 53. 26X1'?. 203 f. 25 1.
Trait6 d'oeulistique par ^adaka b. Ibrahim al-Mtyrl al-HanlS
aWMdhfli (^Jil^JJ ^^il ,j.^®iL> Jt ^Ll\ ^I_^l ^ iij-«). H.
Kh. IV, 265, cite l'ouvrage, mais ne donne pas le nora do l'auteur.
Aprfcs les formules d'usage l'auteur parle en ces termes de son ou-
yrage: J£> JlaJ *ujJ J,\ ^jfc (j\ J**« J^^Jc t^J^' 0" •>? j>
Jc Atui 2yu L ' OU&UI v_)LU*Jj» ^J^jI JuLo! Jaj ' i^jbjiil
WjJftlk* _^e) <UsLsd| ^| ' „|^J_^©I O'j0<«j ^** s ^ **** //• t/"l
\jlLyf Jl <u± _/i>J J*CI J (sic) Lltf «jJL" J JLJ *Uj) 0>stJ
dfr^i j 'fc^JU* J.J UJ ^uj * t-^L/^ j ( 3 i c ) U>** A^c^jlj *M» «--^
*S jsIj ' IftiJ jljUfo ^jQsjll f^^^ah y ' MjsMl fcj.Ub ^ JJLaJU ^i
4aS
1) Ainsi dans le texte. Sur le frontispice JkUJ ^ o,J»*jl t_>uT.
Medecine. ]Q\
^'■»jj CjIsL^j Si 9 L J ^LlJ jl«Oj j^L.^ ii#uM» ij^J
mil., ^%J) al» j c ^ L^ l. oli,LJ ^ tiJclj £d, ij.fij
La 1° Djoumla est subdivisfo en 6 j-i; la 2° (f. 17*) et la 3 e
(f. 39 fe ) en ont autant chacune; la 4" (f. 99*) et la 5 e (f. 129 6 )
comprennent chacune 10 fa^l. En guise de conclusion ou trouve une
makalah l%^\ ^^ >LJ\ V W i Jej ^i.
L'auteur, dont j'ai vainement chercbi le nom chezLeclerc vivait
dans la seconde moitie du 8 e sikle de l'h., ce qui rtkulte d'un pas-
sage au f. 74 , ou l'auteur nous raconte un fait de sa pratique date
de Tan 762. II est probable que TEgypte 6tait la patrie et la resi-
dence de.notre auteur, et il est sur qu'il a visits Jerusalem, ce dont
il parle au f. 42°. "Voila tout ce que nous savons sur sa vie.
En revanche nous savons beaucoup plus sur ses etudes. II resulte
de Touvrage qu'il 6tait profond6raent vers£ dans la literature m6di-
cale arabe, dont il cite un nombre tr&s-considfrable d'auteurs. Jeme
borne a indiquer ceux qui se sont occup^s de I'oculistique, car il y
en a parmi eux quelques-uns qui sont encore inconnus: 1) Sad ibn
Kommounah ^ } S ^ j^, auteur du J*(Jl ^i ^SLW ^UUj,
„le raeilleur ouvrage d'oculistique qui exist© " f. 94 6 . II vivait 1 ) apr&s
# 1) II est done tres-probab)ement identique avec Tauteuf de plusieurs ou-
vrages philosophiques Izzeddaoula Sa'd etc. Ibn Kemmouna f 676 Buivant H. Kb..
I, 303. Pour la prononciation de Bon nom cf, CataJ. Lugd. Ill, 849. n. 2.
102 Medkcine.
Samarcandi, car au f. ?6 6 nous lisons, qu'il est le seul a meiitionner
certaines maladies do* l'oeil et qu'il en a eniprunt6 la description a
Samarcandi. Les autres citations de Ibn Kommounah se trouvem au
ff. 48*, 71 6 ; 97 6 , iOO a , 182° et 187* 2} Shemseddin Ibn ai-Ak-
fani, f 749, auteur du q*J\ (on plutOt du ^J] o>^0; cite au
f. 70°. Cf. H. Kh. V, 207 et le mscrt. suivant, 3) Thabii b. Kov-
rah le Harranien, auteur du o^«»Jl^ ^.oLJJ »')L»I ujllT, cite au
ff. 54 6 , 94", 96°, 111* et 145 6 . Cet ouvrage est aussi cite par
Salaheddin b. Yousof, v. LeclercII, 206. 4) L'auteur du ^VS
ijl^Jl (f, 39 6 ) sur lequel je ne sais rien. La citation porte sur le
costume de l'oouliste. 5) Mainour, auteur d'une Tezkirah (f. 99 6 ),
dont on ne sait pas davantage, cf. Leclerc II, 140, cite a propos de
Top6ration de la cataracte au moyen d'une aiguille creuse en verre.
6) L'auteur du J*Of ^s^ilJl v uf (f. 45°), dont je ne saurais
pr6ciser le nom. 7) Ibn r Amran l'oculiste (f. 197 6 , 198 a ), qui est
peut-6tre identique a Ishak b. 'Amran (Led. I, 408) lequel est cit6
aux ff. 43*, 65° et 60 a . 8) Fatheddin Ibn Abi-1- Hawafir, auteur
du JsOI j Jill isui V UT (f. 16 a , 158 a ) cf. Leclerc II, 219.
9) Ali b. Isa al-Maoucili, l'auteur de la Tezkirah (f. 92 6 ). Le mdme
est probablement design^ par les citations qui portont: „Isa b. Ali
al-Maoucili" (54°), „Abou Ali al-Maoucili l'oculiste" (154 a ), et
„ l'auteur de la Tezkirah" (9*, 11°, 16°, 172 6 , 182°). Cf. sur cet
auteur Leclerc I, 499 sq. 10) Abou-1-Motarrif dzou-1-wizaratein,
c.-a-d. Ibn'Wafid (Eben Guefith), cite au f.86 fl -et8.5 6 Cette citation
du reste parait-6tre tir6e plutot de son traits des medicaments simples.
Of. sur l'auteur Leclerc I, 545. 11) L'auteur du al-Montakhab-
(f. 145 6 ), c.-a-d/Amm&r(ouOmar?)b. Ali al-Maoucili, dont .1 'identity
avec le Canamusali du moyen-age a 6t6 constats par M. Steinschnei-
der depuis longtomps. V. Ztschrft. d. d. morgenl, Ges. XXX, 143
et l'ouvrage y cite et cf. Leclerc I, 533 et II, 500. Au f. 43 6 enfin
on trouve une citation du Morshid (jUL,U v^) mais'il est plus
probable qu'elle est du Morshid de Temirai (Mohammed b. Ahmed,
v. Led. I, 389) que de celui de al-Ghafiki l'oouliste (Led. II, 81).
Les autres grands noms de la m6decine arabe et grecque, surtout
ceux de Ibn Sina et de Galien sont cites tropsouvent pour que nous
nous y arrGtions. L'auteur joint a cette vaste Erudition l'exp6rience
MlODECINK, ]0g
pratique ct une cortainc critique qui 1'induit quelquofois a se livrer
a des experiences el a des rechorchos personnels pour dfcouvrir
la vent6. Tout cela ne l'e.npfiche pas du roste d'etre bon ran-
suliuan: t6moin la belle priorc qu'.m saint homme de Jerusalem
'■onseUla a notre autenr de prononcer chaque jour avant ses opera-
tions ■ et que ],„ de son cot6 recoimnande cbaudoment a tous les
adeptes de la science modicale - temoin encore la phrase finale de
J ouvrago : „sachez et restez convaincus que tout ce que j'ai 6crit dans
■ce livre nest que betise, si 1c trailement. n'est pas aidd par la vo-
TlJ U ort toUr deS Ci6llX '' Lo 6ha P ltre consacr<5 * la cataracte
ir. J6 — J9 ) me parait offrir quelque intent, Une courte analyse
pourra donner quelque id6e de la mdthode de l'auteur. II nous y
donne d'abord la definition de la cataracte et mentionne les opinions
de diflSrentB savants quant a son origine, son sifege et ses diffitontes
especes. Les noma cites sont Avicenno, Galien (5° chap, du livre
des causes et des symptoroes ij>\jA\ , JJLJl et le 10 e du livre sur
I'emploi des organes UcV/ ^ili*), ■ Aristote. Pythagore? \jvfiLi,
Paul d'Egine ^J^, Afrasiyoun? Oyr-ijl Abrsts (?) ^) ^^k^ J —-
les deux derniors, sont citSs, parait-il, par Paul d'Egine — , Honein
6 traducteur •) et son neveu Hobeish, al-Qouri ^Jl, al-Dakhwari
(ct. Led. II, 177 sq.), Sad ibn Kommounah, Thabit b. Korrah le
Harramen. II cite des faits de la pratique „d'un des mucins de
1) Quant it ^k^J Abrsts on ]e trouve oncore cite" au f. 86 6 , on on lit
«jue Galien mentionne nn oculiste contemporain du nom de u JL tlJi \ qui trai-
tait l'hypopyon (iJ^JI i^U \jk ii.lO i JiJ) en prenant le malade des
<leux c6t6s de,la tete et en le secouant fortement. Cola prouve qu'il faut lire
^r^^l = Justus. Cf. Magnus, Geseh. des grauen Staares, Lpzg. 1876, p. 16
n. 2. L'autre uom, Afrasiyoun Cj^ljl wr* peut-etre retabli sans beaucoup
de peine par un specialiste d'apr^ 1'opinion qui lui est attribuee au sujet du siege
de la cataracte. II la placait entre 1'uvee et la cornee iJ/SJf, l^Zm)] .^j.
2) Honein b. Isbak definisaait la cataracte «une condensatkm de l^umeur
aqueuse,. 4^ J) h $ lj\ lit. Oette theorie etait aussi celle de son neveu
Hobeish et parmi les medecins plus modernes de al-flouri. Hobeish se basalt sur
Galien. D apres Sprengel II, 863 (cite par Magnus 1. c. p. 26 note) Honein ou Johan-
mtius aurait professe une tout autre opinion sur la cataracte, opinion qui paratt a
m. Magnus etre en contradiction avec les idees generales de la medecine gr6co-
arane. II y a evidemmont un raalentendu de la part de Sprengel.
104 Medeoink.
bos jours" et de la sienne. II y joint au f. 95 a un recit, recueilii
dans „un certain livrc", ayant trail a un c61febro op6rateur Jj<.,
Ishlim de Nihawend ^j^W ^il, aiteint hii-mfirae de la cataract
et conservant juscnra h morl 1'espoir d'une guerison, dont le fiai-
taient ses elevcs pour le presorver du desespoir. II rocommande en-
suits aux oculisies de ne jamais accepter do remuneration pom repa-
ration de la cataracte. An f. 95 f ' nous trouvons le traiiemeut thera-
peutique de la cataracte qui n'est pas encore mure pour l'op6ration,
II y a une citation de Fakhreddin Eazi. Au f. 96 c il traile den
indications pour I'operation et mentionne Thabit b. Korrah. Les pagos
96 — -97 b donnent la description detail)6e de l'op6ration *ji; il y a
une longue citation des „Traitements hippocratiques" de Tabari.
L'aiguille est nominee tantdt mikdah *ju, tantOt mihatt l ) C.^.
L'auteur recommande en outre dans certains cas cPomployor d'abord
une lancette arrondie Ij^^u U^, pour percer l'ooil, avant de mettre
en oeuvre l'aiguille. Cette lancette doit Stre envelopp^e d'un morceau
de coton, en ne laissant libre de la points qu'un bout de la grandeur
d'un grain d'orge. Le coton est humecte' de salive et trempe' dans
un collyre noire pulv6ris6 pour marquer la place quand on enfonce la
lancette 9 ). Les ff. 98°— 9 9 6 enfin sont consacr6s a l'aiguille creuso.
L'auteur nous dit d'abord qu'il ne nie pas qu'on puisse op6rer la ca-
taracte k l'aide du mihatt creux, comme il le trouve mention^ dans
1) Je pr6fere cette prononciation adoptee par Sichel, Arcbiv f. Opthalmologie
XIV, 3-te Abth. p. 10 a celle de M WUstenfeld (ap. Magnus 188) muhatt. Mihatt
^ . ^* . s> *-.. . ■ . ■
sersit uh nom d'instrument de la raciue ^s» dans le sens de L»,' baisser, de-
primer, a^attre.
2) F. 97" «.,Jsl) «as Ji^j M Ipkj jja Uj .silil f hLb (j\ J&K
q*> SjjIj, iXks ^M' ^Je tJ^j) Ijj J-® Lai,** aLs J«^ <jj 4^«i
jys^J ^jfl JsbCJ) J [ivn&lj &J^ iikaJl J^ ij*aL jj."s <kjj
U/i If gjdl Jj ^kA\ JL,I ^»j ^O Id Ujiju ^J j^j
Medeoine. j ou
les livres '), mm que ]ui n'avait jamais ussigte a une pareille opera-
tion. Qant a la forme du mihatt, il en a vu deux: l a premie dtait
toute creuse, d'un bout a 1'autre, avec tin trou pareil au iron do h,
senng-ue a lapointe de l'aiguille propremont dite; 1'autrfi 6tait en outre
munie (Tune spirale <J^ tournante, qui retirait la eataracte, sans
qu U iOln6oesswre a l'op^ratour lui-mGme do l'aspirer par la bouche 8 ).
Voici 3c UxU dc la description: k,J\, i^l j ^ jU) P J\,
J-i \& J^ (1. LU) JIJ LUJ) <k ^ 3 y ^ ^V
j n*J\ jm ju f ^jji u ^j/ cr J_ ^ J^ ( j^
rill ^ £tj t ^il) ^\ ^L s0et 0#areil « 5 C ontinue-i,-il, „j'on.ai
fait une experience avec un vase rempli d'eau. Apr&s avoir tourne*
beaucoap le ^J^J uno goutte d ! eau du poids d'un quart (dedirhem?)-
fat en effet extraite. Je fis une seconde expfrionco avec de l'eau, que
j avais rendue plus 6paisae en y ajoutant un pou ds salive, tit 1 'aiguille
n'en extrayait plusrien". La eataracte 6tant encore plus compaete, l'au-
teur dovait en conclure n&essairement le peu d'efficacitt de rinskument.
11 dit en outre avoir assist 8 ) a une operation a 1'aide de cette aiguille,
ou l'opfrateur, aprfes avoir atteint le dessus do la eataracte, essayait
vainemont, en tournant la spirale ^J^J, d'en extraire quelque chose
et se d&ida enfin a abattre la eataracte de )a maniere ordinaire,
sans toutefois rtesir a rendre la vue au patient. Notre auteur lui
demanda s'il avait vu quelqu'un opfrer avec une pareille. aiguille et
re^ut de l'op6rateur une r^ponse negative. L'autour conclut ou Men
quel'aiguille dont parlent les auteurs, .-avait. une forme autre que celles
qu'il avait vues, ou bien que la connaissance du proc6d6 s'ltu't perdue,
faute de praticiens qui eussent assists 'a des operations paroilleset qui
en auraient pu transmettre pratiquement les procM6s. „X1 y a dans
les livres mentionn&s plusieurs operations qui ne sont plus en .usage.
t „i*l ? D K oK OU Tl e i e nouvelles <Joan6eB gar "l'upiration de la eataracte chei
Leclerc, I, 536, IT, 82, 174, 206.
2) Je ae Buis pao tout-a-fait sur d'avoir bien compris la Btraclore'de-lln-
nrumvnt, mais dans tous les cas nous apprenoas de ce pasaage que dti& Im m&.
deems srabes avaient connu ou extent* 1'idee de : - remplacer par na appareil
laScanique Inspiration par la bouche; compares Magnua, 1. e. p. 99g.
3) Ce qui eat en contradiction avec ce qu'il g die plaa h&ut.
106 Mbdecinb.
maintenant, parcequ'il n'y a plus personnc qui les ait vues de see
propres yeux. Telle par ex, l'extraetion dol'enfimt mort do 1' uterus pour
sauver la m&re, ce que nous n'avons jamais vu pratiquor de nor
temps quoiquo les livres en coniiennent une fouic d'exemples". w J'ni
converse avec un eelebre op6rateur qui avail vovag^ en beaucoup d*
pays et los avail parcourus; iJ s'appelait Yousof ibn al-Leyyan et
me raconta qu'il avail, vu beaucoup d'op6rateurs et que quolqucs-miE
avaient une aiguille crease. Mais je n'en ai jamais vu (me disait
Yousof) un seul op6rer avee cot instrument m ma pi-6senco. Nean-'
moins je les priais de pratiquer l'op6ration, mais tous s'excuseront
(sous le pr6texte) que la vue ne pouvait etre rendue a celui que Ton
op&ait (avec cette aiguille). Nous avons done fait nous mdrne Tope-
ration en guise d'expenence et d 'investigation, mais nous n'avons
pas r£ussi parce que nous ne savions pas comment il fallait s'y
prendre. Peut-dtre y avait-il dans les temps passes des personnes qui
savaient manier cette aiguille. Dieu sait mieux la verity l ). L'au-
1) Voici le texte de tout ce passage dont j'espere avoir rendu avec exactitude
tout le sens, ai noa tous Jes mots: aJU» ^Js» C L .<ui C UI ^j <UjJL. jJ^ . . .
^UaJl ^oa. ^\js A/ J,*/ jl)^ djy J dJU^i) J Itj^ll
ce mot) <LU^J ^1 l # li iLi^aJ, Ji p Uj ^yjL jl J«u,*JjJ J^
^ «J e **-^*J-ctf**!* ( lisez *?>0 ^ ctil dj ^_,«is (est douteux
C" r J J-J**"*. r £* -* "^' f^**$ ■>^#«1 Celu J,^
^ ^^sJl ,k*}U ^1 JU dj J^b ^ ^\ J$> jQ| ^ji^ .j^jill
cr ? o% uM' 4fc j OjC,o' ■ W* ** J*»M %*° J^ *£lk
^jul &JHJ Jts t^ j^y ^ _^| ^ ^ g^ - i ^jjQj j
Mbdbcine. 107
teur formule ensuite les doutes que loi a inspires la vue de l'instru-
merit. A la fin de ces raisonnements il nous donne de nouveaux
ronseignements d'apres„un de ses amis", pout-6tre le meme Yousof
cit6 plus haut: „Un de mes amis'* lisons nous „qui avait parcouru
beaucoup de pays, m'a raconte qu'il avait vu un op6rateur chr6tien
dans le pays des Russes (situ<3) en Roum (l'empire grec). Get op£-
rateur avait un mikdah creux en cuivre rouge dans lequel 6tait fixe -
une aiguille en or etc." (suit la description d&ailtee que je traduirais
dans les Additions et Corrections) „mais il n'abattait la cataracte
qu'avec 1 'aiguille ordinaire. Je le priai done de l'employer dans uno
operation . 11 me repondit: Son emploi fie donne que rarement un
bon resultat. Je lui dit: pourquoi 1'as tu done fait? II me r6pondit:
Je ne l'ai point fait; il appartenait a un ope>ateur turkoman, mort
dans notre pays et de I'hentage duquel je l'ai achetd. Je lui deman-
dai: L'as-tu vu opfrer avec ce mikdah? II me repondit: je ne l'ai
jamais vu abattre la cataracte qu'avec Taiguille ordinaire triangulaire,
mais il exposait toujours ce mikdah dans le nombre de ses instru-
ments. Je (e'est encore Pami qui parle) couqus Pid6e d'en faire
moi-mdine l'expenence, et je la fis sans connaitre le proc6de" que
Ton emploie et je trouvai qu'il (le mikdah) remue la cataracte et
la secoue, mais que souvent il la trouble et la dissipe de sorte
qu'elle devient des lors impropre a fitre abattue. Je m'a.bstins
done de Temployer. Alors je (l'auteur) lui dis: As-tu vu quel-
J jji J* j <u* LL» »J\ j« C*j|'(l. j*U\) ^jll l&? J*h
>J*> j I J j Jli ijjx**! *L*q\\ j^eau a* ^j<At\j o*J>a*-« /J***-* 6 f"*
(J* f* O® u" ' U^' tJ J*Jj A f (i*^J i»/Bf WW kJLej s^
108
Mbdeoinb.
qu'un obtonir iro bon r^sultat on J'omployant? .11 me r6pondii: Nob,
nmis jo m^n cuis servi pour opGrer una famine: la cataracie en fui
remu& et trouble, ii o'ensnivii una ophtalmio qui dura piasieurc
jours et apres cola la vuo lui i'ai rendue. Je compric alon, qu'ii
(to mikdah) mil; remue la cas,aracte oi qifaprte cela Ja nature avail;
agi dans cc cas a sa voioiite. JDion sait mieux, s'i] a dit la vW ')■
Le cisapride coaclul; avoc ja citation du Manconr mentiomie plur, haot.
loquei ait danc sa Tezkirah avoir m don porsonnes qui mtroduiaaiont
un ^petit tube on vorrc an lieu du mikdah et aspiraienl la ca.tarar.te.
Mais ils leur arrivait d'aspirer en merae temps 1'humeur albupn6e.
1) Pol. 99»: ^jJlj ,^| ^ ^ ^ W j^ J ^ j ^
4 jj,L«* lUaJj A J^ _^i ^ ^j J^ Li/i Lf -ia«J-| ^^ J^
J( j% **,.** ^Li ^,j ^ji g^i {^ j;^ >iJ ^>l ^ic -l#i,l.
f.Uj Af W^ /J ^ j* <U_i J ^J . (j^ 4^JJ ^l y ,jj?$\
u^ j£Jj «^U L J Jbi <uU f n J ^iJUi ^ JJs <u JU,1J
I> ^u ^ >klj JldJ j^L ^j .^ ^ ^ jy [^ ^ j^
■jUL i.^? «^ J^ 4,^1 ^j^ j ^ ^ ^ ^ ^ ■ -■
^^j J ^ 4Sj^ j ojjfL>j 9 j%ij fill 'jil«» *:^i. «v
Oel«i v%T 0^9 (1. CJ») ^Li, Le deraier mot est corrig^ de fe£
paraJt Ja le^on origiaale du mues.
^
Medecine. 109
Le mscr. est sans date, il parait appartonir au 9° siecle, et pre-
senter un texte g6ne>alement correct, si Ton excepto certains vulga-
rismes, qui se rdp&tent constammont et qui appartiennent sans doute
a Pauteur mSme. Le mscr. a appartcmi on 941 oi les armies sui-
■▼antes a Poculiste Ahmed b. Oboidallah, qui s'est inscrit beauooup
de fois sur la premiere et la derniere fouille. On y trouvo on outre
de sa main plusieurs notes sur la naiaaanco et la mort de ses on-
fante etc. Une autre inscription qui mo parait anasi do la main do
Ahmed b. Oboidallah nous apprond quo le mscr. a 6t<5 copfe sur
Pautographe de Pauteur. Sur le f. 203 6 enfiri nous J.isons qu'on
1799 le mscr. rut acquis par le moine George fila do Thomas Fettai
de Haleb. II proviont de la Bibl. Italinski. Of. Hammer dans la Bi-
blioteca ital. t. 49, p. 22. Un autre -ex. de Pouvrage se trouvo a
Munich, Aumor Ji 884.
176.
#55. 20XU. 160 f. 16 1.
Cji*r' ^^ «^?_/?' Pj"*i /»**!' 4jU a
^ Commentaire de Aton-I-HlmaJU Moureflil III &1-I@liwf
.(9* siecle) sur Pabr6g<5 d'opthalmologie de Ibn al-Akfani f 749,
qui le tira de son propre ouvrage yd) JJ^J j ^J) ^iS.
H. Kh. parait avoir connu aussi bien ce commentaire que Pouvrage
original, dont il donne la division V, 208. Voici les passages les
plus saillants de la preface: ^\ ^J 1®%\1 JLJJ »L1\ aJJ Jli
^j^JI OU't'ciiB «UJ jUl A^ff 4Jjj oJ«>m ^S^L^I Je ytjij jy
L#j y*Jul U^Lfcjj Uo^«yo :±jjjJ S,hj oLylUj jjJii C>L*»
<J& (Jl~r' -ci**" •JiJF'i- f>y*>y>> <«_»uUI .Ifijj y+ j4^l 9 <Od^iL« .
JjLiiJI Ouil «»*L JiLJl !u%\l JLJJ AJ$l aiJLl ^Jj JLJ
^teL y, ^®\jA ^jj) ^^ OX4UL^ ^jI ^jjjj illl J?
^w» <ul£J § <t_L^j 4jy| j^ ,jLO?J y?L j^*Jl ^jUi¥j
1 ° Medeoibe.
V ,; ^ l r J ' Sr * Li " *' ^ Jl > L = r*-* .^
iju* Jj Cm^Ij l e Jl LLtf oliL •,. Lie V „ V I • i
o;Jl ^ir ^ cji; . L , 8Ut91)r nous dome u teto ^
en 1 accompagnant duplications sonvent tres-dtoillees Le s 3 l\
an, leeqnele eat dM* ,'„ uvra ge traitollt: „ a^^Aft
1 aide de 1 aiguille ordinaire est dfa-ite minutieusement- 1'auteur
menhoune e„ outre quelques Rhodes plu s rares: f. 1 26 «: £F
£ f ^ ?f ^ *\" "* "'"•"> J» ^ X*)
I Ctt«" JW 6Ji . L'extration de la cataracte est dteite en ces
11 Bu 'aI.AB>Mtt c(. Leolerc H ,281, H. Kh VI 368 V am
MJsdeoine. in
tonnes, qui suivent imm6diatement les mots cite: gjk> ^>| faJLj
^ (ill Jaa*. lili Ui U «^* J*iJ jjL <£Lta ^ ^J) .^ e Qj 1^
*»* 0^ wi*' ^^ 0^.9 ^-i^' owi«> j *^siJI *£lli j« »>J *1*b1|
^^ fJ'.9 •V=^y' ^>W^ cr* e u^ v?--^ ^ d ^* "V? ^ <>lll ,?(>'
^ eJ <' c»L»sr»l. L'op6ration par succion au moyen de l'aiguille
weuse est mentionn6c d'apr&s I'auteur de k q^jJJ, ot accompagnfo
oo la romarque que write m6thode est absurde ot impossible, quoique
plusieurs auteurs Paiont raontionnde sans y joindre une prohibition
formelle. Un dernier passage enfla- mfriterait peut-6tre d'etre repro-
duit: f. 125 & ; lil Ml jl OyJ^ ^Xl\ <u/i> U syj ^i
L^r p-J^' pJ-% 0' J**^ ^ ^af ^Ji tdas ^a-oj, J^slJ aLw J
£-/ i|! o^ f^' u»'-r! ^-aJ) wA^ />.>'» ^»Gi\ ^lil ^ L ,jl
u $x;J etil L^ ajuL e U) kUU(sic) J^sJ-^JI ^^^j»jJI. Le mser.
est copte en 977. La plus grande partie en naskhi, le reste en
nestaalik. L'ouvrag'e parait ne pas se trouver dans les bibliotheques
de l'Europe; il y a un exemplaire du ^J) Unif dans la bibl. du
Vice-Hoi, cf, le catalogue do M. Stern p. M».
177.
te 66. 21X16. 64 f. 25 1.
iJUjl) ^^uJf \ji 4e^J ^JJ) ^jj[*+Sjl JjjiJ fcj^il v-jUf
Ouvrage anonyme. Un exemplaire de ce curieux specimen de m6-
decine arabe calqu^e sur Paracelse se trouve dans la Bodleyenne et a
1) Ceci merite d'etre traduit en eutier: «Une aulre m6thode consiste a faire
sortir la cataracte de l'oeil: a cet effet tu ferae tout ce que nous avons decritplus
haut, et quand la cataracte a efe deplac6e, tu perceras l'oeil aupres du cercle
(corona) en penetrant jusqu'a la cataracte; tu pousseras ensuite la cataracte
evec la pointe du mihatt pour qu'elle sorte par ce trou. Cette methode est meil-
leure (que la dislocation ordinaire) en ce sens que la cataracte est mise en dehors,
de sorte qu'elle ne revieut plus, mais souvent il en resulte une perte d'hnmeur
aqueuse, ce qui cntraiue necessairement la perte de l'oeil ». Cf, Magnus I, 1. 246
et 251.
112 Medeoine.
m, minutiousement d6crit par Nicoll, Catal. p. 168— 1 70. La traduc-
tion du traits de Orollius ^^J^s „Chymia bauilica" commence ».w
t 30 „ Sans date, pou anoion.
178.
Mi 66. 20X15. 90 f 18 1.
Lfi lieiSio Le traits do Crollius comm. au f. 48 & . Copi6 t, Er-
zoroum en 1 146. lauvaise.copie.
179.
Ms 50. 32X22. 267 f. 27 1.
wis 1 " I t^'MJ ja^Ul^ tjUal ^| s^jJ
Par Daood b. Omar al-Autftkl f 1 008. Cf. sur cot esprit ori-
ginal ot varie Finteiessante notice biographique que lui a consaerdo
al-Mohibbi, Ehola$at-al-athr II, 140—149. Voir aussi Leclerc II,
304, et Nicoll, Cat. Bodl p. 157. Le mscr. m contient que les .3
premiers chap. Sans date. Oopfe.par u iL>jJI ^ ^ j.«J.
J& 58. 21 X.15. 191 f. 23 1.
Par I© mdme. Of. H„ Kh. VI, 832 ou Ton trouve le resume - de
la preface. Ne pas confondre avec le »j'j^' p^M «j 0^'^ &®J»,
dont H. Kh. parle VI, 320 et qui se trouve a Munich, Aumer JUs 835.
Copi6 en 1061. Premiers mots: J^ll ©U J 'Oj*~ ^ o^-
^/ aLoUJ J^oaJJ (sic) »tj*\ l<«>/<® tble^ iJUiXJI ,«.~ajJJ ^Lj Z;^
As.B9. I6V2XII. 280 f. 25 1.
Le ffitoOe Caracteres maghribins. Copi6 pai ^ m •* JU»
^jiTL^I . ■ Achet6 en 1818 a Constantinople par le inDine 'Gfoorge
fils de Thomas Fettal. Bibl. Italinski.
Medecine. h3
J6 54. 25X 16V S . 272 f. 15, 15, 17 et 17 1,
Co manuscrit contient d'aprfes le frontiopice:
i) 4Ul ^ r Ui ( j f JUf f ui gtil a Jb cljlx^ ^
BO Jfi ne P uiy ricn dire de precis sur cot ouvnigc* ue ANM-Psta
Abdailab 111 lalftillili J ), attendu qu'iJ n>on roaic qu'ane ptigc,
et jo n'ai pas plus do ronBeignomenls sur l'aulour. Premiers mots:
4D oJf *L,rf ^ £UJ | j^ r b)j ^| ^ a j| ^jy| ^j| ^j| Jy
^ r^ ^ U ' ^ Jl ^ lj J^ 1 ^ ^ & Ul kS^
f-j °j£ ^ w* > *i/«v M-^' Mj, «ojii pUD ^1-i ^IL
Les autres formulas d'usage remplissent la plus grande partio
de la page. Les 8 demises lignes portent: ^M j^ j[i Jaf ^
#U*)> olliTlj^ L'ouvrage paralt done avoir contenu des anecdotes.
2) Les f. 2 a — 1 77 6 contiennent un dictionnaire alphaMtique
des medicaments simples et composes, sans commencement ni fin. II
en -reste une partie de la lettre I, ensuite v — i et le commencement
de.]a.lettre :> Le dernier article est jijj a 1'avant-derniere ligne
du f. 177°. Cost un fragment du
de IbD Bjezlft f 493, comme le prouve la comparison avec le $ 670
du Mns6e as. qui contient le memc ouvrage.' Les ff. 2—177 " sont
1) On lit chez Otb'l (mscrt Jfc 34 f. 98°). £*~j, q> J.^ jC uf } J*
AL*g jf etchezManiniad h.lac.(mscr.JI6B5 £.848*): .A*i-iL*lJ pli) aU^
11^ M^DEOINE.
d'une autre main que le f. 1 , mais toute cette partie du mscr. est
evidemment ancienno (8 6 sifede?). Les points diacritiques sont sou-
vent omis.
3) f. 1.78—208. .Fragment d'un ouvrage de pharmacie sans
commencement ni fin, qui n'est autre que le
de al-KttiB al-'Attsr (7 C sifccle). eur lequel'cf. Leclerc II, p 215
Nicoli. p. 155, Aumer M 833. Le mSme a la Bibl. Imp. Publ. de
St-Pet. v. Dora, Catalogue p. .211. II en rests dans notre mscr. ia
fin du 23 s chap., tout le 24 e $a>lj i^J ^\ i^f j (f. 1 7 9*._
184 6 ), et une grande partie du 25 6 LSjl <u, a ?| ji^j j Dor-
mers mots: J^&tjc^?, Jij je J^ ^ jT j{i
«u_ s iil. Papier et Venture beaucoup plus modernes que dans les frag-
ments presents.
4) f. 204 6 -272. Sans titre. On lit au f. 204 6 : <ul ^
LT ^ JkJ} dllu j. UJ aJUL ^ ^jitpj) jZJl
u^-»il S>j\J\ Jh dlii. C'est un traits des aliments et des medi-
caments simples. Presque chaque article commence par j** Jli. Au
f. 271 l'auteur renvoie a la 10 e makalah de son ouvrage intituled
A>Jx\ j^ ^ij pUj "^L. Notre auteur est done Mohammed b.
Ahmed b. Said al-Temlmi (4 e siecle) sur lequel cf. Leclerc I, 389.
La souscription du mscr. porte: o^lLu ^ (sic) Uliiil iJUlj ^
iuijl iJUJ (sic) o^ «;LJ., <^ Cj 4J,] j^ ^^j ^ | d> i|
;)l aJUil ^ v L£jj U 4> d - ..^J ^ ^U* ^
wll j* dUi ^ ^ L j j^Jj^ j^j ys Je J^-;
■" ' — ■ — — i
1) II manque ici un mot, prbbableraent jJL,i'.
Medecine. 1 1 5
JJy] aj^ «yj| L**us._j \+*$[u j l»Jji _/i^ ©j^dl, II resulte do
ces notes, que l'ouvrage en question do Temimi est le JJ j^ll
*0^' C/* ^ '*/■*' u5^j i; jc^fl _/>)_,» „ouvrage d'nne grande
valeur, remarquable par un essai de classification et par 1'abondance
et 1'originaliW des renseignements" 1 ) corome le caracterise M. Leclerc,
et en outre tres-rare. II ne nous est pas parvenu un soul mser.
complet, autant que je sache, et jusqu'ici on ne connaissait, parait-il,
que le mscr. de Paris Je 108S A. F., sur leqnel cf. d'Herbelot,
Bihl. or. s. v. Morshed, et le Catal. cod. man. WW. reg. I, p. 217.
Le Morshid etait divise en deux ^e, subdivises chacun en pin-
sieurs iJU*. Le mscr. de Paris contient d'apres M. Leclerc 1. c.
les makalahs XI — XIV (du dernier jojz, comme nous lisons chez
d'Herbelot). Le n6tre contiendrait d'apres les premiers mots du
f. 204 la 4 6 makalah du mdme ^c, mais je soupgonne qu'il s'y
trouve plusieurs feuillets d'nne autre makalah qui traitait des huiles
et qu'en revanche il y manque line partie de la 4 e . Le fait est que
les ff. 243 — 257 sont consacre's aux huiles de toute espece et il est
pen probable que Temimi ait classe 1 les huiles dans la categorie des
0->-> c .j Jr°'- Ces Quillets interrompent Enumeration des s J,J$\
Ojur«JJ, sans que tontefois le f. 242 6 , qui traite du^^ill Ly a j[*)\
et qui finit an milieu d'nne phrase, se joigne 2 ) imme'diatement an
f. 258° qui nous porte au beau milieu d'un article sur le ^*>~s
ijij JJI. Les huiles elles-m6mes ne sont pas an complet. De Particle
->7" J 9 * ] * no res te que la fin etc. On ppurrait expliquer cette con-
fusion en supposant que le copiste travaillait sur' uno copie mal relie'e
et del abrto mais dans tons les cas le coptfste lui-mfime a du Gtre
quelque pen distrait, car autrement il n'aurait pu mettre a la fin du
mscr. la note ci tee plus haut, qui est en contradiction flagrante avec
cello qu'il a placed a la tfite du livre 3 ). Toute cette partie. du mscr.
est d'nne mGmo main en caracferes naskhi beaux et asses; anciens
1) Ces qualites so font remarquer anssi dans notre fragment, cf. les articles
jj.£}\ jsc^ (f. 270 sq.) i*«L»jJj <L+J3\ ,jLj (f. 222^229) etc.
2) II y aussi une lacune evidente apres le f. 231.
3) A moins que les 3 derniers ff. n'anpartiennent reellement a la 8 6 makalah
comme le vcut la souscription, car il y a une lacune evidente apres le f. 209: Je
ne sais comment resoudre la difficulty que presente toute cette confusion.
116 M^DEOINE.
quoique moins ancions que los fragments 1 et 2. Les points diacri-
tiquos manquertt souvent. La rarete du Morshid donne a ce nouveau
fragmont 'une grande valour.
JVs 62. 20 X IB. 261 f. 26—28, 24. 22 I.
Contiont 1) u'*^' <d/**
Par Yahyft 1 ) It, Isa Ibn Ojezk t 4^3. Cf. Leclercl, 493 sqq.
2) .f. 98 ^U) A?ui Jjj*
Par ioiiammed al-Tab!b plus connu sous le nom de Hakfm
Emk Tchilibi t 1049. Voir FliigeVW. H. H, 540. En turc.
La page est divis6e en 9 colonnes (<*©Lf**l, <L«w,lJl, ^JaJJ), ijjjwl }
3) f. 126 6 . Une liste alphab6tique dos medicaments
simples (au m>mbre de 550) sans titre, ni nom d'auteur et conimen-
$ant par les mots: &, \jii\ L J*J_, w^lLi/ <u *uij U J } \ <jJ
Ces mots, ainsi que le nombre des medicaments, s'accordent avec le
M 3490 de H. Kh. II, p. 393, qui est le
de Ibrahim b. M Said 2 ) al-MaghrifeS at-Alal. Cf. Wiistenfeld,
p. 159, H. Kh. IV, p. 374 JVs 8868, VI, p. 182 JS 13145 et
VII, p. 908 ad h. 1. L'epoque ou il vivait est incertaine. M. Amari,
qui reproduit une partie de la preface, Bibliot. ar. sicula p. 694,
le croit contemporain d'Avicenne ou m6me ant6rieur a celui-ci (v. Sto-
ria dei Musulm. etc. II, 469), tandis quo selon M. Leclerc II, 316
il aurait v£cu „vers repoquo des croisades" et apr&s Ibn-Djezla.
Notre mser. pourrait doimer la solution de la question, car, quoiqu'il
1) Selon d'autrea AH b. Isa.
2) Ou bien Abou Sa f Id Ibrahim. L'ouvrage porte dans le mscr. d'Oxford
le titre ^jl&J'J,; t>U°^ \Jr^ .J* .&!*&) J ^<
ZOOLOGIE. II?
R'accorde en general avec le mscr. de Paris (note A. par M. Araari)
ct colui dewit par Nicoll. p. 156, il contient dans la preface une
dedicace qui parait manquer dans les deux mscr. cites. La voici:
^jUJj ji\6&\j ^JjlIJ «,jbcL (lac. add. JUI) Jj»I ai^ ^jU jj&j j
t^il^ (sic, adde ^JLi-e) oLJLJ ,j\ C°j^ **i.A ^ js j Jf ^j jJ
4-oJ^ ^Jl WJ_/1> AW/ji A*^ tJ' Jjt"^ ^/ ^^ V^' V^j'j> ,*^J*
Xil j*^ »Lod) m j^^h J%Si\ ^j^ Cji^ fl'jywl J^jU (S)C)_^a<eil
Jj^J jUXiJ ^JUi) kills As^liJ t^Jji i«aJ ^ aIU L$j ij,jJJ -J^,
4JU) wW» ^t*^>^' _/?"' ! oJ* c '^$jLc ^w»i' yiJ iljjJ) vjae /jJ il>ii^
^l a^j j.s^l c^jL* jj. Malheureusement je n'ai pas reussi a
retrouver ce prince. Un 4* ex. (sans dedicace?) a Upsala, cf. Torn-
berg, Catal. p. 235.
4) f. 255* tifc j] (sic) j^\ l»J JJI ii,^l.y>
Cette liste est disposee de la mfime maniere d'apres l'Aboudjed.
Elle forme, conmie le dit express6mont l'autetir dans la preface, un
appendice a I'ouvrage precedent. Le tout copie" en 1146 par -y) j*#
ic ji LJl de Damas.
184.
J£46. 29X21. 267 f. 29 1.
Par Kem&leddin Mohammed b. Mousa ai-Daoitri t 808.
C'est la redaction abregee. Copie en 1075 par u -,^« jj «ujI j*s
J^UI . Bibl. Italinski.
118 ASXBONOMIE.
SCIENCES MATHfrVIATIQUES ET PHILOSOPHIES.
185o
& 85. 27X16. 104 f. 27 1.
Par Abderrahmait b. Omar al-(oufi t 376. La traduction de
M. Schjellerup 8 ) vient de rendre accessible a tous les astronomes It-
grand travail de leur collegue arabe, dont les ni6ritcs scat appreeife
par le traducteur avec toute l'autorit6 que iui donne sa quality
d'astrononie. Notre mscr. n'6tait pas conhu du traducteur 5 ce qui est
a regretter, car il provient d'une bonne source. La premiere partie
iJUJl jydl a 6t6 copied, coronie nous l'apprend une note au f. 44 fc ,
sur un manuscr. de Tan 402, copi6 au Caire directement sur l'auto-
graphe de l'auteur: U ^ *U*i o :JI li^l j* cJii Ak^l ej*
K«h oj»\.ii\ ,J ,^jf lLiujIj j^l. La seconde partie qui finit au
f. 75 6 a 6U copi6e sur un inanuscrit collationn6 avec l'exemplaire
de Abdallah b. al»Meimoun b. Mohammed aJ-Hasani al-Edzr6'i,
lequel exemplaire avait 6U copi6 sur I'autographe de l'auteur et col-
lation^ avec le mGme en 396. T6moin la note suivante au f. 75 6 :
*V"*(> <3y^> <J^oiJ 1»» J* CJyA\ ijejhxl u i"*i) J+* (Ji 0}*~\
&~LJs? Lj^ii-* A.ijj>j IJ»A_P AjL£JJ_j •j**uiH j C^>» &*•*> ^ *-*?*•
Les quatre derniers ff. de notre mscr. sorrfc d'une autre main, et sur
autre papier. Le mscr. a appartenu a Takieddin Migri 8 ) j-Jjl
1) Sur le frontispice en lit d'uhe autre main: ^j t^f Llj _/»L» *w>U^
2) Description des etoiles fixes par Abd-al-Rabmau al-Sufi, trad, par IL C.
F. C. ScheUjerup. St-Petersbourg 1874.
3) Takieddin Micri, fils d'un savant distingue de l'Egypte, Mohammed b.
Ma'rouf, naquit en 927 au Caire. Tl fut nomme Monedjimbaflhi en .979. Apres
avoir rempli plus tard pendant quelque temps les fonctions de Cadbi du Caire, il
fut de nouveau nomme chef des astrologue6. En 987 il recut l'autorisation de
eonstruire un nouvel observatoire, mais il tomba en disgrace la meme annee a la
suite d'intrigues du Sheikh al-Islam Kazi-zadeb Effendi et mourut dans la misere
en 998. Cf. Nevi-zadeh, ^SLiJJ Jji ed. Cstple 1268 p. 286, Catal. Lugd.
HI, p. 182 et Hammer, Gesch. d. Osm.'lV, 48.
ASTBONOMIE. 119
^ILLJj t-jUL, dont l'inscription est attests par la note suivante:
Un possesseur quelconque a intercale 17 f. latins imprimis qui sont
tir6s de „C. Julii Higini Poeticon Astronomicon".
186.
As 86. 2iy 2 X16, 119 f. 21 1.
r ,*uj f trj > jj ji jii
Par al-Hasan b. All connu sous le nom Abou Na$r I'astronome
de Koumm U *JI ^l j^ ^L ^M, qui le composa en 357 x ).
L'ouvrage est d6dLi6 au sheikh Abou Amr Mohammed b. Sa'id b.
Merzoban et divise" en 5 makalahs et 64 J-»». Copi6 en 1176 par
(?) u u*J jJl j+e. Premiers mots: <u»j*i :>L*J1 jLi ^jJj «ty j+l\
187.
HBB. 16 l /*X12V«. 45 f. 17 1,
Abr6g6 d'astronomie sans titre ni nom d'auteur, qui n'est autre
que la
du c61ebre Natfreddtn Tons! f 672, ce qui r6sulte de la compa-
raison avec les descriptions d6taill6es que donnent do ce livreM. Flei-
scher, Catal. Bibl. Lips. p. 502 et Nicoll. p. 293. Cf. Oatal. Lugd.
Ill, p. 106. On lit a la fin 2 ) f. 43* : jjj«L UpU v LG) .;«Jj
1) H. Kh. V, 472. Cf. sur l'auteur et l'ouvrage M Steinschneider ZDMG. 18,
140 et 26, 896 et leB ouvrages y cit6s. Yakout IV, 177 1. 4 parle d'un savant de
Koumm Abou-1-Hasan Ali b. Mousa etc , mort en 305, qui pourrait bien Stre
le pere de no.tre auteur.
2) Le f. 44 contient un fragment de discussion sur quelqueB points du droit
d'biritage.
120 .
Abtbohomie.
tare 9,1 i ire TT f ■ mm ' les l winfc Critiques L'M-
rare oji u&-fi„o, m8J1) parjaiiiomoHi. liuiH, rf „,.„,,„ , '
188
*90. 80V a X20.-77f. SOI.
1242. J 8t 62 °- Dor ° ' d - As - ««« p. 208. Cop* on
*88. J6'/ 2 X17l/,. 148 f. 27 1.
^,JI
Tables astronomiques de Ifcn al-SMii,. + 7ft l „,„•
dans h pr^ce Uli ciJ/ IlSj T! 1 ' T f n0mme
trts-iim conserve oni /L 7 U ^ ( 141 * Bon mscr -
, ,,, wu .B8rye J qui a appartenu en 1063 & j I Lll ii
190.
**• 2 °X16. Ml 21,21, 11,111
Cental: I) ^U, iS % JJ( J -^ ^
Cf. Oatal. Lugd III 125 «I-Mefl« f 850.
ASTROLOGIB. ]21
Par Abou-1-Hasan ill b. Mohammad &S-M&M J.UI, sur
lequel je ne trouve pas do renseignements. Premiers mots: <uj juil
t^MjL^l, J«c ^|fi IJ,*, l,.J^J C-ioLi. Divifj6 on 45 chapp„
4) f. 50, Un traits sur lo mfime aiijot par Abto-
rahmaill b. Omar ftl-^mifl. Premiers mots: f ,N Jl ^^jj jp J is
Jfc 1 ot 2 d'une mfirae main. J$ 4 en beau taalik. Voyez sur oe mscr.
M.Dorn, Drei astronom. Instrumente. St-PStersb. 18(55, p. 77— 79.
J6 87. 29X19. 98 f. 23 1.
Gontient: 1) C^kt^s ^ v^" 8 ^ *'^ <J L *^' ^' ^ OfjLi&l
Oe .petit traite de 3 pages commence ainai : ^l\ Je CJfyj 1 )
VU J**' £*ity Qi V^ £# ***** ^ ^ CjIjLuI ^JiJl Jejj
f i jk JUW j*^ U £,J oj^ 1 ^ J' Uli W ^U!
>a*^ j«£jjj Ojsrf ^J Jf tj Awj ^J) l^tb JLUj ^j Jteii JiiZj
On lit a la fin: ^ w.^ ^ ju* L«ilJ L. oljUil) *!*
W i*« ^a.j ^ {j*' {jijpLaM ^j 41^;. Cette date parait -so Tap-
porter a l'auteur. Les ff. 15 a -~17 e contiennent la repetition de tout
co traits.
2) f. S e — 1 5 fl et 1 7°— 4f a . J»y\\ (sic) li^lC v bf
L'ouvrage de Tenkelosha est suffisamment connu par l'analyae
de M. Chwolson, Ueber die Ueberreste der ■■■■ altbabyl. Literatur
p, 1 30 sq. M. Ohwolson n'avait pas connaissance de noire manuscrit,
quand il 6crivait l'ouvrage cite\
1) II eat Evident qu'il manque ici quelques mots
122 AflTBOLOGIE.
8) f. 44 a — 74°. Traite astrolog'ique qui d'aprus la
souscription (f. li a ) serait le
$2&k* pjj-v ^M* jj^j ^ £j? (j^>-* u^j cs>-/«"' o ^j^*> wUr
Je no trouve pas un pareil livre attribu6 aux B6nou Mousa 8 ) dans
le Fihrist 6d. FIugel-Roedipr I, p. 271, mais commo notre ouvrage
se donne pour une traduction de I'mdien, il se pourrait out les B&iou
Mousa b. Shakir y soient pour quelque chose. Le traits commence
ainBi:_ / iSJ \yjLml ijjbjJj J»J /►* doill jji ***J\ /»*/JI «CU^ *»"?
O »jA*OJ .P^Jalaa cU*»Ia9 aj iLaJ b .gAjUC '.* jj.ii J p Jus^ L» .JL>UC
^*^6u^>^ **£'«# La«J A **C iefi* 5 l<e *1jI /►* « U^,»^ IJ^sa^ L^jLlc
A^jLxJI eUJLiL jljjil <L»J.ii ^Jj d*»JL» A; ,j If' i) *feSilJ *u»)
jc_j wl^JJ ^ IjjL U/if I bj*, a^sO) *l£L) i^*« ,j <j^J jJJ
(l tJl*8i)J) tJUaJI 4^>aJLxXi wpU»il >jC l» J,** j L/i U JUaLJ <UaJu
bj*j ^ die ^^CJj Ij^il aJU. j Ifju „^ J/ j^JU? (l. 4jtiUI)
<u«J j^ U%) LsUU 4*^^ U&j aJl: jii) j» L-.LCIJ v*Lli.
1) ■]. CtLjjJI.
2) Pour la literature voir Steinschneider ZDMG. 24, 884 anm. 97.
ASTROLOGIE. 120
c^/uj ^ ^^jj gj* j p^i ju LLfj cJiiii (sic) v ur;
L'auteur procede ensuite a l'&oge des myites de ce livre et re-
comraande chaudement de ne pas se borner a tirer des indications de
la nature astrologique des signes zodiacaux en general, ce qui pro-
duirait des erreurs tres frequentes, mais de consider aussi la nature
du degre (du signe zodiacal) dans lequel se trouve la plankte en
question etc. Au f. 45° commence l'ouvrage traduit: L JJ J> J
Q»*»j lUHj f^ SL\) v bOl *«^ jU V UG) j« Uki
d *t^ gj> J^J j gji i»ji jJti JO j, a?j> u ^ t p> jr, J e >
i«~L ciJl* iaJ, ^jJf ^ ^ JO j util gjt ^U .jJli*"
Les 7 planfctes sont ensuite passes en revue en autant de courts
chapitres (f. 45°--46 6 ) et le reste de l'ouvrage s'occupe de la nature
astrologique de chacun des 360 degres des 1 2 signes du zodiaque.
Au f. 74° se trouve la souscription pr6cit6e.
4) f. 74"- 98" v-^XU ifJiW V UT
Comment par Ahmed b. Yousof (4° siecle), secretaire des Tou-
lounides, et d6die" (?) aux khalifes al-Motadhid et al-Moktafi. «**&
o^xXJ) j j^«lj y£»£\ jji <j^ jt ^M <S~y m ji J*l
Ce commentaire est mentions dans le Fihrist I, 268, 1. 12.
Of. sur d'autres H. Kh. II, 496. Cat. Bodl. I, 202, Mus. Brit.
p. 197. Premiers mots: j**>£ wyJU ZjjM V L^ J J <u) ^
oilj.jjlito Jls (» l^ J &u p^dl ^ ^yJL Jli'^lj j J
(jojjalJ U»jJ ^jL^l. ^yfdL AS^aij LeJ&l (j\ Itkoj t*Lo ^J
^1 «^T)^JI. II manque quelques ff. a la fin, de sorte que le mscr.
1) On voit que les phraaes introductoires de Ptolemfe ne Boat paa priBes en
consideration.
1 2 4 Matmematiqxtbb.
s'arrSte au milieu du 90° aphorismo. Tout Its mac'v. d'une seule main;
une inscription date de 1058, ot h mscr. ne saurait 6trc dc bwiucoup
antdrieur au 1 1 *' yfeclc
in,
2& 89. 22X12. 144 f. 20—21 I.
Ce volumo, qui est rod rolil contiont inio colloction dp. traites
math&natiquca, qui, sauf une exception, ont pour autour aMIias^t
k lai-lasai iifei Sil-IiMliQki J.-JI -J I 480; cf. sur sou identic
ayec P optician Alhazen du moyen-age M. Marducci, dans le „Builetino
di bibliografia ') e di storia dolle scionze matomatiche e fisiche' du
prince Boncompagnl , t, IV, p. 1—48 et p. 137. Les traitds sont
les -suivants : ■
Commence: -j^i oe L ,yjl Jill idM Ji^ t\fl Je £j£ s
Commence: «,^ JSl t^J" C'Sj <J ^^JJ yi'ljyo j»*j ji
Ce'traite est incomplot a la nn. II se troupe aussi a Oxford, Uri
p. 190 Ji 871, 2,
3) f. 50-72 6 et l83 a — 144: aJ%JJ JlTi^fl J J] ^11 iJL.
Commence: ^JJJ J%1] J^Jj .^..jJL jj^ij ^ ^l?
Cast le-m&noire d6velopp6.sur les figures de la nouvelle lune,
composS. aprfes Pabr6g6 sur le mdme sujet, abr^.qu'il cite dans
les lignos qui prudent.
1) II result© de cet article, ofi Ton troSve aussi toute la bibliographie con-
cernant , cet auteur, que Phoaneur d'avoir constate cette identity de Alhazen avac
Ibn al-Heithem revient a Rossi, et que deja en 1822 I. I. A. Caussio de Perceval
la prouva «juBqu'a ]>evideoce», V. 1'arfcicle cite surtout p. 21, 40, 34 sq. M. Leclerc
parait ae pas avoir conau le travail de M. Narducci, cf. Hist, de la medec. ar. I,
612-26. Bur Ibn al-Heitbem on peut contjuiter encore Hankel, Zur Geschicbfce
der Mathernatik, Lpzg. 1874, p. 253.
Mathbmatiqubs. 125
4) f. 73 a — 77: &jOl <L>L*.e ^j
A ce traite il manquo lo commencement. J'ai tir6 h titre do la
souscription. Les premiers mots tie ce qui rosto de ce traits sont:
5) f. 78»-81-: ^J ^Ul ^J j ^j .^1 J^
Commence: JUJJ u ^ ^| JLJI V M ( . ;(e _,*#" ^L ji
6) f. 81 —89 : ^sJj 4.f /3 , ^j J] yjj,l aJU, a
Commence: &h£» J l e L^ol^ sje>dJ J-r 5 Lr $Jh j\
£ ^JUJ) jf^ U^o i^tc ^jj^. Le mdme chez Uri L c. 3$ 8.
7) f. 90-101 6 : J^Jj JSU. j ^»j a .J/ ills,.
Commence: ^ ^f t^U j^ v Lil ^L ^ j^bJJ JJU„
8) f. 102—110 6 : i*» j^d i&** J i\ u ^i\ Jyi
Commence: *yU* ^* » w <Xi» J jj*JJ ^JLms swl tUX
Ce traitt pourrait bien etre identique au As 5 chez Uri, 1. c.
9) f. Ill — 121: <lLaJj £**<* J_js%J ^j Jl £.«*ij Jj
Commence: ^if ^ J iUj ^ I^J j aJU^ UJ Hf
4JL2J) l^^ij »J^i ^ ^j i]J| j^ w J^J fe£iJs j^o.^po LJ
.^l ^^ j^L. C'est probablement aussi ce memoire abreg6 sur
I'&zimut de la Mblah, qui se trouve dans le mscr. d'Oxford, Uri,
1. e. J§ 4
£.
126 M ATHEMATIQUE8.
10) f. 122—- 125"; ^j>^> J$ &&m**> -,c LL& r\ •j****' Jji
Commence: L^c u^s *?j 5 O^ D* ^ -f* 5 ^ p^*>j\ jjts iSl
fi e$j^ Ltit* J^ vW «J -/*^' tA> e 0^j>
11) f. 125 — 131* ^LkaJI _/J [j J-H J&ji ^J fi ••***».} J«i
Commence: /m» a*aJjj aL^ss aJ t^J& Ol> «J"« ^ \> /j* <p$^ w - *
12) f. 182, 148 et 149: J y» ^J vSLUl ^1 J c uM'
)J& /.* «Lm4>UU aJUJJ *»■**' | (?) di«» di»^j jjj iJ^lj _^fauil ^J
Je ne puis rien dire sur Pautenr de ce petit traite, AbOU Sa'<!
al- Aid. b. Sahl. Le traite commence: *->f </ «L«JI hjS jCJ J Is
J) j Shi] J*" j » oLoJ U>^«,
A la fin de chaque traite on lit *° s i\j&\ «JL-iL ou des phrases
semblables constatant la collation. An f. 1 44 a , c.-a-d. sur le der-
nier f. nous lisons *vb*» aLU* j>\ ^Jl aJ^I y* «^»UXJ) I J* J^i
JU*I «UJ ^ ciJ<e>iJ *»*^ y 6 ^ <**•» tJj**l' J«e«u vjlwl ^
Le mscr. est tres-ancien. Sur le f. 1° on trouve le reste d'uno
note, qui porte : .... «*♦» j -.Xj U j **.«, a;« ,j <j«y je et a cOte,
d'nne autre main ...aM^JJ ajL^_, ^icd^J a** a*J ^<^sJ^^'
La m6me page contenait encore la table des trait6s, mais ello est
tres-fatigu6e. A cette exception le mscr. s'est fort bien conserve.
L'e'criture est extrfimement liee et entief ement depourvuo des points
diacritiques. Les figures sont bien dessin&s. Le mscr. est.mal relief
je crois que primitivement les ff. se suivaient ainsi: 1 — 47; 132;
48-49; 73-131; 50—72; 133—144. II manque des ff. apres
f. 47 et 72. Cf. encore sur Pauteur Woepcke, L'algebre d'Omar
al-Khayyami p. 73 et sur les mscr. de ses ouvrages Catal. Lugd.
Ill, 38 sq., 60 sq. Catal. Mus. Br. p. 191 et 443.
Philosophib. 127
I uo »
JVJ82. 19VgX18V 2 . 31 f. 23 1.
Par AH b. Mohammed b. Mammeti b. Ali al-Korashi al-
R&Ia^Mi al-Basti U L«JJ ^aUbJl f 891. AbregS d'arithmdtique
tir6 du t^LUj Ac -j& c-»LU) U^*j du m6me auteur. Divis6 en
preface, 4 ( j& (8 c-»U chacun) et irU. . Cf. sur Pauteur et Fouvrage
la notice de M. Cherbonneau, Journal as. D<5c. 1859, p. 437 sq.
et Hankel, Zur Gesch. d. Mathem., p. 2B7. Dans les mscr. du-Mus.
Brit. (Oatal. p. 199 et 414) on lit dans le titre jL.¥l au lieu de
JjJi\ . Copie assoz r6cente.
194.
JVi 86. 24X17. 162 f. 15 1.
UaIJ (jij»i i)*[>»j
Ce mscr. ne contient que huit (Spitres (8 — 10) de la troisieme
partie .«J de Pencyclop6die des freres de la purete\ Cf. Dieterici,
Die Philosophic der Araber im X. Jahrh. I. Einl. u. Makrokosmos.
Lpzg. 1876, p. 135 et Die Lehre von der Weltseele, 1872, ou Pon
trouve la traduction de cette 3 e partie. Le premier f. de notre mscr.
ainsi que les f. 1 33 — 39 sont d'une main beaucoup plus moderne
que le gros du mscr. Le second f. est marque* a Pencre rouge ip, ce
qui fait prtjsumer qu'a Porigine le mscr. contenait toute la 3 e partie
de Pouvrage. Au f. l a on lit de la main mSme qui a 6crit le f. I 6
et les ff. 133—39, en guise de titre: O+yyll i-jUl) aJLJ) CJ
Jj* u ^» <J tUpw^lJ u »_, ^*«J| \JP JA> <tfJuJ) iJLyJJ \»j&»j
Jl ^S jLj) JUI jl «L£ll. La 4° risalah commence au f. 9 6 ,
la 5 e au f. 24, la 6° au f. 43, la V au f. 58, la 8 e au f. 86, la
9° au f. 105 et la 10 e au f. 138*. A Pexception des ff. mentionn6s
plus haut ce inanuscrit, qui parait 6tre assez correct, pourrait re-
monter au 8 e ou 9° siecle de Ph. II y a a la fin une note d'un pos-
sesseur 6crite d'une main ancienne, mais malheureusement les noma
et la date ne sont plus lisibles.
1 28 Philosophic
195.
Jr. 17. My v Xn. 297 f. 21 1.
Commeutaire incomplot sin- le ^£.J) j itJ J de Nacireddin ai=
Tousi f 072. 1} manque tout k 1° ju^. On lit a la fin: j,\ j>.
^>UJ ..v;^ p,i ^ J ^1^ U, (jg commontaire *) est colui dc
ill! lift. fiiitelfiyM &B-Jtayji t &V9 connu sous le nom dc . „£J|
J^MM cf. H, Eh. II, 198. Los marges (surtout dans la l°partifi
dumscr.) so'nt couvertes degloses tiroes deMirza-Djan etc. Le 3"ju*l»
commence au f. 191, le 4 e au f. 242°, le 5 e au f. 250 c .et le 6° au
f. 269 . Los 2 demieros pages contiennent -des haditli sur 1'extension
de la torre etc. Copi6 en 1081, cf. Ic f. 190 ft . Le mscr. c ommence :
^J Jji~i ji <uf J! j^k; u iUU ^ S U ,i -,* ^jl. ,
Bibl. Suchtelen. ' r
■196.
Mil. 24X16V 2 . II f. 12— 13 1.
Comraeiitaire de Hosftmefldf II IMf f 760 sur TIsagoge de
Athireddin al-Abahri f c. 700. Cf. M. Dorn, CataL p. 7.0, H. Kh.X,
p. 508. Mscr. tres fatigue et sale, mais assez recent.
197. "■■
As 40 16X11. 138 f. 18, 17, 17 et 17 1.
Gontient: 1) . £ndj JL,J| *)
GJoses do Hfr AbOH-I-Ffttli sur la L.kdi iJLJj, qui est un
1) Le raiisee asiatique possede tine edition lithogruptrieo dc cet ouvrage
.pabhee. en Perse en 1274. V. M. Dor n> Mel. asiat. V, p. 510. Gette edition qui
wtrouve aussi dans la bibl. de 1'Iiiet. m'a permis d'identifier le mscr. acephole.
2) Le titre ne ae trouve pas dans le rascr.
a
Philosophise. 129
©ommentairo do Mmlkm MohamnuHi aWiftBg.fi f 6. 900 mi log
vW de Adhododdin al-ldji f 756. Of. Dam, Catal p. 81, H. Ik
I, 210. Difitatos mains. Date do 1166.
2) l 4.3 ff . Glows de fafefa k IsHir .Kllife^if^*
e _fb tjj^^ sur lea gloacy MMdenteo, Compose d^rnte B^nifeKdoh
(H. Kh. VI, 5(18) on 1080. Oopirt par J,^ ( , V IJ.;' ; ., : , ^ , Mi
& Diyarbokr m Hfi7.
Compose d'apres k sonstirip&iou pt?,r ifesfe llfeFiilj avoe ok
commentaire. Premiere mots: af^L ajf d^dl u^lk^i b|« . {fJ U
£* <JUiii Jl f eJJ QAt. C'est la i*wif aJLyJl avee lo cominentairo
cootenue aussi dans los J« XCV1II, 8 et OV, 2 de la Bibl. Publ.
(Dorn, Catal. p. 74 et 88). M. Dorn (1. (;. 82) incline a roconnaftre
eomme auteur du traits comments un certain Shah Hosein. La sou-
scription de notre mscr. par&it attribuer l'ouvrage comments et le
commentaire a Hosein Efendi, car on y lit: wjjlll (sic) iJLJI J
tjj^i ^^J., et Hanlfeadeh (H. Eh. VI, 569 J# 14688) connatt
en effet.uno vJ^' J «*i*«» compost par Hosein Efendi al-Antaki
f 1130. Le commentaire a 6t6 peut-fitro ajout6 par 1'auteur -lui-
nieme. On trouve un OJU»jL! i.L.aJJ ^.l p. ex. dans le 24° cata-
logue oriental public par PlQgel, H. Kh. VII, p. 497 M arv.
La question doit cepehdant raster ouverte, feute dedications plus
positives. Une lithographic de Constantinople 127© (v. Mel as. ¥,
p. 470, M 29) qui contient absolument le mdme ouvrage que notre
meer., porte en outre sur'-les marges des glosee tiroes de Psrdi
(v. Dorn, Catal. p. 82) Omar Efendi, Akshahrabadi etc., sans tonte-
fois nous aider a r6soudre le problem©.
4) f. 127. Une Risalah sur Tart de disputer par II©-
lanilil Mteilillzliil t M50, qui commence; e j^ s 4U' ^
La mtee chez Kraft, d. Ar.'-pers.-tttrk. Hdsctir. der oriental Aka-
demie zu Wien, p.'155. Copfeen 1182.
130 Alchimie.
ALCHIMIE, MAGIE ETC.
198.
& 78. 16Xni/ 2 . 190-»-2 f. 12 I.
Pofcme alchimique nomme aussi J^jl Jl) ^^iJI aJL, par
Mohammed b. Omell l ) b. Abdallah b. Omel! al-Temtmi avec un
comraentaire de l'auteur memo., Le temps oh vivait Mohammed b.
Oraeil est peu certain, D'apres Flttgel, W. H. II, p. 570 il y aurait
quelques indications incertaines qui induiraient a placer sa mort dans
la 1° moitte du 4 siecle 2 ). Je ne trouve pas dans notre mscr. des
dates positives qui pourraient servir a determiner plus pr6cis6ment
l'^poque de l'auteur; il mentionne, il est vrai, plusieurs de ses con-
temporains, mais je n'ai malheureusement aucun renseigneraent a
leur sujet. Ces contemporains sont 1) ^+J\ j^e ^XkW ^J, le frere
de 2) ^*tJI ^i*» J-mJJ ^jI, 3) j*c j/ju»J q* ^Jc jA»j*iJ jjI
^jJL ^.^i) jJ^II (f. 2" et 5°. A la derniere place on lit ^»e
au lieu de jJ^JI j*b). 4) (?) % ci**, j* ^uJ\ y) (f. 71") et
5 ) u l ~ ^ l e «JL,^ ^Jl jue -UJI^I (f. 99" 6 ). Le dernier
seul est mentionne" comme alchimiste de profession; sans toutefois
qu'un ouvrage de lui fut cite. Nous lisons qu'il a chercho vainemont
pendant 23 ans la pierre philosophale d'apres line methodo fausso.
qu'il croyait la vraie jusqu'a sa mort, quoiquo notre auteur eut tente
de le convaincre de son erreur. Les autres apparaissent tout simple-
1) Le nom J.**) dans le mscr. est voculiso ^**\\ M. lUcu, Cntal. Mus. Br.
p. (587 et Flugel W. II. II, p. 6J0 prononccnt,Amyal" Laformo Omnil seconforme
tree bien au metre, comme le prouvent lea vers suivants, au f. 16&: k»J * J^U
^u * JUL.?), r l.JL yL. * JLUJ ^ jjj\ % Lr* jL V ,MJ
* jUrilL jUrifJ gli; * JLJJ Jjli'j^i
2) Cf. aussi l'index a H. Kh. As 828. II faut cependant y biffer le renvoi a
H. Kh. V, p. 852, car le UJJ oil* a Ires-cortainement pour auteur un autre
T^mimi, Mohammed b. Ahmed (4° siecle), l'auteur du j.zji\.
Alchimie. 131
ment coinme des amis de l'auteur, sur les occupations desquels on
est libre de penser ce que 1'on voudra. D'autres r^ussiront sans
doute a retrouver l'une ou l'autre des personnes cities, ce qui permet-
tra de decider la question. En attendant je crois que l'opinion Praise
par Flfigel est indirectement confirmed par l'ouvrage mfime. Moham-
med b. Omeil cite line foule d'auteurs alchimiques, panni lesquels
il n'y a d'arabes que Djabir, Khalid b. Yezid et Dzou-l-'Noun al-
Misri. Ce dernier mourut en 245; v. Ibn al-Athir 6d. Tomberg
VII, p 59. Les auteurs non arabes sont dans l'ordre alphab^tique *)
1) -Sl\ ^J ^ qui est presque toujours represents comme conver-
sant avec „le roi Theodore" ^-ji^-J SJll (v. par ex. f. 34 a , 56 a ,
9J°, 1 71" etc.). 2) ^ j^L*JJ ^UJ «) (f. 80 fc ) ou ^j^JJ\
(f. 34°). 3) y^JuiJ <) (f. 62*, 84 a , 89°, ]34 a , 147 6 , 194 a ).
4 ) uJ&U cite adiffiSrentes reprises. 5) ^jj^Jl 5 ) f. 196 a , qui
est 6videmment identique a -jlc^il ^jj^f\ nomine en outre
disciple de jU0 ^j ^jybiL* UJ W *J ^ jLki^l ^liiJ et
1) Une partie seulemeut de ces noms .se retrouvent dans le Fihrist. Ne pou-
vaut entrer dans des discussions a ce sujet, je me, borne a renfoyer le lecteur
principaleraent a cet anteur et a )c prier de consulter en meme temps les notes
aux passages indiqu6s ainsi que les ouvrages y cites.
2) Aros ou Ares? Cf. Fihrist I, 363,. 1. 26; 364, 1. 20. Catal. Lugd. Ill, 196,
oil se trouve uue citation de son ^Lil c_*x" x * compose pour le m6me roi Theo-
dore (cf. plus bas J\ls 201, 2). Borelii, Bibl. chemica Paris 1664, p. 82 connait un
«Aros ad regem Meffohe scribens». M. Chwolson, die Ssabier I, p. 801 pense que
U*J pourrait etre une corruption d'0rph6e. Dans le insert. As 209, 36 le nom
'( .
de ce personnage se trouve 6crit ^pyJ, tandis que ToghraY (mscr. & 205, f. 142°)
prononcc { jmj). Ibn Omeil identifie au f. 105 a ^ j J a la planele Mars.
Void ce qu'il dit: ^ j^Jj ^JU f> ^S\£& j« gj,\ y> ^J,
LJf jU_, j^J li ^J j»~ U)_, o_Xi j* j* ^JJI Jj)il judl
jjUid) itej l„XiJ Aa»« ^JJf yt> ^^ixJ) lj,0j Ak* A»jjj <W.iJ pjj*
3) Identique a ly^jfo Fihrist I, 363, 1. 12; cf. aussi M. Steinschneidcr,
Bulletino du prince Bbncompag'ni IV, 292 sqq.
4) Cf. j^.J^.i-, Fihfist I, 858 1, 26. Lisez i^jt J*^» = Synesios sur lequel
cf. Schmieder, Gesch. d. Alchemie p. 66, H6fer, Hist, de la Chimie, 2 e ed, I, p. 279.
5) !• V<-'jJ L A*il' Olympiodore, l'alchimiste? Schmieder p. 70, = ,~j J.am*j I
du Fihris,t I, 286,"l. 29?
9
+
132 Alohimie.
cite" sur la mdme page. 6) u ^ iJ \ ^ u ^,® ^^j) t. 136 afr ,
auteur (Time Risalah nonim6e jij>J> k j L.A:>*kJ & j) /S J| dJL,
k/ ^L yjJI. Of. Cat. Mug, Br. 6 37, DL i~.l; y jJ ct^isjl revien-
nent sous la forme d^LVul et /t .i^ t ^/> f. 91 f> , oft on lit: jUj
l ] V^' j^ o" ^ h H^J$ (sic) u j,J oi ^.^ u ^,p,
7) ^Ml U J^\ if. 17b''). S) a ^jljjJ (L 92'). 9) C ^JU
(f. 122 , el f. 197", ou. il oat nomme commi c&vo do^/L;, c.-4-d.
de Pythagore). 10) Ll>. s i ») (f. 83", 98 f \ lS2 < 'oi.c.)."ll.) fcr >>J < ,JI»
cite au f. 103" d'apreD .Djabir, qui proieasait pour lui uiic .g-riuidb
veneration. 12) ^j a ). cit6 tr&s-souvent. Au f. 157 rs nous lisons:
(1. a*~LjI =sHypathia?) A^-AiJ ^Jl Lu*u«iJ ilLj ,J ^j JU.
13) U>- ou ^.JJ^ (cette derniere forme au f. 95°). 14) JLJL
i5 wU t Jj(f.l88 a ). 15) u ,^>»)(f..l22 6 ). I6) u ^Jli, instruisant
un certain u «y^ au f. 65 6 . 17) t^eUi (f. 196°, ou il est iden-
tifie' avec ^-yAiJ; cette forme se retrouve au f. 197 a et s'est formee
^ e uv***)- 18) ^JjkJ'tf. 169°). 1 9) h jLj cit^e tr&s-souvent
20) oil I ^^J^*, dito, ordinairement en donnant des conseils
swntifiques a L^.'qu U^ 4 ). 21) \j~ij\jt*-*) (f. 168°).
22) ^LL* cite f. 9 1 6 , 92 a et 111 6 . A la "derniere place on lit:
3H} fj^yifi : yiJ>W] ^j . ;crJ lij* 4*i JU dUjJ j>. 23) ^jJij*
f^> &I-* (f. 27"). 24) u ^ / ® cit4 presqu'a chaque page. J'ai cite
plus haut (IS 6) les passages ou son nom se trouve uni a celui de
_^yl ou ^^j. 25) un -certain u ^Ly (f. 121 6 ). L 'auteur
renvoie onfin assez souvent a ses propres ouvrages, savoir le »Ui*
M *U) s£i/;(f. 41*, 49 6 , 58 a , 7.7",- 160*, 186* etc., le "LliT
1) On pease naturellement a Democrite, mais la transcription est tres-aingu-
liere; elle se trouve aussi chez al-Toghrai (v. le J£ 206, f. 184 a ).
2) Sans doute Zosimos. Lisez aussi ^jj dans le Fihr. I, 358, 1.25 aulieu
de f»Jj\. ^.,W:9**~}S ibi <*- P 364, 23'est peut-etre aussi pour .fj»f^^j.
3) ? U-y.Jfp® Fihr. 255, 10.
4) Sur ces trois noma Fihr. p. 853, 24— 25.
5) ^jJj** Fihr. 35S,.l. 26 et la note 18. Le meme u ^jlj§^ eat aussi
cite par Na f r b. Yakoub al-Dinaweri parmi lea philosopaes," qui e'oceupaient
d'onirocrisie. Voir plus bas JV»'211, p. 161.
Alchimie. ] S3
L^aI) (f. 4:® b , 77°, 179* etc.) et plusieurs kacidahs et. autres
ponies (f. 31—33, 36—87, 49—50, 77—78). Yu cette ten-
dance pronono^e a citer bob autoritds, il serait, certos, bion etrange
que noire autcur out oubl)6 ses collogues arabeB , postdrieurs a
Dzou-1-Noun, s'il a?ait pu les oonnaitre, et il ne reste par conse-
quent qu'a admettre, qu'il florissait dans la seconde moii\6 du 8 e sifecle.
L'ouvrage commence ainsi: ^Jj^i) eUJ <^Alf ^^J) «j«*,JJ 4Jj) **»
u «^ J*J jt «uul j*g j> . Jill j* j*tf d^ ^.xdl J»jto j>
>*? J*JI u^ y^ ir*JI **& f^ jflj ^J *^> J' J I* ^j
% jf 'j o^iLt'-lfio A^tfed) o^»«fc** {j**?*® <t * i ^ oje«e QyJbs'i cii* ^J
(?) j^li 4^ V- j& J£J *k» J r j s^ J*-^' «*»^
i)fi U ^"J (Jc-pM J-U jty* ojLj jc, *LjJl Ji Jj -j* j** je
*^* — vJ e^J.* 8 ^JjIj ^Lsi) pJjJu IfSm I*mu»1 _, V ^JJ ^e
^) fc^J'l J p'LjJ"! -Jija ^L L* J I l« uj^i Wl. Oette -
idole 6tait assise sur un fauteuil \j~J pareil aux „'fauteuils deg m6-
decins" et tenait sur ses genoux un earreau aL^L, long d'une eoudee,
et large d'une main et de quelques doigts 2 ). Oe earreau ressemblait
a un livre ouvert ^I'Al ^js^l et presentait les figures de din%ents
objets, qui sont d6crites avec quelque detail jusqu'au f. 4 6 . Au f. 5 a
nous apprenons ce qui suit: e jye> le y*» .xJI $}'* <j\ «Cjie ^jl
1) Ce mot est marque du signe et doit etre biff6.
2) Un deesin de ce aI^j avec les grinoipales figures ae tmuve au f. 11°.
134 ALOHiMit;.
jy®Ji ©J* 8 J I fixj) t£iJi <jji IS! jj*Jl>\ (j®«UJ) J^UJl -v*
C/ ,J O* O* 4 " tJ- 6 ^*- M J ^ip-® 1 ? tJ^ 4JU f «U©af oJ.^&bJ) JjJLj) oj^
Les ff. 5—1? contienncnt le poeme qui a dans notre mscr. 442
vers. II manque done 6 vers, car l'autonr nous apprend an f. l'i l
qu'il en renfermo 448. Au bas du f. 17 6 nous lisons „> ^
Le commentaire n'explique point chaque vers s6par&nent, mais
donne plutdt un apergu g6n6ral de la science alchimique en prenant
toujours pour point de depart les figures jl&l du iL% etc., et en
6claircissant leur sens cach6 (si sens il y a); la literature en outre
est, comme nous Pavons vu plus haut, constamment mise a contribu-
tion et beaucoup ^'expressions obscures ou all^g-oriques en usage chez
les alchimistes regoivent une explication plus ou moins satisfaisante
ou curieuse. Un exemple suffira: Djabir b. Hayyan a dit quelque
part: w J'ai ') deux fr&res, qui apparaftront a la fin du temps''. „De nos
tempi", nous raconte Tauteur (f. 180* sq. cf. 187") „il y a des per-
sonnes trfes'bien versus dans Tart '<u*J.l .j jy^U qui pr&endent,
chaeune, 6tre un de ces deux fibres de Djabir. Ces personnes taohont
de cette manure d'accaparer Pargent du public* (ce qui leur ntassis-
sait probablement k merveille). Or, les „deux frfcres de Djabir"
6taient (v. f. 185") le soufre rouge ^l L^XJI c.-a-d. „l'or
des sages" e L*Xil ^i, et „la cendre qui sort de la cendre"
>UJ\ u* «,li) sLJl, ou d'apres une autre explication „le soufre
des sages* et B Parsonic des sages" ^kujj 9 #ij$. „La fin du
temps" n 'est autre que la fin de la l e operation qui aboutit a la li-
i) ul*jJl>l J jjjiL ^j J Jj.
Alchimie. 135
qu&action^JailJJ 1 ). Un autre passage est remarquable par son origine
6videmniont grecque et pourrait peu't-fitre servir a identifier le myst6-
rieux ^J. Le voici (f. 171 fc — 173 fc ); r ,j J^S « (* )> JU j
'J* <3 UV' '■i «»-'** «-*■» ^W ^ J^ ^ CTJ^^ S.IJ] ^J Jy>
£* a«u^ 9 aJLs ^*e ^1 J Li **1UJ d^<i J;* jic ^Um ^s JUJ
\.$*Ac j ^jLjSjj.SI l^lc („l«iii Ulj il^lu, J Las lfS*,iili &JyJj
l^»LLjs, «JL.*j.^jJ^ Aj^Jdf Ou^ij dAclj ^^s* V^y^ «*I-«*w iuJUJl
o^ C^'sjbl ^L*, i>J>i\j ojis <lJL s ij»^ U>jL» ^Ijj)^
^UJIJ i^JI ^^ e i^ J,«U i^J'j j c l^ic^J) ai^Ji ^r%
y ^^ >^' *bill ^L UicLL *l^!I (sic) ij.ieli^f ,jJl
aLLsJ) A«auJ) tJ^ijLc UU _^iA« le tyjlc •.♦C _^*Jj £*!&.,*)) fLadj
i u f"^? m j' t-'oJ') *Lo2(J w^LmLJ .*>£»• I «* ^jl-JJ LJ __^uJ) »UaiJ
j* L»j L ^lJIJ ^JU j ^jUI .bill J c ^1 J,J J fXlJ
l^LJ LI ^ r JTl! 1^1 ^J ^i W^l LJ r L-M *lJli ^1
je., j jjOj jc u ;£j ^ JJJLI) Jli SS jr, *»L Uj! **U ^Jk
oi A.»»lt J-i«* jc ;JL ji vSLl ^J Jli (Thfebes? = LL*) UL*
L* J J <*.*> ^i*u^> .^j J U e ^,L" Is, u-»U) lyicl Lj U ^jl ^^il U jjixJi]
1) Ces faux fibres de D^jabir me rappellent vivement le poisson d'Avril d'un
arabiste aussi savant que epiriiuel, qui invita un sien ami et coll6gue, grand ad-
rairateur du beau sexe, a venir passer la soiree chez lui, en le prevenant qu'il y
aurait du monde, L'ami vient, voit Paimable h6te entoure de gros bouquLns de
grammaire, ouverts tous au chap, des «soeurs du verbe ^Jo» — et se sauve,
furieux de ce que l'on eut youlu le faire conjuguer, quand il etait venu pour
Bubjuguer.
2) C'est a dire une allegorie, oil la preparation de la pieire est decrite a
'aide d'allusions k l'histoire de l'Egypte.
Aloeumjk.
i#stt J ll r j.f LLJ l^ifi Jail J.X,o <U«1jL Uj.o^ -.at- ,.C-nji.
| - t f • j -J U-' (- ~" ■
W^o fe> <j l^lsU IaILj J;i_, Igif l e s |a . i? %>!.! fij^jJj,
^ W'' d*^ ^" J^i pjJL* V>> i>Mj> pJ^ A^yliU ! f(: .'j
C M ikjil *>^l ,!'lUf LI ei , : , jjU ,.•, Ik L u j.M i,-J
f u.Jl Ail u .. ;v ^ f w s ^ jl* ^ J-sjj' jrgj
^ wJ ^O'j uk°j> f y^b ^„^' ^^5 Jf M J CJK^xli
ill«lj J 6 j q^.j (sifij^jjuOj tijil fi .^ Ui Ijlm k ^jl j>$S* 3
6l^ je i^ jy J jV UU ^Ujji ij» i ji 4,1^1 ju
4^0 Up jUjif |Jj& CrfW Ui Xte L«3 L & li' l^jLlj, ij,,j k jij Jj3
^i jUjJi (j\ M\ SLk ^h) U eliiJ l@J yu u Le Ui) 3 ^^
tJL** {j*> 'jp-^v*** ^***' '■tf' U&jk! LJ jUjJl JU tJbjJ • *.© <l^jJj
jrfS.^lpi ^i j 4,-L , ilkli^l lydel J IS ^ ^ J ^[Jl \ ? dh\ lb
Ci j^ J li (sic) >^xJ 5j UjJ! c,'M 1 3 U jJJ . cJL V ,
Tout ce passage est ime allegoric, qui est en partie oxpliqu^e
duis log pages qui suivent. Aphrodite p. ex. est ilLJ) lt 9,,L>, il
Le mscr. est d'une denture trks-jolie; le texte parait en g&i<$ral
fort correct. Jusqu'au f. .22. .avec toutes les ?oyelies. 11 y i une
petite lacune apr^s le f. 17; i la fin il manque aossi quelque chose,
Alohimib. 18?
un feuillet probabloment Quelques lignes d'une autre main m ks
de la dernfer© page tachent do cachor cotte d6foctuoyit^ en conskknl,
h fin de'Pouvrage, Le mscr. solon moi n'ost pas postfriour an 10°
si^ele de l'h. Le pobme mdrae aussi Won qu'un coramentaire de Djil-
daki n'est pas trop rare, mais je no connate pas d'autro exempl. d^ co
commentaire di) a l'autour lui-m6me.
J6 68. 22V 2 Xie l / 2 . 158 f. 26 1.
Par AiieilSr b. All aJ-DJHdakl f c. 748. Cf. Catai. Mub. Br.
p ; 745, Lugd. Ill, 209 etc. Ce insert, ne contient quo la fin de k
3 6 iils*, et les raakalahs 4—8 2 ) da quatrifemo et dernier P > de
l'OBvrage. Premiers mots: ^1 U u i J£ iU ^jJl *uf jUf
ca^ ul^' ^ e -jLr-' J J^l uWi v^ cr H^' oil..
Copie en 1 1 24.
#69. 21>C16. 158 f. 28 1.
Par le mdme, qui est nomine" dans le mscr. Izzeddin Ali b. Ai-
dtoair b. Ali. Sur cet ouvrage cf. Oatal. Lugd, Ill, 208 sq. Notre
mscr. ne contient que le premier livre>* (= 2 f m* = 180 »Um)
exactement comme ceux de Leyde et de Paris. Copie sans date', peii
ancienne.
201.
$74. 21X16. 120 f. 21 !.
Contient 1) J^i ij^JuiJj cJiQAl JL
Ce titre se lit a la premiere page d'une forilure difffcrente de cello
du gros du mscr. Quoiqu'il soit peu certain, que ee soit r&llement
1) F. 15 6 , 01*, 70« 82« 121* et an f. 167« la irli.
138 Alchimie.
le titie do Pouvrage, il convient u6annioins parfaitement an contenu
du mscr., qui est en effet un commentaire du c61ebre poeme alchi-
mique ^jJJ^Ji, de AbOU-I-H&sail All fe< HGUSa (Ibn Aria Ras
u»\j £l>' qA) Si-Audsloosi f 500, sous forme d'une consultation
entre le maitre et son eleve AbOlH-K&Sim Mohammed b, AbdftUab
al-Anp&ri, II y a plusieurs exemplaires de ce poeme ainsi que de
differents commentaires dans les bibl. de PEurope, cf. Oatal Lugd.
Ill, 208, mais je n'y trouve pas notre commentaire, qui est inconnn
aussi a H. Kh. II commence: .*lsJJ 3 A J^UJ J Is Jl «uj! ^j
JLJj *uJ[J *t^JJ ^ij* j ^j^-. fe^JL ^jLsj^J 4jyl j^z. -ji j*s
U*** ( Sic )0^' f^l (j\*jl\ JJ> c^LiiJj J-jlj eUJ) S.L* ejjJj
»JjJaJ u ^y* jf ^Je Qtull (sic) ^>l ie^lJ) .Si\ (sic) jjL/Al
w*** Cf <Lfi ^.j* j? j Aa yj *ljj *»jj 4JU' wJ-> ^J-^xl
A*s>j J Is (' t^U*J; cwUj Jjst* J j oJJ ^aww J ijjj> AJ'»Ji jj <U»*
y*»* ^j AiiiflL© ^g**Sj Cj\j\jij) j djjuljj *aJ_^JJ|_j «J«w.UlJI /»» i%
****** j tJ-»Jt^ u\*.jfl ^j ijy^l dc U) o-' V^ J***"aJ^>
SpLo «ml ai^l tJl-JUJ) ^j*«* *!-♦#» (JL9 j^J'*'*' ( 2 «jjui» .... *U
^i o^lc <uil pl*l jUi o/>jJ)., *^1 L J&*\* illjU dJ.2) J a * j
<?\ o.UJ ^J c r -^J" u»?>fr\ J-ic *tJll». De cette maniere sont
expliqueos les difficulty quo prdsentent les autres vers du poeme,
dont le texte d'aiMeurs n'est pas toujours cite" en en-tier.
1) Le premier vers du poeme porto :
2) F. 2°.
Alchimie. 139
2) f. 114 jljj\ jjj^ Jj M) >-
Potit traite" anonyme sur le poids sous forme do commentaire gui-
des romarques de difffrcnts autours. Commence: jJlI <jy j.J\
4*jill oJ.p J-JJ Jii J.** y -jj j» ^ jr ^J ^jJI C-i^il , ^
olyl ^ *^1; l«., ci.&i Jly) j* d^ ^U) l; ^jj) ^JJ j
v" (?) JJ ^UJ ^U Ui* ^U^l ^ c Uilr o^ul cLJUi
iib? » _, 5- ^r ^;r ji;^j > j ^ 4 ,u? ^o J^ . } ^
U'j/2' Ji<J* ^\ uUW J?t* l«~*.- j u**!- Noms cites: i^L,
M>«> yy' (»M' <-**** V^J)> crv» ( i: ^ j *"*^ *^*** w3
crt^ ,>' ^-*^J)> J**' ^ <>♦*, j*'^), uv>^~», xjv^Jh
u^Lljj. Copie sans date, pen ancienne.
202.
*79. 20V.XUV,. 107 f. 18, 21, 18, 21 I.
Contient: 1) J]^\ ^ j j\^\ ^
TraiteVd'alchimie compos6 par Sid! AbOU H&mld Mohammed
al-Pa^l, domicilii a Fez :U -li J ; ji u x^\ j^ ^L #1 ^ j^
a la demande du sultan Yousof fils du sultan Yakoub b. Ahmed,
„la gloire de la famille de Said" •>. Commence: ^jJJ «m jj\
J i.^*J.J jUi^J Jc 4, 4^; <U)| ^J ^„ u ;)L JZU Jj
a~*»\\j ij^Vi iu^*1i iJjjj) pU Jl^ ^^ ijjjii ^ji ^^u
b^JL Jtl., ^jjl ^J) ale^ll i.j^il <uU,, aJj^Vl
0U)l lUi^ JjJ) ^jL U J^i, jLrilj j^ill fi JJW)
*i*«»j iilr jc j jji yi ^ ^ ... ^Jj j;^ u a^L* 4.1, ^
1) Je n'ni pas rGussi & retfouver re sultau, qui du reste doit avoir n-anfi
aprto 600 de I'll.
Alchimie.
^ iiytil i,U,ij aL j,/^ ^i ^ui r cVj ^jjj „ ^|
Aprts avoir fini l'ouvrage, Fauteur le d^dia au sultan pr«.
La prffeoe va jnsqa'au f. 8 a , ou olio conclut par ce qui suit; V,L£
M V Mf. -|. i i ..i. ,* ^ J J u^" 5 ^ erf***
r UII U, -, J>J Lr^l dJj, J,L„ 11 n'y a pas de divi-
sion on chap, d'aprts un ordre ddtermiiMJ. Los citations sont trfca-
1 -oteur dn^j* f BOO (f. i 7 «, 24«) et^UJJ JuJ JWL (f. 6 8»).
2) f. 71 . CjU«»lJ/ J^j j ^U^J/ im?
Beeueil anonyme de raceta alchimiquos, divis6 en 8 '-- dont
• Pf-ier eoul est consort en parti, Lmence: J/2' ^l
U C f^^-f ^^ ^jPi j,>, owi /u., cLji
*^--J. ^ ^ U* *J oWJ ]> j ^^i ^ ^ u ^^ j^
-* -« ji, ll oL^Jl ^ ^| ;> ^ a -^ u
Alohimik. 141
^L i<? j*a*o «LjI. Au f. 72" commence le J§ jji\ ..^alJ
^UJ U) ^ JLM. Le traito s'arrfite au f.79 6 ; le f. 80 parait
ajout6 pour cacher la d6foctuosit6 du mscr.
3)f. 8 1 6 . toX-JI le J c r? P
Premiers mots: p^ ij-i ja. LJ ^eJU^ /^J) v~* all jM
V 8 ^' 5 ^ w^ u$^ J^U^ oUULj,. Anonymo. Receitos alchi-
miques, tiroes d'apr&s un« note sur lo frontispice du ob^Jj «*f,
c.-a-d. de Touvrage pr6c6dont
4) t 89. Quelques recettes alchimiquos.
5) f. 90—99 6 . ey-*. juL J «y# j^ v Lf.
Rocueil de recettes alchimiques, qui commence qc^JI 4Alf f*>
£\ j*? J-bj J^f. V-* 56 U*^' j^*J'
6) f, 99 6 — 101. Repetition dee 8 premieres pages
du .J6 2.
7) f. 101 — 107. Recettes diverses. Le mscr. est ecrit
do cterentes mains, caractfcres naskhi, tr&s laids, et pourait Men
romonter au 10 e sikcle.
203.
J6 70. 20y 2 X 15. 143 f. 23 1.
Contient: 1) J&X) Je jjj j »L-il.
Par al-BJIIdakl t c. 743. II n'en reste que 1© premier >~ s ),
comme dans le B 200. Copi6 en 1094 par ^j^UJ) ^jd®*®*®
■2) f. 187—142, L^.^ fill 0«J j^pl v Uf
1) Ce qui du reste a 6t6 cach6 aux yeux des profanes par le remplaeemeot &
par^£jf ^ 01 .. ■■'■
142 Alchimie.
^L jo^lj (sic) Li jjl^i J &ic ua; ^ _j 0./-C v^' J *>'
^^ OJ^ o*^ v 1 **' ^^1 j^'V j pUUil *yie j* jlii^ll
^Jl ajjL ^iUU U £J| ^-jjl jjj^ u rjJJ ^ ««JUJ
f^Jh JUJlj jy>JJl J*° Je *U ajLs^ ^j ^ Cj^c ^yjj
3) f. 142 6 . JJ>Jj ^L U J J*J| ji,Jj *,>. J
4) f. nr. ,/s U L> (> jJ^J) J, Jii .-^
.jsli iu*JJ
Premier vers: juJj ^ ^ v ^i ^ c JUJ J*
Ji/Jl ,4c J jj c Li) * — »_^iJl u ii
Le tout (Tune mSme main.
204.
AS 78. 22X17. 88 f. 25 1.
Trois trails alchiraiques de AH Beg al-lzotki 2 ), qui florissait
probablement dans le X° s. v. Hammer, Gesch. d. Osin.IV, 607, savoir:
l)f. 1— 10 u ^l JUJ JiiLj.
Commence: Ly; ^i, v*ljc_, dlu,« L,ii ^i JL L »& L
^1 dL,f, *l»^.i^LJ| u .liiJ J( .. A la.ligne 6 du f. 2° l'au-
teur renvoie a son livre
2) j«*«l j"Lr"l ,J jl^J jji qui commence au f. 11
et va jusqu'au f. 37. Cf. Flugel W. H. II, 573, H. Kh. Ill, 213.
1) Peut-Stre faudrait-il lire Jb Jjt .
2) L'autenr ue se nomme nulle part dans ces trails, mais H. Kh. V, 202 ne
laisse aucnn doute a son 6gard.
Alchimih. 148
3) f. 38-88 jL-^J S> J JjJH ±&Lf. Divis6 en
4 ft. Voir Catal. Mus. Brit. p. 638, H. Kh. V, p. 202. Le tout
d'une mSme main; copi6 en 1155 par ^j*®* j*J, v. le f. 87 6 .
205.
,V« 72. '20X14. 167 f. 28, 28, 28, 23, 38, 21, 28, 12, 28-84, 28, 19 et 19 1.
Different® trails alchimiques, savoir:
1) f. 1 — 21. JI c UJjjJIjW
Par al-DJIIdakS f c. 743. Commence: je ^jill 4ju jj\
jUilj- a^I'JIj JJLdl^ ^SjA\, Le mdme Catal. Mus. Br. p. 464 6
Ks VI. Copi6en 1055.
2) f. 22-34" _,~J^J UJ, ^U j jj\ k^
Par le HlGme, compost a Damas en 740 (voir la preT.) et divise"
en preface, 10 J*, et conclusion. Commence: JL *1>j Jl 4jyl ^
oU^J ^Jy| o^fc jyj v*l^u J) ^c jj j«j t \ Jj. Copie* en
1085 par Isa b. Hosein.
3) f. 85-50*. i^ ^ ju. r > J jfd\ j t % j,jj) ^IIU
Par le m$Dte. Premiers mots comme dans le mscr. de Londres,
Catal. p. 465 6 , XIX. Oopie en 1085 par Isa b. Hosein.
4)f. 51 6 — 53* ^ull ^M\
Par le mdme. Cet opuscule est identique au ,J ^jSl u"*&M
jmSll £& d^crit Catal. Mus. Br. 466°. Oopi6 en 1085.
5) f. 54 a — 56* ^}J V J*U ^ J^JI ijy>j\
Poeme alchimique, qui commence:
Un autre ouvrago du memo Ibn al-Mohadzib. Catal. Mus. Br.
p. 466", XXII.
1 44 Alohimie.
Par aH|ilialic Commentaire sur le 9 e vers de la lettre 1 du
V s * J J * «i»^. ke meme dans le Mus. Br. 1. 1. XXIII. Copi6 en 1085.
Par /)J| hjfeWsf. J'autour rtat B j^jij ulil c.4-d. Al&oddin
al-Qaroukh&ni ; qui pamit identiquo a All Beg al-Izniki. Of. H. Kh.
Commence: LUi „ aXII .^b* If. JUl sU , «-•>, ji! aU.aJJ
•?\ akijtM ,jljJl MljA f A^M ^Js. Oopteen 1085.
8) f. 93—103*. Une *Kj sans titre par MS b. nl-ioIaaigSil,
le moine. Commence: ^% v lUf K ^JJ| V J4' ^ S^ J^>
J.MiiJ} y yOJ.j l e J ,J Ajijfi j ^Is; dnai. A^JI k*g>A)j <LfJdJ Asa^aJI
Uje li Luj fi^o .^jj djjj s|jbj ^J«J). Copi£ en 1085.
») I. IDit —105 ulA l$kL@ (jaJ; tpt&k& i%JL <UL^ j&
Commence: £m~\ ((j)) jjm a&j ^^J* J^Ul $uU] JU
£ ! Jsiilj J«Jl* icUJl ix* jj&u ^J ^^ J^j 4j| U a.*Ljdl
10) f. 1 05 6 — 111° c^UL J^llOC,
Commence: ^.4 Lib 8 _^J ciUJ o«UU f f^ J I*
Dans le Fihrist I, 354 1. 28 on trouve un 4«lJI' J ^LL v Lf.
L'auteur est peut-6tre identique a notre Dj&inasf,- auquel du Teste la
ris&lak est tr&s-probabloment attribute a tort. Oopie en. 1.085.
ii) f. 1 is - — 124* jjJViu&rjjiaijj
Traits alchimique anonyme. V. H. Eh. IY, p. 569. Commence:
Alobtmie.
145
12) f. 126 (Jj0l ^SIjJJjJl U,
Par fif-fsgffflt f c. 5.1.5. Of. II 1L K, 500. Commonce:
&yj $ ^M^i> oLi, cr kSM ,J^lt\ , s h (aic) a JJ) ,|>] ti J.f
Lopremier ,> finit an f. J 48. I) oni, eop& en 1.079 p>w '.,., ^L.L.
u s,9^ ^^«JI j^ c ,Uj, Lo seooad commence: ^llJj . \ l} 411 ,?.,,-.'.)
plk>,xi.'. Lo m3cr. s'i>.rx#&aim mots auivanid: ( j! tr ^. w& i t / f l,
11 110 pout du rest© manquer que quelqueG feuillot?. ~
AS 77. 83X16. 461 19 1.
Recueil alchimiquo, conteuaut:
Par No^tafa b. Ptr IMammed U ^J^J ? alias Boston Efendi,
t 977." Of. H. Kh. YI, 802 et I, 478. DivisS m uue i.Ji. qui
traito ^>^ ^ ^jj j e t B chap. : .1 ) f. T %>JJ * j
i>\±\, 2)f. 18 6 Uj/L,;, %Jl Jj'li. J, 3)f. 29 & JUI J
UjJh Premiers mots: u «jslJ ^1^ ^i) Dfi 0> dl «m jjj
2) f.-88— 48 (»>UJfl Sbi J J^f/ isaj,
O'eat -une risaiah sur l'alchimie par le mdffle. Commence:
8) f. 43 4^0) Jjl *J/il 5jSU ^^jLlyJ) ^.» JJjii^^
£\ h?j\A s Uj** LJ ,jJ^i/,oLJ/ «L* £j id iill ..u. JUI
1) Ce titre parait avoir uli ajoat4 aprla coup.
146 Alchimie.
4) f. 4-4: —4:7 ^j^all J* LCI J J,ij,i\ j J-iUJl «K,iJ) As"*-* ■ ^
Au f. 47 on trouve nne kacidah alchimique turque do Alehi j€ J]
t 896 (cf. H. Kh. Ill, 529), qui commence:
Copio pen ancienne, sans date.
207.
. T V° 75, 22»/ 2 X18. 81 f, 20-- 24 1.
Recueil de recettes et extraits alchimiques: 1) f. 2— 1 1 . Recettes
diverses. 2) f. II 6 . Un traite attribud d. DjAbir b. Hayy&n qui com-
mence: /> uf Lf j o^ c J j^jll j* jlyJ I £\ £&J| JU
kbJJ o> d«* JU 4jyl o^ *Oi' *^Uj jJWj ^ ^~ **• ^t^
^/ ^LJ/ j^i/. 3) f, i4«_ie« Extrait d'un ouyrage inconnu
qui commence: j* ^ v UO « gUl J*JJ jj^ Jj <jy| ^
^i vizs. u#j ^* jpjs, v;u j"^i ^ jit; (ji aij^uji jj^j iJL».
4) f. 16 a — 17°. Recettes diverses empruntees a j^£ -h^J), j.«J
u «/^, ^jU^I j^*, ^IJL ^uiJI. 5)f. 17 a — 18 a . Uju* JL^
f*jLs>X) j£] Jaj i^&fj a^s* 9 ^*m*w ^y> j lill> ejJ^i ^-^p
^1 Us. Ists?^ ejtfjSj. Cette risalah, lisons nous, dtait en grec et fut
traduite par Djafar al-Q&dik. Elle commence: IUL ojJ^J ^-^p jU
^ J* >«©al £^^£.1] y* Ji. 6) f. 18°— 29 6 . Recettes diverses.
On trouve cites les noms: &L ^li J^JJ $i \ f U «J^J) jUl j* c ,
u?>^ uW~ g$* -till J^y jy «^M^ J^- 7 ) f - 29 6 — 32°
IL j> ^L. aJL,. Voir plus haut J6 203, 2 le JjjIjJJ V^ Ici
la risalah commence: *JLy Jc tltf^ £,U j, ^L j/ *UI JU
^ i> ^ v^ r J J*t f J U ^l ^* CoJttj X£L\j «UUI.
Alohimie. 147
8) f. 32°. e j}^ tj^i^il &?ej. Premiers mots: oJJU ^i^iJ JU
u alsJI jU CojJ Ji>) ^ L. 9) f. 32 6 — 52 6 . Recettes divorses.
Noms cit6s: ^jAisljiJl, 'jfjJ' jJ^ /v*"'» iii*** 8, /T^'i d^ °*^'
^ji msJ; ijf^®*'> lSJ^hJ 1 ^ l_§^''**' jj*«A<* diiJJj {J'* , *jJ' 4a» 6 »*»f* «a/'j
^lyJJ, c.-a-d al-Djildaki, cf. H. Kh. Ill, p. 207, jC ^>'J ^JJ
^jIOI. 10) f. 52 fc nous lisons: Oi^l d^l Ij® ai^* ^j wL
asLoJj ^1 ^ J^d)j». Ce chap, -parait ©tre empruntd a un ouvrage
de Abou Bfikr 2 ) dont le nom revient assez souvent au commencement
des paragraphes, p. ex. f. 53° .j^l^ aiL*Jj LQ\ 7 f ^J JyJI
rl aas. II cite: 0^'j^> J^> Aristote, *UxJ) -^1; f. hi b ^L
J^*^' ->*' »^ ^" V^ ^- ^ eux V^ surle niGme sujet au f. 55;
f. 55 6 6 j)jJ "^S\ fi JUL *?Jj ^.JiX; V L. F. 56 a J Jydj
<L^jJ1 parait Stre pris d'un autre ouvrage. 11) f. 56" •— 60°.
Recettes diyerses en grand nombre, dont quelques-unes empruntees
a ^Ij/aJl. j*€ #v*^'> JbM f*t^ e ^ u^ C^*" s ' ^) au £60°
nous lisons: eL^^liJ Cil u *j L ^^js!) *>«aJJ j^e #**J! jUi
J) SiLuJj cl*^ tiljbl iil j ssLJJ. Apr&s une demi-page de re-
flexions sur la grandeur de 1'alchimie on trouve f. 60 6 ^1^ vt
Ce fcjLainsi que les ff. 61° — 64° paraissent tir<5s du m&ne ouvrage
deRazi. On y traite du jjLJl j^Jl, du J)L^J j^jS et f. 62 6 —
64 a se trouve un ^J)^ ^^••iJ) ,j OlcL^JI^ jsJI A^a* ^j J^e
1) Au lieu du nom on trouve les chiffres o lt*| J H < l(fTf y I ■
2) Cet ouvrage est probablement le ji^Jal wjUI de AbouBekr al-Razi,
dont M. Fleischer donne une description detaillee dans le Catal. de Leipsic,
p. 609.
1^8 Alohimie.
vv u/^' 4./^- 1 3) 1 64"-—75* contiouueut 'uuo foule de i-Gcetto'.;,
dont il m'eot impossible do d6terminer la provenance, ou d'ttppr&ier
la valour. Lo f. 76 eontiont un fragmont dl^riou.u on proso riisfia,
contenant des recettes on langago fros-obsewr. Lap. fu ^8—80 com-
tiennent, outre quelques recettes, dm oxfjroitB du t ^La)J £,.•> «i
dujO) && (de Ali Bog-?), quo Tob tnnrvo eii<§ huasi $ et'k sui
les marges, ot les ft 1 ox 81 onun port-out dea rtotte ofcc. m tun;.
Le tout eopj.6 d'uuc memo main; pmi wioieiiu
208,
J^ 67. 22.X 17- SO f. 28 1.
Rocueil do recettes alchimiques, auquel convient le 4itr6 de hs^s
feljlJUe, que Ton trouve au f. l a „
Les ff. 1 — 12 donnent des recettes w^J j^ji ^j, dont une
au f. 7 tir6e du (^lUxJj £,^e ^Lf, et les autros anonyrnes. Au
f. 18 nous lisons aLjiZ j u p ^> yoLy ^^IjJ <j J*i. Boeettes
pour la plus grande parfcie anonymes. Le "tout d'une inline main..
Pen ancien.
JVI71. SlViX'lBVj. 71 .£ 21.1.
Kecueil de petite trails alchimiques, saYoir:
1) ftUilJ Je jj ^Lasil iUa^U aJL^. Commence: J J 4jy j*lj
f .ULi) ^1 Je/ 4^ aLj/I JU J\ U% l^^, i)Ly J#i J^u .
^I Y^U JO) ^Je ^^LiJ e jiL
Cost un abrigtf avee. commentaire d'un ouvrage qui portait le
titre de ^4-il, mais qui n'est pas celui de al-Djildaki.
2) fis-. ,oi u/s ^jj/ jjAi j.pni j j^i
^sl J?
1) L'auteur n'est pas nommi. H. Kh. ne coaaait pas cet ouwage.
Alchimie. 140
3) r. ir. *uJj toUjfjtJi JL\j f uli ±d\ j c »%\i
dJU« jjJto^ djUAUJ <ijU,..Jji _fuds ij&e) ac -j^j «U"»."Jl tuai, 9 JJ Jjl
Premiers mots: Jl l^k; Li p tjfil ^1 t yjj du-^ ( ^,1 L J e |
4) f. 21 b . { X fjQ\ C.UJ y» uS JJl jL^i J] Cl L
Commence; f . u i J? &* ^S *°?j*\ ^' r r-» u' J^ ,^ 4$ ,-."•;'
5) f. 22 6 . L,.^J _, ^fl 1 ^ ^J D .o ia^J v l^| ~U
Commence: Bj^Jl ks> <ujiU J^J J ej^Jl o' J" 8 '
6)V. 23 6 . Sur la pierre: jJf c^JL jjj> f .Lfl) ^- jl JW
7) f. 24°. Dito: J <d i.,ki. JjJUjJl u^ Jli ^1 «ujJ J-*
8) f. 24 fe . Dito, tiri de Djabir, Dzou-1-Noun, al-Medjriti, Hdracle,
u elj 5 ^I et autres savants anonymes. Commence: ail ^L J Is
o^Jl ajJUj jLJL ^J) yij ^JLJL o-il y> ., J jl*il
0) f. 26 G . Sur le jaliyJI. Commence: &k\ 1^1 ^1 JTiJ JU
10) f. 26*. Sur lea oLJ>. Commence: j* Cjbl>Jj o' Jcf
f^j'^j ^UeJ^ f^M* fijlJUs *<*?? tUj, j&yul ^^ jap) . j£» l^Je
j a^L yj OjLl jij jUjj ^ a e L j (!) ^ jJi j^U? ^
11) f. 2? a . Explication du veis suivant fait par un savant
anonyme en imitation L»U^> d'un vers de l'auteur du jjj»L:
1) Ce fcitre Bur la marge.
2) Dito.
1 50 Alchimie.
12) f. 28°. Fragment sur le mode cTcmploi de la pierre, qui
commence: J I jueU ^lij c^jt \i\ f S.i\ JU J J 4jyl «.u
13) f. 28 e « Sur la m6thode d'Adam ^J & m J». Commence: JU
£y*t& d«JjB^ ^jeja) tJ' f 5 ' uj*» JaiAfJ^. oj£} jlf) 31^1 li JU 4jyl /J
jr e^ j** £*** j jW^J uV^ «4^* *-^* ^ <^/*'^ u '^'
14) f. 29 a . Sur les 3 espies de pierre et les 4 m&hodes vJ.*l
pour la trailer 0j jjjI <j. Commence: ^s» <jl JeJ J\ ^jyl m j
£' vJU>J ^jj J^**l **^ J* fj >J^^ j^ Py&i J*)., poJI
15) f. 29 6 . Sur une m6thode de Marie, filledu roi Saba. Oomin.:
U jU $ aLs J ^j a*» (jyksf ^ e^Oe pU* cUnj ^s* ^| Je)
16) Petit fragment sur les 4 W-.L du mJi! jj; de la pierre.
17) f. 30 a . Dito. Premiers mots: ^ Jy^ U ^JJ | JUJ
18—20) f. .30 — 31. Trois fragments contenant des prescrip-
tions pour operer avec la pierre.
21) f. 31°. Sur les quatre m&hodes, dont parle l'auteur du
jjjL dans le commentaire qu il composa pour son 61eve Abou-1-
Kasim. Sur ce comin. v. plus haut le JVs 201. Commence: vj JcJ
r
iijL _ — ■■LaJJ ^j| ew Lj;J dil^o „^i ^j J{}> jjj&jj ^L, iiiJ/
22) f. 32 a . Recettes de oi J\ ^ ^) *JJJ.
23) ibid. Sur la pierre et ses propri6t6s. Commence: j\ Je)
£t&s JiJ e U <u* <*LI »,£? Jf.\ C.J** JiJ 'vibl Jy jj j\t\ *uOJl
Alcbimie, 151
24) f. 33". fy &\ ^yuJJl J-JJ Je J^iJl suivi sur la page
suivante par ^ U SJ\ u eL.JI J«*J' ^»*>-
25) f. 34 a . Sans titre. Commence: (adde ilLJl) o> J J\* Ul
26) f. 35*. Explication d'une recette en vers qui commence:
27) ibid. jM ! jl^l u *^ u^ W ^"^^
28) f. 35 6 » ^ f 3 ' ^ j*~ &.J* ***
29) f. 36 6 . oJj.j**, *u»j Ji^il ^' ->«* J e J^' *)•
Oes reflexions sont bashes sur le j\iJ$) && (de Ali Beg?).
30) f. 38°. Fragment tir6 de al-Djildaki sur le vers du jjji:
e p kLtjJtt \y\i\ f $ "A * »j11»b ^stl) £LJ £*,!.»
31) f. 38 a . Sur la m^thode moyenne L»yll ftjUl, nomm6e
1 A^eJI o^U 0U 4***Jj $jl».
32) f. 38 6 . ieluJJ ,/^1 jj iet^JJ _/•« ilLj
Traite de jJI) / ,jJJ) jL#l jl*jjl d^W -4' -**^
33) f. 39°. ^Lp^JIj >l^4' j** *^j
Recette pour l'flixir, donn6e en 1033 en r6ponse a la question:
34) f. 40°. ^4' j ^-> Jj r^ *^ ^ ^Jl aJL,
35) f. 40 6 . u^bJ) o-*^ -* ^' «J <-*&' u*^ (S ^
aussi
1) En marge cette riealah est recommandee daus les termes suivants:
2) On trouve dans la preface un passage sur Hermes, qui est identifl6 a
Enoch ^Idris; on y lit e. a.: i^Lil £^ ,»e iyil ^i o****' **»»»
*U *jli«i~ jjjliJI ^L die **i V JbVI ^jj J^ wl
"" Alcbimie.
»6) f. 43 fl .- Snr lor, 4 methodes. Commence: UJl Jb ,'pl
>i,u j* a« j,ui jj ti/e , sl . fL;)!l ./^ 4(fl ^f ^ , f
4,J ^ ^ u ? r Uj ^ ^ >*s *» j.*^ vcJ ji „ji ;,
^/ nlil > J, c Jl J^J, j-^i Jj, ^
i>0 i- 4-'? . -If •:- r || "' TTT"-
^ Mir lee qnairo er.pfeoes ou degr^s dfi piorro phftoaophale, qui sont :
j f~'' ' " 7 -^' ^ V ^ ^ff *) ^-i) J;ju. Oommenco:
-^ ^ ^1 UJJI iJLjl .J. e ;U t iU JO , , Jj i{(J b Ul
jpjl otle 4,U Jlj j, ^ ^ -£JJ jJj
a8 f. 51°. . *ii | » . ••.)( Trr-
TmU alfcfcorique sur le grand oeuvre. Apite one preface ano~
logue a, celle du J6 37 l'autour dit: cUti U ^1 ^1 L U ,
^f s,LL iJLJI > j aj£jj j ^.j ^j ^ j^ ^
39) f> UK ^ j^j iXAl cj^U^Lj
Traitd siir la science du grand oeum en general. La science se
dmse en 4 branches: l)^Uj ^ e) JiLli ^ 8 )^yi ^
O^u-jL, * try' iiU-^ ^ f,j^ * l ^ ^j, ^ ^
t ] i+iJb- u^ Jl jjJI *% Jl ji 3 j AkJ Jl ^)
Alohimie. 1 53
4) ^J^iJ :/ Jc. L'anteur proraet dans la preface de reveler tour. Ion
secrets et allegories, d'oxpliquer en detail les ailusiom; ok ek of,
conclut en disant: J_,.Jl ;f p ^ p jj J,.) j ^ s Jj , : J{ L Cj )^ Jj c>
,J«"«5l <Uo„ jl..;| Ajli .'9 jUll •,-; J'.AJ.. t \\\\»
H y a une lacimo d'mi on deux f. apres In f, 56,
40) f. 57*. Sans titro ibrmeh ^,i' /yj^J AUf >7ulj
Je^i^ ^u^ uu ^,r, u i^i 5 ^.jj|_ 9 » tJ ji 9 f (ii %
I "J
41) f. 60 fe . Oe traits pa,rait-6tre la suite du pr6c6dent, et con-
tient Sgalement dos d6veloppements oxplicatifs our cerfcainos paroles
do } ,grand~maitre^JJj ^Oj (al-I)jildaki?). Commence: aUJfljLi
J lis LU^JJ ^* ^Ij ^JlLJl ^ayX- v*lli J.gj JiJ l^LJj^ Lga-jLij,
Le texte est marquS par a),, a ou simplement souslignS, le com-
mentaire par J^l, Jyjj, Cil ou ' »,£JI.
42) i. 63 . ^jvjo^Jl ^j^^i i^wS ^j&tfslj ^J ^^aJUJ <ute dJLy
Le titre indique le caractere du traits On trouve dans la pr6-
face apres les formulos d'usage le passage suivant sur 1'auteur de
l'ouvrage original: J6 v b£jf l> ^L, (sic) ^ j\ j>) L W
£^*i ^ j* ^Lf \j £°J IJ»Jj ^1 oliL j* »lkJj IJ^J ^
O m A * J ^ ( s ' c ) o** J' V^^. j A ^ J ^ jWl j* ^^ J^sJl ajj>
■jAAtiiJ/ «UuU 'j^ ^JuiiSj) ifH^JjjJ k^s^tsJJ i*/jl
154 ALcnraiE.
L'auteur de 1 'abr^g6 promet naturellement d6 reveler le reste
des secrets. Le. „ saint homme" a done 6t6 surpasse* en mis6ricordt
envers los ,, creatures de Dieu fc ' par un savant.
Sur les dift%entes m6thodes et opinions sur le ^wjJ et J^-vl
de la piorre. Commence: y& j> ^eyJl _^f l^e Li c lXif (jl Je!
Explications de plusieurs passages d'un maitre anonyine, qui est
probablement al-Djildaki. Commence: ,j\ ^1 L id J I <t|l ^
#\ k£Ll. Premiers mots du commentaire : ,jjJJ *^LO ij.®4jl Jei
45) f. 7 1 6 . Une recette de Djabir qui la transmit a Abou Abd-
allah al-Marakishi qui la 16gua a Mohammed b. Omeil. Plus tard
elle passa & Qadaka Abou-1-Hosein al-Shami ( u *tiJi i* jus).
Tout le mscr. d'une seule main.. A en juger d'apres le style et
la manure g6n6rale l'auteur de tous ces petits trails doit 6tre le
m6me. Son nom ne parait nulle part. II 6crivait sans doute dans
le lTsiecle, comme cela rtisulte du passage cite plus haut. Beaucoup
de gloses marginales en arabe et en turc, dont quelques-unes tiroes
de tj^ j*£ et Jjji) uJyll. Le mscr. parait remonter 6galement
au 1 1 9 siecle.
210.
JVs 76. 20 l / 2 X13. 91 f. 23 1.
Traits de magie divise en 30 chapp. par Aboil-f°Edsini Ahmed
Ebn al-IrAkl, qui florissait c. 850. Of. Nicoll-Pusey p. 369 sqq.
1) Gloses )ja» -ji
Magie. 155
ou Ton trouve aussi la description d&ailtee de l'ouvrage. L'exemplaire
du Mus^e Brit. (Catal. p. 61.9 sq.) differe du n6tre dans les premiers
mots, qui sont dans notre mscr.: L) .«U^ ^^J' V-* ^ *>•*'
$\jL\l j« _,J.f J JJ) ^* _^k ji ^j^I j£\ Lbb U**Jl» *>/
x' u^ oU***^ ujUCJ! 1J®. Oopie sans date, pen aneienne.
211,
M 129. 28X16V 2 - 8^-4-4 f. 17 1.
Lo titre porte: aJ^jJI ^ ^.^^J) AjUaJl o^?^! ^** v^
uO«-'J J*' O'^' u?* cN A ^^ <J*Wl >V^. Get ouvrage con-
tient des proph6tie's sur los principaux evenements qui devaient avoir
lieu dans le 10 8 et 11 8 siecle de l'hegire et notamment dans une
partie de l'empire Ottoman, nommSe ijL;.£JJ, que je crois Gtre
l'Egypte, Quoiqu'une grande partie de ces prophe'ties ne soient que
des allusions trfes-vagues L il y en a n6anmoins qui sont tout-a-fait
precises et faciles a coraprendre, de sorto qu'on ne saurait douter que
le nom v6n6r6 du c61ebre th6osophe Ibn al-Arabl 8 ) ne figure unique-
ment pour masquer l'origine vraie de l'ouvrage et pour faire croire a
l'infaillibilite des rtoultats obtenus par la science du Djefr.
La preface porte ce qui suit: jw L.J J\ ©,Ub ««>j A " ****'
u^jJl J &}&\ £Jtj*.j OljM «^U^ O* ^ " L ^
1) Une autre main ajoute: ^ a*^UJ jt*j| »Lm»«« j; jw>UJ ./**' ^j*
2) dito: ijjk+W.
8) Sur d'autres ouvrages de predictions attrilmes a Ibn nl-Arabi cf. Ibn
Ehaldoun, trad, de Slane II, 281.
Maq-ib,
h J£lU J/. L it . ■, .-
jr 1( u f , _iJ . 4 ■•■• ^ ri * -'V ^/ ^^ . t «niC.>j
■' I . ■ , T ^ eUi ^' U - ^ M, -.all
/*/ >lui /. /5 jj ij . fill . . , ■ , •* ^ jMi H* •***
^ w 4 ^^ s i^i . j; ,. ... . >T f
J*; . <, — i "^ u J' «^C«
J) Glose. ^f A, f' , e
2 ) Close: auJ'i •!- '
Magie. 167
Au f. 4° nous lisons: J*> Is! i/? I £*> J ^ r *y *U ^ .s
j^L\ v*~ u^ u 1 ^ Ji^Cc^-^ ^ kaJ) ^ aUUs </• r^
c
Au f. 13 l'auteur nous apprend, ce qui suit: !J t ? £> * *l^i
AJjjJl il^l ^^ ^ ! J^-^'j CU>1J J^IL ol^J
sjil ibi§j J! u> J ' ^ J*^ a^ ^ 'M^' 0*jM c/ 9
Qj/ji\ JSLJJ *W^i 4*i? J ^ ^U i^yas*! ojjjJI fUJ ojjSii
Ces extraits guffiront, je pense, pour douuer une id6e de l'esprit
de l'ouvrage. Le mscrt. appartenait en 1108 b ^M Je ^
Jy f^- f J c/ UI u 1 ^ 1 et c ' est * lui ^ ement » quo Fon doit '
de courtes glosos, qui se boraent le plus souvent h indiquer en
1) c.-h-(1. Selim, cf. Hammer, Gesch. d. Osmanea II, p. B26.
1 ^& Onirooribie.
chiffres ordinaires les anises exprimfos dans le tixte par des lettres
mais qui donnent aussi ga et la de courtes explications relativeraent
aux allusions du texte. Les 4 derniors if. contiennent quelques ponies
turques, d'une autre main et Writes tres-negligemment. Le gros
du rascr. en naskhi assez-beau. Les chiffres et lettres slparfes on
rouge et quelquefois en vert. Bibl. Italinski.
212,
As 80. 29X20. 248 I 27 !.
Grand recueil onirocritique compost en 39? par Abou Said ')
Na$r b. Yakoub al-DIoaw^rl et d<t an khalife al-Kadir-billah.
Dms6 en 30 parties J**-, qui se subdivisent en tout en 1396 cha-
pitres V L. Le tout prMl de 15 S$lu d 'introduction, qui trai-
tent du sommeil, des songes en general etc., et d'une table tres
d&aillfc des matieres (f. 2—16). Les 30 J^i sont:
3) f. 28* LL i, ^, i£J^ ^, ^J, ^ j
4) f. 31° oJ^j fc ,UJ| ; ^Ul, JLL-JJ Ljj J^U j
5)f. 31 6 u^/.uW^UU^
6) f. 32* ^ J ^U Jjil ^ rfLcl, oLjVJ
7) f. 51* LAII oUI ^ b^| ^ ^ u
8) f. 59« LL aa olj^dl^ ^jU), oM-Jk o^Vl
9) f. 72* o^) 5 ^i) ^ <u ^ ^ J HU\
» » »
» » »
» » »
1) SelonH. Kb II, 312, Sad.
Ombocrisie. 1 59
10) f. 78* «j^f ^ je ^j jUff *.,, J^b j
Lb oo Ut*t^ j
11) f. 96° LL ^ 1^1 ^L^ l^LiL, i^HL, *-,J\
12) f. 106 a ^^ j^ij vWj iJLJlj ^bJI
LL po fl Ulj clUlj e UJ) i^.» tJj^il ^Jc L^
13) f. 114° Jc L^. iUJI O^flj *U;J! CJ^I „
LL ^r Ulj IfcJI, iUlj JJJJI lyu. ^i! jh
14) f. 123* W,*l J _^fe > cJ^J^ al^JU ^Wl „
LL n
15) f. 126 a ol^l j« Uji L^ jljl^ JJW, LJI
LL ^v jlUVl,
16) f. 138 6 o^jJ'j ^'j J^y'j OL*^ V*
Lu j*ic
17) f. 142 e U^A UL-j l#i>, U^^lj oliJ
LL r*v U^LI^
18) 150° LL i r U«i^ , UjLi J l^u. , ^jyVl
19) 160 G lijjtjf J* y»^ jSi jlri\j j^l
^ irfj/j Wij pWI V«?
20) f. 1 73* JU viljj^Jl ^ oL j*1J ^i I j ^UJ
LL ov d$% Ji\ U* ^U U
21) f. 181* Oijij l^ljj., Mr.* uW' ^V
LL lev «j^) j^ Je oU^J
22) f. 204" ju., jjUll^ c- ,l^)^ >JI uV-* . . .
LL ki ^sJI
23) f. 209* Ol^Jj i*L1\ j*V U, oJ^ejJ) „ „ „
LL op
» » »
» f> »
» » »
» »
» » »
» » »
» » »
» » »
» » »
Onirgorisie.
24) f. 2 IB* ^U^l^L^^I ^Jl* «^ J,,fc j
25) f. 219*,; J) c yi ^ f , J5 » J Ui y U£j | ^ ^ ;;
2G) f. aae* u, r ,„ C< , ;P ^ ^uj. ; rt , ;ifi/! * ^ ; fJ1 ^
27) f. mf tJj J; J-; j G ,U#J J y/ "^UJ " " "
28) f. 285* ,UL ^^1 ^ ^^ J Uj }
29) f. 23?« U, n fUn, fj^'M^i, ol^l . . .
SO) f. 844" iUJl jr 4!, ^Jl D . l^ Lj Ul > , , ,
1>L IO l/^J ^„ dUs? Uj awd) ^., ^
Les 15 o^fli* introductoires (f. !5 6 — 22 6 ) traitent: \)J"> J
f ^l i^L. 2) i«U iiu e L^ ^J Ul v *| /i j
3) L^JJ Li/j-* J 4) bJI aiL Ji j 5) a^L ^S j
LJI 6) ,wJ] L^Jj ^lj j 7) aiLUI L^jJi JxJ./i> j
>j , i ^ ,1 u^ _, j L^jj i^ ^ ^i ^ ) ^ rs j 0} ^
^ J! i*su „/s ii) L ^ ^ui v>) ^ G ^ j 2) v> | ^ fs ^
^! 13) LjjJI ^ jie ^ JUl u ^fi j 14) .LI) J> |
111 I . . *** ] " ^"3"
W ^ C V JHu^' lm ^ 15) ^M J* jf^Kll ^ J
«•*!» e>^e ^ j J*j iU ^ _, ^«rt^l -.^U*. Dans k derntero
mak&lah l'auteur nous apprend, que al-Hasan b. al-Hosein al-Khall&l
JliJ oompte dans see „ Biographies des oniroerites" ryjJil oUJ»
en tout 7500 noffis, dont il cite 600 dans son livm UJI ^ \
Notre auteut de peur d'etre trop long, choisit dans fe nombre 100
des plus c616bros onirocrites, qn'il dispose en. 15 classes savoir
1) pLiil 2) K\*J\ 8) 0yv dl 4) '^ a ^ pUJ/ 6) =»U>J|
6) f M U J OUUI V M, qui stnt: ^ ^ ^ jutf, ^,1
AET mUTAIEfl. JgJ
8).^* 9)y 10) 5J LJ| 11) ^)(^,^
1 3) a; # fj| 1 4) ^.-Jj 1 5) «J>JI ^ L-j . "
Get ouvrage parait Mre tr&s-rare en Europe. XI y a un exompl
dans la Bodlfyenne (Uri p. 1 15-™] 16). Les premiers mots portent'
^1 ^1 f y h ^ .Jib ^ fJ J| J] f y J, j| ^jj, ^ ^
Souscription: fr JJ dJL* ^^U/L ^J 4,U/ ^/.^
«J ^ ■> ^ -W' ^ U-W ^' j! V^ tf (sic) ^ ^1
u^ 1 ^ J«JI Ji J* i-va ii. ^ ^^1 gj j£ JJ,|
p^j r Uf f lJl ^jaJl ^ ^ j^| ^Jj ^j) ^
^1 J 4Ul ^ d^Jl ^j, lik'trJ*/*- Caracteres naskhi tres
pencils a gauche. Bibl. ItaliilsM?
■ART MILITAUtE'''
213.
-X 91. 86y t X-18Vg. 227 pages. 11 1.
Traitd sur r«rt militeire par IthuNiai*. leakill >) al-McIr!
tSBtdt
1) Dans le coofant de l'oavrags le aom se trouve vocalist tmtbt j£j^ f
162 Art militaire.
e ,A:\\ l£* -.-i t i^, „un dos chefs de Ja garde ') victoricuce",
S^jJU «;/-'•') 71r oj^ jJ. K. Kb. connait d'smtros ouvrae\* d<;
note anteur (ct L 226, 379, III, 44-0, IV, 234, VI, 225) qui ious
s'occupent Ggalement do Fart militaire, mais ne mentionnc )>r> K:
nOtre et ne nous donne aueun raiseig-nemont sur l'epoque el In w>-
sonne de Pauteur, si co irosi qinl k nomine t&ntot u ,mi)i (1, 87 vis,
taniot ^/>U)I (III, 440), tantot ^^ii (IV, 234). I/autem fio-
rissait 6videmnient dans la 2° moitie du 8° siecio do Ph., wir mm?.
lisons aux pages 27 — 28: ^-§^1 (L^a^^' ^^L. iJ^I jK U ?
b L.M , <iA&) <uUU AoaIeq J.B
e^iVJ V.gJ |j«.A&J IU«W WUAiSp
LjjJI isw <jy! *U jlLJLJI lil^
• jjI 45a£©jj ,jU»LJJ $Jkf h% J$ &)'* U^j fiJ tijjS (jiijhs
^^ C^U, l*>l j,\ gll |,J4^ jl^J J,U g*A\ \»J* yJ)
Or, le Ibn f Arram qui est nomm6 dans ce passage comme gou-
verneur d'Alexandrie est sans doute identique a Qalaheddin Khalil
b. Ali Ibn 'Arram, homme d'6tat et savant, qui devint vezir en 779
et fut tu6 au Caire en 782, cf. Wen*™, Orientalia II, 444 et 452,
Weil, Gesch. der Chalifen IV, 587. En 767 Ibn Arram dtoit gou-
verneur d'Alexandrie, et dans cette anneVles Francs r&issirent &
piller cette ville. Voir Weil 1. c. 537 et .511. Trois ans plus tard
en 769, comme nous 1'apprend Makrizi (ap. Weil 523, note 4),
quatre navires de guerre francs se niontrerent devant Alexandria,
mais durenf se retirer ayant perdu un nombre consid6rable en morts.
1) Stir le root isL cf. Quatremtoe, Sullans raamlouka I, 2, p. 197 sq.
Art mimtaijie. 163
C'est probablemcnt cette demise collision avec les Francs qu'a en
vne notre auteur. Le sultan regnant eiait alors al -Malik al-Ashraf
Shaban b. Hosein qui fut d6tr0n6 et tue en 778. Notre ouvrage
unrait done ete ecrit ontre 7G9 et 778. II parait fltre dostin6 a in-
fltruire le jeune sultan (i! n'avait que 10 ans quand il monta sur
le trone) dans Tart de la guerre'). L 'auteur evite copondant soigneu-
sement de donner des preceptes catGgoriques, partout oil il parle des
devoirs, qui incombent an pouvoir souverain. Tout ce qui s ! y rap-
porte est traite sous forme de eonseils qui sont aoumis rospectueuse-
ment „aux oreilles gardens" iiyJl **Llj du souverain, souvent
avec la clause sp6ciale quo cela se fait „en g-uise do bon conseil" non
pas „en g-uise d 'instruction ",. JLJ 111 aku»Jj J^ fg. L'ouvrag-o
accuse en general un homrae tres-vers6 dans la science de Padulation,
et ne me parait pas d'un nitrite bien sup6rieur a regard de la science
militaire. II abonde en raisonnements sur la force magique de cer»
taines lettres, chiffres, versets du Coran, pbrases et formules reli-
gieuues, mais contient cependant quolques renseignements utiles ot
caractenstiques. II n'est pas divise" en chapitres et traite le sujet sans
ordro d£termin<$ avec boaucoup de digressions. L'auteur cite (p. 53,
148) avec beaucoup d'elog-es latactique del'ompereurL6on.iUll jji
L'quvrage commence: lilj) J^J ^IJJ lUl Jj <n jj]
(j® 1 ? o* u~$ c£»y ->yj u^ j~ e 'i i-*i j?\ ibjij ^aj)
J®^?jW ^Jji J^yl ^£s&\ \j» e$J L> &LLm ' -jt (j\ &Uj tM>H
1) La bibl. de Leyde poBsdde un autre ouvrage sur l'art de la guerre, d6di§
m HB&ne sultan; cf. Catel, Lugd. Ill, 296.
11*
164 BlBLIOGEAPHIE.
.Lo frontiopico richement dor6 du mscr. porte outre lo litre du
livre et le 110m do Pauteur Iob inoio suivanto: ^JU! wU-U .. v ,i
^j^UkW u CHl JjssLJl t /»ij^v tj^s^- ^ e roa " u scr. pa,raii feasor
ancien; beau naskhi, preflqu'entferomont vocalise.
BIBLIOGRAPHY.
214.
Xi 226. 80K18V a . 6B7 £. 27 et 29 1.
Par Hftdjl ifcilfe f 1068. Copie sans date, mm antSrfoure a
1164, date d'une inscription. Deux parties en I.toI. (la 2° p. com-
mence &u f. 286). Bibl. SueMolen.
215. ;
% 227. 84X19. 470 f. 87 1.
le BidllMI. Copii§ en 1 200 par ^J jOl JL j**^ jujl) jue
Oaractferes t&alik. Bibl. Italinski.
16 228. 16X10Vj. 86 f.
Catalogue d©s inserts de la bibliothfeqne d® la Aya Sofia. Iden-
tique k eelui, qui so trouve imprimi H. .Kh. VII, 282—56. Bibl.
Suchtelon.
TRecueils, ]§i>
RECUEILS ET MISCELLE-S.
217.
A: 44. 15X9'.' 2 . 200 L 101.
Contient: 1) J je ii ^.^Li J, I ^ ^
Commence : i Jm 9 j J jU ^ ilU * ^Uj ^ Lb 4JUI < .*,,,
2) f. 4 „ l^apjaL**; j JslaJl LjiuiS^u-j x^a-J t'jUrs) ikJyo
,i4«
Huit sermons, nommes O^U«, qui commencent ainsi: le l 8r JjJ
4«l, JUJ r ^£JI; le 2° ^»\ Ul S) J^ u ^l; le 3 6 I Si ^L
^SLUaL. j*. ^Jl v li; le 4 6 JL gi y Jal; le 5* jLs 1 ^l
^bm If U; le 6° JUS; ^ J*»l ^J jl «^ ^L; le 7° (qui
est nomme «uU 3 j^e jJ^J JGU yl^i <wj) ^^ U ^U JU
J iy 1 ^ le 8° (-uJ ^T o^J **-») ^uSft'/j:,
Ccs sermons sont suivis (f. 17—18) de quelques sentences ,i«J
olXil.
. 8 ) f. 1 8. Extraits du ^jjuj Jffllj JyJl iA,j v Uf
jLj^Ullj jj'l^l wtlL qui est un recueil de sentences, mais qui n'a
rien en commun avec 1'ouvrage de Abou-1-Hasan Mohammed al-
Ahwazi attribue" aussi a l'&nir Kabous b. Washraaguir, traduit par
Dietz et qui porte aussi le nom de ji^l^ j£[>JI, cf. Flagel, W.
H. Ill, p. 269.
4) f. 40°— 55. 6 U2l Jy ^ i^£ LUJ. Sentences.
Dans le nombre (47— -49) uno autre e jJjJ ^J2l £jL'*l «««j, qui
commence \£LIs ^j l#iJ §J? £**** I i>l ^k.
5) f; 55—63*. Jul J <jU jL*, JUU. 40 fables.
6) f. 63°— 94*. j»jj CjLj^\ H,jjj jluJl 4-,UT
Ul! 6 U2J ^ l^JU jL, J^lil ^ jbi-^lj J^JI.-.
Becueil de sentences attribute a des philosophes et savants de Fan-
^®® Recueils.
■ tiquitfi, qui commence: <Oy ^Jul!(slc)liU <«l jUc^Uf >| jU.
A la fin deux pages sur ^Uf ^j^ J & ^f L.
7) £ 96—194*. r J ^L., ^ t Mi lai
Of. plus haut Jig 122-124. Souscription : ^llO jj # ^ ai
^ bl1 -<*" ^ J ^ a^, at ^U Jul ^dFa-J)
a^t^ iw9 *l- v i ^ ^ lft j d — ujf ^
8) f. 195 fl -200*. Petit troitt cm 1& physionomie
sans litre, qui commence: ^^J] J.?, ^| ^y, ^
(sicj^^ti! ^ujj cu^y/^ ^ Ui ^ jmlLui L ^^ r j
^ ^ O/-* r sif l> , (sic) ^ UJf aJ^ |^| ^
.9) f. 200 6 -209. Dito. Commence: >\ <JX\ ^
gl C^Ji Tout le mscr. de la m§me main, qui est celle d'Elie,
fils de Joseph d'Alep. Le langage est moderne. Les Jg 1- 6 de ce
recueil se trouvent aussi dans le mscr. LXXXV de la KM. Imp.
Pubhque de St-Wtersb. cf.Dorn, CataL p.57 et en partie probable-
ment aussi dans le m 1852 de Yienne, Flugel W. H. Ill, 282 Le
maltre Ehe Faihr, employs' a la chancellerie du divan de Rosette a
la demande duquel fut faite en 1 789 la copie de Vienne pourrait bien
Jfaj identique au copiste de notre mscr. Elie, fils de Joseph, qui- Unit
eettecopie au Caire en 1779.
I
218.
& 185. 22X16. 108 f. 17 1,
Oontient: 1) Fragment du commentaire air Coran de Beldh&wi
dopms la 78 sourat jusqu'a la fin. Les marges couvertes de g£5
fer^es pour la plupartde^ja.. Sans date, peuancien.
2) f. 62. a^Ul i>Ji j.
t 948. OtJL-Du III, 76,S26,Gom P o^ en 40 jou^la^
Kkoueilb. ' 16?
scription) et dedi<5 au sultan Soleiiuan (v. la preface). Premiers mots:
U ^ £*jS\ ^*JJ Ij^f^jMl t ^^J\ ^Jj J.y! ^jjjf JJ Jul)
j^sUo »J.« U*«,, ^yeAJ -fl)j •^,-X,jjAi Jvft«. »,> ^)tP ,Jsj f. A J j iiJJ
Premiers mots da commentairo : •j^.^Jl >J Ji,l J,jl -j®\ J^i
^1 t^-jj «^cl ^jL ubt? ^^ J^ ©lw Sans date; autre
main quo le comm. de Boidhawi, paut-fitre plus ancienne.
S 83. 18X15. 124 f. 11 1.
9 19.
Contient: I) f. 1 — 8. Quelques traditions at legendes.
2) f. 4~85 6 . Fragment du L\ jjl i.!^ de fJ-Ghtl-
Z&li f 505. Of. Gosche, Ueber G.'s Leben "und Werke, Berl. 1 859
p. 261. II manquo presque tout le premier kism, car au f. 4 6 com-
mence deja le 2 qui traite u «al»ll vj'UjJ ,J"
3) f. 85 6 — 86. Traits anonyme sur les devoirs person-
nels des musulmans, „tir6 des livrcs de jurisprudence etautres*. Com-
mence! j ©aLaJlj Q^J^-s «%L> J © AeSJ jl»J I tJ.eS> •p*£iltil **m*J 4^j fc^«*'
^Im** JS ^Je d^j^s id J ^11, ©La <4y| Jj-/ Jli il X&® JJ ^Je
AtiMjl": Ot**jJ-.-4j ^j « U le «ts^j slUejJ Ju£» /j) <u £( ij «.
4) f. 86— 99. j*tf vl»LLi''"'
Entretiens intimes de Mohammed avec Dieu dens la nuit du
plj**. Commence: ^j$>\ if^^ *^ D? *^ r* 1 ^ J* "-*•'
168 Rboueils.
jJ^I j^ jt^^ #\ h^j* JU (sic) dLI ^ dJ c C>>> ^^l-^JI
o) 1. «?y — — {££,, ,.jjj^i tljliiLv«
Commence: JU ^f JU ^ ^^ cAdk, ct £\ «uj juil
Les pages 122*— 124 eoniiennent quelques traditions. Les JUs
2—5 d'une memo raaiii. Grands earacteres naskhi. Le mscr. est
trfes us£, sale, mais pou ancien. Main tatare.
220,
As 142. 20X13. 55 f. 9 1.
Contiont: 1) f. 1 — 8/ Petit traite thdologique sans titrey qui
traite des dogaies principaux et commence: L JU , JSL SSL \ hi
W j* uO w Je ^>y>, jJdl ^ JJjJL **Lk jr
^Ulj. La risalah est 1'oeuvrc d'un shiite.
2) f. -9 — 18. ijlll
3) Paradigmes des verbes ^i, J., ^, JU, -, e t
de lours deriyds avec courtes explications en persan.
Le tout d'une m6me main, 6crit en 1090.
221.
J£417. 20X14. 140 f. 23 1.
Contient: 1) 0j ^j J aJL, r j. j 0j ^JJ Commen .
tare sur la Risalah Ibn Zeidoun f 463, of. Catal. Lugd. I
p. 237 sq. par Djeoi&MUo M WoMla f 768. Commence: jUl
Reoueils. 18H
Ce comment, k 6tt public a Boul&k. Copfe en 1088 par djyl jua
jJ^JJ u 5U ? i) QdJJl Jj aAJJ p^ll .,,
2) f. 8d. V UJ k MU j v f.jj ^l
Anthologie en 10 chap, par litefiiidl to, ||«i ©KMfft Ite
al-AnMrl. Of. H. Eh, II, m. L'6poque ob il vimit w.'oni, incoamw.
Leg 1 chap. J^s sont: 1 ) Lf^fl l^J . }MiElfi C U J) e L«p | $n £ 01 f> b
udil^^ JU» 411^1^ «jJLJj^,o il^^jjj. U- 8) £ 98%Lkol Jt
«jj»W tilhlj J^alJ 4) f. l'07 a £;"«..» i^Jj ^ d^l fa^L^, Ml Jj
aXJte 6) 109" j 4e)UL jlj.5^1 ^_,i> _, £jgjLLj j,i ^ uJmH { |
jljxc^l 6) fins 6 UjJIj, pDl >)_, Ui) j e y^Ji j ?) f. i20 6 j
rt; lie ^* j t jpl\ Jj>L Js« Uj ,-uLJj, ^JJ 8) f. !2B C AOjm <J
%iJL (?) a,U^ Lfilj l ? J 9) f, i26 6 LOeilj Oj% ^M* J
iJx'cJI^ 10) f. !36 & aJUl U* j^iy j «j*«*dJ L-iL jUI u | 8
Premiers mots: <u«y ^jj ^ ^j^Jjl *J ^J ^jJf mj'juil
I ItvJf^jMl pftlj 4A<s.«fcW
Copi6 en 1088 par le mdme qui se nomme id jl>SJI 4M\ j*o
Acquis de M. Boudagow.
-V" 189. 20X14. 29 f. 28 1.
Oontient: 1) f. 1—8. Un extrait de la grando anthologie de
NohyleMtn Ibn al-ArabfjU^f e >L^^Jj $>L*, surlaquelle
cf. Flflgel W. H. I, 859. L'extrait contient le r^cit des disputes ef
entretiens de Abou Obeidah b. al-Djerrlh aveo Abou Bekr, Omar et
Ali au sujet de Inflection de Abou Bekr, et commence: ©j^ |f J jU
lU'JOUJSJLS.
f I If M „•; <-•' ' t.H
U wnmcntmrc ost dd 4 ]» ,,]„„,„ do j^MPti + <M> , -',■
;™» ,, ra; ^ bio?niphl0lle >,,,, I]m a ^ h ) - •; ■
^ ^' gi 7^ ^' '*-» J. ^ U ^ u Ji Sj !
-^ * ^ ^ ^, ju V>J ^ ^ w/je/
^ u-yi ^j ^ rJr ^ vjiJ , tU - ( ^^ ^
Tout 1c ■,, iWrt, „,ai„. Pc „ ancion (] , „„ ]2 si(jc)e)
As 196. 24X16. 46 f. 12 J.
0ontie, 1 t:],f.l-_3„t4 S . tSJo JJ J ^4,^
Pliers ™ te : ^ 4(jl U ^ M ^ ^ J, JU
*, , J V* 11 1 " ^ oL ^ iU ' J /' J V"
224,
.Vi!60. 21X16. 84-»-5 f. 19 1.
Contient: 3) ii^Ul >l j+ ^XUJJ «*JiT J >UI v LJj
Cet extrait est tirt du dsJl^)^ ^.Uf dc Tahir b. Islam al-
Kharizmi; voir plus hant J6 20. 5 ff. sans pagination, 21 1. la page.
Premiers mots: Uii, ^dl J j|, c |_, ^JJ j j|^| j^J
2) L'index et la preface d'un livre intitule Sl\ A&\
et compose par Abdul wahh&b Ahmed b. iaSineoud al-Roumi. L'ou-
vrage se donno pour un abr6g£ (avcc omission de# sanads ') du <*->Lf
JJI *1X de Abou Nocim Ahmed b. Abdallah b. Ahmed al-Hafizh
al-Ispahani f 430, cf. H. Kh. IV, 131. L'abr4g6 contonait outre
les 7 iJLa (en 73 tw»L) de l'oUvrag-e original une iiU sur ^j^J!
iyJlj ^Ulj, j^ll^, qui est tir6e du JLzJJ^ J J J v Lf
dc Abou Abdallah al-Hasan b. Mohammed b. al-Hosehi Fendjouya
al-Dinaweri al-Thakafi ^j^JJ js&\ i^ii. L'index occupe 4
pages. L'ouvrage lui-intoic commence par: ^ Li^J »jm* JJ jjj
^1 .* B j yl pLal et il n'en rostc que 2 pages.
3) f. 5 — 84. ^y^W ^iJl J ssy^y ^
Par al-Soyouti f 91 1. Cf. H. Kh. VI, 221 et, Leclerc. II, 300.
1) En revanche l'autcur promet d'ajouter <lcs notices tirees du s^J) t^Uf
^jjljJj) jXJI ^j* 1c de Abou-1 -Hasan Ibn Mahmoudiya al-Yozdi -.J
^jajJl Lo^sf, dirkilil ^lo^i j, lujj^i. ^ jyal* ^\ ^1'S
^ijjjd! du fciliJ jJ^JI ji*e j> j,*g 4jyJ j*e U J *L¥J uLT
* Jill ^J*^'. et des ouvrages de Abdallatif al-Baghdadi.
* '^ ReCUEILS.
€opieoi) 1 100. Commence: A\ 1 ,.;>) j.-J I; . , ,fUJ{ ,*,* S K i.J,l
* bi. i9V,xn. nn f (29G p.) 25, 29, ai, 27, 97, av c t 17 1.
Contiont: 1) ^Jj i
Commentaire siirle traifc6 d'aritbmotiquo A,^UJ compos pin-
iton-I-fesa M fr. RfofuunmrnB k Ml k Mhimm AE-Bahiu&»i
^*JJ et dckhe au -sultan Ghyathoddin A'bou-1-Mozhaffar Mohammed
ivhan- 1 ). L'ouvrage comment" est probablemont la Vi%]\ eoin pos6a
en 71 2 par Qaid Je U b. Mohammed b. Mo^addak al-Soghdi. conmi
sous le nom de Bjemal al-Turiwtftm. Du moins la-courte deacrip-
toon qu'on donne M. Tornberg, Codices Arabic! etc. Bibl. Univers
Upsalrensis p. 22.1 s'applique.bien a l'ouvrage comments par notre
Abou-1-Hasan al-Bahraani. Co dernier malhenreusement ne s'occnpe
point de la preface du traite comments, de sorte que la question ne
saurait dtre cMcid^e ddfinitivemont que par une comparison du trait6
citt avee notre nwor. U ht% 6tait divide en 2 ilL', dont la 1°
traitait des questions arithm&iques et Ja 2" des- questions g6oine--
triquea. Void ce que nous lisons 2 ) a la page 3, on Unit la preface
trta-floquente en prose rimee: J fi %zL. V L£JJ jk II J^J
•V ji-tite* W^ o^ i-U/ jsui_, a^ui/ c,aj|
iojJl 4^1 £ I>U ^^ J^ll p\ o/i o' w ^
1) .Te ne sauraia dire k quelle dynastic ce oultan appartient
encreronge 8 . " 8nei,ai *** "^ dU tate «> mme ^> 9"! ^8 le mscr. est en
iiBCUJSILS. 1?S
2 Jail tJkj^iiH Cdw^aljj ■ j, 9 «Jj ^lijy U,i <L Jt Ji!f ks-iili 11 y
«jji&*_^;jj j£: ^1 liy^ ^./i^ ,9 /«yib i'^Jlj, ^.jJl^ Wf.iJl.y
^l>u, i^sJJj, v >Ji (> « ^uJj Jul j jplf v Ui aU
i*-.ldj *ij^L o^»»Jl J>U
La 2" iu akalab commence a la page 131. Nous y lisons: ^JUli
Uiu.ij ^ ^M, Ul, akJi uu> ^ Zl^fjir^ii
J Jill (1. ^^») ^j^ JU,| ^ e l^j, U L^f ~^J,h «.j,L*JI «»L**
^f^jU«J UU i^ii 0B r J ^ ^ JJI ^ JU IS
-.U jjUJ~U3) Jjll ^ JU i^^i-^LI ok'u^
£ ^J^Jf MU u «^ J*^/, fcl^LJlJ, i^CIJ ^ r UVl
-e ^-Jl j jdl ^ JliJ jnjJ"L ij" «JiL ^ Wi J
. L'ouvrage commence: d^Uell s^lfjj aLjXoj^^oL"-
J CT o*i ^Lj1| i^aii °j^) ^j^ ^ ^ ijlxiVJ
l\ ^-bJf ^!> ^ B lki! ol«i- jc i,^ . iLlOi rfjji-
174 "Recueils.
On lit k h fin (p. 164): iiJLLlI iJL^JJ et > <j /)0 _^| l>
«wLasJ nf^il ^,ZJ| (U, 3 U, dJLyJj qJjB {jSd IfrJU^ JUa«,«. •j^lkii.i §
Ces additions sur Palgebre etc. ne se trouvent pas dans notrc
mscr. Ecrituro trea-fine, assess ancienne. Si Ton compare le JITs 8, qui
est date de 858 et dont l'ecriture ressemble beaucoup a celle du
JIB 1 , sang toutefois 6tre absolument la lnfime, on devra admettre quo
1c M 1 remonte approximativement a la meme £poque. Lee figures,
qui devaient acconipagner la 2° makalah, manquent toutes.
2) p. 164— 176. Petit traits anonyme d'arithmetique,
qui commence: j*j U J\ jj^JJ, .^jj) ^ E jd\ j^l ^>J| <ju jj.1
Divise" en -i* js* qui traite: ^j^l^ &e^^ 9 ^LtiJ ic i**L ^j
4^*^ 5 Qjyoj &-0'<f>j, A«Lu.iljj trois «j-srf, 1) «>^/«J) 43, 2) <i«ujdj ^J,
3) £««Jj J| et une oiU traitant &*~Ldl Jj«^) ^j. A la page 174
commence un appendice 1_^^TaJJ pbsr U je J^.» wbXJI J*j JJ
Cet appendice g6om6trique n'est autre que la 2 e makalah, un
peu abr6g6e, de la h£%}\, dont le JB 1 contieht un commentaire.
L'appendice n'est pas fini, 11 s'arrGte au commencement du 2 cha-
pitre. Ecriture tres-fine, autre que celle du As prudent, mais aussi
ancienne.
Rboueilh./ '"'176
3) p. 179—282. ^jtfM eji. J ^Jdl
Cominentaire par J^l JU sur 'la 1" partie du jkll ^J*;
^Ol_, do Sadoddin al-Taftaa&ni f 787 par Pfc Ail h. Has'aiD to,
aI-H©sefiig ahVouil! ,J y ^K sur lequel jo n'ai pas trouv6 de ren-
seignemonts '). Commence: ,jLl UL jki) JlL,., { -^ Jj^DJ ^if
;iJI cujl J! ^LJ) ^iJI j^i v .„^ ^i| ^SUJI jL Jl b^li'
4*.mJ WjB* J^ill ic (jK 11 J r lJl ^^1 ^J;> J^- J? Jf J*i
^J JJc J.CJ plii 4JIL. 4^ J^JJ J r . Jl iU'iuaU^Jj^l
On lit a la fin: ^LjsLlj ^LJL) iUil j^l ^ 11 J^I
^JJ ^4J *si, ^ ^J J ^^ &J- J> ^r-' VJ £-^' J 6
La souscription du copigte: ^j^ le ilL^I e J»s> $**£ J
4~j J* ^J iflrUj j*«*&., <jU A^J 4lJ ^S iL ,J (sic) ^.ayjJj
Les pages 232—239 contiennent quelques notices d6tach6es (un
petit fragment g^om&rique, un dito d'exegese et quelques courtes
poesies persanes) 6crites tr&s negligemment et de din%entes mains,
4) p. 239—241. Petit traite" persan sur l'fitre et lo
n6ant, attribu£ k All, qui est intituled JUl <u je j£j\ iLJI jS^i
teJAlj A fl ^Jlj all! j,j ij*ji}\ j*Jf q^JH J 4$ aJ
1) H. Kh. connatt II, 481 un 4^** j#*Jl .j fe^JJ, mais d'ua autre aute«r.
176 liECUEILB.
cLir- ^;)l, dtM j)^ u,j^ 4^ j c ^jj^ ^jj^ ^ : ih,
£\ JU jL.;l et qui commence: ^j^.U <ju I iJjiJ ub : > 3^ U
aJS ^ j «;U, ^^ W L , ;;, j w ^ . j . ^- j jj
Dcrniers mots: a^j J^L C^e u; , u ^> af £,J U J^i
*J.~* u^« ^^o ^ C-«*»> _, C^J ^^ l;^ ^Q ^J ^
^y) <JJ^ «I-J J^ J> A? Alk* kf,^j Jj ifp (jL* A^ikz. ^i
Ctf**' J
5) p. 243 — 247. Petit traits goufique en 9 J*i,
en porsan, sur lo chomin qui m&ne a Dieu. Premiers mots: <y j*ij
,lj 4f>) ^fj^" V LJ af^jljl J 4jy) ilj^l jj/ju, j^L
C*-'' «->/kf 5 ^—' tf% u-Uil >^ u-^'j J^ ^ *K***i
^ J OJ ^*tf j^i ^gjj. Commencement du 1 J^i: ^ a£\^
^ ^ 4c ^ •t* uW Jj*»/ du 9°: j^U ^ v*lJL ail^
Souscription: d; e ^^ .yyj a eaj ^J) Ub^U JLJI Ci
^° a- ^t* ci-xtJl _^*il _^iJ| jrfjl o^Lj _, e _^^ {/*&**
Lo mdrae a 6videmment aussi copi^ le J€ -prtcddont.--
RBGUEHiS, 177
6) p. 249—261. Trait6 anonyine sur plusieurs points
do la doctrine musulmano, congu dans l'esprit dos ^elli ^U*l
JijU»..-.En persan. Divise" en i*jio, 8 J*»» non nura6rot6B et Ijh,
Commence: 41)1 ^ J^ jlLL C^ J[^ Lj ^Uiw, _,,
traite OjLe, iJJ^J Jya i i w c^Jm,. j,^; j3l Les J^i: 1)^
^i^ii JJ ^u, aT'^I, 2) Jj.1 Sj^i) O^J** 3 ) A ^ V l f ^
^~J **j A( ? ^ Cijbj fel^-l 4J^£ ju»» L .jj fc.-tO'^ 4) V^ J 5
<w.Uc^ w-.jy", 5) <u,Lj$ wjL j>, C) sur 1'attribution des mauvaises
actions de l'homme aux suggestions do Satan, 7) J\ rj L\j*> j*
u'Jt* ; j> 8) Mo dJLj 4^^, Jj$u» t^L ji. La «LrL nous donne
la ^fli* £***>j qui insiste sur Fexcollence des principes et prescrip-
tions du Sherf at. Ecrit de la mSme main que les '16 4 et 5.
7) p. 262—96. JUUJJ oUJ-»V^» j j*, "'Ui'klLj
^1J I j^# ^j.^) _, ilil _^ eUrll^. En persan. Compost a la de-
mande de quelques amis deTauteur et divise* en 10 J^i* savoir : \)j>
4) s^j jsUjj) t,^^* a^ «.^^®^ v*^" & ^ j* : §) v*"*0*.-
J** v^-ji^vfc.^M 1 **"!;.*^.: 6) jl Jul vj?> ^Xil uW j*
jiiiyl jUlI jU* Jcli.7) jj>j jLil JU^ Cf> J> j*
V-^'j^j' A^^l uLm» 8) OaJJ, Ojji jl *>.,:>
j/lu A^i u ^ jL, Vjr AU jfj-yjLJ'lOJ^Uil j^il Jji ji
jJJlz L jjli JU ^jl^ l j$y* ^L, Premiers mots: 4AJ jUl
19!
178 Ars amandi.
&\i] fXx! Jmj LI Jl w^J^j^l cta« _y wyL^Jfj i^AMs,*^ *^Lj2i) i^jj
f' «" w^~'^ u' ^JT*" ^'j-^ .^^ (j M& J^- /> ^ub-^Uu^
Copie en 962. Les 4 traitGs persans sont tons edits en caractbres
iiaskhi. Bibl. Suchtelen.
226.
JV-225. 21X1C 263 pages.
eULJ tlil^i jLtJ ^j cU^alj jLqj^I ii0Ji
L'auteur qui ne se nomme nulle part florissait apres Soyouti
qu'il cite §a et Ja. Je n'ai pas r6ussi a trouver son nom ni d'autres
renseignements a son sujet, L'ouvrage est divise" en 10 chap. uL,
savoir: 1) Jc i*uiJ) Jy J\ J) JJJ '^\J J jU) j J\ j
Jljilj J*-dJ 2) p. 48 cU«J| J.LVI oJ^Jl jUil j
J-l-il ^j.\j u^Xci] JU ^L 3) p. 72 ^ j ^> j ' J-* J
aJ>VJ jliij ^ ^ ^tj j* j* j 4) p. ioi jL , ^lll _/•> j
5) p. 126 d LUJ ^ J* ^ iJUl ^i,, d LiJ d )^j _/s j
6) p. 160 Lk [# ^i) ^ y^ C LXU/ J C LJ) ^ 5Ji j
^Ui^j^hfJ/ J i,#iJJ 7) p. 183 ^U^l j* ^ Jj U
aJ«Jj tfji&j tfjL j* j^Jj^ i^jjj 8) j\ y N) ^ j
jU;) JJjUij «ulc ^ i„^ # L ft fi n ^ e ce c jj api e ^ ] e commence .
ment du prudent marfquent. 9) p. 204 jX j ^\ ', ^JJ j
v UiJ jc *Jj, u^i^l J >jj U J>, wLiJJ 10) p. 221 J
UUVj., 5 jiJ] ^ „ ULU L-, Ll^Jlji-yj ^ ^JJ.
Premiers mots: J.._, ^„ ,u * -jLj^I jk ^JJ) <n j^l
• j«L. c^» ^ V UT /J^T j-, _, ^J ±Jl ^ ^ LX3JI
^1 j~ai)l C**> Ai^i) J y. , ojbl^i,. L'ouyrage finit a la page
249. Les dernieres pages contiennent quelques po&ies erotiques.
Copie en 1183. Copie assez mauvaise et tres-fatigu<Se. Bibl. Ital.?
Calligraphib. 179
227.
As 205. 19X14. 4 f. 10 !.
Quatre feuilles, contenant dos modules de calligraphic en trfes-
beau taalik, de la main d'un seul calligraphe. Sans date, mais peu
ancien.
MANUSCMTS BABYS.
228.
As 437. 21X15. 252 f. 17 1.
Sans titre. Divise" en 111- chap. egalement sans titre. Chaque
chapitre commence par j?J\ j.»J\ <ujl «*.>. Apres cette formule
se trouve dans tous les chapitres, a I 'exception du premier, un vers
de la ci*^ ojy~ du Koran. Dans le chap. 63 (f. 111°) se trou-
vent v. 52 et 53 de la sourat indiqu6e, dans le chap. 54 (f. 113 6 )
encore une fois v. 53, dans le chap. 81 (f. 176 6 ) les deux vers
80 et 81, dans le chap. 103 (f. 229°), v. 103 jusqu'au mot
UjJ**i et dans le chap. 104 la fin de ce vers et v. 104. Puis
viennent dans la grande majority des chapitres des lettres separ&s
a l'instar de celles qu'on lit au commencement de plusieurs sourats
du Koran. Voici par ex. les lettres des chapp. 2 — 20 l ). 2) Jl,
V-:-'
3) *l, 4) aiil, 5) .£, 6) ^Jl, 7) ^J,, 8)^1), 9)^1), 10) £l,
1 1) ^l, 12) jf, 18) r X 14) IT), 15) J+, 16) £l, 17) Ij2l,
1 8) jZtf.. 1 9) $1 , 20) "Jl\ etc.
D'apres M. le C-te de Gobineau 8 ), un des premiors ouvrages
composes par le Bab aurait 6t6 „un commentaire sur la sourat du
Koran appel6e Joseph*. II me parait presque certain que notre ma-
nuscrit est un exemplaire de cet ouvrage; cf. l'extrait du 1' chap,
a la page suivante. M. de Gobineau a rapporte" de ses voyages
1) Le i or chap, n'en presents point.
2) Les Religions et les Philosophies dans l'Asio Centrale. Paris 1866, p. 147.
12*
80 Manuscrits babys.
aaahqnes l. VI, ,,. 405). I! serait i„t<!ro SEm t do savo- *'ji ,,
trouvc par,,,, o„x cc comment*!™ et, si cob oat le cat, ,:'i "est .'jdcv
.quo .rec notre mscrt. La domfpago (147) „,, »L d , Cobi.maa
""* * l0 »™8'» MSio. „ scffit ,, M po; , COKlfato Ji,
m^T" • ,"'" C ° qU,i ' y dit S ' a » i "" ,e ^«»t i Jr
nummcm. J ,o meillem- move,, do fairs commitrc ii„ ,™, cd «■-,.., -
onvrnej sera, jc crois, dm dom.or quotas curaim cc rV ™
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•MetotiiB^Jiri* ™ ■ ° aVeC H0U ' e ^^^atalro. 8auf le mouvniB style
1AN-USCRITS BABY8.
181
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je dlJ tj^l ji dill ]syje V LJ) J^ s ^ j^sJl J) Jj*L t-»Ul
Les chapp. 49 et'50 sont comparativcment les plus intolTigiblos
et donnent lo plus de ronseignomorite positifs sur los doctrines
exottres de 1'auteur du livre. Vpici le. .49" chap. (f. 100 a ): aiJj ^
/•^ !*■ C/® &' J^' 'j e >' t/*^?^^ M ^ ^ ui**« us '' ^ ^* ^J
Jsy dill 0^U4^ 4 *^^ <»U I^J^iJ^ X«ijJ ,J| «Oj,i
^IL^^JJ (f. 100*) JLtj alJ) JI \yhjj Xl^J J l^aJL l r Cj
III I I . I .11 I I I I >!.•*• I I * '. ,1 .
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1) Koran, nourat Joseph v. 48.
182 Makuboeitb bAbyb.
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Mahusobtts bIbys. 1 83
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* °* Mandbokitb babyb.
^ *J C D'^'l^ Iyh>)j> ^f£° jL/^J «***"* ; ,J jil -4.UJ. jj^ ,ju£I
o,Ul l rt p\ CJ ^\ y I ^ bLs . V L£JJ pi .J ^ J* «JU/ .^
v Uj j,,, j ^ : 1L t jjii j f , ^ e 4 1JJ. jxz ^1 D ,jij # ^,) j^,
a*.V <^-i ^ Lllil ^;:' ^ Vj ^ 0jlaii ^ ^ ^
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*1JI jio J oli.d^^Jll 4^1 JC j^ ^ Jjj ^^ .^[^
J^J (I02 b ) J Ca ^il J^ ^ 4; jyjj ^j >| L U* j^j
W U°A[ >W h Ub«r CC dJUj JlJte j* J £,U ;^ij _^ ..*
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/j ^ Ic -jji. r i ijjiij fie 4i\i ^ y% \j& j^jj jii j
oi u-Ui r L,j (ifi c v lj:jj >i f UL Liu ^ bi^ v uxji i>
1) Cf. cependant la fin du chap, ct le ch. 106 (f. 2S4 fc ) ^» .' ji <JJ| /\| ^
2) Sous ^fjJ), ^ifj _/jJj, i.10/ et (sic) ^VJ dj£jj il fau'„
Barait-il, comprendre lc Bab lui-memc.
Manuschitb BABYS. "''185
i, o'j^^Lh' f ^ J c "?' J.«U t ^* I^kL1„ L^im* ^Jjll Jj ijj,,}
J^li.OjUj ojlftJJl J C.lif c ^ 1!^ ^'b" J ' J** J* A\\ u j (!08")
v^ ^ r J 6 o^ *** 4jyi ^u guo -£ j^jj ^ ^r^i 4^1 ^
o^ v^'^'j^^i- je-jo-uj.j.^jr-ji jjj oij-ij^
^Jl^U^ O^j * cii^li^Vjj ^JL j^lj ^i ^Jj
Le chap. 50 donne ■ entr'autros des prescriptions , sur le droit
d'heritagc, sur .loquel on en trouvo aussi dang lochap. 103(f. ; 2'2.9 a —
231*). On y lit encore (f. 2 04 a ) que huit 6pouses.sont legalement
concMees aux fiddles: ^ >Ui| fy ^ i0'\'^i p^l^l L
1 ^ On y'trouve en outre des proscriptions 'sur I'aumGne, sur 'la pu-
nition du vol, etc. sur le t6moigriage etc. Routes ces proscriptions ne
s'floignent pas trop de celles du Koran et sont ineme tres-souvent
parfftitement identiques avec celles du prophete arabe. Surtout on ne
remarque pas de difference essenticlle quant a la position de la
femnio, si 1'on oxcepte I 'abolition du divorce, proclam^e, mais, p'irait-
il. un pen vaguem'ent, dans 1'extrait donn6(p. 183, 1. 16 sq'.)., Lett-
6 MaNDBOHITS BABSfS.
moignag* do 2 femmes par ex, est nfcessaire dans toutes les mm
! MI d Un SCUl h ° mme Suffit ' ] * *™e - vaut done oa I
d un homme, comme dans le Foran *
Lo chap. 109 (I 243»-247>) pourra donner Queloue m du
gahmathias mystique de notre auteur: " "
J* H' ^ ^ ^ ^M tr° kl~J L ♦ ^ JI ...» J; JJ-'
^ jCjil oU cr ^ * J, V ^JJI ^ r;, «U ,p
Jf JJ .U I,.../ ^ » l ur q. 0(f<u/( ^ ^^
J?* J» If JijJi >^] jjli jrji ^luji u ^j| ^,
LfJ. u*«ll ,., JJ/ y (f. 224") ^ r^u, j. ^j,
j <u, ,lji ^ ^ ^ ^ ^ r ^ ^ ^ . ^ ;^
1) Koran, Sourat Joseph v. 109.
2) Ce «jeune homme » qui est tantot oB| tantAt .^ j ^ ete
revienttr^-souvent dandle couraut du livre (^ ' f 6,6 62 6 .tfj'b ^ '
presquc sur chaoue feuillet) mm, „,,',, ( ' * 66 • et6 » 66 i 67 e 'C-,
r61c. 'euiuetj, sans que I'on pu.sse comprendre cxactement son
Manusobits babys. 187
CT ov^lf jkUlj j^jll j J^il jj^iil ^k J j*^J ^
I^LJl pUJ ^**LjiL JlJjji ^**Lti ^J jlUf /;**Jil J| J»lk\l
Jj» jl^J J^ V^ Je (f. 244*) iAi^l itiJjj j^jjX] p U] j
<u=* Jhj JJl j^ ^^CJJ J «1JJ ^ jUl^ ^jj| J ^1
>y v^l J»U J^J ^ <L«J) J*J J jIl ^a j> IL* jJUl,
U^" £JU> cW >lj y^e ^ cL-Jl >)_, ^^b rJ ^J3\
j* J i>»yi y> j ^tr- O r pill >l _, ^jLL j*e ^i^J Jp| j
U l «^* ^-1 U 1 ^' J JLiUj JJ) jP j jCj hjy.)\ J ^J)
^ m oiui ^ l*j y, y\ jn ^ jjj jji ji ajj
J u ^*e o^aJ 4_-»j jm ^jjj aJLI J.U) ljU*» Lie ^ JJ) y _, e U
V^JI ^ ^ ^i^ Je jiL 4JU) Jl L«J jj U j J^J >J|
«> If LiU jil. «lll Jic j. ^1 ^ic j ee ^| J^j ^jgj
/i ^ L jiL Jai; aIIJ ^U t»U **Lj P Ui Je ^^U ( l ^1
Iv* (245°) ^J j !Os ^ jaJj AJ^. JJI ^ J JjJL ^21
1) «Korret al-ayn» est mentionn6 preaque sur cheque page; le verbe eBt
toujours au masculin. Je ne crois pas, que la h6ro!ne du Babisme ait quelque
choBe en commun, sauf le surnom, avflc ce personnage. Je serais plut&t incline a
supposer, que c'eBt pr6cl86ment h cause du r61e important que joue dans notre
ouvrage ce peraonuage mysterieux que les Bectataires Pout identifie avec leur
heroine favorite.
: -1 88 Manusobits babyb.
■. .f )ll S ^ ( j ; JJj -^j aIJL : £*«>j a £ -« aML> ^ -iU/ ^*) Cfc'J ,><>
; Jju^.- ^-:. J£ dj kr aij y^y^l, U L «jjj ,U, U 21 a : w U
■ ■ "Je jiL : C^ j» 4bl> J^^iJj 'J^ftJl ^.> ci>) 'Oli^iL ■ K J..-i,jj
'■yjjp- «l id I V : <sJJI-.«j.**?JJ j^l «>yj yt;j AiuiJ ^JJ ■■4jui\fe>M
' '"* -^ifb^' Uj s ^-H)^,'^ '£#**' q^9 ^ U^ y,^i Jj • .Jx -'(j» sill
<uu ^ i o T^' kj u 1 ^ J '.*-UkU Jp L» .g&i ■■• : <^j**^l:-- (J&\ -I jJ
( jM J*a*JI : -q£I ^■■{JjVl aJCII ^j ^i| ^je ^ij dJOli u *L)l
I .jJo>i. J»( k%jM*.. t j£Jl $*j}\£j*-<..gl\j ^11 ^Le -Mu '^a j- J*i
,':*r^ • fcJ' p^**^ ^»> 4rW', ewic ^^^1^1 iJ5':»Je U.UmIJ.J jy^jCili
oil] ^C jljj J j J J ^J IJp ^|j If^S \jtjc (j\£ J.H ^ _^ J^J«JI
^ «l^*JJ ^» ^JJ -J© JiJ^, L^X, L^J^ ^j^ /aJJI 2® _, JJj J J Jj ¥
M ANUSCBIT8 B ABYSi 189:
Jis <u6 jAfeaJI #^' yic J.J^^i (?) ^J& 4^^^*J ;^. u / .j; (sic) uLls
J^i/ <uJJ jic IJj^&j tljUiffiJj yls B i tjvi/-" ' osL' '^L* «x^ ^ -V 1 -^
IJ« (ou ^-n) u ;.^ LUi c u ^JI : t >s;> ^-j*' £;*"««* Ji yj.^ M UL
yl jUj JJJ. ylsW^i^iJJ U J£ J> ^ £>-A* ^^J ;u ic
t,j** Up (jl Lr* Ui^f® U® ^' p® j } 0: .?} vj> ^ tiU^ : . .' J*jj Lie
^Li:jj Jf _^XM»a.-,jl,;->. >> -^»JJ;,.J.^!i)^art«j, ^4! mU ,/jsrf l^ip...-(246'*J !
190 Mahusorits bAbyb.
•.<© Ja» J J^b o&WJJ ,2 s ' l'J. ®-^ S - »fc^*t'*» Ciii joP .j e O
ie J«s j l«J.y^®a fejLJI JM £jo J^jLO .A* ^C JwJJJ JiiiC ^1
jj u^^* JT^ V^ 'J* u' j pb^-Jl ^sl (247°) ^j U,JJ Jl*
al aJ) d ,eJ"lJ *Q°*j feiJ&i j£j^ J*r^ (j* p^j l^*f«** fc-juLJI a)
(3^ • 3 kji e 4 ~-** *^' ^ t^UxJI p! ^j i»*K^I *U* j*>^ «—LL «»
.jl&J^ cili«s •>* jaII suo)a*> ^ (3*4 *— 'LJJ 'J* J* 5 /r JP®' -9
«L/® ^ L^**® P LJ'*' «J" L_i e **-*** »■** £*>*■* j*>a) ^e LlkL* tJiijJ -j*
•»*» ^.iJj jjf j ljj»^j dsrllj ,J (?) djyjJl AjJ ifl LI U J» ^*aJl
»Lw®iJ -^o ^Jj"* l^ao,^*-) tUsJ) J.PJ U l^^^-o 4,^*' (3^ Sj+ O" t-'*
4JU' LI ^jl Ls^La* J.1L 0^^® lS 1 -^ V^ *-"^ ci ub^' d°J
• .« aJXJJ olJi J*» fjoj*' j oLJI 0*9) k>» y» jII aJI a ^JJI
C-aT J.I ^l«wl LI »P 2(1 aJ) J ^il LI ^jla ^«ir I^iaJjU l^w jj,,/*
^LJ q* J^\ JjjlJI iilJi ly«^l_, LLsf ^IjJI ^jc jJI <jjL
^Lj ,)ll i*LU j* LLJ U ^il Jc js ^ L^ ^uJI (247*) fi*
Manubobits bAbys. 1 S 1
jj& ji 4U) ^jl^ I^M^i, 0u i, JXj ,jb 4jyl ^p j, L^L® jUL ^^
Voici enfin la derniCe derai-page du rascr.:
Cl^ki 1^ 1 5 Jywl SHI J (jLL jl Ji j^\\ ij» L
O 4 "*" C* *- , ?r' J*' J ^J> tr*^ J*** L® dUj <jj Ji Q*all ijt L
L Ji jJI o^i L J^ji c ^ Jf j e o^ J» *M u'j u**JJ
^jJJ l«J I dJ) j ut JI Jc JjLm <u£S^Lg JJI j\j L^iU cJ JJ
^* e u~ J^5 U^ *^ y 8 j ' J?*~ *o~ iX^Je
Les nombreuses incorrections qu'on remarque dans les extraits
doim6s doivent 6tre attributes a l'auteur lui-mSme. Le mscr. ne porte
pas de souscription. II est enticement en encre rouge; caractCes
naskhi ordinaires. Le texte est d6pourvu de voyelles, a 1'ex.ception
des chap. 42 — 47 (f, 84—-97) qui sont presqu 'enticement vocalised.
Don de M, Besobrasow.
229.
A: 438. 22X14. 72 f. 17 1.
Ce nianuscrit, sans titre, comme-le prudent, contient un recueil
de 30 pieces pour la plupart tres-courtes, qui, a en juger d'apres le
ton et le style, appartiennent toutes au mfirae auteur. Get auteur
toutefois ne saurait aucunement 6tro le Bab lui-m6me, pourvu que
le inanuscrit pr6c6dent provienne reellement de la plume du r6forma-
teur. Cetto mani6re.de voir est-aussi confirmee par le contonn des
Manusobits badys.
pite on question.: Oc sent evidcnimenl dos lottos adw<w.- ■•■ ,-
jtapta m „„ d ,of do «o !10ur 1<1S c«,, s „,c ou W I,", ,"
"S ,! , eS ,l " 5S1 " J ,lm i( »'S< to ,m. OKoptio,,: i) i
*.*." c,; m «>"< ! '«'"!■» un ooto d'acruaifioD coutr, rr -■"■•■
- »^ r ,„. ,, 11S o,„o„,o i ,t s „„,« ., MmM ;;™™; ; ;
au contraire a favoriser 1'nno et a a, ir mX ^^7! ?
otaient doe rtfapfe j^^^ ^^^
^d^^yot quo toutos les lettres Went etre consfees
pms on moms' commo dos r6v61aiio»iq <%o -'-■•• r^
"» MU prdoisdos g** a Ja le f o" f £. <*%*** "» u ™"' «™
<i line aiiaijse, en 1 accompaguant.d'flxtraits M. U P 20 cam
mencc amsi: ' " 6y) com
u^_, i-iJI ^; «j| 0>M j_ _^, ^•^ j;
^ U' J^4' _»J' aw) 4/ /. j s .-If II u -
___^ ^ U *-* ' ^ jJl w^V J 1 6j^ ,
1) Malkeurcusement elle est i™ in.,„„„
quoiqu'ellc le merilo P ld/o,L, ' 8 '"""■ e "' e ' e I«><i»te ici m ..tier,
, ... ^ ^ ^ ' ^ « ^ ^ u <
Manusorits babys. i 93
jJJ «yjl i^l) ^1 0t > ^ <Jjl Jjl; | >(W / ^, ^ L
^1 W 1 , il,lil _,&.* L ,11) J,*;) ^ w , uJ i ^ ^ ^ 4 {j)
j a ji -oji i Jjai \,Cja f i; t ..j j u i ? dii ,j^i j^ji /> .,,
fif *> fa\ U J^J) J JJj ^ J | ^ l^y tj ^JJ
^L il J, L ft J jTi ^ L (f. 37 & ) c ,i ^ii) . r , r^£ ^
JJ^ aiU^ ail) ^ ^ ^ ^_, X J e ^J :S ^ 9j jJl
L, A ,Q u » aj| jj^ ^ u iyi) l t J L ^ ^f ^
cr ^l J U*le ^^J) ^.kjii ^J ^i )> j^jj/ ^ v j
(V^ r? J l .U> *Jd )^l 6 | J/ dJi ^ iiAfe ^ ^ ^JU)
f M )> D . ^X, -JJI JJ ^j JjJ JCp W\ ,V JUL
*W %* o^t, Oil, r Ul ik; cl*, s^yi u ^ CJ/.I
** c-SLU, ,U) ^ki u i e U! jjgjiji r OJ j,jj)
(f J ^ ^JJI ^ JI ^y L ^}^ ^^j^ ol^i j
U* tffi ^j> fi^ e ^J f ; Jy | jg j) |s] ^%j\ j^
. . , . . . g) Li. ^ji ^1 Js J^ L» e ^i
Saiyont des conseils aux rois; on leur reeomraande entr'autres
de diminuer ■ autant que possible le norabre de leurs soldats/qui
1) 61o8e margwiale jj^&lj,
2) Ceci so rapporfce 6videmmoat k I'ez6cution d« Bfeb.
18
19 4" Manusobitb babys.
content trop cher, et de n'en conserver qu'un nombro, suffisant a
la defense du pays, d'etre bons, justes, de prober ceux qui implo-
rentleur protection, de s'occuper spfcialement du sort des pauwe*
car lis sont *L, oULl et d'etre mis6ricordieux. Ensuite ii procede!
(38*)^., l % \ r Q f ; U D ^ [^ ^ u>| ^ j— rj-,
Ut^ c r JLkJj^ U; f J oij ^j,ui ^ |^ J Jf JL UJUl
J iJjlijJI lywV, J,o-, I^L" l? ^LKil o 5 ^l ^>U|
<A^ ^ u~ PP J >JI, ^i) ,L*L ^Jj/j-s^
jj- «^ r a >^ i v ,yj u ^ ^ Ul ^, oJ ^ > ^ j
_/; J" 9 ^J** ^ 'VSIJi J^<3% ^
Un pen plus bas il s'adresse aux rois chr6tiens :~<u«J| MJaTJ
, i*- L ' • cw*' o 1 ^ s-i» ^ *Ji & U
°j n f~i J * bJi °" ^ *' ** "* ijJ ' &>
o;-p' «,~ ^ o* M» ^ u i,i..: ou cr i, i^l- j jlu;
^ J pjt « SL, UJ.,^ ^^ ^jj, j^j, j
r CiB) a/^Jjf C r J | , ^JiU/ ^ (39») ^, yfl,
^ **?* ">' L ^ »- o) Ji W J ^ >.
-J» , C^^ Jj!J> if*, UI j.| >JJ4 j, ^, ^
^< j~ ^ j-^il ^ 0) £ J L>| j jS ^; j ^ ^ £i .
Manusorits bIbys. 195
u d^ u** h . } »l>l"« o^\? ^M u***" c/^^' C* ofi »
Lt[u&.«jSlj Uli »*L. J*eJ l^jk'j, ^o^J J *Jyu„ J> w
L jl (f. 40°) ^1 V I^JJ JJ 1,^ NL vSJb^^Jirj^
«»!**«? ^^feeluJ) -^ »1jI ^j LLS J,»J Le ^ J U LJe >jj>_j Jjjb>
l*,iTI j*** jj\, Lu^* JyC> , LJl^J I^Jil^ USU* I^JL, Ljh;
Suivent des reproches aux rois. F. 40°, derni&re ligne: L (j\
y. JCjIj jJ j« <J* (40") ^ A)LJ| U iUl y> JUe
J dLL oU»UJj #r, lyt, fcjjll J djj ^JJJ ^ Jl ^
u^ u' J* je>i' o* ofij ^^i > ^ j ,o^*? <jyl yd
j^T u ) .X»kf? Jy k *U' ^ o* u^ u' ^ f***^"** ^ ^L^ J J*
Reproches aux c^ jusqu'au f. 43°, parcequ'ils „uous ont expuls^s
sans en avoir le droit et ont donn6 foi aux calomnies de nos ennemis".
Je n'en transcris que quelques lignes: JyJ«S 0^ J^y°\ £/* u^
{£«*& L. ^ J) I ^ pj jr J ej iy^ oy 1 ^ ^b ^W ^JJI
18*
196 Manuscbitb bjLbys.
(jl.1 ) t* r .O> y,-b p>VjJ| Lg-jJ b JLnthi) t | LftAffljU -Jb .Ir ,fi J.v
Jc 411' 0'\? tA>^ *J f^v u"^ (J cs*^' f'^ e (^ ^' ^-M
«J **M' A :>'' '-* „/^ «>•' ^ /*»-jl ! ^ tul^ jj eJc Ji .;> J»
J^k u' u^ ^«J' 1> O^f J^ 4r £tf-^' O" ^ ^"* w J ^ 2 °-
^"f ujt^ ff ^-v A^ L* t/J <u^y {jji.i>j/ s>rtZ?iij jIj^j) kJ I «* .fJl
Cette accusation, continue l'auteur, est r6fiitde.par le fait que
c'est pr6cis6ment dans ce point, qu'il diffiro des savants de la Perse.
Les ^fj sont pri6a de pensor a l'inconstance de la gloire de ce bas
monde et au jugement qui les attend dans Fautro
Au f. 43° il raconte ses aventures iujiL:
(iSL$j bjtj bijilUzjj U ^jJJ ^jfi o^is t>^
£^ 'U* f»~ ^^ ^ & i '^J-J jJJl Je uy^f. ,^JJJ JULW
.^Je UaL JJJ^ *^ aX^ £>LJf ^o aJb ^slj _j ^jyj u ^lc L ajUJ
Suiventde nouveau des conseils a l'adresse des dits savants „de
la ville a ■»); au f. 44 a il insiste particuli6rement sur ce que le mau-
vais traitement qui lui a 6ft inflig6, a l.ui, ainsi qu'a ses adherents ne
1) II parait que c'est toujours Dieu, qui donne 1'ordre de dire ceci ou de
fairo cela.
2) Ou «de M6dinah», quoique je ne pease pas qu'il s'agit de cette ville.
MaNUSORITS BABYB. 197
nuira pas k la cause do ces derniers et quo par consequent leurs en-
nemis n'ont pas de motif pour s'en r6jouir. L'anteur console onsnito
ses amis en lour demontrant que les malheurs ont M toujours le
partage des elus et des amis de Dieu, ce qui est illustre par l'histoire
de Hosein, le fils d'Ali. Apres cola il recommence ses reprochos aux,
fonctionnaires ^Jl f. 45 6 et 46°, qui avaient cru que „nous 6tions
venus pour vous depouiller do vos biens et de vos triors, maia,
par Dieu, nous ne nous revoltons pas coutre le pouvoir (ou le sul-
tan)". Les ff. 46 6 --48 6 s'adressent do nouveau „au roi", et lui
recommandent de choisir ses employes avec la plus grande circonspec-
tion, de ne pas Jaire le loup gardien du troupeau*, d'etre pieux,
juste, et de contrOler en personne les affaires, do distribuer les remu-
nerations d'une maniere equitable, d'etre g6nereux etc. Tr6s-caract6-
ristique est le passage suivant (f. 48 a ): 3yD .,.« Q V pl_, illl
d& j [s ~^ J Jji\ L&i &* o« j'* i £?Ji v>"" ^ j Sty*
Cette haine des ^ s*explique par les fails qn'on trouve cit6s
f. 48 6 sq., et que jo suis contraint de transcrire in extenso: «1.**J
3j«) «-*»LJ-:jA ^»jj *^a» jc ^s^hJ U J -tides C***«, ^j
f* CjIj j*W-JJ q* jJ AiCL-J^lf u ^ V (49°) L vSleLilj
1) Le J est de trop.
1 98 Mandsoritb babys.
^JJl Jm vSlJS ^Kj t - ; ^U) j + \y\fj iJ^J f^^ofi ,;j JJj ^f jj
C^*!r*^' tJ" ^i' e'-'' fi k' ^J_^&l Lfit-^ 1*1* yl -yb Jij A ^IL**»S; U
{j4"*iJ>\ $ oL^a! ^|e J^J Li i ^ aXjj «U)J jb. lu i^ea Lj,
Lj J^W JiJji /jljj^ ^JUjI :>LJI t#*ic J«r u ;Jj i,j£ Id Ij^U
IJJ L^*i ^jAuj.J t^fet ^* Lg^i lj JL»_y U U ijj, Lis -j,&*CJ ^i©
u^Lj )JJ jlXjJ ^J _^J tdb (49 6 ) jiilj o^je* LU
^ o? ^ c*bui J -& ^ j ci j ^-ii j ^i j.) U^
g\ ^j^n>ll IJ» J ^Jl j& ^J h^ O* u fi * 'y^^J^I ^
^De 1 ) quel droit ces employes me traitaient-ils de cette ma-
nure malgr6 toute mon ob6issance enyers eux? Je ne porte pas
plainte devant ta majesty 6 roi: Dieu les jugera; mais j'en fais
mention pourqu'ils ne procedent pas ctela-mdme fagon envers d'autres.
N'os peines et nos malheurs, leur bonheur et leurs richesses, tout cela
passera devant le tribunal de Dieu et c'est a lui que je remets ma
cause u . Suiyent des conseils au roi pourqu'il sauve ses sujets de
Injustice insupportable de ees tyrans et des protestations d'ob&s-
sance et de soumission aux ordr«s du roi. Puis il continue (f. 50 6 ):
j dxl L ^^j u Sbi) J ^UiL _,! (JJj^I ( J^ u i ml _/*)
^"Ltf y^j ojd jd*i }* *) aJI ^ I* &ii ^jlkil -j« Cm'Sj t£L»w
(j^P™ iS^H'j *~*iJi> /"***f U><-^' p^** »JI 4l H/i ^ ^J [*
a I
*«^
1) Je resume.
MaNUBCRITS BABYS. 199
iS tli* tJ** 1 - /J 0' t^** 8 / ; e #? jW J^J jii Ufc p, j-^ © }-?*2 "
„Si notre cause est celle de la v6rit6 de Dieu, -—qui done pour-
rait nous vaincre? Si non — le vote de vos savants suffira!" Suit line
citation du Koran (40, 29), puis: J>l ^jJI y^* ^nxj U^
/jJj (51 ) eJjjJi) /^ac l^i. _^j J^ A«U ^j o^*a**-'j' ^» ^* J j
^j tJUsr* 3 &JUil ■»* Jj •.AllliJj >.* Lj .a*U> ■.* aAj) JaI tjl -b*
ikJI jj ^aawjI^ J*«*^ £.jj ^a«j u*u i$/*i £;* jO »■(*»/ ■(3l/'
./.liJJ LJI t(Jjl **.? ^c d^ ^a? L tjJJl ('..iUs ^jjl aLfce Jl
jcJJ) .uiiu ©»«JjUi J,; Lkaj ^•AIJ (MiUJ! J^««J W o»»aAa9 *=—'*Jl/J
(52 ) W» /kJbJ-uABi) ^* L ^<Uj 3«^ *' <»#*"• l£~& ^* <«^* i£*f* J
1) O'est ausei una allusion Svidente & l'ez^cution du Bfeb.
2) C'est a dire leg sounnites.
8} Hosein b. Ali, le petit-fila du prophete.
200 Mahusohits babys.
Kh-\ L*Jb "$ ,',(., «.;, K| ill ,• ■•• - T-
r*^ J L dji r^ l^ U ' >W *>* ^;,J I, r ;Xl,l 9 L ,J j!,
^/ ^ .^,, f i,j, ^jjj tUl i JC tVU ; y ^ ^ ^
* J» O-/ J C .JUJl y (52>) .,L ^ ^UJj j J|_, Wj
r* Jf j , (?) c^u/ a , ^ v, r rjui ^ ; * 1 ^
Or^ u' J^ U,U^ f rj Ubf c^ L JJr y e> j
Jj- J £Us £L C/ J ^ f Ui j^ Jt j) ^j u J ^
u^ ^jJ ^^xri u jr 0B j,i ^ jj^j u ^ 4jyj ^
cr <tfl aU. | jJ? J J^ j,i ^ ^j. J5 ^ 4(J| ^ ^ oJj9 ^
OfifW&Csfij ^ J-Ofji fl ,Jy oV ^ | J)
Mandboeits babyb. 201
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tjJJ) ,Jju V U£J) C «lJL. tU) 5 4j,j U*>*i~H w ^-«Jlj ob^itj
•^^ u^" J O^J ^ J ^f ^' S ^j> O^P D- U =^ J «^ s
r Qj dULI ^ ^ *JL i) ji^ cyyL ll ^1 L , oi j^\
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dlii j ? cJi^i Li. elu* jy J a) £J J ^y >W ^ ^ «uil
£-*, Jy pj ^ u «^ ^*wU ! •>) (J ^J gy£i jui (53 6 )
l»Jfc> ^ ^ UU j;,jJ) ^^U 4jyl wUT'j jjj U Jl JljU
v l y l liUU j c<? **U. ^s Lr C4j i Jf v | y | rt J fi b«i a,
U ^ W lil , O^^ 1 O 48 O^i* ^^' f^ JI ^
202 Manosohits-bAbsb.
f£j\JJ ^J jpii \J ^m jsf» fl\ u 9 (jl (j^ 5^b* 4IJJ LilLfei
4lif J*i? QP ^iJ f k^ IjJj, ^.^UJI c ^ f Iif £,1 J*i {l ,
f Q f y JJ^ S Li., dflf % ^| J| ^ (f , QjiJ J j^ J^.
<JL t /LU ^ (54°) ^U^ ^Jj^ jU J^ s j^L ^£?^L p
HI dJj I ^Jjt JmU ; ^l ^ J^, Lj, f 1\ Jf ^ 4||| ^
^■il ^Jl ao>1 iLJj, j I ^fjj, ^J) ^J) ^jLJJ jJli) 4jy|
j Lie «^*s ^ ^L 1^*1 J d^jj J ^^ y ^y ^J
jL^" J «J*jJJ J« j ^U*J) ^ jj Ji jj AjJ | ^ u Lie
JL.U l^u* I*. jJ ^£ j P ^ aJ^jJ) j»j *, j^l, U L> ^ # L J»
vSUJj J^^ ^I^J) ^^slj 4ui 4j J j^j^ e UsaJ|^ ajj i^&jij
O^j qJSUI « /j s ^ j^j (54^ ^J j^ji ^ jfl
jr^X^I^ 4, 4|jl ^J k Jfiljjj JiUL ^LJI-J^J j^L ol
^JU;]! ^ .HLj^ A,^ j Am* £$1 I? Uc f\s o) ji 4^ L
1) V (a^ti^J^S) j ,
Manusoeits babyb. 203
JL.L j^* o^a^u j e o/j ^ jlUi ^e jl)^ v jO ^ e ^jjj
JJ J9 ^\ &.\ UU ^, a JUj ^ 1 jB | ^ J Cy y \
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JU oi Jsdl * £j,U J.i « £) Js> CjJtj: LJ ^ ^
v*W j*.& j«j JJ*j jtjp H^cr cA»^' J c c^ *W <ui ^
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*Lr°* [«J Uy-**> jX*«iJ CAyh ^j £M wSLJi ^e di*e ,J Jjf s
204 Mawusoritb babys,
ij^ dj ^jj u j.r CjG ^u ^ j j e ^ ^jj, ^ j^ ^
i,bJj r _ § Os^^ U*.- ^il, X»JI ^Is j «ijj ,> iJj^Jj ^
J.-1IL ^^,,0^ uj>*" ^w J ^>JI X^l u^«^ f v"j) ^jJjI
cA Jr *J cA^J r^ ^ ^ V^V u?^ ^/^ J jWL
^ d* <^ J u»^ fW' u r - 5j j -^/u^ J^«i j#M
U" l *J' «Jpt-** ^ J^J ,jjJl ^Ifcll l> ^e JJic _,/ JjjSLvI s
'> O c «^' «^UJ j ^-JiJl ^lj ^e Xiil ^Ju* vSlJjj j Jb
wW j j D • ' (X ^^j* _^»UJL ^illj Xk^^j _^ij ^UJl
dis f :j| jsj (56 s ) ^i j\ ^u jJ XL ^J ., XyLL. pUl
fX-L; £; e ^-^ u^ ^ ^L XjLl. XL y ? Ui*^"
-«' u jr -Ljfriij ^ui l*,^ ^ru>djjr j_^ w Uei
* j ^[X ^ j f^ if^ fW «M cr 1 oL I^Jeli oX^ «v ^1
u' j-JI l> j* /^X ; uL ^J ^L,. 1, ^ ^ .fif
^bpJ) jlyL l^g^J ^ LJ! v lij .. aJc ja| L \^j^ XU
iXl uL l>u r ;j| ^l JJL iXll r £;>; V ^1 ^^^
l * J ^ J o^^ *•&! ^>^ rt ^^ ^'Uu jL,^ ^i^j <JUi A*Ai ^
Manusorits babyb, 20B
v^ J V^« j J^ ^ ^ u' O^j ^ ^. csiJJ pJ aX
e ,Ul <JJJ (56 6 ) d ff J j,Jl\ ^ € \j & ^ C(> ^ ^j
^iU C;C j, r 5lU y* p^, JJ) | ^ j j^il a^
of^JI ^u ? ^csk ^jj| f | iX ^j ^j c jlj JCJU,
^*^U« ^ U2j ^ is ^ ^ Xt, ^ jx ajli ^ _^[|
u ini ^u. l ^ r a\ f jj\ ^uj ui ^ d\\ *;,
*X ^ ^rujj u, jj ^ ^^ ^ 0r i^ - j ^| j^ y jj^
j^ljl* SJjfj ^ji ^| |^L by^i a^^ U,UI
W-Cr-i;^ ^ r f '^ cr^J' ^ J ly»* V„. «1J| (5? a )
C 11 ,fe f ^ ;U c/*> Ojjk\i fl -JJl ^ j, ^ ^
^■ r D c u.^ v-» .0.' •>•>» J' ^i & ^, JU) Jl ^ ^J
L> C-J r ^J] ^1 jj; ^ |J y ; V J^ j. JJI JU U JyJ|
jJUl VJ 4J jJ| A |Lrf jL4l;5U L, r lJU f iJJ ,
Des extraits qui pr^cfedent on peut tirer les renseignements sui-
vants: 1'auteur de la lettre s'appelait Hosein; il avait du quitter T6h^-
ran, lui.et les siens, par ordre du roi, et B'6tait r6fiigi6 en Irak, ou
il resta 1 1 ans sans fitre incommode Alors vint en Irak un en-
voy^ persan, qu'il no veut pas noinmer, mais qu'il nous ddpeirit sous
206 Manusorits babys.
de tres-sombres contours. II etait ivrogne, deprave et commetMt
touto espece de crimes et de p^ches, ce qui au besoin pourrait tore
attests par la plupart dos habitants de 1'Irak. II opprimait h public.
(c.-a-d. los Persans?) et confisquait lours biens boub de pr6iextee
Miles: en somme il ^uegligeait tout ce que Dieu a ordonneet faisait.
tout ce que Dieu a deiendu". Get hommc reoolut enfm de perdre auasi
notre auteur; il ne le connaisait que pour '1 'avoir vu une Ms dans la
maison de son pere durant la fete du martyr de Hosein fils d'Ali,
N6anmoins, pour attoindre son but, il se croyait autorise de le declarer
infidelo et de repandro toute sorte de calomnies a son egard. II sc
mit en relation avec un personnage evidemment tres-haut place" en
Perse, mais sur lequol nous n'avohs pas d'autres renseignements, et
reussit a le prevenir contre notre Hosein. Celui-ci protest© tres-6ner-
giquement contre la mani&re de proceder de ce personnage inconnu
et le met sur une ni6me ligne avec l'envoy6. Non content de cola
Fenvoye" parattrait avoir consults 6galement les autoritfe dcclesia-
stiques de la ville *) qui elles aussi se prononcerent contre Hosein,
lequel par consequent leur adresse de tr&s-amers reproches. w I/en-
voye mGme du roi de Paris " (le consul frangais?), dont Hosein pro-
bablement avait sollicite' la protection, se mit du c6t6 oppos6 et au
bout du compte notre h&toiarque et (une partie de) ses adherents
furent par force reconducts en cette mfime Perse, oil on les avait per-
secutes pendant 20 ans avec une cruaute inouie. lis furent exiled
dans une ville destined aux criminels, surtout aux re>olteV ou le
froid et le manque d'habitations solides les faisait souffrir beaucoup.
Hosein lui-ra6me fut jete en prison. Le motif qui poussait 1'envoyeV
persan et son allie" inconnu a toute cette intrigue 6tait, d'apres 1'opi-
nion de notre auteur, 1'ambition: ils ambitionnaient la gloire, qui
devait Gtre le partage de ceux qui auraient raraene en Perse le chef
de la secte, et par la-in&ne, esperait-on, port6 un coup mortel a
1'oeuvre reputee dangereuse qu'elle poursuivait. C'est pr6cisement
pour empGcher la realisation de cet espoir, prevenir ce r&ultat facheux
pour la secte, que les lottres ont 6te Writes par l'h6resiarque pri-
sonnier.
1) ou de M6dinah?
Makuscrits babys. 20?
11 n J y a rien dans tout cela qui soit invraisemblable : il y a eu
tr&s-certainement des babys refugies a Bagdad et en general en Irak>
et il est en outre tres-probable que le chef on les chefs do la secto
ont de preference choisi Bag-dad pour centre de leur administra-
tion l ). attendu qu'ils y etaient moins exposes aux persecutions dn
gouvernement du roi , tout en rostant en communication permanent©
avec le peuple, grace aux pterins de Eerbela ct de Nedjef. Le Gou-
vernement persan de son cOt6 devait naturelloment dearer s'emparor
de ceux des refugies-seotataires, qui lui paraissaient 6tre pour une
raison ou pour une autre les plus dangereux. II resiait done a
obtenir des autorites turques l'extradition des personnes en question,
ce qui ne pouvait pas presenter trop de difficult. Tel est le fonds
de ^Faffaire Hosein" qui nous ©coupe. II s'agirait done de pr6ciser
l'6poque ou cela se passait.
Nous n'avons malheureusement que deux dates chfonologiques
dans tout le inscr. : les 1 1 ann6es qu6 l'auteur dit avoir pass6es en
Irak et les 20 annees durant lesquelles les sectataires avaient ete per-
secutes en Perse. En supposant que ce dernier chifFre n'est pas un
chiffre rond, indiquant une periode longue, mais indeterminee, et en
prenant pour point de depart l'annfo 1264 de l'hegire, date du com-
mencement prononce du mouvement baby, et par consequent aussi de
la persecution, nous aurions le droit de conclure que l'extradition eut
lieu en 1284 (1867) et l'arrivee en Irak de notre auteur onze ans
plus tot c.-a-d. en 1273 (1856 — 57). Si au contraire nous laissons
de c6t6 le chiffre douteux de 20 ans, en nous tenant exclusivement au
chiffre indubitablement positif et precis des onze annees passfes en
Irak nous devrons prendre pour point de depart Tan 1269 (1859)
date de la suppression definitive de la re>olte ouverte des Babys.
Dans ce cas nous aurions pour date de l'extradition Tan 1 280 (1 863).
Quoiqu'il en soit de l'epoque precise des evenements racontes, on ne
saurait douter de ce qu'ils se passaient entre 1863—67. Lestextes
cites laissent deviner qu'un diplomate frangais a joue un rflle impor-
tant dans cette affaire: on peut done esperer qu'avec le temps „un
po' piu di luce" sera jete sur cet episode interessant de l'histoire in-
1) M. de Gobineau dit positivement que le second Bab, Mirza Yahya, «sortit
de Perse et alia s'Stablir a Bagdad», 1. c, p. 299.
e\
%Q® Manuborits babyb.
terieure de 1'Asie contomporaine. En exprimant cot espoir j'ai eu vnc
surtout le cm historiquo de Faffaire. Quant ail c0t6 psych ologiquc-
les lettros olkj-m&mee restoront toujours la source principal "ot jc
toons a constaier ici mfimp, qu'ellos offront on effcl d'abondants inaii
riaux pour unc 6tude opdciale de ce pure.
Ayant d^ja depasse Gonsiddrablement Jos li mites raisomtatuoB
d'une ^description" jo cuis forc6 de la conduits au plus vite. Le mmr.
est toil en beaux caracteros naskhi, en eucre noire. Les fautes preB-
qu'innombrables de style, de grammaire ot d'orthographe que Fou
rcmarque dans les .cxtraits donate aussi bien que dans le reste du
mscr. appartiennent sans aucun doute pour la plus grande partie a
l'auteur, lequel evidemment ne poss6dait pas bien la langue arabe.
Le mscr. malheureusoment n'est pas complete, quoique la reliure no
laisse pas deviner cette d6fectuosit6. La lettre 2 9 "et demure com-
mence au 4 72 a et s'arrdte a la page suivante au milieu d'une
phrase. Je me permettrai de transcrire tout ce qui on reste:
J e lj>" ^ p i L ^ l^ jit j ^jl, ^j.JL^ ^iL J e Je j5;
>J I j i L.^ ^.^i U_^«, je J^£p r i v l j \;lji 'i j 4JJ)
4^1) ajuUi ^1 e > ^ d ij| Jjj j^j ^j^ ^i^jj
*l)l o^ JJJ'.(72 6 ) ^i J* CJ^ U JJ ijjfl'ij^l a£LU
L*~. «Ui ^ ^1 | ^ Ji>@ j ^ ^| ^ \ js u^>
l>^ ^iL ^U _, ^ _^JJ ^Uj ji{ ji ^i\ \ JLJU ji
*UI ,Ul ^UJj ^ _^ ij, ^ ^^ ju JI J£Ji ^j. j oWJ
oU) )U L .{J %j a-O^Lli ^ J f jj ^jJJ *U Je
D*
Manubobits bIbyb. g09
^^IsV^^o^lj J^,W ^ «uil L f \ p ik lijA,, v ll£
Lf , 4Kb H.J ) JU l^iJ| % 1,1 jj ^ r....^ , f *Jf ju>;
^W .«jl J' <JU' J^-j ^ ^Jp J;i
La plupart des lottres l ) portent en tdte la formule ordinaire />
£) JiJ^I «-?oc plusieurs variations peu importantes, par ex.: la 1°
ut^' ^f j^ j^ -^■>' , ?> ia 2 * ^ jy j^j y,
la 3° ^JJ) JUi ^dj j^jj) y» etc. etc. A la fin des lottres 3,
22, 23, 26 on remarque sur la marge en sh6kist6h tits enchevfitre'
quelques noma, que M. Gamazow m'a aid6 k d&hiffrer, savoir:
A la fin du JVs 3 (f. T) j^i V U, du.16 22 (f. 58 & ) Je U *L
^S}, du M 23 (f. 59°) pfljil^j*. X et du M 26 (f. 68*) V L»
(?)tj» (?)u*u' Oy^i J.*«. Les 3 derniers mots sont douteux.
On remarque en outre sur les marges de temps en -temps l*e mot JLi,
qui est sans doute ^L certifiant que le mscrt a M collationn'6. II ne
me reste que de citer les premiers mots de chacune des 29 lettres,
ce qui facilitera la constatation de 1'identite de notre exemplaire avec
d'autres, le cas 6ch6ant„ J'omets cependant la formule d 'introduction
mentionn^e plus haut e
J& 2 (f. 2 6 ): a?* 4jyl JL,^ j^Jj JJ ^j^ v bClJ ,«U j
l)Dans leB lottres 17, 18, 27 cette formule manque; elle a et6 onrise pro-
bablement par le copiste. Dans la lettre 26 on trouve ^tf^J ^j#Jl ^mj
au lieu de Jj •*'.'"'
210 Manusoeitb babyb.
J'js^- *j 4U' C>ULJ j Jiat*^ 4JLIJ ^'.^i
$ 4 (f. T 1 '): JsJJ s^ju ^jbl js ^ u^^ ^ o>
Je B (f. 8*'): jjjJ) S ^J £}» ^* tZJfc u^' C, M ^
M 6 (f. 9 6 ): Jl u-UJ ^j^ U ^ jiL ^ ^J j>
}& 7 (f. 11°): ^Oj U ci^ ^J ^^CJ o' 4W' **' ^ u'
Cette pi&ce no comprend que B lignes.
1: 8 (f. 1 1°): JJ ^ <uL v*l*uii J j«£j o) ^jJi jLr If u'
$> 9 (f. 13°): JL-iiLjjj *iL"li., iSLiJ J^ili.Jo.L jl
Is 10 (f. 14°): ji^Jl.jjJslj jaLJJ JL4) tSltll CU i±U*
Uf***/i J 8 -* A ^' v"^ «j 'y^ *■* J^wJ u*^' -/*Ji -9 Vj>
.Mil (f. 15 a ): CjJ^*«Jj ^j ^* Jr J .jjb**j ^JJl (jU»
'J6 12 (f. 16°): ^iy^fl jL ; OJ^JI J L <J ^Jj| 4,L
jljlr pjj^w ^ji_j jjiirf _j ( y4 u aJj Cjj^^° *■* JO
J8 18 (f. 17°): XL ^UJ/ jTJjj ^i) jl jjj^ \»["S J>
Mandbobew bAbtb. 211
1ft 14 ») (f. 19»): o J j- jiL J*jS ** ^J ^a aJs
"h** 1 ' & °***j j>$* tj' u"^-" »j«-Hij> L/**» ^^
J6 16 (f. 22 a ): JJ] J) ^JiW jjsW jjj ^j v Lf |>
(•'*»_/*' ^ a»*.j i< p^'» y» ^jii o^sjj o*^
$ 16 ff. 23 6 ): i«- 4_, jiL Jj^ «JJI J>1 ji ^ |>
Ja«4) jJ^rIJ JjJaJI <uJI /j* JrfJ^ //***> ^^J <W&a£j aj)^ /.AiUJU
J6 17 (f. 24*): Si JJ ^ 4iL ^Lii J j^I j| diJj J L j|
Jw 18 (f. 27 ): Jr>J}&i) dJJJ ^1 _^a* ^ji Jt»» °j.-s «wUS jjj»
-K** cr»-*' J^ ti' ->i«-**^ JiJ^I A ^l q* »^J Jj»j, ^JbMJJ jjlS-il
•is iy (t. oO ): ^^^ j,r ^ik pj.it j o^/^Lj j^*' 3** 4j<»^' (j^v*
»..20(f. 86 6 ) — voir, plus haut.
Jb isl (I. 57 )'. _j^ /»e (fcjjlJj ;L» lc dill ^jS's j jb s
3£ 22 (f. B8 a ): ^iJl l> ^ aJUl P TjJ ^U J3J i.1 L J
Jvs 23 (f. 58 ): »d& jjjj ^ _j^p U J^b) J ^j JjiJ e««J
1) Cette pi&ce a 6t6 6crite 6videmment dans un moment de d6sespoir: ell©
n'eu est que plus interessante. P
2) Dans cette lettre l'auteur se plaint de ce que le ^jLJJ ^9 n'a paj
voulu le reconnaltre pour «celui qui devait paraitre», malgre toutes leB preuves
qu'il avait produites.
8) Dane cette lettre on trouve entr'autres une description du paradis.
212 Manuborits bAbys.
As 24 (f. 59 a ): Jyu>J ^'.jJJ) ,jl »^\ j*^\ <JJJ 6LH cdl-
,lfs 25 (f. 63 ): l$j| s ^jJ.mu *»>,£] <lAIj CjwXI tjji uJ*^*' u t! i"^
f.i» {j*^ 6 kS^ (j** J:' J-**
M. 26 (f. 64") : eUJj o^^s ^j aIII j 5 #1> ^jta jr,iXs JU L t j!
CJT iS-t^ J 5 ",? »J.?* «J Cf}h. .9 &f*i ^* JO ,J- e ^ «./*** (J
•^ 27 (f. 69 a ): jji_, J^l jjjo (jjJ ^ jib J^J ^J IJjb
La** ^ej al ,J ^* Jf <UlB u^sj y j
J£ 28 (f. 70 a ): &il ^j&Ij Cj/j*«JJ O^aJU ©j*f ^J-*' i^uJ
JTs 29. Voir plus haut. Don de M. Bezobrazow.
1) Dans cette lettre l'auteur repond a trois questions, qui lui avaient ete
adrfissGes, en ajoutant, qn'i) ne r6poad pas a deux autres pour des raiBons, que
Dieu seul doit savoir, Cette piece est une des plus remarquables de la collection.
La persoune a laquelle elle s'adresse n'est pas nomm§e. Le toa de la lettre
prouve que cet inconnu n'6tait pas encore tout a fait converti aux doctrines de
l'auteur, mais que celui-ci dGeirait ardemmeDt le convaincre.
P. S, du 19 Sept.: pour la p. 207. M. Gamasow vient de m'apprendre que
M. Oh. Schefer a bien voulu faire des recherches dans lee archives du ministere
des affaires etrangeres a Paris pour trouver des traces de notre Hosein; malheu-
reusement ces investigations sont restees sans resultats positifs, la correspondance
du consulat frangaia a Bagdad pour les 20 dernieres annees ne contenant aucun
renseignement sur les Babys.
ADDITIONS ET CORRECTIONS.
As 15, p. 3 1. 24, lisez: Questions au lieu de: Qestions.
» 16, „ 4 „ 18, „ ai-Fikh al-akbar au lieu de: Fikh al-
akbar.
» 17, „ 4 „ 27, „ ««jL au lieu de: w_iL.
„ 23, 6, p. 7. Abou-l-'Ala Mohammed b. Ahmed al-Be-
hishti al-Isfaraini est un auteur sur lequel je n'ai pu trouvor des
renseignements biographiques , quoique plusieurs de ces ouvrages so
trouvent dans les difi%entes bibliothfeques de l'Burope. M. de Sacy
parle de lui dans sa chrestomathie (2 6 <5d., t. II, p. 505) et cite a ce
propos les„M61anges d'histQire et de literature oriontalo" de Eousseau
p. 133. Malheureusement cet ouvrage ne se trouve pas dans les bibl.
de St-P6tersbourg.
$ 24, p. 8 1. 16—18. Je retire l'opinion 6mise quant a 1'6-
poque, oil vivait Sho'aib al-Horaifish. II fallait dire: „il doit avoir
v6cu aprfes Abou-1-Faradj ibn-al-Djouzi f 597, qu'il cite au f.95 a ".
C'est bien vague, mais on ne peut tirer de conclusions plus precises
de la citation de Ibn al-Djouzi. Si ]e(?)^jj j,jJJ j^ ^j^,
donlU^est fait mention dans le 11" 'chap., 6tait identique a jue
sJiuijM J** tf j>*»\ Qi y j*Jl, somme je suis tents' de croire
maintenant, on devra admettre que notre Sho'aib appartient a une
epoque beaucoup plus rfoente, car le savant ..cit6 mourut en 687,
cf. Ahlwardt, Ar. Hdschr. JVr CV.
J& 24, p. 9 1. 1 1 , lisez: #lijj|.. au lieu de: ^{ijl .
» 34, „,19: ^j*? ^J jus?.. La note deNahifi prdsente peut-
atre quelque iritfirtt. La voici: l> <UyL* j_^, ^jjj <® jj]
214 Additions et corrections.
^\j .jslxllj pkJ! j v Uij JUI ^JU JL v b3
^)UL< ^sj,^ t-jL^^ii u., C ..4JJI X,eL Aas^ , 9 ; , t uk\,l i^MJj
ILJ^, (jljJJjj j^i«l!i ( - : ,e 4.^ 0u i Is JXJ 9 ygj.fi;> toll- -J* J..k.
J*jj ^i lsU^^- jU»lJI jCuM j JUJ jjuJJ d^^CJl
Jfe 36, p. 20, 1. 12 et 18. C'est probablement notre M 82, qu'a
eu en vue le sheikh Tantawi.
» 36, „ 20, „ 14 lisezr^kJI au lieu de:,^).
„ 45, „ 23, „ 10 '„ u *a£i\ au lieu de : t> j^l .
» 57, „ 29, „ 24 „ ^quiterminalacopieenllOl". Ajoutez:
j" ^ M6diDe oj^iiJ iijjilj.
„ 57, „ 30. La premiere partie de Phistoire de Makkari s'est
retrouvSe dans le d6partement asiatique apres l'impression de la se-
eonde feuille de ce catalogue. Elle forme un gros volume de 622 f.
du mfime format que le JUs 67. 38 lignes la page. Tout le mscrt. est
6crit d'une m&me main, qui ressemble beaucoup a celle que pr&entent
les ff. 1 — 59 du volume dtoit plus haut. II a 6t6 copi6 en 1087.
Le copiste n'est "pas nommS, raais des inscriptions analogues a celles
du second volume attestant que ce mscrt. a appartenu des 1 141 au
mtoie Ahmed b. Mohammed al-Hamawi le copiste *~U), domicilii
aDamas, qui acquit en 1 148 la seconde partie ot qui a copil le mscrt.
de Leyde. Nous avons done maintenant i'exemplaire complet qui servit
de base a notre Ahmed b. Mohammed pour les nombreuses copies
qu'il a faites apres 1141. II est du reste possible, contrairement a
Additions et ookeeotions. 2 1 5
ce que j'ai dit plus haut (p. 29), qu'il s'ost servi de cette copie
avant de l'acquexir personnollement. Dans ce cas nous aurions l'ori-
ginal. du rascr. de Leyde. Quoiqu'il en soil., le insert, complet est
dans tous les cas d'une valour considerable. Yoici maintenant les
notes et inscriptions qui nous apprennent l'histoire du mscrt. A la
fin, p. 1322 (f. 661°): .ml Jl ^iJl S.L J 4/Jl 9 jll l> Jia
OJi ptftlJl (jK^, aJ 4jyl jkb (j^&J u>o# /iJ Jo^I j***" Jj le Isr^
Cj^'Jj *>^~*% i A ^ U^*J /J' «— **» e »<*»£ fiiuj jlgAjl oj^ iBJjal p&a
^J* °«J. ' 'J* ,i e 4u*.<ilil ii*^) «JUf ojli oJ^ *Uu ^ tjJIj, AjUj
"*h*-'r'' Cj^^J £j1j^ s $ fe^J" Jl»ol w »L*«e jU«J p^&l »iJ^ .is
^i O l/^"^ J St* 9 u*'' d-iUS** i/ a ©jlc' ejG^/i' <UmJJ /i«
©J*.!.* .<>_/*»«** ^ic J&)j Jai bX&l^ ki ic JLsj 4U' «*■» U' ^J^
(SIC) .$Ls ^j JJ) J i»f U&**J L>^ l^eUI 4JJI J"**J _/JA «»« ,**«.<?> ^J
f# o^s^® 9 jA\ )j& le dj^XXjJ AiuLJJ dLi^J «JUr J /jaILJJ fc^Jj
Sur le frontispice (f. 1°) on lit d'abord 1'inBcription suivante
sans date: •»* j,*£ ajisu. &*JJ ^SsJJ L>L ji&J J\ ^.tj J*s*j aJdL
ft^LLJl *»jA. Cette inscription est eMdemment la plus ancifenne;
un pen plus bas nous lisons qu'on 1.127 le mscrt. fut acquis par
&a«lij Q;} jzlall jjp ^i U *L«*, duquel il passa en 1141 a notre
Ahmed b. Mohammed. Apres sa'mort les deux volumes furent achetds
en 1 154 par Mogtafa b. Ibrahim al- Attar, comme Mteste rinscrip-
tion Buivante: ^UmJl .^,JJ Zj y© ^1^ jj*L\ ejmi ^Jilj *£L
2 1 6 Additions et corrections;
sBLtttgk:
( l fe.^LLJI t 5j,^J t >.^l it^JI if^i. Une derniore inscription nous
apprend qu'on 116 J h mscrt fill rackets par 1c memo Mogtafo b,
Abd-al-Kadir a ), qui Favaii e6de on 114) a A'umec! b. Mohammed
al-Hawawi: ^LB j,* a -, U ,*L«* „^sij j^.JJ .1.,.; Jl Jsiil j
(.j^*-J' b^'" l! Ml aL., ( J; ttiJil j^J ( .,j„ Lc insert, est parfaite-
ment conserve. BibL HaimsJiL
M 59, p. ai, 1. 23 litioz: en 1138 au lieu de: en 1148.
» 61, „ 82. Gette histoire n'est pas cclle dc Tarmous Shidy&L
L'ouvrage de ce dernier, dont parle Eli Smith (ZDMGL Ill, 121)
a 6te public k Beirout en 1859 et porte le litre CjLJtl jU\ v Ur
$ 62, p. 33. Sur Forigine du proverbe jLl. [> ^j,^ (e'est
ainsi qu'il faut lire dans le mscr. au lieu de .Lw, ,,:,. )>) cf.
Tadj-al-arous, v.^Li*.
J^ 72, 2 p. 35. On ne trouve que tr&s-peu de bonnes logons
dans notre ex. do la Kacida. M. David Heinrich Mailer a demons
(ZDMG-. 29, p. 621) que e'est le dictionnaire, se trouvant a Berlin,
de Nflshw&n al-Hhnyari qui a le plus d'importance pour la constitu-
tion du texte du poenie. A ce propos je me permettrai de faire remar-
quef que la bibliotheque de I'Universito de St-P6t. possede (JI6 785
=Fonds Tant.Spl. 13) un opuscule grammatical, sur Je u-^, du
mflme Neshwan al-Himyari. II n'a pas do litre et comprend 21 f.
in 8°. La copie est tout-a-fait modeme et entierement de>urvue de
voyelles. Les premieres ligneg, qui sont pout-6tre aussi .les plus int6-
ressantes de tout le traite, portent ce qui suit: J.***, Jf j\^ JU
aaj^JI 1*1)1 J® j £±j U Jf £j\ U Uu^^J) J J^T ^j+Ul
1) Upe inscription absoluinent identique a celled Be trouve auasi dans le se-
cond vol. sur la feuille blanche avant le frontispice.
2) Une note dans le second vol. est encore plus explicite: LiU JjLLjJ j
9*j&j\i **^1 Qf j>^l J^e .^f, iLa*- - /*ii/;:J*Jl (sic) j,^ Ji
Additions et ooereotioms. 217
J S d^Ji ufi. ojSJj \*jj* Jyo^fl l»i,_^ Je (1. Ji ji) Ji jj ^
„ 0| . " , e,i |o
M' 8 * l^ fe « ^A^ri) t te3HS LM " hid ^ ^_J^
$ 72, 4 p. 37, 1. 1 lisez: sur au liou de: zur.
» 88, „ 45, „ 1 w c. 514 au lieu de: 514.
» 89, „ 45, „ 9 w le cas ici au liou do: le cas-ici.
„ 99, 3 „ 48. L'auteur eat nn certain tjk -y j^ cf. Meli-
ren, Cod. or. Bibl. Hafhiens. p. 46. L ' "
Us 121, p. 60, 1. 3 lisez: cLl au lieu de: *l,.;j.
.„ 132, „ 63, „ 12 „ ^ji n ;> „ ' j,,
» -^> » 64, » 30 „ _^iJI „ „ „ ^j y«iJl.
„ 143, „ 67, „ 4 „ »LJj „ M „ Aj.il}.
» 158, „ 75 n. 1,1. 2 lisez: sur „ „ „ sur.
„ 164, „ 86—87. Cc3 pages elaient imprimis depiris long-
temps, quand j'eus l'occasion de voir uno edition d'un des ouvrages
de al-Yousi, cites p. 86 1. 4, notamment du l^J l^ 9 ajjjj
^■Cr **£ £^° Jo"j^' lW t^j?*. Cette Edition est sortie
de la typographie du journal ^fl\ a Alexandrie en 1291 et est
due aux soins de Selim Effkdi' Haraavi <s ^. Bile forme un petit
volume de 200 -h 12 p. in 8° et porte le titre suivant: >p> >
ji juJ\ .i^Ul r [/JJ C UJ) iU ^I'^iJ^ l.jL.Ojii
-r»k <^> : 4i)/ J*c U J ^j*. OjilJ 4-iyi jlfi] ^jj a^ ^
Dans la pr&ace se trouve une notice biographique sur al-Yousi
tir£e du 4JI&JJ j^LVl ,J a^Ul A\ ^UTqui a pour auteur Mo-
hammed b. Abderrahman b. Abdalkadir ai-Pasi, contemporain de al-
Yousi. Cette notice leve tous les doutes et conftrme les opinions
emises dans le catalogue (p. 87) quant a l'epoque ou vivait al-Yousi.
Elle -commence ainsi: J*Ul i^Jj JUl <usJ/ ad! Lttji^^ii^
1) Probablement: «du nombre de mes autorit6s» ou bien «du nombre des
savauts du 11° siecle».
218 Additions et ooeebotions.
U «^JI S^UiM QJ £j iut.il (J-J***. «ife;.el ^J-flJI ( JRS*'I 'jA&dj iJ.,U'i)
J^ iJJlj) 4,»L^ ^^J pic a*' »j. i /,«•« (Sic) ^a.ij,l'l ^<Jj ^i cXz
J £t^Jf ^e ^kl) J A ! ^ . . . . . ^.1} uu ^, gl\ Lr &i0jii xS
JjUjj;. (Leo) <, (JlJU J „ U^i'o „i,.r (jUf «, <d^il t« ilsLt r rJ ,
Suit 1 Enumeration do ses noinbreux ouvrages, parmi lesquelo oe
trouvent les ouvrages oitfis dans le catalogue, uri grand nombre de
petitee brochures- thdologiques, le fjr UJ J Qy^K le ^SfM
gol 9 ll £* *,£ ,j .ILJj, qui resta inachev6 (li>J <u« it j.X J
4^U«JJ), le (jo^YI idf ^ uffl^J if L® nomine" aussi ^j^^
^^^J i.lT tj* fjolilj pUl et quelques autres. Le biographe
nous apprend enfin qu'il 6tait all6 saluemotre al-Yo.usi & Fez, en
1 102, lors de son retour du pel6rinage et que c'&ait la la derni&re
fois qu'il 1'aTait vu.
Ibid. 1. 19 lisez u SlO au lieu de ,jl.LJj.
J!E 173, p. 96—98. M. le D r A. Neubauer ft -Oxford a bien
touIu m'envoyer l'epreuve d'une feuille de son catalogue des inserts
h6breux de la.Bodleyenne; on y trouve la table des niakal&hs de la
traduction h6braiique,. Le mscr. porte dans le catalogue de Mr. Neu-
bauer le M. 211 8. Autant que j 'en puis juger la traduction h6braique
conftrme les corrections que j'ai proposers, II faut corriger encore:
p. 97, makalah 23 (g*l) au lieu de: (?**•■#)
, 97, „ 24^1^1), , . .WJrfJI^Ui.
n 98, „ 28 oljUl- „ » „ OjUfl.
J6 175, p. 107. Yoici la traduction iitt&rale do la description
du mikdah creux de Topeniteur chr6tien: „Oet operateur avait un
mikdah creux en cuivre rouge dans lequel ^tait fixe" ufle aiguille en
or. A la pointe de l'aiguille 6tait un trou pareil au trou de la serin-
gue, comme nous 1'avons dit plus haut. Sa longueur (probablement
la longueur de tout le mikdah) d6passait une main, et son bout
Additions bt oorreotionb. jit 9
6pais ^tait conrbS l ) a la mani&re de la courbure de la ventouse, inais
elle (c.-a-d. cette courbure du mikdah) 6tait longue, retombanto
le long" du mikdah, et a son bout (e.-a-d. au bout de la courbure)
dtait une autre courbure, pour la bouche, de la longueur de 6 4 doig'ts
superposes, par laquello on aspirait, de sorte que la cataracts pouvait
dtre vue (de l'opdrateur pendant Poperation do Inspiration).
L'operateur tenait-le mikdah d'une main et l'oeil do Fautre, tandis
que le bout de la courbure du mihatt se trouvait dans sa bouohe,
sans toutefois qu'il out opfiri la oataraote avec cot instrument".
M 175, p. 109 1. 14. L'oxemplaire de Munich etant de la main
de Michel Sabbagh, il est probable qu'il se trouvc un autre exera-
plaire daus une des bibliotheques de Paris.
J& 182, 4 p. 1 1 6. Le premier ,» du Morshid contenait entr'-
autres une makalah A« f M\ Jpfllj j~l* Jl J qui est citee f. 8 1 2 6 .
$ 18G, p. 119, 1. 18 lisez: u ^JjJ\ et biffez le?
„ 191, 8 p. 121,1. 18 „ CJgy Qi au liea de: C^y ^,
„ 192. Plusieurs de ces trails de Ibn al-Heithem se trouvent
auasi dans la bibl. du India Office, Jft 7 84 du catalogue de M. 0. Loth;
v. A Catalogue of the ar. mscr. in the libr. of the Ind. Off. Lond. 1 877.
M 198, „ 131, 1. 27 lisez: prononce au lieu de: prononoc.
„ 198, „ 182, n. Suit. . Jg 212 „ ■„ , $211.
» 198 > • * 38, 1.7- n p*»JI '» e » f**J\.
n 198, „ 135,dern. 1. „ Taide „ , „ aide.
. 206, „ 14C, 1. 1 ., *jj| , „ , *j|.
. 207, . 146, . 12 ; %JJ| , . . £j|.
. 209,86, p. 152,1.8 , J%\. C
. „ 209, 41, ,158, „ 16 . C Le> „ „ „ Lfr.
„ 209,48, ,154,. 6 „ ^jS . . . ^jj.
n 211, p. 155, 1. 14: &LO. La bibliotheque de Munich
(Aumer % 899) possede une.histoire d'Egypte sous le titre ijjjj
aJLCJI A»lij J «;U1|. M. Aumer fait remarquer (ibid.) que &l33
= cy»l9j.
— ■»— — ■ ■ I,,
1) La racine Oij£> t dout nous avons id le partieipe tJ&jM+.et l'lnflnitlf
&a$j& } manque dana lee dictionnaires. Elle est Bans doute le lynoayme de (Jfe.
STB ALPBftBEllQOE DES OUTRAGES 1 ).
42. ^11 j^J\ JSUw Ck^l ^Uj
66. -aUl jUl , i^LJj Jjj
146, 1. *U«»jfeilJ
p. 216. oM J** j o'^i J-^' *
52-^-64. Jjl Jit j Jjjl jU
29. JJjLJl jl^fj
63. (fragment) oM il^L. jU J Uil ^La
1'82, 1. (fragment) aLsU* ^ <ujl j^ . W UJ| ^ C^U^/J
191, 1. ilJgy jj feJ^liu ^ J^ djj U* wljlji/
197, i. ^?yi V W*
23, 6. ^jJS^-Jj tUJ) V U *
171. aJU) ^^1
205, 5. ^\J\ <~>Sai\ j> J*il|-()^j|
46. (.^a* j^L C LJ ,3) oj^»jl
190, 1. <L**Uj il % JJj j iu^J) i^Vl
1) Lee ouvrages marques d'un astemaque * ne se trouvent pas dans la biblio-
theque de l'Institut. Lemot ^Lf n'est pris en consideration que dans les cas
ou cela paraissait necessaire. Leg chiffres se rapportent aux numfoos de ce cata-
logue, sauf les exceptions expressdment statuses.
LlSTE ALPHABETIQUE DEB OUTRAGES. 221
175, p. 102. o^Jl^^U) AJ*
143, 1. jlfJil jULl*
147, 1. v-.!^!) ^Ijl^yl^l
224, 2 (fragment) LM\ f lC$) r %\ J L :y j,\) Xif ^%l
139, 2; 143, 2. ~LJJ pi j .1^1
~ 120. iJLJ, *LMf
217, 4. ,UOJ J^--uJliLJI
136. fd\\ JkJl\
122, 3; 123, 2; 124, 2. JLUJ
217, 5. gUjU
45. JJil,, ^^Ji ^L JJil ^J
129. ,jy^*
205, 1. JL\ „UJ Jj^jDl j\y\
46. ^Jl ^Sli, J ^j ^Ij,
219, 2 (fragment) Ljjjl kAj*
205, 6. ^J^\ j J^l is>« J j^] jjj]
162. C^UJJ., oUJij li^J gj,
222, 2. ^UJ ^1 -LSL ^i J j»\J\ 6 J\
192, 12. LJUU Jys^J^lkJl ,jl Jc uM
199. (jljAl jkjlj^l J JkjAl
205, .2. j^fll ^JL ^yli j ^J a^b
47, 1. jujj «^j^ jL.1 ,j j^d) Lkf
221, 2. V UJ ctfUJ j slljl 6jL
161. V >V| Jd J vj^M
148, 4; 149, 4; 150, 1. XdJ
222 LlSTE ALPHABETIQUE DES OUVRAGES.
°98. 3^*'^'' As k$Js J)"*'*'' 4s*'/ 1
PI..
95, 1. j ^yUl • *> ^/«C Aaj
61. ^LW ^J.AC> &JS*
119, 2. *yij te^ j ii^Jr^i
176, p. 111. tf-^l*
195. f ^OI jsj?*
15eJ. 'jAMjJI j 'jauJu jaaS.JJ j| • fAwaAJ >AA3F*
188. -JainS*-*! ^/J^'
58. t-j'yJI 9 .sUij -j« _/<»<« oUU -jf *^L»lil Aas^ 1
96. o^/y' t/**i***
102. *,JJ .jLll^^
213. *->z>Js°\ JBjU<aJ] ^j <uiUaLJj »»jl^*JjjJj
1 75, p. 102. (JsCJJ J) ayj^ii
179. ^JLe^J t^E^ wlilj ^UVJ J^l iJS»
187. Aj_^aiaJI e^JtaW'
225, 3. fc-^J^J' p^- tj fc^^J^'
164, p. 86. ijy&Ul JUj tj ijy^l *
135; 148, 2; 149, 2; 150, 3. (jl^i) cif^JI
173; cf. add. et corr. p. 218. «jJLJl ^J** jl cfc^^JI
144. J.*l^aJ/ *y]_/cJ 1c J.«eJ^aJ) ■ **!«"
191, 4. o^fo*Ji fc— »UXJ i^moJ /»J J>»»' _/*«*«*
218, 1 (fragment) ^LaJJ _/*»**«»
183, 1. ijJjj*/ f»?^
183, 3. o>>il ijj^l ^
159. f U4l
LlBTB ALPHABETIZE DEB OUVBAGBS. 288
22. jlmJl ^©L^, jl^al ^^J
•225, 8. flZlh ^Ul ^jj *
W HO; lll.^l^ljU
205, 12. J/ll ^fijj A r Jl g\*
188, 2. ^yia ? pj^j^
27, p. IS, n. 2; 158. **}yL\ *+ *
20; 224, 1. ds&jj ^
185. v ri/JI ^ cu^; j ^/yi sk
184. 4JUI jgui Js jSljiJil LlL
'197, 2. Vd! aJL/j J e a|; ^jUju 4&U
184, p. 86. ^yJl ^^f Jo ^JJ i^L *
129. jSUij *4» ilLy ^ J j^M ^U
90, 8. »LiYl jj*
48; 44. i^UJ) j j^ ,U J |>tJ| ^
197, 8. v'^1 J Vt^*
14. Q*Lj\ J^ f$S jm y»ml\ £jml\ *
128, 2° AiJil £. J (^ Lj ^1 y) *ul£,
128, 2 6 ^Jlll ^laJiC
128, 2* J*£Jf >! Ll&
128, 2 d ^1 , 0^ £ *> U L *j» /tfl ^
1 28, 2 6 i&Jij ^ J U L ^ J UJI ^ £*. «UC
r 1 26. r dUl
H
1 28, 2 f iji^Jl «jjjil ^ i* l&
201, 1. Jjl a^Jdl ctf&ll J*
2^4 Libte alphabjStiqub bes ouvnAafls.
75; 164, p. 86. *«,UJ
184. u^l ^
e
122 » 2 - U» i/iJI a* £&>hl i£lU/ ^
99, 8.' oUj# «J,k
22; 108, p. 54; 179. J^*U ji\ ^ *
139, 1. UjeV/ L.%
1 64, p. 86 ; cf. add. at corr. p. 2.1 7. Uji l^ jjj J/ *
204,2. jW Jj-1 J J,* j,*
99, 1. o^^-Jl Ju^ii jjil
P.219.4Jl^/^ JJLJ U/£jjJ.
78; 80; 81. ^j j^
97. .iijsJ/ ^ ^j| ^ e ^ ^^ ^y ^
226 LlBTB ALPHABBTIQUB DEB OUVEAGES.
209, 89. a*JI j»\k*j *£ll o* l «* «JL,
198, p. 132. Su^UJ JJ L^All iJLj *
209, 33. vMj> ^ CT 5 ^
207, 5. (Ill « JjJ ^^ iiLj
194 (fragment). LJJ 4/lyJ JSLj
1^5. J^*' P^'J Cy* fe^rfSWj jLa>dJ ^jijij
66. j*»l|JI ^>jj *
24. jSlijJIj ks^U J ^fUJl ^ J|
128, 1. _/«*Jl fUaj^yiiJ/ fj&JJ
217, 8. jtfftljjyfcll i^,
108, 1. 4.LJI ^
98. ^UJJ i«w, jLiil iijy
J
164; Add. et corr. p. 218, ^k\j jUJl J J"$\ j>j
189. jiUl^l^j
23, 5. ^L,JJ *
221, 1. CjJ^hJ O^ J P J ~ ^ OtfP^ pj^
121. ^LtfJ ol^jio j^Uil <j^L
114. ijj^t /J _/aa6 (jM^aJl yil ojAw
36. u 3^£u jj Jl J% o^l i*~
130; 131. ^UJ
201, 1; 209, 11, 21, 35, note 2. ^jJJ j^Si *
137; 138. aJV) *,i
218, 2, iT/LJl z\jA\ ^L
195. fjh'-Jij* g±
160. .bill ^^-L" r-r i
LlSTE ALPHAB&TIQUE DE8 OUVBAGES. 225
h
188, 4. 4»^i J «^«il U . ,;J) L^^kl &
104 (fragment) .J^l ^j
197, a. U^i AiL,
19.0, 8, vj^-kwiS) aJL^j
1 lit I d> rtAA/^iua.) <Uu»<JJ
197, r. i*Uj JLJJ*
209, 37. _,_>]) am^ jjjjj ^ 4JL,
209, 34. s^llj, ^jJI «L«J) ^j i^ij ^cjjJl ilL,
•&U7, 7. Ia» ,«..» »L <UL*g
198, p. 132. JtiVL Jj}\ gjji j A^.LyJ Jl ^JJ klLj *
209, 32. acU) ^^uTI j acLJI ^ JL,
140. <L»lj,J) ujw »^i ^j iJliJLJj .iJLy
209, 38. e^l J**^ o>?^) JL,
198. JtWi JJ u^l *JLj
197, 1. «LjiriJj iUL^JJ
205, 8. t^U' v^' (>• J-®* *^j
97. is*»Jj iki* J aJLj
204, l. ut M JJJ JaJLj
27, p. 12. V ^JJ J^i J ilLy *
197, 4. o^Ull ^ij iJL,
225, 7 (en persan), jj*j U» SJL,j
15
LMTE A6PBAM#3IQUB BES ©W8&GBS. 22?
146, 4. iSUI JJ.JJ 'p*.
28, 6. a^J) ^l^jj &ii
23, 5. ^/JyLl, jJU J) JL J ^j>il ^
108, 4. ijj*»jJ\ £j*?^l t j£,
87. tuiljMl sj^Jl »>
142. 1 jJJ J,, IjJl >S ^
1 96. ^taftCW^J t^uT ~jL
88—90. f -f&\ *Jt -J.
71; 72 ? 1. CUM pi.
118. ^j^j^i wL^U^ ^i
74. JkM j&
72, 3. «LjiI j»i
217, 1. Jyas ^j-yfU J^l j* ^
205, 4. ^^1) ^ J jill ^^Jl
151; 162. J^\
154. ^1 ej Jl *
I.
177; 178. ^UO jujil ^JJ)
212, p. 160. ^^J «ibJ»*
106. ^tJ-l fc*, ^Lf^l XjL
i
eo. ^U^ ^Wl j j\M ^V
64. Cli^l ^V
16*
228 LlSTE ALPHABfeFlQUE DEB ODVEAGBB.
57 j add. 6t t^JLsJ i'H'J"'' O^^-^jx • *«^^ S *J' ^| k»^W oL/* :
corr. p. 214.
225, 1, 2. i^ll *
3 75, p. 103. j^\jt^ljjU\ *
175. <L_j*»*J| jilj.tJl ^| <u?,s?LJJ o^aJi
175. J*G) jijwJl
144; 147, 3. j^jil JL.J,J|
146, 2, 4; 147, 2; 220, 2. tfliJ J— i^JJ
50. >JjJ, JSI^I Jl r J J >JjJl ^Ul *
208. J.UJI £jy**
210. U»amJ) Je\J jjSJ^iJj pl^ilj ^jlsil ^,j*e
d
107. : 4a»U[' (jojlajd) jjtij As^yi jjswl^ij j^e
89; 90. ***>) i**^ «fi. ^ ^s^l ^jJ) w^l j^e
*■"' uL/*^'-cJ L/""!*i 4-»«a*j /i**«r' <^**
35. jj*XaJ| _^«»J (jjl /£j^ »4 e it^y^ >»'
217, 3. JWj jS\
p. 216. jC/*»*' <j '•**»"« i^i^jiOjJi j^J J*«aS
47, 2. j**Xj*4I ajJo Lb J^J^' d-***"'
16; add. et corr. p. 213. jfi) amJ) *
164, p. 86. ^^JJ dLpkW *
29, p. 17. U ^£U-C.U^J) Oly*
133. 4.Xj UieJJ Jj J«aJI
203, 3. ^Ij.*)) j>-©L» ^^ ^j***' $Ji a*/m> jj
LlSTE ALPHABETIQUE DES OU VKAGES. 229
212. j^\ J ^ j^UJ)
153; 154. Ljs4I /^-oll i
166; 167; 170, p. 92, n. JjJI J 0y U]
Add. et corr. p. 218. ^Ul J jyUl *
1 — 11. oT,dl
27, p. 13, n. 1. v ^Jf JSLii J V >JJ *
99, 8. ij)p ic^s
59. J U^i ^ gjl^l £\z j J U^j 5> *
1^7, o; 1 Jo, 2 . ijMjJJ,) i>uAjl ij«i
125, 2. V_iUJ ^jlsU* ^>J_y ^M jUa» <L»S
125, 1. ilji j> iU^^^aiij ^^ Xij <jUL d«s*
127, 2. IX o^UJl, jy L Mlj \j*Ull ^J i.i
122, 1; 123, 1; 124, 1; 217, 7. ^XiJ ^U ^. ^LJT^UiJ i-i
7<s, 4. jIsm. <_JL> OtJ-u<al
7a, 2. dj^**i| ©JU(aaJI
203,4. JJ^I ^"jJli i,^u-i
95, 2. <Ul>dU) oJ*-JJ
205, 11. ^"il u^f j jUVl^
175, p. 101. J*CJJ J^O jl£Jl*
207, 10, p. 147, n. 2.^)^11 V UT*
201, 1, p. 138. j i-P JI okJJ o? 1 V 1 ^*
201, 1, p. 138. Jydl *SjJ\ ^j V LT*
224, 2, p. 171, n..j1*j%£. q> ^j^ j> Jy ak» ^1 v Uf *
192, 5. J^l j^-julil v ur*
224,2^.171,11.^^) J^J ^ j^| ^J) ^1 f U! V LT*
224, 2, p. 171, n. jJ^JI j^ ^ j^ ^\ j^ ^J U) V LT*
167; 168. J^ff V L£JJ
280 LlBTE AHtaAB&riQUB DES OUVEAGE0.
J 92, 12. ^Ldl j ^^UL vjU^*
2oa, 2, u^, rt O) ^lj ^yj v ur
191 4 JL I - Ml l-f
206, io. hdJi j ^ll v ur *
20. ^y I V LT
24. ^^ij v ur*
168, p. 72 et 79. J~Jl J.LT*
191,3. yU ^ u ^ ^ ^^Jj ^^ ^ ur
224, 2, p. 171, n . ^Jjdl ^j ^ j e 5 J ^/*
1 28, 2' («fr.) ^L jll ^J) ^J) '^hf
224, 2.^JJ,jJ|J v Ur*
224, 2. yJl Jl „UT*
176, p. io2. j-ai ^I^LJ/ ^ut*
178, p. 99. v-^jill ^>bf*
212, p. 160. J*ll ^ ^ cr^ ^1 ^ J v^*
186. &i$ <j\f±\ v ur
166. ;luj v ur
ho. k5- ^u ^JUi v ur*
128, 2. ^^kiiiJI t^UT
30. ^Li) v ur
198, p. 132—138. LmJuOJ ^LT*
167. j^xiu v ur
176, p. 102. iWJ v iir*
SlyMjIullll
165. asili ^£jj
148,1. J^Jil'olf
198. jWidttj-^ooj^laAT
LlBTE ALPHABET1QUE DEB OUVEACJES. 2S1
204, 8. jtJil S^ J J^Jil Off
198. v Lil J^ if uLlil ci^T*
175, p. 102; 176. jJl Jl^l J >J jAf*
214; 215. Oyillj ^JO ^U ^ u^J ^
119, i. 4i«i ^ajr
25. ^i/y^bii ys
i2.-ctfiuii>r
155. oUJl.jiT
16. J^JJ «i^. Jl J^il JJ/
96. A>jA\ ^ £> J ijJjJI ^CJI
Add. et corr. p. 218. ^J^ij g* ^i J ^LUl ^^CJJ *
?2 > 4 - { 5i^
23, 6, p. 8. ^U! J v^l *
108, 3. £*5J), J&JJ j- ojili) J g*Ji iJJ
■66. J,jtf .J, J ^ ^ J «J> £/* J J^l j W ctfUJ
164, p. 86. J,^JU^il) *
r
198. i#d\ jfllj JjJI M
182, 4, p. 114; 198, p. 130, n. 2. L^f) j^ X* j M i>L *
■■■■ : 112. ^ly-^Jl^u-ydl^i.
59. gjljHjt*
211. 'UUJI il,jJ| J ^^CIJ i^UJl o^J jfc
156. oUUll
188, u L*Jl *
163. jUJl^
18. ^.^J) jA**ju*$ £$
202, 2, 8. OL^UI J*#*J J C»UjJ) £f
232 LlSTE ALPHABETIQUB DBS OUVBAGBS.
J02, O. 4&*jfflJJ Js j ft^sS?
102. aJJ ^
208. tllLJ.it; <Uj,,r
158,1). 72. ilj^Vl,,,,..Uf*
164, p. 86. oULiJ j .^JJ ^J] ^ sJ _J C |^U J) *
222, 1 (fragment). jIa^I ojJ^^j jy/tl ,;■ ,«,ltf
158, p. 72, n. (,^^1 j (jLJ' ^) jl;^.'j *
108, l,p. 53, n. f L*^l ,b?*
186. p«jj r u:i ^ jijijii
218, p. 163. Wj,^l t^!^6 *
1 4rO, 1 J 149, I. e-l^jat e»(*«
175, p. 102; 198, p. 130, n. 2. j^J\ *
182, 4. L^l ^ cJa>iJ (J1 s J AjJiSl j»l^ Jf ^ij\
31 — 33. j*\yL\ O^j v^JJ) »jj*
23, 1. pUjjJ tj;js JjLa«
23, 2. ^J^ll JSU. ^ i^Udl JSL11
109. ^4^"^ j» J^^Je tJ^koiJ
Add. et corr. p. 218. ^^/j UT^ , u Jil J Ul ^^ *
139; 140;143, 2. .LJl *
200; 203, 1. ^LU! ^ ^/^J j LJj
198, p. 131, n. 2; 201, 2. oUl <J^ *
205, 8. J3 J^J o^s jJ« ^ J Jf *l\ J% jfjJl JUm,
145. SyeSX) .jL ^J t^^lklj
174. |3>U dJ,^f/ ^ ^Xsll
■■■ 1 7-2..., u i'ljp5ll :J JiJJ 4s^.j jj.^1 _^JU J ^j
■169; 170. j^J^j jail
LlBTE ALPHABET1QUE DBS OOTBAOES. 288
141. i^ji&SS t^uJ -Jh fe^JJl (jAQ*
198, p. 182. jjJJJ i£l\ Jlk® *
202, 1. jSJjJI ^ J ^l^lF j^*
1 \ 5 — - 1 1 . ^£jj ^f 0> U l»«
146, 3; 148, 3; 149, 8. U*^J J ^ilf
219, 4. »>rfoUU*
175, p. 103. LbM^iL**
Add. et com p. 218. ^^ll sjf ^ ^^ij ^L» *
130. <uiU3l Xu*
175 s p. 102. ^A&il *
27, p. 13. JUI jJ^v^*
183, 3, n. 2. ^l&ll, ^I^J ^ ^ ^l^lJl j jpdl *
201, 2. (jljjl Jtjs? J (jhM j^U
p. 217. JUJ j»C1\ J aoUI /ll *
18. jjiLjl ^^ ^f i^ll h>)L» *
182, 2 (fragment). o^J <J*a^» L. J (jLJI J^m
182, 3 (fragment). jLJl jyU^ uM A^*
n.^JUJJ J*^
224, 8. .tfjJJ ^UI J ar Jf ^Hil
'89. jUJ J^J*
18 (fragment). V JJ|
217,2. o^^V
41. >% iiil Jh j Ji^ilj L,yi
169. uybJJ> r *
u
5i. j;LJi j*?, >Uj «»>s ^1 ^Ul v^cr |J ^
175, p. 102. J-CIJ J JillifCi *
206, 1. V LJHJ ^S ^ v LJf Cilp
234 LlSTB ALPHAB&TIQUE DES OUVBAGBB.
226. obJI £>L,h ^U) J feU% J^\ h$>
112, p. 56. IjtfzJ^ L^i A*p *
180; 181. *»>$ Jjjic^.^Usaf Jws& J tefrjj ^>xJf
68. jii^li '^L* J ^U)^ £$j
119, 2.1^1) i*t-J*
26, pJUil ^•JJ jpJ.^^J ^JL;Jl
101; 164, p. 86. iil* J) a^ *
164,p.86. JUI Jc^'^l*
99, 4. «jjj>U
207, 18; 209, 29. jUJ) ^ *
207, 8. ojJjJ OjW* 1 **•■»
170. ejJ^J jCii i)^^
83 (en persan). <jLaJ L^
217, & <u*l j?^ oW **»j
'217, 2, 4.ojJ^'uU)«*-,
223, 1. ^jjfiJ Jr dl L^j
38; 8$. uM M pWj u^ *^
176. jjJI c*if ji> ^ jJl Lti,
99,6,7. j^JJj^lyJI^a^
^ 85; 86„^jJI
Akhimiv.
Eitraits alchimiqueB 206, J; 206, 4; 207, 3, 10 et 12.
Kacida alehimique de ^T 206, 4.
Reeettes diverges 202, 4 et 7; 207, 1, 4, 6, 9, 1 1, 18; 208,
Traite alchimique &ttribu6 a Djabir 207, 2.
Traitfe alchimiques anonymes 209, 2—81, 86, 40, 41.
LlSTE ALPHABET1QUR DBS OUVBAGES. 285
Astronomic:
Traits sur PAstrolabe par al-Qoufi 190, 4.
Calligraphic:
Modules de Calligraphic 227,
Catalogue des mscrts de la bibl. de la Aya Sofia 216.
Glossaire arabe-turc 157.
Graminaire:
Paradigmes 148, 5; 149, 6; 150, B; 220, 3.
Traitfe persans sur la gramm. ar. 150, 2, 4.
Histoire et Geographies
*Chronologie de Facih al-Khowafi 2S, 6, p. 8; p. 80, n.
G6n6alogie des emirs du Liban 62.
Notices sur Imrolkeis, Tarafe, Motalammis et Lebid 72, 4.
*Vies des Graminairiens de Soyouti 76, p. 39, n.; 8S; p. 58, n.
Ties d'Imrolkeis, Zoheir, Antara, Lebid, Motalammis, al-Hft-
rith et Amr 73.
Voyage de Macarius 70.
Magie:
Trails sur la physionomie 217, 8 et 9.
MsthGmatiquee:
Trait6 anonyme d'arithm^tique 225, 2.
Trails mathem. de Ibn al-Heithem 192.
Po6sie:
Chansons en arabe vulgaire 108.
Description pottique d'un jardin 99, 5.
Fragments divers 113.
Kacldas de Nabigha et de Farazdak 72, 4.
Poeaies diverses 99, 8.
Poesies religieuses 99, 2 et 3.
Recueils de poesies 100; 101; 223, 2.
Sentences 217, 4.
Th6ologie et Jurisprudence:
Mscrts babys 228; 229.
Mscrt druze 28.
Bemarques en turc sur leg J<£\j» 28, 4.
286 LlSl'E ALPBABETIQUE DBS OUVBAGEB.
Traditions et legendes 219, 1.
Traite" anonymo sur des questions difficiios &mj*$lj 28, 8.
Traits Qoufique en persan 225, 5,
Trait6 sur les devoirs personnels 23 9, 8.
Trait6 persan sur i'fltre et le neant 225, 4.
Traite persan sur plusieurs points de la doctrine musulmane
225, 6.
Traite" thfologique sur les dogmes principaux 220, 1.
LISIE ALPHftBEHQDE DES lUTEtlS 1 ),
i
175, p. 103. W^JLyil
18a ' 8 - \ ^l^l^^l^l
212, p. 160—161. jLjQl 4«! j*c j> f*ji\
99, 4. aelij jf J*£ jf ^J
118.^1^1
207, 11. jlUI jfjA
106. ji J\ *J*i cr^ *' u"^' tf-^' (A*' if ^
224, p. 171, n. jA\ jA JLjjjall J*eU j» juJ
109. ^LJI yl ii«- ^1 ^ juJ
29. a*mU ^J ^j^fjil a,I* jf J**)
224, 2. ^ ^J jUJJ l*liJ juJ j* <|jl J*d ^ jj
76. c ^ail ' y>\ ^>^JI (jU ^ 41ll J*e ^ *>J
118. u-LJI,*! uA^
1) Dans cette liste se tronvent aussi les noms des personnes auxquelles sont
dedies les ouvrages. Sont omis les noms dea alchimistes non arabes cites dans
1'ordre alphabetize p.p. 181—182, qui ne sont pas mentionneu ailleura.
288 LlSTE ALPHAB^TIQUE DBS AUTEBBS.
85; p. 1 18, n.; p. 214. ^^j f jL j]) ^^aJl ^ ^ Je ^ j*J
76, p. 89, n. J.*K>ji j^\
163; 164, p. 86, 87. jJjJi j^rf ^ jU
76, p. 40. ^L, ^1 ^wdl J^s, ^ ^iU k J 'y, j^J
202, l,p. 140. ^UJ juJ
207, 9. Jil j*l
99, 6. J»J.\ j^l
207, 4. U J^ jj
190, 2. ^UJ ^J ^ J) V U a^ J J^'
74. JO)
198, p. 131, 185, 136; 201, 2; 209, 10, 35. Ml ^J
175, p. 103; 212, p. 161. ^JlUk^J
212, p. 161. u-jjJ-Uwl
173, p. 98, n. 2. "JfljJVl oUL ^ jL~)
175, p. 102. uU*><^ tfW
U U) ^ ^ ^ ■« jW(J
18. ^jUaJIjUI^I
"101. JU^II aUVl ^1 ^j^
175, p. 104. ^jjJiWI "-jjil
LlSXB ALPHABEHQUE DBS AUTJBDBS. 239
201, 2.^1^1
175, p. 103. (?) OyA^
198, p. 131; 207, 8; 212, p. 161. o*W ou <^ !
197, 8. ^LU&fllJ
192, 5. ^juM!
206, 4. Jit
72, 4; 73. U .J) ^1
^J) >k* bill ^1 >yt ( u lUJl
183, 2. ^jtL, j^l ^L
212, p. 161. oJj^yl
209,8.^1^1
143, 1. jiJ/ g~>,J~W\
juJ ^ j«£ ' ^Ll ^)
199; 200; 203, 1; 205, 1, 6; 207, 9; JjJUl Je ^ ^jul
209, 1,30, 40, 41,44.
2^0 LlSTE ALPHABETIQUE DEB AUTEDES,
109, I; 140. ^jjf •, Lie . ( /\ rjj ^ , i | . ,
207, 9/ ^f.^jlf^,
23, 5. ^.j.a'I /-jfeX*
177. juj\ u , s J:a^
H3 ; 1; 147. $.\}^M
170, p. 92,11. Cj> i!j\-.>,,
209, 22. ^;eJ! ^jJJ l^
95, 3. JJ^JJ ^jjj ^'.U^
76, p. 39, n . ^'J
212, p. 16L^^ ?jJf
191, 4; 192, 12; 212, p. 161. ^^JL
£T^ O* Ml ** ji J**~ ' u*lj*Jl
76,p. 39,u. ^^lU/^)
164, p. 86. ^^Jj
207, 9. ^J r L r U ^ y l
207,10.^1^1
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198, p. 131, 135. SHI ^jijj
175, p. 102-104. JJl ij j, CfU
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198, p. 131,132, 134—136; 202, 1, p. HO; u^ ^ ^
207, 1,7; 209, 2, 8, 10,45.
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198, p. 130, 133. J^JJ yl ^iJl ><**
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244. LlSTE ALPHABETIQUE DBS AUTEUBS.
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198, p. 131. JiJi jj jiL\
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175, p. 103. ^jljijJl
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LlBTE ALPHABETIQUE ©BS ADTBURS. 245
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198, p. 132, n. 5; 212. *^y^> q> ^ ' ^jj^J^
198, p. 131; 207, 10; 209, 8. ^^ii <j^ >
175, p. 104. ^jJl jV'^jlJ
198, p. 132. v^lj
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104; 129; 140. ^>£>J
135; 148, 2; 150, 3. jlfjJ
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198, p. 132, 135. j^j
246 LlOTE ALPHABKMQUE BIS AOTEUBS.
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175, p. 101—103. iijjf^ j*-
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23, 6; 17B, p. 102. jjjJ*^
164, p. 86. ^yU
166; 171; 175, p. 102— 103. L^^
27, p. 13 n. 2; 43; 76, p. 89, n.; 83; 100; 106; 108, u i^J
p. 53, n.; 182, p. 68, n.; 135; 153; 164, p. 86; 222, 2; "
224, 8; 226.
LlSTE ALPHABETIQUE DEB AUTEUR8. 247
207, 9. U <1U
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183, 8. j***j*'
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164, p. 86. ijj*^^
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175, p. 102. x^yi ji jf J' £%»
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248
LlBTE ALPHABETJQUE DES AUTEUR8.
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175, p. 108. ^jyjj
118; 139; HO; ] 54. ^b^/ u ili
201, 2; 207, 5.^** y (ou HU) Ul
20; 224, i. j^ ^ ^J^ ^^ ^ J, ^, ^ ^
173, p. 99;' 175, p. 104. ^AJ!
72, 4. AJ^I
88; 198, p. 132,n. I; 205, 12, J)jL\\
198, p. 132. ^j^J] LJL
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24, p. 8; 26; add. et corr. p. 213. ^1 ^j >jj | J, ^
198,^130,133.,^) ^J^| u?l> , ^u,,^ £,, ^
LlBTE ALPHABE.TIQUE DEB AUTEUR8. 240
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27,p. 12,13. JU/yl jl^Jl^l
76, p. 40. ^| ^) ^Jj . ; _il . ; _, ^jj ^
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224, p. 171, d. ^UJJ JjJII j^
198, p. 130. U ^L ^j UJ| ,,, ^J, ^
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224, 2. ^Jj ^ ^ ^j v |jy/ ^
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250 LlSTE ALPHABETIQUE DBS AUTEURB.
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189; 190, 1. J.,UJJ ^ j*£ oi ^1 ^ Je
198, l£>«-^' ^^' #' (0U ^«e) jJ^Jl j*c ^ ji*J ^ Jc
p. 180, 133 — 134. W
225, 3. JyJl j*«*il Ji ym* y> Je ^
76; 151. Jjl y«J.\ y>{y«»J\) r Jl J*e y> Je
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205, 7. JLJb
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164, p. 86. JUJ) Je^l
176,p.l02. J-^J J»*l
LlSTB ALPHAB^TIQUB DBS AUTEURS. 251
175, p. 102. J.J& Je ji (ou j+) jU
197,3; 209, p. 164.^1 ^
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29, p. 16, 17. ^jjj
92; 95, 1; 103, 2; 113; 222, 2." a ^Uf ^ ^
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175, p. 102. jUd! oU j*l
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175, p. 102. jUUJJ
198, p. 132; 201, 2. ^j^e
119,2; 203, 8; 219, 2, j-L , f | J|Jj|
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175, p. 102. >yi ^J^J y, J) g
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252
LlBTE ALPHABtimQUE DEB ADl-BUBS.
197, 3."^, Jj
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1^5, p. 103. ^J*
1?5, p. 108; 198, p. 131; 201, S. ^L
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LlSTE ALPHABETIZE DES AUTBUES. 253
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212, p. 161. j^f
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72, 4; 73. {h^j ji) J~J
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198, p. 132; 201, 2; 209, 15. i^L.
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72, 4; 73. ^JUll
76, p. 39, n.; 78; 79; 80; 82; 83; 84. Jjdl
209, 8. ^^J
254 LlSTE ALPBABETIQU'E I)EB AUTEUR8.
22; 55, p. 28,n.; 101; 108, 4; 113; 164, p. 86; 179. J^\
Add. et corn p. 217 (ad. X: 99, 3). uii ^, j^tf
207, 4. j*s? iiiJl
175, p. 102; 176. ^jJ.I (ou f f)
107. ^^U) jc ^ *=> jj ^i a , j^£
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175, p. 102; 182, 4; 198, U ^JI jus,*. j ? j*J jj j.,>j?
p. 130,11. 2.
23, 6;cf. p. 213.<jUJ_/3> ^i 5 e ^UJi B>| ( J,j)^a w a)^*iiJr j.*aJ •jj j.«s?
98; 102. ^LU u *^l J*»J ^ j*£
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198; 201, 2; 209, 45. ^^}\ J^i y> <ujl J-* ^ J*J j, j^f
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p, 180. ^
212, p. 161. <j\.d\ ^j\J\ iU j> j.»#
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186. jj*o }*i O^jj* (jf J**** 4^ J^
13. 4JUJ J*e ^1 J^J* J- ^5 ijl Qt 0^- C^ ^
212, p. 160. j-j*-..^ J^
LlSTE ALPHABET1QUE DES AUTEUES. 25 &
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201, 1; 209, 21. .«UJJ y\ ^jUill 4jyl j^ ^ jm?
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219, 4:. «L** ^il jj^iwjlll ^_/ai' /*u*il J*© -jJ J*^ 3
155. «Jj,j>»<e ^J t jilil J-*8 £j» J*>£
Add. et corr. p. 217. u Mll j^UJ! juc ^ ^J' ^*e ^» j^
56. jyl! jWfl U U! jub j* j*£
p. 1 7 1 , n. mil jfB ^J ^j-jaTl i«ii t»UI jJ^Jj j*c ^ j^
76, p. 39-40. JU^l >J| ^1 ^! ^il jijtyij*
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76, p. 40. y^H^ a «M u** 6 J? >** C^ ^
110. ar il ^Ul j^yij**
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137. cOjl J*e^l jjjJl jJj viloil ^' O^
185, p. 118, n. 3. ^jJ\ tjjja* jf j*£
96. o^Le jf jy&U y» J*£
213. ^>Ul jXL^ j«#
184. ^ Jl Jlf^j^Jl u ~ r y> J*£
191,1. C^yij} vy^tf -*•*
167. 4JUl J^yl ^f JJ <jj< J^Vl ci-# ^ J*rf
58. 3"Jil iSvtfjiJj
217,3.^1^1 ^jl^l jrf
197, 1. Jill J^\^ r
226, J..>tl|^l jjjJliiUoit J^
25^ L.I3TE ALPHABETIZE DES ABTEURS.
20?, 11. W J^!> j^^fJl
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188. 2. ^L^a ! ^L. ^^iJl ^
S4; p, HE, n. ^ ^\ u *lJJ j^
118. ^'tfJJ j^#
108, 2. w 0Ji j^^JI
202, !. j^L y\ u xvf^\ j^ a ju, M
207,9. ^>l l^lj j^ *jj|
176, p. 110. Cj ,jJI >L. UJ! „| ^b.J) u iUJP^
207, 9. J>JJ ^i^JCJl yA^ ^1
65; 162, ^jatl J~ij ^ ^ u c^
160; 226, 3. ^ Jl ^ jljladl ^ ^ >ytm ^
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87. ^jJJ j e jf ^jj| JUT^ ^
20 ?> 9- ^-^ (?) J>biJ <>** ^iJl
143,1. oi-V^I ^jj| ^L
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175, p. 102. ^^1 ^yi ^ ^jJAl j*! fj5
LlBTE ALPHABETIZE DEB AUTEUBS. 257
123, 2. t J\ j,\ jl^l ,ljj D > UUi!
191,4. J-UalJ
205, 9. 5^8.* <n,i
172. ^jZi)
4JUl J-C^l J^i tilil jJ^J! J*C ^ J^i? * ^ Jill
57; add. et corr. p. 214. ^Jill
41; 213, p. 162. ^^ll
119,1.^11^1
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213, p. 163. ^^ j, o^ ojX\ Ml
108,2. ^J,U ^cd| y ) j^slj M\
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99, 5. Jkil ^1
175, p. 102. j^J
223, 1. 4«Ji| ^^i|
97. *m**J\ ^U ^ jJJ ^j ^^1 ^J) j^ ^ Jys ^
p. 171, n. jljJJ ^JJ fci.Uj jlzj^L {J* tojjJi. j> j^ ^|
198, p. 132; 212, p. 161. ^Jj*
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51. ^Ul
1 .91 , 3. ^Ju ^j u-^ ^
17
258 LlSTE ALPHABETIQUE 1>ES ACTEURS.
205, 7; 209, p. 154., j ; jil liJjJtl
j«/ y* j^\ ( jlj^i
195. (j Lr 'j^t^°
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72, 4; 164, p. 88. a^LJJ
96. tj^ftj' /fc'<J^' «/***-*
164, p. 86; add. et corr. (4jyl j*e yl ^jjJl J*£ ^J^r)-^^ c/'
P. 217-218. ^
113; 221, 1. jiJ\ jU,'i';Li^l
72, 2; add. et corr. p. 216. ^.^i J**~ ^ u'^"
2J2; p. 182, n. 5. (j*~) J^ y.\ <j^jJ' Vj^J J* J**
187; 188; 195; 225, 7. ^^UJ y>Jl ^
169. ^j-JiJl c/"^ £^
118. (j-ly j*l
212, p. 161. C**~*J ^>^
198, p. 132, 136; 201, 2; 2b7, 5; 209, 85. ^j*
LlSTB ALPHAB&TIQUE DBS AUTEUEB. 269
141; 142; 147, 1. f Lk» ^1
29, p. 16. ^jzyf ^l
?9. y^yi
175, p. 102. j*J,^l
100. ^^Jl 1,1,
76, p. 89, n. CiJ! ^1
76, p. 89, n.; p. 119, n. 1. CyL
2S, 2. jiUl j£ yfl J- y-f
■■■7-6. *L^J ^ ■«£/*-«*" J® Xtf u^
197,2. o^lj^lii.^^^^-S
182, 2; 183, 1. *})* j>l ,j»* & <j*i
212, p. lei.^^lj^-l^vyta,
207, 9. JL^JJ (J^^JJ
175, p. 106. j£h\ jfl *^-^
202, 1. jul ^lUJl ^ v ^j oUXJ] # J-^ o^JI
164; add. et corr. p." 21 7— 218. ^^JJ
LIST! ALPHABlTIQUE DES COPISTES ET
POSSESSION %
138. ^tl # UI (sic) j^i juJ ^1
18. ^jUUI ^U*w^ jU
26. ,jj«JJ vJiJ ^ j^l
175. jU&l <0)l j**© ^ j^\
179. J*UjJl ^tf j, j*J
21 2. j^j, UL jjjjya fr J ^ f LJl ^jUJ jwf ^ jU
57. Add. ot corr. p. 214— 216. ^^J.) *-LJI j^ ^ ? j^l
204. ^^® j^\
168. Jj^Ull ,yJU JLlJ J*nU
217. ujui o«^ jj, u-yi
148,1. <||l ^ ^Ul ^1
88. J^J^^^I
142. -J^j jJ&Jtjl
„_____„ B5e ^-^ J ^ 4A^
Pour les posseBscurp ourop6su8 voir la. preface.
LlBTE ALPH&BET1QUE DEB OOPISTES. 261
174. p£M ,$jJ,\ f ^\J jiJl Cj\t^
161. pjj\ AiSli y» ^yLL 4Hl J*D u **m* jJ, ^^A*
137. ^^wKAjy^uj
169. J^jjO ,^
76; 151. ^Jf^Jl
185. jUJLJj V LJL jjjj ^jJl ^jjf ,/
213. ^>>lfcJI jQil jlj*Ul ^l^
137. uJa) u »»j*
174; 175; 181: ^Jil Jb ly ^ ^^
c
34. jJ ^ ^ ki lil
40. ^^Ul Uj-^-*
44. ^1 ^f
146. jjj^il ^*-*»
146. jS-y ij^ jj ^^XJl jlj^Jl .... ^ ,jj^J j*£ ji ^^
29, p. 16. (> y*«aa)I ^L© j» • < " (ji ^/f
156. \^Z^\
150,4. Ji.l(,»«j>l»
119, 1. J^UJ JLla^i U^
164, p. 87. ,5>»j^l ^.U^SJJ ^^J^JI 4jyl «.**• ^^L
74. ^aLJJ J*fi ^ glJL
262 LlSfB ALPHABETIQUE DIB 00PI8TBS.
205, 12. ^^ j^iiJl ju^ ^Uj ^ ^UL
158. ^LLa • ji ^^fj /jj jjUJLh
181. uiTUl^^ JU
86; 86. ^ILWI
t
69. 4Ul juoi.
221'. jJy^J
75. J^JI JU^JJ <u) .jptfjjuy* «U)I j*e
184. J^J ^^ ji 4JUJ j,©
185. ^/u"! u ^*' j** j? Oj*^ t/ ^ ^
49. j*i «(jy! jue
21 5. ^1 jOl JL «^? ^ juUl jue
189. J^>JI j^J) J*b
141. icj «*&*•/ • >»®>JI ij*c
48. JsUl ^Ui ^1 uUL ^ ^1 ^ t bJl J?
52. *LJJ ji) j**^ .Ulfl juJ ^ j>U) J*e
151.
LlSTE ALPHAB^TIQDB DEB GOPISTES. ; 268
jdl j<* jt J~l.ji *r* Ji 0^ J| <*-& ^ f- J ^ •*".
r L¥l, a~Ul jLjJL LjCJl k.^i iJ^\ ^
108. ^L ^jj ^j^l jClil ^jJI ^.UL
89. *»J\ jue j* £;**» t -|? t .^UJI t ^e
e U ^Lt Jctfl r UL H OJ) ofU" ^ **»l &M tf '
4-0. d^^«Jf
66. ^ .ICiliL J^l
118. ..»b uB^ o** ^ 4ilJ •U*
90. jbill vr*i
133. J.» I ^j Je
189. ^j^iJl ^il juJ ^ Je
79. ^O ^JJI ,J* j* J»
76; 1 61. Jjl (ou j^Jl) pjl J-« # J°
76, p. 40. .iU yil f 4jyl J**o j? Je
42. ^ jsll ^Iji Jb
H.- :l 5^Vl u «iUl U J^JI ^ jJI >U ^ Jo
48. ^L^Lil j°& J> Je
68. ^1 J^ tf J"
27. (?) ^jj^I) ^UJ v.sj^I ^ j# u -r (J J®
an. J*,*J j ,/Ui jyil ^l j*
134. ^ Jo
118. ^^e
54, " J,Ii| ^il ^iJf (?) U ,L (?) Jo ^ ^ u^ tf j»
186. p«JjJl ^*e
264 Liera A&PHA&iriQUB des copistes.
127. fcJL iifj* .j yl^i, gl^; jU Oj*Jj>
f
166. jyll ^li| j^^^'ju*^!
34; add. et corr. p. 213. j^ ^Ji j^
148. wU* j? j*J jktf .lil
Add. et corr. p. 215. <^U3 ^J -^ j^
63. (?) ^j, ^L j, j^
197, 2. J^Uj^j^^Ul
86. j^s j»* ^slji u kdi ^juJ] Jc jt JJU j^
1 29. 1U ^ a^? ^ ILL ^ ^ j^? jr
167. ^Jl ^^i jj ^J) c t^ j^
107. <j>L>2Jl 4jyj J-e y> j^
169. ^jmLsJI ^LkJj juJ je j*# ^ «uif 'j*b y* Js y* j*s
183. Je j ? UJ) ^1 j^r
1 15. jj J) fk j> j*c y» J*f
225, 3. ^y^kJI ^Jf j^c ^ ^L ^^^j^?
42. u .j5ll ^ijljJl J^ yf JUtf ^ J*«?
LlBTE ALPHA BETIQUE DEB 00PI8TBE. 265
1 13. u iU! ^ u »Ul ji J^ ^ijji
52. ^JUl <^UL ksjkdl j »LJ) ^Juju ^^Jul) ^♦i' -^ ji»s?
65. ^Ij..©)) J,oS? ^ i^Rrn* ^> J.„Sf
76, p. 41. J^aJl .j I _^LJJ ^ jutf
147, 3. (?) JfJJI j.tf
80. ^ijijJJ JL.*
82. *Uf j^tf
81. O^'Jl U^*" kJ«^ Ja»
Add. et corr. p. 215 — 216, jlLJl ^yl ^j u 2»«»«>
57; add. et corr. p. 215 — 216. taJil (•,? jsUJl j*e) jj ^La*
57. «UJ) Jt 6 4^ u »l»*»*
132. j*«r *i^ u iks*
203, 1. ^kll JtL**
u
74. (ou j*») j*-».jj . . . . j? ^
25. j^l j c ^jJI ^ ^uftJI L- ^
86. A**uJI /jJ J** I /jJ /l**^
23, 6. q~** ji vi-^
1 . 4JUJ J^ jj vi-^j £_^'
130. ^jsil J*e ^ tj«,^
22. ^uJl J«*' j* **>*#
A. Jaba, 103.
L'AbbS J. B. Schindler, 8.
TABLE CfffiOMGlOGIOUE DES MMIEGMTS
DATES.
6 9 si&cle de l'h^gire.
a. 562 ■— M 76.
„ 587 — „ 192.
. , 592 — „ 78.
7° si&cle.
a. 625 — % 75.
, 673 — „ 187.
8 s si^cle.
a. 730 — M 65.
„ 738 — „ 79.
, 781 - . 96.
9 e si&cle.
a. 835 — $ 18.
„ 840— „ 151.
, 854 •— „ 189.
, 858 — „ 225, 3.
, 860 — „ 174.
„ 869 — „ 225, 5.
, 881 — „ 26.
, 884 — „ 88.
, 886 — „ 169.
10 e si&cle.
. 887
152,
a. 946 —
„ 959 —
,962-
„964-~
,972-
* 972 —
„977-
,978 —
entre 982-
a. 983
„ 986
„ 988
, 989
„ 996
„ 998
•88
M 119, 2.
„ 139.
« 225, 7.
fg & l «
. 66.
, 132.
„ 176.
, 42.
m 4i.
J£ 67.
„ 97.
»> 38.
. 172.
. 108.
„ 109.
11° sifccle.
1004 —
1007 -
1014 —
1015 -
1016 -
101S -
1023 -
$ 100; 11 5.
„ 68; 140.
,37.
, 25.
, 118.
.48.
. 153.
TABLB OHBONOLOaiQUB DBS MANU8OBIT0 DATES. 26?
a. 10 26 — M 50.
„ 1029 — „ 55.
„ 1088— „ 52.
„ 1039 — „ 85.
, 1047 — „ 130.
, 1049 — „ 160.
„ 1050 - „ 92.
„ 1055 — „ 205, 1.
„ 1060 - „ 143.
* 1061 — „ 39; 180.
., 1061 - „ 22; 29.
„ 10G2 - „ 49.
„ 1065 — „ 83.
„ 1066 - „ 121.
„ 1070 - „ 56; 129.
„ 1076 - „ 184.
„ 1077 — „ 53.
„ 1078 — „ 212.
„ 1079 — „ 205, 12.
„ 1081 — „ 195.
„ 1082 — „ 150, 2.
„ 1084 — „ 40.
„ 1085 — „ 170.
, 1085 - „ 205, 2-4,
6-8,10.
, 1087 - , 1.
,. 1088 — „ 221.
., 1090 — „ 220.
» 1093 — „ 19.
., 1094 — „ 203, 1.
, 1096 — „ 90.
, 1097 - „ 44; 69.
12° sifccle-.
a. 1100?— % 147.
, 1100 — „ 224, 3.
, 1101 — „ 67; 81.
„ 1103 — „ 167.
, 1103 - „ 91.
&
1114
„ 1117
„ 1119
% 1 L /j &
yj 1 1 U&s
„ 1123
„ U24
„ 1124
„ 1125
„ 1127
, 1140
, 1140
, 1146
, 1146
, 1147?
, 1148
1152
1155
1157 •
1157
1160 -
1161 -
1166
1167 -
1 173 -
1175
1179 -
1177 -
1182 •
1183 -
1185 -
1188 -
1 1 83 —
1191 -
1191 -
1194 -
1195 -
1197 -
\ 142.
15.
133.
150, 4
107.
33.
199.
156.
112.
46.
119,
154.
178.
1.
- . li
. 35.
. 81.
, 34.
( , 204.
, 54.
, 105.
, 158.
, 164.
, 197, 1.
197, 2.
59.
186.
27.
126.
197, 4.
138.
12.
161.
94.
149.
150,
86.
51.
1
268 Table cbronolchmque deb manusosits dat£s.
lS'si&clo.
]2M — $ 141.
1205 — , 146,
1209 — * 215.
1216 — , 18 J.
1217 — s , 148,
1230 — 8 114.
1841 — „ 116.
1242 — , 188,
1244 — „ 43.
1245 _ r 4B ; v .
a. 1 248 -
„ 1248 --
„ 1250 -
„ 1259 -
„ 1259 -
„ 126? --
$ 14.
„ 108.
» 36.
„ 60, v. i.
„ 60, v. 2.
a. 1779 <le J. Ch.
» 1832 „ „ y,
J) 1 O^fc B « t* M
Ah 217.
- e.
„ 70.
Pl.LMscr.Nmj%%
a
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S^pUl JLJai-l oU&l ^^ aLJl
**.;
-
Jj*l *>l
J' .«• ».
COLLECTIONS SCIHIS
DE
LINSTITUT MS LANGUES ORMTALES
DU
m\mm m affaires ktramres.
PDBUEES PAB OBDRE BT ADX PRAIA DO DBPABTEMEHT ASIATWE.
■ s '»
' I.'?
-WW"
AMSTERDAM/CELIBUS N.V
1971
LES MMUSC1IIS AMBES
BE
MM IB IAR6UBS OUHTilA
DECEITS
pak LB MM mSOR R08BCW.
ProfeSfMsay-ftdJolnt d'erate & l'UnWorelfeS do Sfc-P<Sfcoreb©nTg.
AYBG TROIS PLANCHES.
AMSTERDAM/CELIBUS N.V
197 1
Vol. I
ISBN 90 6118 010 4 (Vols. 1-8)
ISBN 90 61 18 01 12
SABOTT«p^iE» 8I | 0tJIIG
Imprimerle da J'Acadfimie Imp^iale d M gciencee.
<Y«M.-Oitr., 9-e «,„, * i 2<)
I
♦ t
0IDI&
-A. LiA 8® SESSX02ST
DO
BfllRlS INTEIiMTIOHL !>ES ORIBNTALISTES.
VI
195, 214, 216, 226 appartenoit i k collection du comte s— 1i-
, ""I. ..?"'." <""' i5m I ,,l,si ™ re l>ib!i»*. (i ue S dc St-Pfer,!,,,,;;
Los m do ,1 63 furem. acquis de ], venie Raewnski, 22j V?
Baudot I,e s JfcJB 136 e, 165 mm a 5£ (i „„ s d , M . Pwi ;' ^
deM .T«, 86 ei 107 dc Tta,*, 3 OS d. K. J. ta , oo e „
2z!) dc k. bMMtawf; 1, reste , n «,c„ent dn i ], ] ib i,,. v „,
p.ns,o,,rs :,.c, SK profasem-s et di,v eE ,i t nostitat, sans , n -ji '^
to. to ,«s cas pcssible dc dtorniiBffl e>.„teme„t !a ^^
des different imuiercs.
En me chargoant de la description da ces manuscrits, fa „' ai
pas cu un seul instant l'ide» de faire ce qu>„„ est mmmu ^ hl .
«n .catalogue rusonnd* dans touto la force da terme, „d» ddcrire
mmut,eusement choque manumit, d'en indiquer toutes les lacun ,
da to toutes les observations de critique at d'histoire litterafro'
que 1. science euge aujourd'hui de pareils travaux" '). J'ai cru que
pour le moment il importaft ay.„t tout au monde savant desovoir
dune mamere exact, quels sent les ouvrages ou fragments d'ou-
v ages enfou 1S dans les differentes bibliotheques, et en Lnd lieu _
to letat pen satefa.sant de notre conusance de l'histoire litM-
ra,re ar.be - d'acqudrir quelques details sur les ouvr«ges inconnus
ou trop pen connus. Pour les discussions d'histoire littdraire aus-
quelles ponrra.ent donner lieu les manuscrits, pour 1, collation de
I 1 ™""" Ies tata vm> etc. etc., 1. monde savant a. de-
odor, volonfers, je pens., 4 attendr, les monographic* 8 p«al. s ,
q» n manqneront pas de devenir de plus- en plus nombreuses do
r 1 «™ r ' d6 86 fa, ' re ""' m Mm P lto *» «"ris (trto
sr it ." 8 ' 9 ' qni m * mt * — * ^-™
^to'™.^ "" d9 *""'"* «^mont les nranu-
dWfctt ' '? SUln danB '» Ascription la m<S th,>de snivante:
dunouvragodiij, publm, ou dtoit maintes foi 8; ou bien enfin entiere-
■ i) M. audi dM8 ,„ mMm |ll ,. nno d(1 !tud .. nimt ^ ^ ^^ ^ ^
VII
raent sans valeur intrinseque; d'nn autre c6t6 — tachcr de donner
une idee, aussi exacte que le permettaient le temps et 1'espace accor-
(16s, des ouvrages enticement inconnus on trop peu connus jusqu'ici,
pourvu qu'ils mentent tant soit peu qu'on les connnisse.
Pour les manuscrits de la premiere categorie jo mo snis done
borne a donner les renseignements strictemont necossaires et la oil
cola me paraissait nccessaire j'ai ronvoye le lecteur a Hadji-Khalfa et
a cenx des catalogues existants, qui donnent les informations les plus
detail!^ sur un onvrnge donne »). Ces renvois du roste ainsi que
tous les autres ne visent aucunemont a donner la bibliographie com-
plete du sujot.
Pour les manuscrits de la seconde categoric je suis entre" dans
plus de details, comrae de raison, et je n'ai pas juge inutile parfois
de donner quelques extraits.
La date de la copie et le nom du copiste ont toujours 0te" notes,
mais j'ai cru inutile de reproduire dans tous les cas les notes s'y
rapportant, qnand elles ne contenaient que les formules ordinaires.
La mesuro est donnee en centimetres.
Les caracteres sont toujours naskhi, sauf les exceptions expres-
sement signalees.
Vu le nombre restreint des manuscrits, je les ai classes en quel-
ques groupes principaux. A la fin de chaque groupe on trouve les
recueils contenant plusieurs trails sur les sujets en question. Le der-
nier groupe contient les recueils de traites heterogenes ainsi que
quelques manuscrits, qui ne trouvaient pas leur place dans les
groupes precedents. Quelques inconsequences dans la classification a )
ainsi que dans la transcription sont recommandees a Indulgence du
1) L'excellent catalogue nouvellemcnt paru de la collection du India Office
duaux sons de M. O. Loth, m'est raalheureuscment parvenu trop lard pour 6tre
mis a contribution, ce que je regrette vivement.
2) ; Les manuscrits bftbys fnrent offcrts h 1'InsUtut par M. Bczobrazof ion*-
temps opre. ] .mprcHsion des premiers feiillleto, . oft ils auraicnt dft trouver lour
place apres 1c manu3crit druze; . . . . . : ■*«■ . itur
leeteur. Lee tabler. des titron ot des" noins d'autours ? ou est conserved
Pecriturc arabe. tachont de ramedicr & cet inconvenient.
Los fautes typographiques et autres que j'ai romarquiec sent
cornice duns lee „Addif,Jonf ot Corrections", oil a aissi troove piacr
ia description dun volume de Makkari qui s'est reiroLvri n-ec
rirapression de la partie hiEtorique do catalogue, ainsi que quelquw,
notices additionolles qui paraissaient etre plus ou moins ^eceosairai,.
Lot manuscrits arabss, fc,msi que tous les.antres. fsont ciecH^, ;>
queiques exceptions pros, dans ie vol. V du catalogue - iiiventaire
du aux soins assidus de feu le Baron Desmaisons. Compost dans un
but tout special ot sans-aucuno pretention scientifique, cet iiiventaire
no pouvait m'aider dans la partie pureraent scientifique de mon tra-
vail; mais pour la partie pour ainsi dire m£canique son existence
seule m'a 6te d'une grande utility que je me plais a roconnaitre ici
avec gratitude, et quo tout ceux qui so sont occup6s de pareils tra-
vaux sauront pleinement apprecier. Je n'en ai pu adopter ni la clas-
sification, qui ne s'accordait pas toujours avec mes idees, ni la descrip-
tion de I'exteriour des manuscrits, beaucoup trop minutieusc dans les
details insignifiants pour un catalogue comme jo le voulais faire, et
trop peu precise en quelques points qui me paraissaient avoir quelque
importance (au lieu de la mesure exacte on trouve par ex. seulement
les indications du format, 8°, 4° etc.). Tout cela ne diminuc natu-
rellement en rien .l'importance du travail du Baron pour la biblio-
theque meme de l'institut.
Quand la partie la plus difficile de ma tache fut presqu'accomplic
j'ai appris que M. Dorn avait compose dopuis longtemps un catalogue
de tous les manuscrits, lequel malheureusement est reste* incdit, s\
l'exception des parties mentionnees dans la preface de M. Gamazof.
II est presqu'inutile de diro combien j'ai vivement regrettede n'avoir
pu consulter ce travail.
II suit de ce qui precede, que la responsabilite de toutes les opi-
nions — vraies on fausses — 6mises sur les manuscrits dans le pre-
sent catalogue retombe entiferemont sur moi.
II ne me reste qu J a exprimer ma profbnde reconnaissance a M.
IX
re
Charles Sehefor, tjiii avec utio extreme obligcanee a bien voulu fair
des investigations dans les a/chives du minist^re des affaires 6tran
gores fran^ais au snjet du seetateur baby, dont il est question sous
le M 229, a M. M. David Hoinrioli M filler et Adolf Nenbaner qui
out bien voulu me fournir des rcnsoignoments fort precieux et sur-
tout a M. M. A. Oainassof hu-mGme, qui m'a singuli&rement~aide
dans ma tacho, en m'aocordant lout.es les facility possible pour ctu-
dier a mon aise les tresors litteraires confies a ses soins eclaires.
Plusieurs des manuscrits doorits dans co catalogue out d4jj\ etc
coiisult6s par nos savants orientaJisf.es. 11 est facile do s'en con-
vaincre en parcourant les ouvrages de MM. Fraohn, Ohannoy, Dorn
et d'autres; mais il s'en faut do beaucoup que cette mine si riohe
ait 6t6 complement exploits. Pnisse ce modeste travail coiitribuer
a attirer 1 'attention du monde arabizant en general sur cette romar-
quable collection, qui la mento a plus d'un egard.
V. Rosen.