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LES DOCUMENTS
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Les Juifs
Peuple de Proie
Henri Faugeras
Les Juifs
Peuple de Proie
LES DOCUMENTS CONTEMPORAINS
55, Avenue des Champs-Elysees
a PARIS
1943
Ceux qui trouvent sans chercher, sont ceux qui ont longtemps cherche sans trouver.
Un serviteur inutile, parmi les autres.
Scan, ORC, mise en page
Decembre 2009
LENCULUS
Pour la Librairie Excommuniee Numerique des CUrieux de Lire les USuels
Le peuple juif est I'ennemi hereditaire de tous les peuples.
LE JUIF EST AU CENTRE
DE TOUS LES PROBLEMES DE L'HEURE
Derriere toutes les forces occultes ou manifestes qui ont precipite la France dans le
desastre actuel et s'opposent aujourd'hui a son redressement, ou meme, par le moyen des
armees russe et anglo-saxonne, menent la guerre contre l'Europe nouvelle, se tiennent les
Juifs : juives l'exploitation et la deviation frauduleuses de l'ideologie democratique, juive
la Franc-Maconnerie, juif le communisme marxiste, juif le capitalisme de speculation,
juifs — ou enjuives et aux gages des Juifs — les hommes politiques qui gouvernent a
Moscou, a Washington, a Londres.
Les Juifs sont au centre de tous les problemes interessant l'Europe et notre Revolution
Nationale. Le passe contient et conditionne le present, comme le present contient lui-
meme et conditionne l'avenir. II est done d'un interet capital et tout actuel d'etudier dans
l'Histoire universelle et plus particulierement dans notre propre histoire les progres dune
activite juive dont nous constatons l'epanouissement dans toutes ces forces malfaisantes
qui convergent et menacent aujourd'hui de dominer le Monde.
Incapables d'aucun travail productif, se croyant predestines par Dieu a l'Empire
temporel du Monde, les juifs veulent, conformement a l'instinct uniquement destructeur
de leur race, asseoir cet Empire sur la destruction prealable de tout ordre etabli, et cette
destruction constitue le but exclusif de leurs efforts. Nous voyons ainsi, a travers l'Histoire,
les Juifs vivre en parasites des autres peuples, inspirer tous les dogmes de decadence,
animer toutes les forces de subversion. De cette action destructive, les guerres et les
revolutions, « Ces moissons des Juifs », comme l'ecrit le ministre anglais juif Disraeli,
sont les moyens essentiels : avant meme la Diaspora, le peuple juif autonome en Asie
massacrait des peuples entiers plus faibles pour s'en approprier les biens, et ses colonies,
par des emeutes repetees, ruinaient le bassin oriental de la Mediterranee ; dans la suite,
essaimant par le monde et plus specialement par le monde aryen, les Juifs ont prolifere
a la maniere d'un cancer devorant : tout a la fois s'efforcant a leur ceuvre destructrice,
poursuivant d'une haine atavique et sacree les sectateurs d'un Christ qu'ils avaient crucifie,
epuisant a leur profit la substance des peuples.
Pendant douze siecles, les peuples Chretiens furent defendus contre les Juifs par leurs
papes et rois autocrates. Mais, grace a un lent travail de desagregation morale et politique,
ils reussirent a faire triompher a partir de 1789 une ideologic democratique que depuis
un siecle, et plus specialement depuis vingt-cinq ans, ils exploitent a fond dune part sous
la formule du capitalisme de speculation, d'autre part sous la formule du communisme
marxiste qui est l'expression militante de leur volonte d'une domination universelle,
supreme enjeu de la guerre declenchee par eux en 1939.
Trois mille ans d'histoire demontrent la rigoureuse continuite de leur action dans ses
principes, son but, ses moyens, mettent en evidence sa realite, son mecanisme et son
effroyable malfaisance. Puisse la breve synthese de cette histoire permettre a tous les
Francais d'en connaitre et retenir les severes lecons !
LES JUIFSCHEZEUX
ET DANS LE MONDE ANTIQUE
LA RACE
Les Juifs sont issus d'un triple metissage : d'abord un croisement originel semite-
mongol en Asie centrale (dans les chaines de l'Alta'i'), puis un deuxieme croisement, negre
celui-la, du peuple metis ainsi cree. Dans la suite des temps, de nouveaux metissages ont
particularise certaines varietes de la race juive primitive, sans en modifier d'ailleurs le
caractere profond des lors fixe (Juif askenasique de l'Europe centrale, Juif sephardique de
l'Afrique du Nord et de l'Espagne, Juif Gerim et Khasar de Russie, Juif Falasha dAbyssinie,
Juif negroi'de du
« Senegal, Juif de l'lnde, Juif babylonien, Juif chinois). Ainsi, blancs, jaunes, noirs
confondent dans la variete raciale juive leurs caracteristiques souvent opposees, mais
sans les fusionner, d'ou un desequilibre initial realisant la sommation des defauts et des
tares des races composantes : « Les families israelites nous presentent en matiere de folie
les plus beaux sujets que Ton puisse imaginer », ecrit le Professeur Charcot.
L'anthropologie nous montre un unique deuxieme cas de triple metissage : les Zambai'gos
dAmerique du Sud croises blancs d'Europe, rouges dAmerique, noirs dAfrique ; ce sont
des etres pervers et feroces, totalement desequilibres dont il est dit : « Dieu a cree l'lndien
et le Negre, mais c'est le Diable qui a produit le Zambo. »
Le caractere racial le plus apparent chez le Juif est le caractere negroi'de : developpement
precoce, cheveux frequemment crepus, nez epais, levres charnues. A ce caractere
s'ajoutent le teint olivatre et les pommettes saillantes du Mongol, les pieds plats et les
mollets maigres du Semite. Le Juif subit par ailleurs les atteintes des maladies speciales
aux especes degenerees, en particulier nevrose et desequilibre mental.
L'Homme blanc est equilibre, constructeur ; « Le Negre est un enfant meme dans
son age mur, le Mongol un vieux meme dans sa jeunesse ». Le Juif, desaxe physique,
mental et moral, du fait de son triple metissage, sera essentiellement un destructeur. Son
comportement procede de ses origines raciales, mais en les denaturant. La hablerie du
negre devient chez le Juif imposture et astuce, son desir naif de jouissance devient egoisme
feroce, son immoralite spontanee devient amoralite insolente, sa paresse devient volonte
absolue de refuser tout travail reel : arrogant et servile, rapace et prodigue, orgueilleux,
feroce, lache, passionne jusqu'a la fureur, toujours instable et pervers, mais ayant herite
du sang mongol une inlassable patience, une indomptable tenacite, un sens psychologique
aigu, une absence totale d'idealisme. Si la perversion et la ferocite de son egoi'sme font du
Juif un destructeur, ces memes vices lui imposent le conservatisme absolu de tout ce qui
lui apparait comme un bien propre, et d'abord de sa race et de sa tradition, religion, race,
nation constituant un tout indivisible.
Avec cela, peuple sans art, sans technique, sans culture, « le peuple le plus grossier et le
plus imbecile de la terre », dit Voltaire. La langue juive originelle, l'Hebreu, est un melange
barbare de langues asiatiques, si rudimentaire qu'elle ne presente que deux temps dans
la conjugaison des verbes, qu'elle ne comporte meme aucun mot signifiant ecole. Le seul
monument historique du peuple juif, le Temple de Jerusalem, dut etre construit par des
ouvriers etrangers que fit venir Salomon. « La race juive, ecrit Renan, se reconnait presque
uniquement a des caracteres negatifs ; elle n'a ni mythologie, ni epopee, ni science, ni
philosophic, ni fiction, ni arts plastiques, ni vie civile ; en tout, absence de complexity, de
nuances, sentiment exclusif de l'unite. » « Vous ne trouvez dans les Juifs, dit de son cote
Voltaire, qu'un peuple ignorant, paresseux et barbare qui joint depuis longtemps la plus
indigne avarice a la plus detestable superstition et a la plus horrible haine pour tous les
peuples qui les tolerent et qui les enrichissent. » « lis sont, ajoute-t-il, les ennemis naturels
du genre humain. Ce n'est pas l'effet d'un mot d'ordre mysterieux qu'en tous temps et en
tous lieux ils ont ete en horreur a tous les peuples qui les ont admis. »
Livre a lui-meme, le peuple juif, uni dans ses communautes raciales, ne depassa jamais
le stade du ghetto, ghetto des pays latins et slaves et mellah de l'Afrique du Nord ou, «
depenailles, teigneux, amorphes, rachitiques, les Juifs trainent par les rues de leurs taudis
leur indolence nostalgique et leur incurable horreur du travail manuel », mais, toujours
prets a foncer sur une proie, a exercer ces instincts de vautour denonces par le General
Marbot pendant la campagne de Napoleon I er en Russie : « A peine etions-nous hors de
Wilno, ecrit-il dans ses memoires, que les infames Juifs se ruerent sur les Francais (blesses
et malades demeures dans la ville) pour leur soutirer le peu d'argent qu'ils avaient ; ils
les depouillerent de leurs vetements et les jeterent par un froid de 3o° tout nus par les
fenetres ».
Moi'se, le legislateur hebreu, a formule au peuple juif dans le Deuteronome le but racial
de son action : « Tu possederas grandes et bonnes villes que tu n'auras pas baties, maisons
pleines de toutes sortes de biens que tu n'auras pas remplies, citernes que tu n'auras
pas creusees, vignes et oliviers que tu n'auras pas plantes ». Et le juif Maurice Samuel
constatait en 1924, trois mille cinq cents ans plus tard, les circonstances et moyens de
cette action : « Entre les Gentils et nous il y a un abime. Les Juifs ferment le plus raciste
de tous les peuples. Nous Juifs, destructeurs, resteront eternellement des destructeurs.
Rien de ce que vous ferez ne satisfera a nos besoins et a nos demandes. Nous detruirons
toujours parce que nous voulons un monde a nous seuls. »
LA NATION
Des l'origine de son histoire, le peuple juif s'affirma tel que Voltaire le depeint : « Les
Hebreux ont presque toujours ete errants ou brigands, esclaves ou seditieux. » Eternel
nomade, il ne se fixa jamais : « Le Juif n'est d'aucun pays que de celui ou il gagne de
l'argent », dit encore Voltaire.
Le peuple juif, originaire de l'Asie Centrale d'ou il fut chasse par quelque roi mongol,
fut d'abord une communaute autonome errant en Arabie au long des routes, attaquant
a l'improviste de petits peuples agricoles qu'il massacrait pour pouvoir s'en approprier
les biens. Apres consommation des biens voles, il reprenait sa vie nomade, en quete
de nouvelles razzias. La oil il ne pouvait vaincre par la force, il agissait par infiltration.
Ainsi, Abraham, avec un petit groupe d'Hebreux, entra en Egypte. II fut bien accueilli
du Pharaon auquel il vendit sa femme Sarah (qu'il fit passer pour sa soeur) ; d'autres Juifs
vinrent et s'installerent a sa suite. Mais les Egyptiens, apres avoir eprouve leur malfaisance,
les chasserent. lis partirent done, mais non sans avoir massacre quantite de leurs hotes
qu'ils depouillerent de leurs vetements et de leurs vases d'or et d'argent. Et ce fut, sous
la conduite de Moi'se, l'exode vers « la terre promise », l'etablissement en Palestine apres
avoir, en passant, et pour remplir leurs besaces deja traditionnelles, effectue la prise et le
sac de la ville de Jericho : la, nous dit la Bible, les Juifs tuerent tous etres vivants, hommes,
femmes, enfants, animaux, et meme, pour prolonger le carnage, Josue arreta le soleil dans
sa course. En Palestine, ils guerroyerent frequemment et furent frequemment asservis.
Mais ils reussirent aussi frequemment par la ruse a dominer leurs vainqueurs. Ainsi,
Mardochee sut, en soudoyant le gardien des concubines royales, faire admettre sa niece
Esther (dont l'origine juive fut d'ailleurs camouflee) dans le lit d'Assuerus, roi des Perses.
Devenue favorite, puis reine, Esther, guidee par Mardochee, favorisa l'emprise juive,
provoquant une reaction des Perses nationalistes. Et Mardochee, grace a ses intrigues
aupres du roi abuse, fit massacrer quelques dizaines de milliers de Perses coupables d'avoir
voulu s'opposer aux exactions des Juifs. L'anniversaire de ce jour sanglant est le Pourim,
celebre depuis lors comme une grande fete nationale et religieuse de rejouissance.
Des juges, puis des rois regnerent successivement sur la Palestine qui, finalement
conquise par Rome, devint, sous le nom de Judee, province romaine. Les Juifs se revolterent
a plusieurs reprises et par ailleurs, leurs discordes civiles etaient incessantes. Pour les
mater definitivement, l'Empereur romain Titus detruisit, en l'an 70 apres Jesus-Christ,
leur capitale Jerusalem et leur Temple reconstruit par Herode a l'emplacement meme du
Temple de Salomon. Ce fut alors la Diaspora : les Juifs se disperserent a travers le monde,
mais tout en continuant de former une nation unique, et conservant au profond de leurs
cceurs leurs traditions religieuses representees par leur Histoire (la Thora, qui constitue
les cinq premiers livres de la Bible) et les lois de leurs pretres (le Talmud).
LES COLONIES JUIVES DU PROCHE-ORIENT
Avant meme cette dispersion universelle, de nombreuses colonies juives de trafiquants
s'etaient etablies dans tout le Proche-Orient. Les colonies dAntioche et dAlexandrie
ne cesserent pendant plusieurs siecles de fomenter la rebellion et par une action
revolutionnaire continue desagregerent les deux grands Empires des Seleucides et des
Ptolemees. La domination romaine n'apaisa point la malfaisance des Juifs. Sous le regne
de l'Empereur Trajan, une suite demeutes organisees par eux ravagea tout le bassin de la
Mediterranee orientale : l'Egypte, la Crete, Chypre, la Cyrenai'que. En Cyrenai'que — dont
les habitants furent affames par les Juifs speculant alors sur le sylphium, sorte de chou tres
apprecie a l'epoque, comme Louis-Louis Dreyfus devait plus tard dans la France de 1936
speculer sur les bles — les Juifs massacrerent 200.000 Grecs ou Romains et devasterent
totalement le pays qui, depuis cette epoque, demeura desertique, abandonne aux Bedouins
nomades. Chypre et la Crete, ces berceaux des antiques civilisations mediterraneennes,
ne se releverent jamais de leurs ruines.
Des leurs premiers contacts avec les autres peuples, les Juifs manifesterent ainsi dans
le monde greco-romain leur puissance destructrice : l'avenir des lors devant confirmer et
repeter le passe.
LA RELIGION ET LA MORALE
Ce sont les traditions religieuses de la Thora et du Talmud qui, maintenues a travers les
siecles, constituent l'unite profonde et la force du peuple juif. La Bible declare que Dieu a
fait au peuple juif promesse de son alliance, promesse d'abord formulee a Abraham, puis
confirmee a Isaac et a Jacob. Les Juifs se sont done proclames peuple elu, peuple de Dieu,
comme Dieu, qu'ils s'annexaient, devenait le Dieu des Juifs. Dieu etant saint, le peuple
juif est devenu le peuple saint, la Terre juive la Terre Sainte et l'Histoire juive l'Histoire
Sainte.
Voici quelques-unes des maximes de leur code moral (le Talmud) :
« Les Juifs auront l'Empire temporel sur le monde entier. »
« II est permis de mentir a un non-Juif. »
« Les biens des non-Juifs sont des choses sans maitre : elles appartiennent au
premier Juif qui passe. »
« Celui qui fait couler le sang des non-Juifs offre un sacrifice a Dieu. »
Les non-Juifs n'ont ete crees que pour servir les Juifs jour et nuit sans qu'ils puissent
quitter leur service. »
« Le Juif est autorise a se moquer du Dieu non-Juif. »
« La femme du non-Juif est faite pour les plaisirs du Juif. »
« Si un Juif voit un chretien sur le bord d'un precipice, il est tenu de l'y precipiter
aussitot. » (Cette derniere maxime edictee par un Juif du XVP siecle, Sixte de
Sienne, dans ses commentaires du Talmud.)
Lignominie dune telle morale est unique dans les Annales des Peuples.
La loi juive n'impose pas seulement le maintien des traditions, elle impose aussi le
maintien de la purete de la race, de cette race elue de Dieu. Tous mariages mixtes sont
severement interdits. La Bible nous montre Nehemie apostrophant les Juifs qui avaient
ose ramener de Babylone en Palestine des epouses etrangeres ; il maudit les coupables,
leur arrache les cheveux et, bien entendu, chasse les intruses.
Par ailleurs, le culte antique du Moloch phenicien survecut toujours dans Israel. Le
Pentateuque denonce cet instinct racial sanguinaire des Hebreux qu'il met en garde contre
l'habitude atavique de boire du sang chaud devant les autels divins. Les innombrables
assassinats rituels, en particulier d'enfants, commis tout au long du Moyen Age et jusque
de nos jours, manifestent la permanence de ces sombres traditions.
LES JUIFS CHEZ LES ARYENS
« Lesjuifs auront I'Empire temporel sur le monde entier.
(Talmud.)
AVANT 1789
Aussitot apres la destruction de Jerusalem par Titus, quarante ans apres avoir crucifie
le Christ, les Juifs se disperserent a travers le monde. Mais avant meme cette dispersion
ils etaient deja nombreux a Rome et dans tout le bassin de la Mediterranee.
Les premieres persecutions contre les Chretiens furent instaurees par Neron a
l'instigation de son conseiller le juif Attilius et de sa favorite la juive Poppee. Mahomet
fut assassine par la juive Zeinad. Les Juifs purent ainsi se glorifier d'offrir a leur Dieu le
sang des premiers martyrs du Christ et du premier prophete d'Allah et ce furent la les
sanglantes premisses de leur activite dans l'histoire universelle.
Des l'annee 625, Mahomet les stigmatisait en ces termes : « Je ne m'explique pas qu'on
n'ait pas depuis longtemps chasse ces betes malfaisantes qui respirent la mort ! est-ce
qu'on ne tuerait pas immediatement des betes qui devoreraient les hommes, meme si
elles avaient forme humaine ? Que sont les Juifs sinon des devorateurs d'hommes ! »
Les Juifs ne voulaient etre ni artisans, ni laboureurs, ni soldats ; ce fut done par les seuls
moyens talmudiques de la fraude, de la concussion, du vol, par l'exploitation impitoyable
des aryens, qu'ils s'efforcerent d'epuiser a leur profit la substance des peuples. « Les Juifs
(de Pologne), ecrivait le Prince de Ligne, font les aristocrates quand les gentilshommes
leur afferment leurs terres. Ils y exercent des tyrannies affreuses, ne parlant aux paysans
que le fouet a la main. » Et le corps des marchands de Paris s'exprimait ainsi en 1760 dans
une requete au roi : « On peut les comparer a des guepes qui ne s'introduisent dans les
ruches que pour tuer les abeilles, leur ouvrir le ventre et en tirer le miel qui est dans leurs
entrailles. »
Les premieres reactions des peuples exploites furent rudes.
En 1221, le pape Honorius III oblige les Juifs a porter un insigne distinctif et leur
interdit l'acces des fonctions publiques. Par la suite, de nombreux papes prirent contre
eux diverses mesures, en particulier leur defendirent l'emploi de domestiques Chretiens,
l'exercice de certaines professions, la cohabitation avec des Chretiens, la possession
d'immeubles. Au XVP siecle, le Pape Paul IV, desirant les separer definitivement des
Aryens, les obligea a se confiner dans leurs ghettos, quartiers speciaux des villes ou les
maintenaient deja groupes et separes leur dedain des etrangers et leurs affinites raciales.
Dans toute l'Europe, les rois durent prendre des mesures de defense analogues ou meme
les expulser. En France, Saint Louis leur imposa en 1229 le port de la rouelle sur les habits.
Philippe le Hardi, en 1271, Philippe V le Long en 1316, Jean II le Bon en 1362, Charles V
le Sage en 1372 confirment cette mesure et limitent leurs activites ; de meme, sous des
formes diverses, doivent agir pour proteger leur peuple Louis XIII, Louis XIV, Louis XV,
Louis XVI. Des decisions d'expulsion generale furent decretees par Dagobert en 630,
Philippe-Auguste en 1181, Philippe le Bel en 1306, Charles le Bel en 1323, Charles VI en
1396.
Les Juifs avaient commence de penetrer en France avec les legions de Jules Cesar
qu'ils accompagnaient pour trafiquer. Nombre d'entre eux s'installerent dans les postes
administratifs du pays, principalement comme collecteurs d'impots de guerre. Ces premiers
Juifs furent naturellement suivis de beaucoup d'autres qui envahirent particulierement le
Languedoc, cette « Judee de la France », dit Michelet. Mais, constamment traitres au
pays qui les accueille, ils aident en 628 les Sarrazins a conquerir Beziers, Narbonne et
Toulouse. En 711, ils appellent les Musulmans en Espagne. En 848, ils aident les Normands
a s'installer -a Bordeaux, En 887, le roi Charles le Chauve est assassine par son medecin le
juif Sedecias. En 1190, les Juifs declenchent la revolte des Albigeois, longuement preparee
dans les ecoles rabbiniques ; cette revolte fut une veritable tentative de secession d'un Midi
noyaute par les Juifs et dut etre durement reprimee par un Nord demeure aryen, createur
et mainteneur de l'unite francaise. Pour resister aux injonctions royales ou pontificales,
ils jouerent pendant tout le Moyen Age de la conversion au christianisme. Ils se faisaient
baptiser et l'Eglise, abusee, croyait faire ceuvre pie en essayant de ramener a son Dieu
ces ames demeurees diaboliques. Saint Louis accepta la conversion de 800.000 d'entre
eux. C'est ainsi que de nombreux Juifs infecterent la Chretiente et polluerent notre race,
semitisant certaines de nos populations meridionales oil se recruterent constamment
depuis lors les pires elements de destruction revolutionnaires. La Revolution de 1789
faillit meme consacrer la dictature Semite du Midi sur le Nord aryen, lorsque les Federes
Marseillais eurent reussi a imposer a Paris le regime sanglant de la Terreur.
Malgre toutes mesures de defense, l'infection juive n'en penetrait pas moins dans le
monde chretien et cette penetration progressive fut pour partie le fait involontaire et meme
inconscient de l'Eglise qui ne sut pas se degager du primitif decor judai'que enveloppant
ses origines. Le christianisme avait paru adopter a travers l'Evangile la loi de Moi'se !
tragique imposture juive ! la loi de Moi'se ne s'applique qu'aux Juifs et d'aucune maniere
aux non-Juifs qui ne sont que « semence de betail ». Le Christ en etendant une meme
loi morale a tous les hommes indistinctement, en prechant l'amour et l'humilite entre
les hommes, s'opposait absolument au judai'sme. Ne en Galilee aux confins de la Judee,
le Christ, sujet juif, n'etait vraisemblablement pas de race juive ; les Juifs Font d'ailleurs
desavoue et crucifie, leur Talmud le denomme tantot « le pendu » (Sanhedrin 43 a), tantot
« le fils de la prostituee Stada » (Schabbath 104 b). On a pourtant cru plus ou moins, par
une effroyable meprise, que la doctrine de Jesus prolongeait le dogme juif alors qu'elle
lui est totalement contradictoire, et la Bible, histoire nationale du peuple juif, histoire
sainte des Juifs — ou il n'est meme pas parle d'une vie future qui est le fondement du
Christianisme — est devenue l'histoire sainte des Chretiens. Et, dans le cadre de ce decor
biblique, toutes ceuvres d'art religieuses creees par le genie aryen et chretien, cathedrales,
statues, tableaux, glorifient des heros juifs. Le protestantisme, en revenant a la Bible
juda'ique degagee des exegeses catholiques, s'est encore rapproche du Judai'sme. Ainsi
done, peu a peu, la religion juive qui outrage pourtant toutes les autres religions et dont la
morale autorise et meme recommande vis-a-vis des non-Juifs tous les crimes, est apparue
comme une religion fraternelle dont les pretres peuvent dans les ceremonies omcielles
des nations modernes marcher la main dans la main avec les pretres du Christ ! e'est la
le sens du drame millenaire de la lutte menee contre la Chretiente par Israel, le Chretien
appliquant au Juif la loi du Christ, le Juif appliquant au Chretien la loi du Talmud.
LA JUDEO-DEMOCRATIE
LA REVOLUTION DE 1789
Pour obtenir leur emancipation de la rude tutelle que les papes et les rois leur avaient
sagement imposee, les Juifs ne cessaient d'invoquer aupres des Chretiens l'egalite
spirituelle et morale des hommes, la loi d'amour, prechees par l'Evangile dont ils avaient
pourtant naguere crucifie le divin Messager. Et de nombreux pretres francais, abuses,
ecrivirent en leur faveur : le Pere d'Houbigaud en 1753, l'abbe Deschamps en 1760, l'abbe
Belot en 1769, l'abbe Rondet en 1778 essaient par des opuscules et dissertations diverses
de creer un mouvement d'opinion qui leur soit favorable : c'est meme un pretre de race
juive, l'abbe Gregoire, qui se fit leur defenseur attitre a l'Assemblee Constituante de 1789 :
« Ministre d'une religion qui regarde tous les hommes comme des freres, plaida-t-il,
j'invoque l'intervention de l'Assemblee en faveur d'un peuple proscrit et malheureux ». Par
ailleurs, les Anglo-Saxons, protestants tout penetres de l'influence biblique, se trouvaient
plus particulierement en etat de moindre resistance et furent dociles aux intrigues juives.
C'est ainsi que, sous le couvert de l'ideologie chretienne d'egalite des races elle-meme
animatrice indirecte d'une ideologic puritaine de justice sociale d'ordre divin, sous le
couvert de l'ideologie philosophique du XVIIP siecle, les Juifs s'infiltrerent d'abord dans la
societe et la franc-maconnerie anglaises, puis dans la societe et la maconnerie francaises,
tournant a leur profit l'influence croissante des Encyclopedistes et des salons maconniques.
Les 629 loges maconniques existant en France a l'epoque de la Revolution etaient soumises
a leur action. Des l'origine : « La Franc-Maconnerie, comme le dit le rabbin Isaac Wise,
est une institution juive dont l'histoire, les degres, les charges, les mots d'ordre et les
explications sont juives du commencement a la fin. » Le convent maconnique de 1782
reclame pour les Juifs les droits civiques, cependant qu'en 1789 Benjamin Franklin, mal
convaincu, declarait, lors de la discussion de la Constitution des Etats-Unis : « Dans tous
les pays oil les Juifs se sont etablis en grand nombre, ils ont abaisse le niveau moral, avili
l'integrite. Si vous ne les excluez pas, dans deux cents ans, vos descendants travailleront
dans les champs pour leur fournir la subsistance, pendant que les Juifs se frotteront les
mains dans des maisons de change... Si vous n'excluez pas ces gens-la par la Constitution ici
presente, ils auront, d'ici deux cents ans, essaime en si grand nombre qu'ils domineront et
devoreront le pays, modifieront meme la forme de notre gouvernement, pour lequel nous
autres Americains avons verse notre sang. » En 1790, l'Assemblee Constituante francaise
refusa une premiere fois d'accepter le projet d'emancipation qui lui fut soumis parce que,
dit l'abbe Maury, « le mot juif ne designe pas une secte, mais une nation qui n'aura jamais ni
laboureurs ni soldats, dont l'usure est l'industrie essentielle ». Mais les Juifs, en particulier
Cerfbeer — qui avait acquis une immense fortune aux depens de l'Etat — et Beer Isaac
repandirent Tor a pleines mains : cinquante Juifs 'camoufles en gardes nationaux, avec
armes et cocardes tricolores, parcoururent les soixante-dix sections de la Commune
de Paris qui, abusee, exigea de LAssemblee Nationale Emancipation des Juifs. Le 27
septembre 1791, le decret d'emancipation des Juifs fut promulgue. Nouveaux citoyens, les
Juifs se montrerent plus ardents revolutionnaires, plus ardents patriotes que les Francais
de race. lis volent les diamants de la Couronne, les tresors des Eglises, les mobiliers des
Emigres, se complaisent aux atrocites des carnages et s'enrichissent simultanement
dans les ventes des biens nationaux, le trafic des ornements d'eglise, les fournitures aux
armees. Bien entendu, ils se gardent de souscrire aux emprunts nationaux, echappent a
toutes requisitions et refusent de s'enroler dans les armees qu'ils se contentent de suivre,
generalement pour faire de l'espionnage et detrousser les blesses, a tel point que les
generaux durent frequemment leur interdire l'acces des theatres d'operations ; mais que
de medailles de la Legion d'honneur ainsi acquises par la suite tout au long des guerres
napoleoniennes par des Juifs et dont les families se font gloire aujourd'hui ! ils collaborent
activement aux feuilles revolutionnaires ; le Juif Marat reclame quotidiennement 270.000
tetes dans l'Ami du Peuple. Le Juif berlinois Veitel Ephrai'm poursuit une odieuse campagne
de calomnies contre Marie-Antoinette et conduit les massacres du Champ de Mars. Le
Juif Zalkind Hourdwitz tire le premier coup de feu contre les Tuileries, le 10 aout 1792,
et declenche l'emeute oil tomberent de nombreux Francais. Les Juifs prennent part aux
massacres dans les prisons ; ils celebrent avec eclat le culte de la Raison, mais continuent
a se faire circoncire ; pendant que le catholicisme est mis hors la loi, certaines eglises sont
transformers en synagogues. Le tortionnaire du jeune Dauphin au donjon du Temple est
le Juif Simon et, lorsque Louis XVI — condamne a mort par la Convention, grace aux voix
des deputes juifs — est guillotine, un Juif s'elance sur l'echafaud et prend du sang royal a
pleines mains pour en baptiser la foule.
Le regne de Napoleon Ier consacre Installation des Juifs dans la fortune francaise. A
Paris, les Rothschild — dont Waterloo permit le brusque enrichissement — les Fould,
les Pereire commencent leurs fructueuses carrieres, cependant que pour soustraire leurs
enfants aux obligations militaires, les Juifs declarent pour filles les garcons qui leur sont
nes, et que dans le departement de la Moselle, sur soixante-dix Juifs appeles aux armees
en six ans, pas un seul ne fut effectivement enrole.
La Revolution, en proclamant la Liberte, l'Egalite, la Fraternite, agit d'abord et surtout
au benefice des Juifs qui, sur les ruines d'une monarchic etayee par les corporations et la
propriete terrienne, allaient etablir le regne du capitalisme. En abolissant le corporatisme,
la Constituante, qui enlevait ainsi a l'ouvrier la propriete de son metier, faisait du travail une
matiere marchande et speculative et jetait pour l'avenir un nouvel aliment a Israel auquel
deja dans le present, l'expropriation des biens de la Noblesse et du Clerge permettait un
monstrueux agiotage.
La monarchic absolue avait reussi a tenir les Juifs a l'ecart de la communaute francaise,
les avait chasses cinq fois du territoire. Apres la Revolution, la France fut dominee par
eux ; ils demolirent progressivement notre esprit national, notre histoire, notre culture,
notre race et steriliserent la jeunesse. Et pourtant, Napoleon Ier essaya de freiner leur
malfaisance, « entendant proteger son peuple, dit-il, contre la race la plus vile et la plus
basse qui soit au monde » ; il ajoutait, devant le Conseil d'Etat, le 6 avril 1806 : « Nous
devons considerer les Juifs non seulement comme une race distincte, mais comme un
peuple etranger ; ce serait une humiliation trop grande pour la Nation francaise d'etre
gouvernee par la race la plus basse du monde. » Napoleon, dont le futur geolier a Sainte-
Helene devait etre le Juif Hudson Lowe, n'en paracheva pas moins l'ceuvre revolutionnaire
en ouvrant — au nom des immortels principes — tous les ghettos d'Europe d'ou les Juifs
liberes purent enfin, apres quinze siecles d'attente, exercer sans obstacles leur terrible
activite et se lancer a la conquete du monde.
Les droits civiques furent accordes aux Juifs en Angleterre en 1832, en Prusse en 1847.
En France, en 1848, le demi- Juif Lagrange fomentait l'emeute du boulevard des Capucines
qui fut a l'origine de la Revolution, puis arrachait des mains de Louis-Philippe l'acte
d'abdication. En Russie, pendant tout le me siecle, les Juifs sont a la pointe du combat
revolutionnaire ; ourdissant des complots terroristes, des attentats a la vie des tsars (en
particulier assassinant les tsars Alexandre II et Alexandre III).
LEPLAN JUIF
DE DOMINATION UNIVERSELLE
ET SES GRANDES ETAPES
Sous le couvert de l'ideologie democratique et revolutionnaire, Israel marche maintenant
a la conquete du monde, developpant son action suivant la formule de Michelet : « Patients,
indestructibles, les Juifs ont vaincu par la duree ; ils ont resolu le probleme de volatiliser la
richesse ; affranchis par la lettre de change, ils sont maintenant libres, ils sont maitres ; de
soufflets en soufflets, les voici au trone du monde. » La democratic, comportant en effet
le renversement des valeurs hereditaires et par la l'affaiblissement des traditions, donne
toute licence a la corruption de l'argent dont Israel est roi ; les revolutions impliquent
des transferts de richesses sur lesquels Israel preleve sa part. Les Juifs Karl Marx, — fils
d'un rabbin de Treves, de son vrai nom Mardechai, — Frederic Engels, Ferdinand Lasalle,
inventent et propagent la doctrine specifiquement juive de cette ideologic : le socialisme
lutte de classes devant lequel s'efface le socialisme francais de Proudhon et Sorel.
Les Juifs ne se donnent meme pas la peine de camoufler le dessein de domination
universelle que leur assignait le Talmud : « Les Juifs auront l'Empire temporel du monde
entier. » Dans une lettre adressee a Karl Marx, Baruch Levy resumait en ces termes le plan
juif : « Dans cette organisation nouvelle de l'humanite (republique universelle etablie apres
suppression des frontieres et des monarchies), les fils d'Israel repandus des maintenant
sur toute la surface du globe, tous de meme race et de meme formation traditionnelle,
sans former cependant une nationality distincte, deviendront sans opposition l'element
partout dirigeant, surtout s'ils parviennent a imposer aux masses ouvrieres la direction
stable de quelques-uns d'entre eux.
« Les gouvernements des nations formant la Republique universelle passeront tous
sans effort dans des mains israelites, a la faveur de la victoire du proletariat. La propriete
individuelle pourra alors etre supprimee par les gouvernants de race judai'que qui
administreront partout la fortune publique.
« Ainsi se realisera la promesse du Talmud que, lorsque les Temps du Messie seront
venus, les Juifs tiendront sous leurs clefs les biens de tous les peuples du monde. »
Dans leur action qui desormais s'accelere, les Juifs se font des Anglo-Saxons anglais et
americains, tout penetres par la Bible de la gloire d'Israel (le puritanisme, c'est, comme
recrit Henri Heine, « du judai'sme qui mange de la viande de pore »), ainsi que de la
Franc-Maconnerie, des instruments dociles. lis creent, puis animent et controlent la
ploutocratie anglaise. La Maconnerie anglaise qui — fondee en 1717 par le Juif anglais
Sayer — fut la grande initiatrice de la Maconnerie universelle, est entierement dans leurs
mains. L'ecusson de la grande Loge dAngleterre est compose de symboles juifs. Dans
le rite ecossais, les dates des documents omciels sont designees suivant le calendrier de
1'ere juive et Ton fait usage de l'ancien alphabet hebrai'que. Dans toute la Maconnerie, le
langage technique, le symbolisme et les rites sont remplis de notions et de termes juifs.
Par ailleurs, la noblesse anglaise est infectee de sang juif apporte par de riches mariages :
douze dues enjuives portent actuellement les premiers noms de l'Angleterre (entre autres
Marlborough, Norfolk, Wellington, Westminster). Une puissante Societe anglaise, la «
British-Israel-World-Federation », comptant plusieurs millions d'adherents, dont la reine
Victoria et le roi Edouard VII furent membres d'honneur, proclame que la race anglo-
saxonne est l'associee et l'heritiere de la race juive : « Le trone anglais est le trone de David
dans la conception moderne », ecrit le Times, le l er octobre 1937. Le Juif Rufus Isaac
devenu lord Reading, ex-vice-roi des Indes, ex-ministre des Affaires etrangeres, gardien
des cinq ports, est le plus haut dignitaire du Royaume-Uni. La dynastie juive des Sassoon
— rois de l'opium — a regne sur l'lnde plus d'un siecle. Une Juive, la duchesse de Windsor,
a failli devenir reine dAngleterre et le roi Georges dAngleterre fut elu roi de Palestine.
Aux Etats-Unis, en haut, regne la dynastie juive des Roosevelt, etayee par son Brain
Trust de Juifs (Henri Morgenthau, Bernard Baruch, Felix Frankfurter, Louis Brandeis),
en bas le gang juif des Jack Diamond et Al Capone, entre les deux, le maire de New-
York, le Juif Fiorello La Guardia, epoux de la Juive ancienne secretaire du bourreau de
la Hongrie, Bela Kuhn. La juiverie anglo-saxonne, sous le couvert de l'Entente Cordiale,
puis de la Societe des Nations, a manoeuvre la France et l'Europe pour la plus grande
gloire d'Israel.
La Societe des Nations, comme le proclame le Juif Klee, de New-York, le 19 Janvier
1936, « est une creation essentiellement juive, dont les Juifs peuvent etre fiers. » Tous
les traites faisant suite a la Paix de Versailles et inspires par la Societe des Nations,
comportaient sous son controle et sa garantie des clauses relatives aux minorites dites
nationales, en realite juives : aux termes de ces clauses imposees a 14 Etats europeens, les
Juifs devaient pouvoir acceder a toutes professions, fonctions publiques, honneurs, exercer
librement leur culte, posseder leurs ecoles, leurs institutions, leurs journaux. Un Comite
de Delegations juives a Paris surveillait l'application de ces clauses. Et, en 1933, il etait en
outre constitue, egalement a Paris, un Comite de Defense des Juifs de l'Europe Centrale
et Orientale, auquel adheraient : de Monzie, Flandin, Daladier, Reynaud, Herriot... Le
principal resultat de la guerre de 1914-1918 devait etre ainsi de consacrer partout les
droits de la Juiverie triomphante.
Les activites juives auxquelles les democraties laissent libre carriere presentent une
double face : sur le plan economique, elles dominent la plupart des entreprises industrielles
et commerciales par les trusts et l'emprise des banques, prelevant ainsi leur dime sur la
consommation des produits. Par ailleurs, sur le plan politique, elles poursuivent, par la
lutte des classes, la destruction economique et financiere des Etats, et par le Communisme
et la Dictature du proletariat, leur propre dictature et la possession totale des richesses.
Activite economique et activite
- politique sont d'ailleurs reliees par les mille liens dune trame plus ou moins visible
assurant la convergence des efforts et leur appui reciproque.
Le supreme Conseil juif, le grand Kahal, fixe aux Etats-Unis, assiste d'un veritable
Parlement represent^ par les Congres mondiaux periodiques reunis dans les grandes
capitales, regie de haut et dans son ensemble Taction simultanee des deux Internationales
juives : l'lnternationale de la Finance et l'lnternationale de la Revolution communiste.
L'emprise juive sur le plan economique (type des trusts americains) etroitement relie
au plan politique affairiste et culturel progresse par infiltration dans le cadre discret du
Talmud et de la Thora, avec une lenteur relative, et ne peut etre que partielle. L'emprise
politique par le Communisme revolutionnaire est au contraire rapide, dictatoriale, totale ;
le communisme tel que l'a concu Karl Marx et realise Lenine, est l'expression guerriere
du judai'sme conquerant, heritier de Josue, de Gedeon, de Mardochee et autres bandits
bibliques qui assassinaient des peuples entiers pour s'en approprier les biens.
LA JUDEO-DEMOCRATIE FRANCHISE
« Les biens des non-Juifs sont des choses sans maitre ;
Elks appartiennent au premier Juif qui passe. »
« II est permis de mentir a un non-Juif. »
(Talmud.)
La progression de l'influence juive en France s'exprime assez bien numeriquement par
la progression du nombre des Juifs habitant Paris : 500 en 1789 ; 3.000 en 1800 ; 30.000
en 1870 ; 70.000 en 1914 ; 174.000 en 1936 ; 500.000 en 1939. C'etait bien inutilement
qu'Edmond de Goncourt avait ecrit, en 1866 : « Je crie depuis vingt ans que si la famille
Rothschild n'est pas habillee en jaune, nous serons, nous Chretiens, tres prochainement
domestiques, ilotises, reduits en servitude. »
Les neuf dixiemes des 1.200.000 Juifs residant en France en 1939, nous etaient venus,
depuis moins dun siecle, des ghettos de l'Europe orientale, nous apportant avec leur crasse
et leur faineantise hereditaires, leurs instincts ataviques de fourberie et de destruction.
Doues d'un remarquable sens de mimetisme, ils ont vite troque le bonnet a queue de
renard et la levite pour la raie impeccable et le veston bien coupe du Parisien elegant et
formaient en 1939 la partie dynamique du Tout-Paris nouveau. Mais, simultanement,
ils reconstituaient dans notre capitale leurs foyers exotiques sous la forme de centaines
d'associations telles que : adarsyercim, Acoudath, Atereth-Sion et Eth-Laasoth, les Enfants
de Cracovie, les Enfants lithuaniens, la Jeunesse de Nowo-Radomsk, le Secours mutuel de
Rowno, les Amis solidaires de Brzeiny, les Amis de Szydlowiec, la Societe Biokor-Cholin.
Et il convient de ne pas oublier que beaucoup de ces officines, institutes a Paris aux jours
messianiques du Front Populaire, ont, depuis la guerre, rouvert leurs boutiques sur les
bords du Rhone ou de la Mediterranee.
Faisant irruption par vagues successives au sein d'une France construite par la sueur
et le sang des Francais de race — s'appelant, se recommandant, se poussant les uns les
autres, tous etroitement unis et solidaires, — les Juifs se sont, des l'abord, confortablement
installes dans les commerces faciles et lucratifs et, par Tinfluence d'une Maconnerie a
leur service, dans les postes politiques les plus efficients, dans les fonctions les mieux
retributes des organismes essentiels de l'Etat dont ils deviaient les traditions, agissant
dans un esprit contraire au genie de notre race. Edifiant des trusts et des banques appuyes
sur les faveurs occultes de pouvoirs publics complices, se pretant entre eux un appui
mutuel, ils s'enrichissaient par le vol, la fraude, la corruption, pourrissant accessoirement
notre esprit public par l'exemple de leurs depredations et notre race par le metissage,
poussant a toute occasion aux guerres et aux revolutions, « ces moissons des Juifs »,
comme l'ecrivait le ministre anglais Disraeli.
Sous les regnes de Louis XVIII et Charles X, Faction juive s'exerca surtout en profondeur
et se garda de tout eclat. Le nom du Juif Simon Deutz qui, en 1832, livra pour 500.000
francs a la police la duchesse de Berry dont il avait surpris la confiance — et renouvela
ainsi a dix-huit siecles de distance le crime de Judas — marque le debut d'une ere nouvelle
ou, a partir du regne de Louis-Philippe, la juiverie grandit en pouvoir et en arrogance.
Rothschild fut le vrai ministre permanent du regne ; Toussenel, dans son livre Les Juifs, wis
de I'epoque, decrit la nouvelle feodalite financiere juive fondee sur « l'accaparement, le
mensonge et l'iniquite ».
C'est a l'instigation des Juifs qu'est engagee, en 1870, la guerre franco-allemande : le
pretre juif Jean-Marie Bauer, confesseur de l'lmperatrice, fait pression sur Napoleon III
pour obtenir le declenchement d'une guerre que l'lmperatrice qualifie « sa guerre
a elle ».
Cette guerre donna aux Juifs de multiples occasions de manifester leur malfaisance
traditionnelle. « On nous fait remarquer, disaitle journal Le Nord, a la date du 19 aout 1970
— (citation empruntee a la France juive d'Edouard Drumont) — que la plupart des espions
prussiens pris en Alsace sont juifs. » L'lllustration, dans un numero du 27 septembre 1873,
montre le Juif dans cette guerre tour a tour detrousseur de cadavres, espion, trafiquant,
escroc et faussaire.
Ce sont les Juifs ou demi-Juifs Gambetta, Cremieux, Jules Simon, Emmanuel Arago,
Ernest Picard, Magnin qui, se constituant sans mandat les maitres de la France, proclament,
le 4 septembre 1870, la Republique sur la defaite de la France imperiale et aggravent le
desastre en prolongeant vainement une lutte sans gloire et sans espoir. Le Juif Gambetta
s'institue lui-meme chef du gouvernement de la Defense nationale.
Des le cinquantieme jour de sa naissance, le 24 octobre 1870, la jeune Republique
baptise citoyens francais tous les Juifs d'Algerie (par un decret qui fut l'ceuvre du Juif
Cremieux). Les Arabes furent indignes de voir ainsi eleves a la dignite de citoyens francais
ces ennemis seculaires de leur race, dont, depuis des siecles, ils subissaient les exactions,
qu'ils hai'ssaient et meprisaient, qui venaient — notamment a Constantine — d'applaudir
impudemment au desastre de la France a Sedan et n'avaient jamais rien fait par ailleurs
pour meriter l'amitie francaise, alors qu'eux-memes avaient prodigue leur sang au service
de la France sur les champs de bataille de Crimee, d'ltalie, du Mexique, alors que les
turcos venaient de se battre heroi'quement a Wissembourg, Woerth, Reichshoffen, alors
que dix mille des leurs etaient prisonniers en Allemagne ! exasperes, ils se revolterent
aussitot, mais quand l'autorite militaire voulut mobiliser les Juifs pour l'aider a combattre
l'insurrection, ces nouveaux Francais repondirent que leur religion leur interdisait de
manger a la gamelle !
La guerre civile de la Commune de 1871 est, pour une grosse part, l'ceuvre des Juifs,
entre autres : Gaston Dacosta, Leon Franckel, Gaston Cremieux, enfin Simon Mayer,
l'homme qui, apres avoir participe a l'assassinat du general Lecomte et de Clement
Thomas, fait renverser la colonne Vendome. « Les communards juifs, ecrit Drumont,
volerent, assassinerent et petrolerent pour cacher leurs vols. Certains negociants etablis
rue de Turbigo organiserent la devastation comme une operation commerciale et se
retirerent a New-York deux ou trois fois millionnaires. »
Pendant la Commune, Gambetta s'enfuit en Espagne. Lorsque tout danger fut ecarte,
il rentre a Paris et prend soin de detruire toutes pieces comptables afferent a sa dictature :
75 millions de francs disparaissent ainsi sans laisser de traces. Devenu chef du Parti
Republicain, il essaye vainement a plusieurs reprises de provoquer une nouvelle guerre
franco -allemande et invente l'anticlericalisme, doctrine de guerre civile permanente entre
Francais, niais devant sceller l'alliance des republicans et des Juifs — les Juifs ayant l'habilete
de faire accroire aux republicans que l'antisemitisme n'etait qu'une forme du clericalisme
et qu'ils etaient done leurs allies naturels. II convient de rappeler qu'aujourd'hui, ces
memes Juifs se presentent aux eglises catholique et protestante comme les defenseurs de
la Doctrine chretienne d'egalite des races et done comme les allies naturels ideologiques
de ces memes clericaux, leurs ennemis de la veille.
Apres la guerre de 1870, une immense vague de Juifs allemands camoufles en Alsaciens-
Lorrains envahit Paris ou ils se poserent aussitot en republicains militants, et, se rendant
maitres des comites electoraux, font elire deputes a la Chambre un Badois comme
Spuller, un Francfortois comme Leven. Depuis lors, les Juifs regnent incontestablement
sur une France denationalisee. En 1889, Waddington, un Anglais a leurs gages, devenu
ministre francais des Affaires etrangeres, abandonnait a lAngleterre Chypre et l'Egypte
et demandait — en compensation ! — pour la France, que fut imposee a la Roumanie
Emancipation de ses Juifs, emancipation que le Traite de Berlin ordonna, aux eclats de
rire de Bismark et a la grande douleur des Roumains de race, malgre l'opposition reiteree
du Gouvernement roumain.
Edouard Drumont, dans la France juive parue en 1885, decrit la gangrene juive
pourrissant peu a peu les elements divers de Tame et de l'activite francaises : la Haute
Juiverie devenant partie integrante de l'aristocratie qui l'accueille dans ses salons avec
une faveur particuliere et dont nombre de families se deshonorent par des mariages juifs,
« un vrai due de la Tremoille servant d'ecuyer cavalcadour a la baronne de Rothschild »,
le juif Arthur Meyer, directeur du journal Le Gaulois, officiant comme grand-maitre des
mondanites de cette judeo-aristocratie et ouvrant un bal de bienfaisance au bras dune
comtesse Aimery de La Rochefoucauld ; directeurs de journaux, de theatres, auteurs et
acteurs juifs ou enjuives accaparant par la grace dune publicite frauduleuse la faveur
d'un public abuse, le mepris du travail manuel gagnant les classes laborieuses, le culte
exclusif du veau d'or asservissant les classes bourgeoises ; les Juifs devenus enfin les
maitres politiques de la France et s'efforcant aussitot a assouvir leur haine atavique du
Christianisme, expulsant les congreganistes et spoliant les congregations, lai'cisant les
hopitaux et les ecoles, imposant dans les ecoles des livres mensongers destines a detruire
le sentiment religieux de la jeunesse, revoquant sur la denonciation du Juif Lyon-
Allemand, en mars 1885, le professeur Pelissier, du college Chaptal, coupable d'avoir
constate dans un livre Tinfluence moralisatrice du Christianisme ; ces Juifs s'emparant
de l'enseignement superieur et poursuivant dans leur enseignement la degradation de la
patrie, faisant commencer notre histoire nationale a 1789 parce que cette date marque
l'origine de l'emancipation des Juifs, taxant d'obscurantisme le moyen age, cette periode du
plus magnifique epanouissement intellectuel des peuples aryens, mais de peuples aryens
liberes de leurs Juifs ; epurant la magistrature de tous les grands magistrats, honneur de la
tradition juridique romaine et francaise, pour les remplacer par de nouveaux magistrats
juifs ou enjuives a leurs gages !
Pour favoriser rimmigration juive, controlee a la Prefecture de Police par des
fonctionnaires juifs, le Parquet accepte — pour les Juifs et eux seuls — comme piece
d'identite suffisante suppleant a tout etat civil, un acte de notoriete fabrique par
n'importe quel rabbin dont la signature meme est dispensee de toute legalisation ; le nom
de l'immigrant est arbitraire, son passe inconnu. En mai 1914, 50.000 Juifs recemment
installes a Paris ignoraient totalement notre langue.
Avant meme 1914, les Juifs dirigeaient deja la majeure partie de l'activite economique
francaise, et leur emprise etait devenue a peu pres totale en 1939.
En 1911, le venerable et majestueux Hotel des Archeveques de Sens est affecte par la
Ville de Paris a l'installation d'une Ecole Rabbinique.
Le 6 avril 1911, 1.800 Juifs russes recemment immigres et ne sachant que le yiddisch,
reunis a la Bourse du Travail sous la presidence du demi-Juif Longuet, insultaient,
menacaient et pretendaient juger un ouvrier francais qui avait mal parle des Rothschild.
En 1913, un Grunbaum-Ballin, Juif de Francfort, presidait le Conseil de Prefecture
de la Seine, un Isaac Weiss etait Secretaire general du Conseil municipal de Paris. Le
13 septembre 1913, le President Poincare, banquetant a la Prefecture de Cahors, etait
encadre par deux Juives, femmes de ministres, primant toutes les femmes indigenes.
Quand Ferdinand, tsar-de Bulgarie, vint a Paris pour traiter les affaires de son pays, il
ne vit meme pas le President Fallieres. II alia directement chez le Juif Joseph Reinach (de
Francfort-sur-Main) oil il put a loisir rencontrer les Ministres de la Republique. Lorsque
la police dut se decider a perquisitionner chez Reinach (le financier bandit des chemins
de fer du Sud, de Panama, des Lits militaires), elle y trouva des dossiers diplomatiques
que le Ministre des Affaires etrangeres avait refuse de communiquer a une Commission
parlementaire « en raison du secret d'Etat ».
En novembre 1913, Alphonse XIII, roi d'Espagne, venu en France, va chasser a
Rambouillet chez le President Poincare, mais c'est a Edouard de Rothschild qu'il rend
visite pour traiter des affaires de l'Espagne.
Le Juif Louis-Louis Dreyfus, associe aux autres Juifs du trust des bles, nous montre
comment, par le jeu de complicites politiques, il sut extorquer jusqu'a dix milliards de
francs par an sur la consommation du pain et le commerce des bles. II est specialement
interessant, a titre d'exemple documentaire, de mettre en lumiere le mecanisme de ces
manoeuvres. En 1933, les droits de douane sur le prix du ble, 70 francs au quintal, com-
pensent exactement la difference du prix du ble francais (115 fr.) sur le prix du ble exoti-
que (45 fr.). Mais le Maroc avait le droit d'importer en France du ble en franchise. Or le
Maroc etait en fait une simple propriete juive dont la Banque d'Etat etait la Banque du Juif
Finaly, Banque de Paris et des Pays-Bas. Louis Dreyfus achetait done du ble au Canada
et en Argentine ; les bateaux charges de ce ble faisaient une escale de quelques jours a
Casablanca d'ou ils repartaient avec un certificat d'origine marocaine et entraient dans les
ports francais sans payer les droits de douane normaux qui devenaient de ce fait benefice
juif. Par ailleurs, les Juifs avaient obtenu du Gouvernement (alors represente par le Minis-
tre de lAgriculture Queuille, leur valet) une prime a l'exportation de 80 francs par quintal
de ble. Le meme ble ou une quantite equivalente pouvait alors etre reexporte, ajoutant un
nouveau benefice de 80 francs au benefice du droit de douane, soit 80 + 70 = 150 francs
par quintal de ble transite. L'Office du Ble, cree par Monet, Ministre de l'Agriculture du
Front Populaire et autre valet des Juifs, augmenta encore considerablement les benefices
des trusts juifs qui purent alors prelever un superbenefice de 100 fr. par quintal sur la
totalite des bles francais, realisant ainsi de ce fait quelque 7 milliard de francs de benefice
par an sur les seuls bles francais, pendant qu'en contre-partie, le prix du pain montait de
1 fr. 70 le kilo en 1933, a 3 f r. 15 en 1936. Et Ton put assister a ce spectacle extravagant : la
France, ayant produit en 1937 15 millions de quintaux de ble en sus de sa consommation,
important nonobstant 20 millions de quintaux pendant l'hiver 1937-1938, pendant que
le Gouvernement, refusant d'exporter du ble francais en Allemagne et en Italie, faisait
denaturer les quantites en excedent qu'il rachetait aux frais des contribuables !
A la veille de la guerre de 1939, les Juifs controlaient en France tous les moyens de
transport (terre, mer, air), la majeure partie de l'industrie lourde, 7/10 e des monopoles
et concessions d'Etat (eau, gaz, electricite), 7/10 e des usines d'armement, chantiers
navals, produits chimiques, la totalite du petrole, caoutchouc, Sucre, coton, laine, 7/10 e
des vetements, fourrures, chaussures, 9/10 e des banques, 7/10 e de l'edition, toutes les
agences de presse, la presque totalite du cinema et de la radio. Nos colonies, en particulier
lAfrique du Nord, la Syrie, le Maroc, leur etaient completement asservies. Presque toutes
les Associations economiques, cooperatives, philantropiques, anciens combattants,
anciens eleves de grandes ecoles etaient animees ou controlees par eux. II convient
de remarquer que, dans toutes les affaires qu'ils possedent ou controlent, les Juifs ne
produisent effectivement rien : ils realisent simplement sous le masque de ces entreprises
des benefices d'agiotage ou de fraude, comme le manifeste le mecanisme de l'operation
montee par Louis-Louis Dreyfus sur les bles.
La plupart des grands scandales financiers de la IIP Republique furent juifs. Ce sont les
Juifs Levy-Cremieux, baron de Reinach, Cornelius Herz et Arton (de son vrai nom Aron)
qui, abusant de Ferdinand de Lesseps, se saisirent de l'organisation financiere du canal
de Panama et firent eclater le scandale de l'achat en bloc des consciences parlementaires,
cependant qua peu pres a la meme epoque, le baron juif Erlanger volait plus de deux cents
millions aux actionnaires et clients du Credit General. Juifs Stavisky, Oustric, Marthe
Hanau et son mari Lazare Bloch. Les trois faillites juives Citroen, Rosengart, Nathan-
Pathe firent perdre 2.400 millions de francs aux epargnants francais. En six ans, de 1929
a 1935, le commerce du departement de la Seine a perdu 100 milliards en faillites dont
67 % etaient juives. Peu avant la guerre, la proportion des faillites juives atteignait, dans
la Seine, 95 96.
Les Juifs envahissaient parallelement les professions liberates. On comptait a Paris,
en 1937 : 35 % de medecins juifs (2,5 % en 1911) ; 35 % d'avocats (5 % en 1914) ; 35 % de
professeurs de haut rang ; 60 % de directeurs de theatres ; 50 % d'artistes en vogue ; 70 %
de journalistes (pour une population juive de 7,6 % de la population parisienne).
Israel, qui possedait pour 1.200.000 Juifs sur 40 millions de Francais, le l/5 e de la fortune
francaise, laissait aux Francais de race le soin de se battre : Pendant la guerre de 1914-1918,
1.500.000 Francais furent tues et 1.812 Juifs, moins nombreux que les 2.777 Antillais
venus de la Martinique et de la Guadeloupe mourir sur le sol de leur lointaine metropole.
400.000 Francais tomberent a Verdun et 332 Juifs. Les Juifs pensaient certainement,
comme le disait le rabbin Reichhorn en 1869 : « Nous inciterons les Chretiens aux guerres
et pousserons les notres a la place de ceux qui tomberont. » Ce qui n'empechait pas
Marc Rucart, Ministre de la Justice du Front Populaire, parlant des Juifs naturalises en
1937, de dire avec impudence : « II y a un an le service du sceau donnait chaque mois a
l'armee francaise 250 naturalises par mois. Depuis, j'ai depasse le cap des 600 hommes,
soit un bataillon par mois. » Mais, dans les bureaux de recrutement et sur les champs de
bataille de 1939-1940, ces pretendus soldats nouveaux Francais ne manquerent pas de se
volatiliser.
L'emprise culturelle juive progressait parallelement a l'emprise economique dans une
France denationalisee oil le Juif Leon Blum, President du Conseil, pouvait dire le 15 mars
1937, a Saint-Nazaire : « Je ne connais qu'un seul drapeau, celui de l'lnternationale. »
Cinema, radio, agences de presse etaient juives. La censure cinematographique etait
confiee en 1938 a un Juif, See. Lors de la derniere fete de Jeanne d'Arc, celebree a Orleans
avant la guerre de 1939, on voyait, entourant l'eveque, un depute ministre juif Zay, un
maire juif Loewy, un general juif Bloch, un procureur general juif See. Le Front Populaire
de la region parisienne, beant d'admiration devant la juiverie en place, disait, dans une
motion votee a l'unanimite, le 22 septembre 1938 : « II est juste que le Juif commande
et dirige les Francais inferieurs a leur tache. » Oublieux de l'Histoire nationale, nos
200.000 professeurs et instituteurs convenablement styles, se gardaient bien de dire que
les Juifs de France sont arrives de Palestine par les ghettos de Russie et d'Allemagne ;
ils enseignaient qu'un Juif est simplement un Normand, un Provencal ou un Lorrain de
religion particuliere, mais aussi bon et vrai Francais que les autochtones. Et la France
deleguait a Athenes a des fetes commemoratives universitaires ces deux representants
de la vieille culture francaise, Jean Zay, ministre juif de l'Education Nationale, et son
chef de cabinet juif, Abraham Bloch ! le Yiddisch, langue parlee des Juifs, etait employe a
Paris dans certaines reunions publiques, affiches electorates, convocations a la Bourse du
Travail inserees dans le journal YHumanite. Nos mceurs s'enjuivaient : « Tout le processus
de demolition de la famille, depuis Naquet jusqu'a Blum et Zay, du divorce a l'education
sexuelle, est juif. » La loi Naquet sur le divorce fut en partie redigee par le Juif Astruc,
ancien rabbin de Bruxelles.
Lart s'enjuivait. Tous les grands marchands de tableaux, de Bernheim a Rosenberg,
etaient juifs, creant un marche international juif de la peinture, lancant par la seule
publicite les arts dadai'ste, cubiste, futuriste, surrealiste..., autant d'impostures. Inspirateurs
des gouts du public et maitres des prix, ils poussaient de miserables peintres juifs sans
art ni talent que les pouvoirs publics consacraient en leur reservant toutes les faveurs
officielles.
Le Jury international de l'Exposition de 1937 a Paris n'osa pas publier la liste des
artistes recompenses, liste qui, pour la section denommee francaise, comprenait presque
uniquement des Juifs, au premier rang desquels brillait un certain Lipschitz, auteur d'un
Promethee etranglant son vautour qui deshonorait les abords du Grand Palais et que
Ton dut enlever, devant la protestation de l'opinion indignee. La promotion de la Legion
d'honneur dite de l'Exposition de 1937 comprenait : un seul grand-croix juif, trois grands
officiers juifs sur quatre, et, bien entendu, une multitude d'autres juifs commandeurs,
officiers, chevaliers.
Ce fut le Juif Wildenstein, marchand de tableaux, qui fut charge d'organiser la
participation artistique de la France a l'Exposition de New-York en 1938, cette participation
comprenait a peu pres uniquement des Juifs etrangers.
A l'Exposition de San-Francisco en 1939, la sculpture francaise fut representee par
deux Juives, Grunwald et Zay, cette derniere, sceur du Ministre, qui lui alloua sur les
fonds publics 200.000 francs pour la commande d'un quelconque navet faite au nom de
l'Etat francais.
Le christianisme lui-meme s'enjuive ! l'eglise catholique, oublieuse des traditions
des papes du moyen age, considere que la race juive est une race « comme les autres » ;
l'administration pontificale emploie a Rome vingt-quatre Juifs, dont le Juif Kovolnitzky,
chef des Archives secretes, et nous voyons en ce moment meme une centaine de pretres
porteurs de l'etoile jaune, circuler dans Paris. Le Vatican vient de protester (fin aout 1942)
aupres du Gouvernement de Vichy contre les mesures d'internement prises a l'encontre
de quelques milliers de Juifs en zone libre, mais non aupres du Gouvernement anglais qui
fait assassiner des civils francais par ses aviateurs et massacrer des dizaines de milliers
d'hindous par sa police. Les Protestants, de leur cote, ont bien oublie les imprecations
de Luther denoncant les Juifs comme « des betes perverses, sataniques, trainant dans la
boue les paroles divines, vivant de mal et de rapines, betes mauvaises qu'il faut chasser
comme des chiens enrages ! » Leur plus haute autorite en France, le Pasteur Boegner,
s'est solidarise publiquement avec eux ! nombre de Chretiens font actuellement des vceux
pour la victoire de Staline, c'est-a-dire du judeo-bolchevisme. Rappelons-leur simplement
cette phrase ecrite par un representant autorise de ce regime, le Juif Andre Nin, secretaire
particulier du Juif Trotzky : « Nous avons resolu le probleme de l'eglise en ne laissant plus
un seul temple debout. »
LE JUDEO-MARXISME
« Les non-Juifs nont ete crees que pour servir lesjuifs
jour et nuit sans qu'ils puissent quitter leur service. »
« Celui qui fait couler le sang
des non-Juifs ojfre un sacrifice a Dieu. »
(Talmud.)
En dehors de la politique opportuniste d'affaires pratiquee par les Juifs dans le seul but
d'appuyer par les jeux de la politique indigene l'emprise economique de leur nation (Louis
Dreyfus, le grand exploiteur du ble, ne se fit-il pas nommer Senateur radical !) La veritable
politique juive, la politique militante d'Israel, est le communisme, conforme, dans son
essence, a l'esprit niveleur et communautaire de la race, communisme dont Amos et Isai'e
furent les premiers prophetes bibliques, dont le Juif Karl Marx concut la theorie, dont les
moyens d'action sont la haine, l'assassinat et le servage talmudiques. Leon Blum formula
tres simplement cette politique en trois mots :
« Je vous hais ! », Jean Zay en cinq : « Je te hais, drapeau torche-cul ! » Et d'autres
Juifs la mirent en action dans la plupart des assassinats politiques commis ces dernieres
annees : Princip, l'assassin de l'archiduc Ferdinand d'Autriche a Serajevo ; Kalemen,
l'assassin du roi de Yougoslavie a Marseille ; Schwartzbarth, l'assassin de l'hetman de
l'Ukraine Petliura a Paris, Grynzpan, l'assassin du conseiller d'ambassade allemand von
Rath a Paris — qui crut, par cet assassinat symbolique, trucider d'un seul geste toute
l'Allemagne nazi — et surtout dans les immenses massacres rituels renouveles du Pourim
et perpetres par le bolchevisme juif dans toute l'Europe : Russie, Hongrie, Baviere,
Espagne. La route historique d'Israel demeure ainsi jalonnee des cadavres de ses victimes
conformement a la loi de son genie racial.
Le communisme pretend theoriquement, par la revolte des masses ouvrieres et la
dictature du proletariat, construire l'economie marxiste. En fait, dans cette economie
nouvelle oil l'Etat possede tout, commande tout, les Juifs maitres de l'Etat sont les
possesseurs reels de toute la fortune publique et privee, et tous les citoyens leur sont
asservis : le communisme marque l'instauration de la Dictature juive.
EN RUSSIE
C'est en Russie, oil la mentalite et l'ignorance slaves opposaient une moindre resistance,
que la poli' tique communiste juive trouva son premier champ (faction. Le nihilisme russe
revolutionnaire, oil les Juifs s'etaient deja et tout naturellement illustres, avait prepare les
voies du communisme juif. L'internationale juive de la finance intervint de son cote pour
favoriser son action. Les banquiers juifs americains imposerent au tsar, lors de la guerre
russo-japonaise de 1904-1905, sous la menace dune revolution interieure, la mediation
du President Theodore Roosevelt, d'origine juive : et le comte Witte, plenipotentiaire
du tsar, rencontra aux Etats-Unis, negociateurs inattendus, ces banquiers exigeant
Emancipation des Juifs russes. Les consequences en furent rapides. Dans les derniers
temps du tsarisme, l'extreme gauche universitaire (des professeurs juifs, toleres par un
pouvoir defaillant, enseignaient dans les ecoles les theories marxistes) comptait 80 % de
Juifs. Les agitateurs juifs, promoteurs et realisateurs de la Revolution bolcheviste, furent,
par l'entremise du Juif Trotzky, Tun des chefs du mouvement, commandites par la banque
juive americaine Kuhn, Loeb, Warburg et C°, devenue maitresse de l'appareil financier
des Etats-Unis et prodigieusement enrichie par la guerre de 1914-1918. Les associes de
cette banque, les Juifs freres Paul et Max Warburg, avaient en effet finance la guerre, l'un
aux cotes de l'Allemagne, l'autre aux cotes des Etats-Unis : ils devinrent meme, pour te
compte de leurs clients respectifs, negociateurs de la paix a Paris. Le troisieme frere,
Felix Warburg, egalement associe de la banque, financa, lui, plus particulierement, la
Revolution communiste russe. Un banquier juif de New-York pouvait dire avec raison :
« La guerre de 1914 peut finir comme elle voudra ; nous, les Juifs du monde entier, nous
l'avons gagnee. » C'est la banque Kuhn et C°, devenue Banque des Soviets a New-York,
qui fut, dans la suite, chargee de vendre les joyaux et de conserver dans ses coffres les
valeurs volees aux Russes non-juifs. La fortune mobiliere russe, gage des milliards de
francs pretes par les petits epargnants francais, fila ainsi, par les voies de la guerre et de
la revolution, aux mains des Juifs, inoubliable souvenir dedie plus specialement a nos
innombrables porteurs de fonds russes.
Voulant mettre a profit l'etat d'epuisement et de demoralisation oil, du fait de la guerre,
se trouvait le peuple russe, en octobre 1917, le demi-Juif Lenine (a fades de Juif Kalmouk,
fils d'une Juive, epoux dune Juive) et le Juif Trotzky, accompagnes de 224 bolcheviks
(dont 170 Juifs), traversent l'Allemagne en wagon plombe et entrent dans une Russie deja
decomposed par la defaite et la Republique parlementaire du Juif Kerenski. Le ler mars
precedent, le Juif Nakhankers avait cree des Soviets dans l'armee d'oii, en consequence,
toute hierarchie, toute discipline, avaient disparu. Lenine et Trotzky, devenus maitres
du pouvoir, s'empresserent de conclure la paix separee de Brest-Litowsk qui, liberant les
armees allemandes de l'Est, aggrava pour la France les consequences meurtrieres de la
guerre.
Avec Lenine et Trotzky, les Juifs s'emparent de tout l'appareil de l'Etat : au debut, le
Gouvernement compte 447 Juifs sur 545 membres ; en 1920 — lors de la deportation
et du massacre de millions de Russes ouvriers et paysans — on comptait 14 Juifs sur
14 membres au Commissariat de l'lnterieur, 34 Juifs sur 34 membres au Congres des
Delegues paysans, 88 % de Juifs au Commissariat des Finances, 100 % aux Assurances
sociales, 77 % au Conseil des Commissaires du Peuple (de 70 % a 100 % dans tous les
organismes de l'Etat). Cent cinquante mille fonctionnaires juifs commandent a Moscou.
A la mort de Lenine, le triumvirat qui prit tout d'abord le pouvoir fut compose de Staline
(epoux dune Juive) et de deux Juifs. La plupart des dirigeants russes demeures aupres de
Staline sont juifs (en particulier Molotoff, Commissaire aux Affaires etrangeres) : aucune
revolution de Palais ne les a deloges. Les bolcheviks ont assassine quelque onze millions
de personnes : le tsar et toute sa famille (dont les meurtriers furent juifs), toute la classe
moyenne, tous les cadres intellectuels et techniques de la nation, detruit la famille, la
religion (sauf la religion juive dont toutes les synagogues sont respectees), ont supprime
tous les temoins de la culture occidentale, coupe toute continuite entre le passe et les
generations a venir, entretenu les Russes dans une totale ignorance. Les travailleurs —
c'est-a-dire la presque totalite des Russes non-juifs — au seul service de l'Etat, souverain
absolu lui-meme aux mains des Juifs, sont devenus des esclaves astreints au travail et a
la residence forcee. Les pretendues institutions sociales (Palais de la Riviera en Crimee,
sanatoria) sont reservees aux membres du parti communiste, c'est-a-dire aux Juifs. Mais
les Juifs, fideles a leurs traditions ancestrales, ni techniciens, ni ouvriers, ni paysans, ni
soldats, continuent a ne rien produire par eux-memes : ils occupent les postes politiques
et administratifs. Des ingenieurs etrangers dirigent l'industrie ; le barrage de Dnieprostroi
est du a un ingenieur americain.
La situation economique du pays est actuellement encore inferieure a celle du temps
des tsars. Le tiers seulement de l'ancien reseau ferroviaire etait utilisable en 1941 :
Materiel roulant use, reseau routier inexistant, locaux d'habitation a l'etat de masures,
produits manufactures de prix tres eleves, rares et de qualite mediocre. Malgre une
intense mecanisation agricole, le rendement de l'hectare de ble a diminue ; le cheptel est
reduit de moitie.
La seule realisation du bolchevisme fut celle d'une immense armee dont les soldats
portent l'insigne de l'Etoile de Salomon, armee creee dans le but d'assurer par la Revolution
mondiale la domination juive prophetisee par le Talmud. « L'armee rouge, disent les
Soviets, n'est pas une armee ennemie ; elle est l'armee du Proletariat international. »
LES SOVIETS PARTOUT
Maitre de la Russie, le bolchevisme juif essaya de fomenter partout des revolutions pour
constituer de nouvelles republiques sovietiques satellites. Des la fin de 1918, les Juifs du
mouvement Spartacus (cree par Liebknecht et Rosa Luxembourg) provoquerent a Berlin
des troubles sanglants. En 1919, les Juifs, sous la conduite de Kurt Eisner, proclamerent
la Republique sovietique a Munich, renversee par une armee allemande apres quelques
semaines de brigandages et d'assassinats.
En 1919, le Juif Bela Kuhn, venu de Moscou, s'empare du pouvoir en Hongrie, institue
les Soviets avec 18 Juifs commissaires du peuple sur 26. II ordonne la saisie de tous les
biens prives a Budapest, nomme des Juifs a tous les leviers de commande, fait souiller
d'innombrables fillettes par des equipes de gamins juifs, charges d'un nouvel enseignement
sexuel. En cinq semaines, la bande juive dilapide ou expedie dans des banques anglaises
les enormes fortunes, fruit de ses pillages. Toute activite economique est ruinee. Des
patrouilles de terroristes conduites par des Juifs arretent et torturent. En province, le
juif Tibor Szamuely, venu lui aussi de Russie, fait tuer avec une sadique volupte : « II
faut, dit-il, qu'il coule assez de sang bourgeois (comprendre non-juif) pour que mon
automobile roule dans le sang. » Au bout de 133 jours, des troupes roumaines marchant
sur Budapest dispersent enfin les hordes rouges. Les Juifs s'enfuient, Bela Kuhn en Russie
oil il va torturer la Crimee.
En 1920, les Bolcheviks russes essaient vainement d'etablir, par la force armee, les
Soviets a Varsovie. Leurs troupes sont repoussees. Mais ils reussissent a s'emparer de
l'Ukraine dont ils massacrent ou asservissent la population.
Parallelement a leurs interventions armees et sous le couvert du Komintern de
Moscou, les Juifs russes s'efforcent d'agir par l'entremise des partis communistes locaux
qu'ils creent, dirigent et paient, avec le concours ouvert ou occulte des Juifs campes dans
chaque pays.
LItalie, desorganisee par cette propagande, fut sauvee par le fascisme mussolinien. Le
meme travail poursuivi en. Allemagne obtint, aux elections de 1932, six millions de voix
communistes : lAllemagne fut sauvee de justesse par Hitler et le National-Socialisme.
Un travail identique donna 400.000 voix communistes en Espagne aux elections de
1933. Le Trente Popular, anime par les communistes juifs, prit le pouvoir en 1936. Les
Juifs del Vayo, Bela Kuhn venu de Russie, Rosenberg ambassadeur de l'U.R.S.S., Neumann,
Guisberg, auxquels font cortege tous les Juifs du pays, d'autres specialement accourus
de partout et la lie de la populace ameutee par eux, pillent, incendient, assassinent
dans toute l'Espagne et preparent pour le ler aout 1936 un coup d'Etat bolcheviste. Les
Nationaux alertes purent les devancer et, apres une guerre civile longue et meurtriere,
eviter la sovietisation de l'Espagne. Mais 470.000 Espagnols furent massacres par les
hordes rouges, en dehors des combats.
Meme au Bresil, l'influence russe parvint a declencher, en 1936, une revolte marxiste
dont les meneurs etaient tous juifs, entre autres Rosenberg, Gardelsrau, Gutnik.
Cependant qu'en Roumanie, la juive Esther Lupescu, maitresse du roi Carol, faisant
supprimer le ministre anti-juif Goya et assassiner Codreanu, chef de la reaction nationale
roumaine, et ses compagnons, preparait les voies aux revolutionnaires juifs.
en France
La paix de Versailles, apres une guerre gagnee militairement par la France au prix
de 1.500.000 morts, d'autant de mutiles et d'immenses sacrifices materiels, fut en fait
l'ceuvre des Juifs. Des la fin de la guerre, le parti socialiste, anime par la Judeo-Maconnerie,
preconise une paix blanche sans indemnite et sans annexion et depeche une delegation
conduite par le Juif Louis Levy pour recevoir, a Brest, le President Wilson et lui confirmer
que cette formule representait bien le vceu le plus cher du peuple francais. Le President
Wilson, franc-macon puritain, escorte de cent dix-sept Juifs (entre autres Morgenthau,
Baruch Levy et le celebre colonel House, de son vrai nom Mandel), les Juifs anglo-saxons
et meme francais (le Juif Mandel etait alors le chef du cabinet civil de Clemenceau et
le Juif general Mordacq — deformation du nom Mardechai, Mardochee — chef de son
cabinet militaire), imposerent un traite qui devait achever la desagregation et la ruine de
l'Europe continentale epuisee par quatre ans et demi de guerre, et plus particulierement
de la France.
Pendant que regne a Geneve une Societe des Nations, ceuvre juive, derniere etape
escomptee vers la souverainete mondiale d'Israel, les financiers juifs de New-York
provoquent par un jeu concerte de fausses nouvelles, par la psychose de la peur, des
catastrophes monetaires : toutes les monnaies des peuples de l'Europe deviennent
successivement leur proie.
Tout fut mis en ceuvre par les Juifs pour paralyser le relevement de la France
accablee par tes suites ruineuses de la guerre, creer ainsi la misere generate et soulever
revolutionnairement les masses pour la conquete du pouvoir. Le Gouvernement a leurs
ordres refusa l'offre de l'Allemagne de se charger elle-meme de la reconstruction de nos
regions devastees. La campagne de Leon Blum sur « la bonne Allemagne democratique
et republicaine » — dont la Social-democratie etait controlee par les Juifs — amenait
l'abandon de la Rhenanie et de Mayence ; les plans Dawe et Young inspires par les financiers
juifs de New-York amenuisaient la creance de la France enfin definitivement abandonnee
par Herriot (dont le conseiller intime etait le Juif Israel), le meme Herriot qui abandonne
par la suite a Staline les 16.680 milliards de franc or des Emprunts russes.
Le parti communiste, entierement dirige et paye par les juifs de Moscou, mene le
combat revolutionnaire. En 1935-1936, le journal I'Humanite, constitue anterieurement
par douze Juifs, poursuit sous la signature du juif Lecache la desagregation de l'armee et
pousse les soldats a la rebellion. En face des revolutionnaires, les partis nationaux sont
maintenus en etat de division par un La Rocque agissant sous l'influence des Juifs. « Des
Israelites, ecrit-il dans le Flambeau, nous en avons de tres chers dans nos rangs. »
Le Front Populaire, cree et anime par les communistes (et a travers eux par les Juifs
de Moscou), porte au pouvoir en 1936 un ministere Leon Blum comprenant (ministres
et attaches) 40 Juifs et 51 francs-macons, leurs valets. Pour la premiere fois dans notre
histoire, un Juif, escorte par une bande de ses nationaux, est le chef officiel de la France.
A ses cotes, le Juif Jean Zay — le coryphee du drapeau torche-cul et le futur deserteur
de 1940 — preside a l'Education Nationale, la Juive Brunschwig a la Famille, le demi-Juif
Marx Dormoy invente le complot dit « de la Cagoule » et le demi-Juif Lagrange organise
les loisirs du peuple.
L'activite particulierement nefaste de Leon Blum, representant politique eminent des
Juifs et Tun des principaux artisans de la catastrophe de 1940, est mise en pleine lumiere
par ses actes de depute et ses ecrits de journaliste. II a vote trois fois contre la Ligne
Maginot, les 27 decembre 1929, 2 decembre 1930, 26 juillet 1931. II a, chaque annee,
avant de devenir president du Conseil et belliciste antifasciste, refuse de voter les credits
militaires. II a constamment preconise dans ses programmes electoraux la reduction a six
mois du service militaire, la suppression des periodes d'instruction, la reduction massive
des depenses militaires. En mai 1932, il a combattu tes credits destines a l'armement de
la Pologne. II a ecrit dans le journal Le Populaire du 28 octobre 1938 : « Je propose qu'on
arrete tout net la construction du nouveau programme naval. » Cependant qu'il desarme
la France, il prend position a contresens de toute politique francaise normale en Europe.
Le 10 mai 1931, il traite le roi Alexandre de Yougoslavie de « Roi parjure et assassin »,
et le 17 decembre 1931 de « canaille couronnee ». Le 8 novembre 1932, il ecrit qu' «
Hitler est exclu du pouvoir, meme de l'esperance du pouvoir », par les camarades sociaux-
democrates allemands. Les 19 et 20 fevrier 1935, il appelle les travailleurs parisiens a
« manifester leur haine » contre le chancelier autrichien Schussnig, venu a Paris, et
le qualifie de « vulgaire assassin ». Les 6 et 7 octobre 1935, il se felicite des sanctions
decidees par la Societe des Nations contre l'ltalie en raison des affaires d'Ethiopie. Le
5 novembre 1935, il annonce « l'effondrement du regime mussolinien ». Le 13 fevrier
1939, il ecrit : « Non, non et non, la France ne reconnaitra pas Franco », et le 17 fevrier
1939 il reclame l'affectation aux refugies espagnols marxistes des camps destines a la
concentration et a l'instruction des troupes francaises. Et, pour couronner cette ceuvre
insane, ce Juif apatride, campe par hasard dans notre vieux pays gallo-romain, insultant
a la foi millenaire de quarante millions de Francais non juifs, fait ecrire en avril 1940 par
la redaction juive du Populaire a ses ordres, que la fete chretienne de lAscension est «
la perpetuation d'une sottise millenaire qui ne fait plus que sourire » ; le meme article
declarant que le Christ — qualifie de « Gaulonide » — « tient a la fois du factieux et du
visionnaire ».
A partir de 1936, la campagne revolutionnaire juive redouble d'intensite dans une
France dont la race, depuis 150 ans librement polluee par l'infection juive et les metissages
Semites, deja degenere. Pendant que la politique gouvernementale asservie a une
Angleterre elle-meme aux ordres des Juifs, prend position contre l'ltalie fasciste (affaires
d'Ethiopie et des sanctions), contre l'Espagne nationaliste (envoi d'un enorme materiel
de guerre aux marxistes espagnols), contre l'Allemagne nationale-socialiste (refus d'une
entente sincere), toute l'economie du pays se decompose dans les greves, les desordres
sociaux, la ruine des finances publiques et des fortunes privees.
GUERRE JUIVE DE 1939
Apres avoir degrade et desarme la France, apres l'avoir coupee de toute amitie
europeenne continentale, le Judai'sme estime cette fois — sous la pression des Juifs
allemands mates par Hitler — le moment venu de jeter la France dans la guerre contre
les peuples qui se sont liberes de son etreinte, d'user et de detruire les unes par les autres
les armees et les economies de l'Europe occidentale, preparant ainsi dans tous les pays
la Revolution interieure communiste, pendant que la Russie, tenue provisoirement hors
de jeu, arme formidablement dans le but de donner enfin aux nations combattantes
epuisees le coup de grace definitif et de federer l'Europe sous la domination juive au sein
de l'U.R.S.S.
Au Congres mondial juif de Geneve en 1936, un grand rabbin de Riga declare : « Qu'il
n'y aurait pas de paix dans le monde avant qu'on ait etabli l'egalite des droits des Juifs avec
les autres citoyens », ce qui signifiait en fait qu'il, fallait renverser en Allemagne le regime
national-socialiste qui avait refuse cette egalite et done lui declarer la guerre. L'alliance
israelite universelle, prenant la defense de Grynzpan, l'assassin juif du conseiller allemand
von Rath a Paris, recueille 120 millions de francs pour lutter contre l'antisemitisme, en
fait pour preparer l'opinion a cette guerre. Lors des accords de Munich, au cours d'un
congres de la Federation de la Seine de la S.F.I.O., tous les Juifs du Parti Akoun, Hauck,
Hermann, Mayer, Norvina, Louis Levy, Zyromski, interviennent contre la paix. Le decret-
loi du 21 avril 1939 contre la propagande antijuive, couple avec le decret-loi contre la
propagande pour le compte de l'etranger, interdit toute action permettant de denoncer au
pays la conspiration juive : les livres de Celine, Bagatelles pour un massacre et I'Ecole des
cadavres, sont prohibes et Celine condamne par le tribunal correctionnel.
Lorsqu'enfin fut acquise et connue la declaration de guerre faite a l'Allemagne par
l'Angleterre et la France, toute la Juiverie de l'Univers battit des mains et Ton put voir
jusque dans les ghettos de lointains villages hongrois les Juifs sortir de leurs taudis en
habits de fete et celebrer ce jour faste comme un nouveau Pourim... cependant que, par
toute la France, des millions de mobilises, brutalement arraches a leurs foyers, partaient
au casse-pipes, ignorant tout du Juif et des machinations dont ils devenaient une fois
de plus les absurdes victimes. Mais si les Francais combattants ignoraient pourquoi ils
devaient se battre, les dirigeants de la Republique, eux, ne se meprenaient pas : M. de
Saint-Quentin, ambassadeur de France a Washington, declarait devant le Conseil national
de 1' « Union Palestine Appeal » qu'un des buts essentiels de guerre des Allies etait de
rendre leurs libertes aux Juifs !
Tous les dirigeants politiques anglo-saxons et russes de la guerre sont juifs ou enjuives :
Winston Churchill est le petit-fils de la juive Jacobson-Scheidan, Anthony Eden est cousin
du Juif Wiseman ; Staline, epoux de la Juive Kaganowitch, est exclusivement entoure de
Juifs (entre autres Molotow, ministre des Affaires Etrangeres, Litvinow, ambassadeur a
Washington, Maisky, ambassadeur a Londres). Roosevelt descend de Juifs hollandais,
son ministre des Finances Morgenthau est Juif, et son ministre des Affaires Etrangeres
Cordell Hull est marie a la Juive Rosa Witz.
La guerre actuelle met en pleine lumiere le jeu d'Israel. Les Juifs de la Finance anglo-
saxonne (U.S.A. et Angleterre) ont rejoint les Juifs de Moscou qu'ils commanditaient
deja et tous ensemble menent la bataille, jetant aux combats les armees des peuples
mercenaires ou abuses, cependant que nos Juifs de France poursuivent a l'interieur du
pays la desagregation nationale par tous moyens de propagande et d'action : communisme,
gaullisme, anglophilie, activite anti-allemande, et accessoirement par la disorganisation
du ravitaillement et le marche noir.
Dans le drame immense qui se joue a travers le monde, le probleme juif est le probleme
central auquel tout se rattache, dont tout depend. Le peuple juif, devenu l'ennemi
hereditaire de tous les peuples, mene le jeu contre lAllemagne et l'ltalie, aussi contre la
France. Le Juif Baruch Zuckermann, un des chefs du mouvement ouvrier juif, ecrivait le
23 Janvier 1941 dans un journal canadien : « Les Juifs se considerent eux-memes comme
une nation alliee a lAngleterre. » Face a ce peuple en etat de guerre ouverte avec l'Europe,
face a ces nationaux juifs campes en France et qui, du dedans, s'associent au combat,
comment reagit l'opinion francaise ?
L'OPINION PUBLIQUE ET LES JUIFS
Trop de Francais a l'esprit genereux, mais mal informes, croient que les Juifs sont des
hommes comme les autres, et que, meme en admettant la nocivite generate de la race, il
existe de bons juifs et que ces bons juifs doivent etre menages.
Non, les Juifs ne sont pas des hommes comme les autres. Seul de tous les peuples
civilises, le peuple juif est tenu par sa loi morale ecrite dans le Talmud de pratiquer vis-
a-vis des hommes qui ne sont pas de sa race la fraude, le vol, l'assassinat, et l'experience
millenaire des peuples a demontre l'universelle malfaisance de ce peuple maudit. Sans
doute agit-il conformement a son instinct racial ; mais l'instinct de conservation qui mene
l'homme lui commande d'abattre la bete de proie qui agit conformement a son instinct
elle aussi sans doute, mais, embusquee dans quelque coin d'ombre, ne le guette pas moins
pour le devorer. En n'hesitant pas a vouer aux massacres des champs de batailles un
nombre d'hommes superieur et de loin aux 12 ou 15 millions de Juifs qui le constitue,
le peuple d'Israel ne pourrait, apres sa defaite, contester a l'Europe victorieuse le droit et
peut-etre le devoir de decider sa totale destruction. Et, d'un tel arret, on ne saurait exclure
meme les pretendus bons Juifs.
II existe en effet un peuple juif animateur du judeo-marxisme contre lequel nous
soutenons une lutte mortelle. Tous les nationaux de ce peuple sont solidaires : on ne
peut faire entre eux de difference. Notre propre gouvernement — qui, dans toutes ses
decisions, accepte si volontiers la theorie du bon juif — fait-il entre nous, Francais de
race, des differences quand il s'agit de nous imposer les restrictions et charges de toutes
sortes nees de la guerre et de notre commune defaite ?
Comme consequence de la guerre decisive que l'Europe doit soutenir victorieusement
contre Israel, l'experience de l'Histoire universelle impose l'elimination totale des Juifs,
ou, seule alternative, l'acceptation de l'esclavage russe et par la de leur total pouvoir. Mais,
en ce cas, nous pouvons etre assures du massacre prealable de toutes les elites, de toutes
les classes moyennes, de tous les hommes qui n'ont pas des ames d'esclaves, et nous
verrions alors nos Juifs, meme nos bons Juifs, — ces Juifs que notre imbecillite menage
et dont l'Etoile jaune apparait a nombre d'entre nous comme une mesure de persecution
attentatoire a l'ordre chretien — , nous les verrions donner le signal du massacre, et, de la
voix, du geste, de l'exemple, exciter nos assassins !
CONCLUSION
A la lumiere des faits exposes, le probleme juif se presente en totale clarte :
1° Le Juif est l'ennemi ne des autres hommes et le peuple juif est l'ennemi hereditaire
des autres peuples ;
2° Apres s'etre rendu maitre de l'appareil politique de l'U.R.S.S., de l'appareil econo-
mique des peuples anglo-saxons, le peuple juif veut par la guerre actuelle — oil il
a precipite une France vouee par lui-meme au desastre — etablir sa domination
universelle, sous le couvert du judeo-marxisme, en abattant les peuples refractaires
a son dessein.
3° La France nationale doit considerer les Juifs campes sur son sol comme les sujets
d'un peuple avec lequel elle est en etat de guerre, armee et declaree aujourd'hui,
mais bien qu'occulte et sournoise, depuis dix-neuf siecles toujours reelle, continue,
sans merci.
Tels sont les enseignements stricts de l'Histoire.
Apres avoir crucifie le Christ, coupable d'avoir fletri l'ignominie de leur loi morale,
coupable d'avoir voulu transformer la loi judai'que de haine en loi d'amour le Christ dont
l'Evangile est devenu l'expression totale de la foi religieuse des peuples aryens — , le peuple
juif, peuple de haine, d'orgueil et de proie, ferment destructeur de tous les autres peuples,
poursuit, par la guerre actuelle et par la construction d'un communisme marxiste qui
doit etre la consequence de sa victoire, la destruction definitive du monde chretien. Et ce
serait l'accomplissement du vieux reve messianique, la revanche de Judas sur un Christ
deux fois crucifie !
Mais dans cette lutte douloureusement fratricide oil la fourberie des Juifs oppose
sur les champs de bataille les uns contre les autres les soldats des peuples aryens, les
Francais, heritiers des anciens croises, peuvent-ils ne pas se retrouver et combattre aux
cotes des peuples que la haine meme des Juifs designe et consacre aujourd'hui comme les
defenseurs veritables de l'ordre chretien ?
TABLE DES MATIERES
Le Juif est au centre de tous les problemes de l'heure
Les Juifs chez eux et dans le monde antique :
La race
La nation
Les colonies juives du Proche-Orient
La religion et la morale
Les Juifs chez les Aryens :
Avant 1789
La Judeo-Democratie
La Revolution de 1789
Le plan juif de domination universelle et ses grandes etapes
La Judeo-Democratie francaise
Le Judeo-Marxisme :
En Russie
Les Soviets partout
En France
Guerre juive de 1939 .. ..
Lopinion publique et les Juifs
Conclusion
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19
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27
36
38
40
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45
47
acheve d'lmprimer en avril 1943
sur les presses de l'lmprimerie i<app,
a Vanves (Seine) 31-0915,
POUR LE COMPTE DES EDITIONS Le PONT,
"Les Documents Contemporains" ,
55, Avenue des Champs-Elysees, a Paris.
n° d'autorisation : 15.391.
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les documents contemporains
Editions le pont
55, Champs-Elysees
PARIS